Auger

Oui, je vais attendre pour ouvrir des sujets que tu me le suggères... Grand merci à toi !

Et TG

Et rien, comme d'habitude...

Ah la France ! Tout devrait être gratuit : la musique, la santé, les transports en commun (c'est le cas dans certaines villes), les repas dans les Crous,... Mais dès qu'il faut mettre la main à la poche (même un euro) : Arrrrrrrgggghhhh ! L'Etat nous prend tout !! Ah la France ! (par contre, le scandale des pompes funèbres, les biens nommées, ne choque personne ?) (et après tout, même Frank Michael mérite d'être rémunéré pour ses créations... dont je ne sais même pas si c'est lui qui les écrit)

Au temps pour moi, je n'ai pas suffisamment remonté le fil et cette distinction m'a surpris.

A titre accessoire, un crime est un crime, un viol est un viol, un assassinat est un assassinat,... je ne vois pas ce que la notion de "meilleur ami" vient faire là-dedans. Mon "meilleur ami" n'a pas davantage le droit de commettre tout ça que moi ou n'importe qui d'autre. Mais j'ai dû mal comprendre...

Merci, c'est toujours intéressant d'avoir ton avis, même si actuellement tu as décidé de le donner avec parcimonie (ce que je respecte totalement, évidemment)

J'aurais aimé savoir ce que tu en penses TOI.

Le silence avec quelqu'un peut aboutir à une vraie proximité, briser ce silence permet parfois d'ériger des murs entre des personnes, en parlant de n'importe quoi, en érigeant des écrans de fumée qui séparent davantage qu'ils ne rapprochent.

C'est moi qui te remercie de la confiance que tu nous offres. Le paradoxe est que je (nous) ne suis pas à ta place, mais en même temps, toute souffrance humaine est partagée, partagée par notre nature profonde et notre destinée commune. Je te souhaite beaucoup de courage, sans que je songe pour autant à cette connerie de "résilience automatique". Si tu arrives à cheminer beaucoup, ce sera très bien ; si tu chemines suffisamment, ce sera très bien, si tu chemines un petit peu, ce sera très bien, si tu n'arrives pas à cheminer, ce sera très bien. Peut-être ne suis-je pas très clair : nous ne sommes au fond, contraints à rien, même le bonheur ne devrait pas être une injonction, comme une espèce d'obligation de normalité, de "droit au bonheur". Faire ce qu'on peut, même si c'est rien : c'est très bien.

Je me demande toujours pourquoi tout le monde voudrait que "toutes les mamans du monde" éprouvent, même un minimum, d'amour. Désolé, bin non ! Peut-être est-ce pathologique (une maladie mentale) mais tous les pères et toutes les mères de cette terre ne sont pas capables/n'ont pas envie de donner de l'amour à leurs enfants, ou à qui que ce soit d'ailleurs... Ce "tabou" (toutes les mamans du monde, bla-bla-bla) m'énerve en ce sens qu'il fait à mon avis plus de mal que de bien, se cacher la face devant le réel ne sert à rien Tout le monde n'est pas en capacité d'aimer (peut-être faute de l'avoir été soi-même), est-ce dommage ? Oui. Est-ce dramatique ? Non. Est-ce une catastrophe ? Non. Je préfère accepter un problème, puis tenter de le surmonter, que de le nier (au prix de ne jamais m'en remettre).

Oui, tu as bien compris ( j'aime bien exprimer les choses de façon alambiquées, détournées et parfois même par antiphrase...)

Si c'est ça développer des arguments imbéciles, alors j'aimerais bien être un imbécile de cette sorte.

Et si on ne le sait pas ? (que c'est écrit par une IA)

Il peut y avoir une lutte interne entre "je m'en fous" , "c'est très bien comme ça", "je sais pas pourquoi",... Je vais regarder, merci, Chien Noir !

Oui et non. Je pense que ça fait partie d'unes sorte de "pack" : je rationalise mon comportement, tout en en ignorant une bonne part de la finalité réelle et pour ce qui apparaît à ma conscience, je me donne toutes les raisons de trouver ça très bien, en me fichant (ou en minimisant) les conséquences pour autrui... De la même façon, "le mal n'existe pas", car peu de gens ont le sentiment de faire le mal (pour eux, c'est le "bien"), mais je m'éloigne du sujet et Sirielle va me crier dessus...

Oui, "un peu", mais pas beaucoup plus selon moi. Comment ignorer le mal ? Mais c'est très simple : en en n'ayant rien à foutre et en se donnant les meilleurs raisons du monde de faire ce que l'on fait, penser comme on pense et agir comme on agit. Ce n'est pas comme ça que fonctionne (majoritairement) le monde ?

Sommes nous toujours conscients de nos finalités et de nos réelles intentions ? (Oh, je me prends pour un philosophe ! )

Dans le langage courant, et dans nos esprits par voie de conséquence, il faut avouer que la distinction n'est pas facile à faire.

Instinct de survie. Instinct sexuel Instinct de vie, ou de mort Instinct de prédation ... Faut-il les mettre tous au même niveau ?

Ça dépend de quels instincts il s'agit. Je préférerais être guidé par mon intuition, ça me semble plus sain

Non, non, tu vas continuer à pondre tes âneries et je vais continuer à te dire ce que j'en pense, sinon ce serait trop facile... Par exemple : tes mémoires ou tes 30 jours gagnés, c'est grotesque ! Bonjour chez toi !

Une question en passant : pourquoi pas plutôt le blog pour ce genre de texte ?

Bravo !