truebypass

Concernant la cérémonie, à part Tellier, le reste c'était bien dégueulasse, surtout Christine & The Queen moitié R25 les jours de pleine lune, moitié non binaire/ternaire le 36 de chaque mois entre 14h et 14h04, qui après avoir bien massacré "Stayin' alive" il y a quelques mois a décidé de faire pareil avec "Born to be alive". Elle se sent vivante, c'est très bien pour elle. Maintenant faut juste qu'elle freine sur la coke et qu'elle lave un peu plus souvent ses cheveux.

J'avais pourtant écrit "Bah dans l'absolu ça restera toujours qu'une blague".

Pas besoin d'annoncer ton départ, ici c'est ni une gare, ni un aéroport.

Disons que tu as peut-être l'indignation sélective, me trompe-je?

Mais faites également attention: le concept de propagande n'existe pas que d'un côté. Devant le Congrès américain, Benyamin Netanyahou a affirmé que « pratiquement aucun civil » n’a été tué à Gaza par l’armée israélienne. source: Devant le Congrès américain, Benyamin Netanyahou en terrain conquis - L'Humanité (humanite.fr) Noa Argamani a pris la parole sur Instagram pour corriger les informations erronées diffusées par plusieurs médias, principalement israéliens. Ces derniers avaient transformé son témoignage lors d'une réunion du G7 à Tokyo, mercredi dernier. Noa Argamani a tenu à rétablir la vérité sur les circonstances de sa captivité et de ses blessures. Noa Argamani, qui avait été capturée avec son petit ami lors du festival de musique Nova le 7 octobre, a été libérée en juin dernier lors d’une opération qui a coûté la vie à au moins 274 Palestiniens. Une vidéo virale de son enlèvement, montrant son départ d’Israël à l’arrière d’une moto, avait été largement diffusée dans les médias. Après sa libération, Argamani a utilisé son compte Instagram pour dénoncer les fausses informations relayées par la propagande israélienne concernant ses blessures et sa captivité. Plusieurs médias avaient rapporté que Noa Argamani avait déclaré que ses ravisseurs lui avaient coupé les cheveux et qu’elle avait été battue ou frappée sur tout le corps. Dans sa déclaration, elle a précisé qu’elle avait des « coupures » sur toute la tête et qu’elle avait « mal » sur tout le corps. Elle a également souligné que ses cheveux n’avaient pas été coupés et qu’elle n’avait pas été battue. Ses blessures provenaient en réalité de l’effondrement d’un bâtiment sur elle, après un bombardement de l’armée de l’air israélienne. L’ex-otage a exprimé son indignation face aux déformations de ses propos par les médias. « Je ne peux pas ignorer ce qui s’est passé dans les médias au cours des dernières 24 heures. Les choses ont été sorties de leur contexte » a-t-elle écrit. Elle a précisé que la citation exacte était : « Ce week-end, après la fusillade, comme je l’ai dit, j’avais des coupures sur toute la tête et j’ai été blessé sur tout le corps. » Elle a ajouté : « Je précise qu’ils ne m’ont pas battu, mais que j’ai été blessé sur tout le corps à cause de l’effondrement du bâtiment sur moi. » En tant que victime du 7 octobre, Noa Argamani a clairement indiqué qu’elle ne permettrait pas que les médias la victimisent à nouveau. Son témoignage met une nouvelle fois en lumière les manipulations médiatiques et les tentatives de déformer la réalité pour servir des intérêts politiques. Parce que l'origine de ce conflit date d'avant le 7 octobre, d'avant que le Hamas rentre en scène. Parce que je considère qu'un état fondé sur l'héritage de la Shoah et qui a progressivement évolué vers une politique d'extreme droite massivement meurtrière et énormément armée est plus impactante en matière de bilan humain que des attaques terroristes éparses pourtant elles aussi meurtrières et immorales. La perception du terrorisme par nos cerveaux d'occidentaux, elle est biaisée par le syndrome post 11/09 et de celui des attentats de janvier et novembre 2015 en France. Avec un peu de distanciation, on remarque qu'il se passe infiniment pire sur le plan du bilan humain en provenance de "gentilles démocraties" qui réduisent à une vie de misère dès le berceau des milliers d'individus coincés dans la vilaine case "bougnoules/musulmans", quand c'est pas supprimé directement. Toute cette merde hypocrite atlantiste donne des saloperies de ce genre: En octobre 2023, sur le plateau de la chaîne de télévision CNews et dans le contexte de la guerre Israël-Hamas et des attaques terroristes du 7 octobre 2023, Céline Pina commente les bombardements israéliens à Gaza : « Une bombe qui explose tuera sans doute des enfants, mais ces enfants ne mourront pas en ayant l’impression que l’humanité a trahi tout ce qu’ils étaient en droit d’attendre »10. La Tragédie de l'Innocence : Réponse à Céline Pina L'indigence intellectuelle se pare parfois d'érudition pour dissimuler son inhumanité. Céline Pina, sur le plateau de « Punchline » (CNEWS) du 26 octobre 2023, a tenté d'établir une hiérarchie abjecte entre les souffrances des enfants victimes de conflits, dépossédant les uns de leur humanité pour souligner la tragédie des autres. La rhétorique de la chroniqueuse s'appuie sur une dichotomie dangereusement simpliste entre deux formes de violence : l'une anonyme et quasi excusable, l'autre personnelle et condamnable. La philosophie du droit et l'éthique internationale nous enseignent que la distinction opérée par Pina est moralement insoutenable. Le droit international, notamment les conventions de Genève et les statuts de la Cour Pénale Internationale, ne fait aucune distinction aussi superficielle entre les victimes. La mort d'un enfant par « dommage collatéral » n’est pas moins barbare que celle infligée de main d'homme dans une proximité horrifique. Les enfants israéliens et palestiniens sont, aux yeux de l'humanité et de la loi, d'égale dignité et leur souffrance d'égale gravité. Les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité se définissent par leurs circonstances et leurs objectifs, non par le ressenti supposé des victimes dans leurs derniers instants. L'enfant de Gaza qui perd la vie sous les bombes ne meurt pas sans « désespérer de l'humain » ; il meurt dans une terreur absolue, privé de son avenir, de ses rêves. Imaginer que sa mort soit moins atroce car moins intime est un sophisme d'une froideur inouïe. Chaque bombe qui tombe est une annonce de mort qui résonne dans les esprits des survivants, une menace personnelle pour chaque enfant qui se demande « Suis-je le prochain ? ». L'enfant israélien, face à la cruauté humaine, subit une horreur qui mérite toute notre empathie et notre condamnation. Mais prétendre qu'il meurt avec une « image atroce de l’humain » tandis que l'enfant palestinien serait épargné de cette révélation est une insulte à la souffrance partagée de tous les enfants victimes de conflits. La mort violente n’a pas de degré de noblesse ou d'inhumanité selon la distance à laquelle elle est administrée. Qu'il s'agisse de bombardements ou d'exactions ciblées, l'effet est le même : une vie est arrachée, un potentiel est anéanti. La mort d'un enfant ne peut être reléguée à une simple statistique de « dommage collatéral » ; elle est le symptôme d'une pathologie mondiale où l’impersonnalité des armes de destruction sert d'alibi à une déshumanisation accrue. La banalisation de cette mort à distance, que Pina semble prôner, est une forme de négationnisme émotionnel qui réduit la guerre à une série d'actions désincarnées, où les responsabilités se diluent dans l'anonymat des mécanismes militaro-politiques. Chaque bombe tombant sur Gaza est un message de mort et de haine, que chaque enfant là-bas sait qu'il est haï et craint à chaque instant pour sa vie. Face à lui, l'enfant qui rencontre la barbarie humaine de manière plus intime, dans les yeux de son bourreau. Pour Pina, voilà la véritable tragédie, car cet enfant meurt en connaissant la haine incarnée. Un récit poignant, certes, mais qui semble suggérer qu'une mort « propre », déshumanisée, serait moins révoltante, moins digne d'émotion. Pina voudrait nous convaincre qu'il faut résister au « règne de l'émotion » et ne pas mettre ces deux enfances éteintes sur un même plan. Mais l'émotion n'est-elle pas la réaction la plus humaine qui soit face à l'horreur ? N'est-ce pas cette émotion qui nous pousse à refuser toute forme de violence contre les innocents ? En outre, il en va d’une quête de justice. Céline Pina, en séparant ces enfants dans la mort, démontre une incapacité à percevoir l'égale humanité des victimes de la violence. Son argumentation, sous couvert d'une rationalisation macabre, devient une apologie insidieuse de la guerre asymétrique qui voile les atrocités derrière des calculs cyniques. En omettant la terreur et le désespoir qui précèdent souvent la mort dans des zones de conflit, même à distance, Pina déshumanise l'enfant de Gaza. Ce dernier, comme tout être humain, a une conscience, et vit dans un contexte où la violence est une menace constante. L'anticipation de la mort, la perte des proches, la destruction de son environnement ne sont pas des éléments moins traumatiques parce qu'ils sont le produit d'une violence « indirecte ». Dire le contraire, c'est ignorer le poids psychologique et émotionnel que ces enfants portent avant même l'impact fatal. Contre cette apologie voilée de la violence « hygiénique », nous devons réaffirmer que la souffrance et la mort ne sauraient être hiérarchisées, et que toute vie humaine a une valeur intrinsèque non négociable. C'est le message porté par le droit international humanitaire, qui cherche précisément à éviter de telles distinctions dans le traitement des victimes de conflits. L'instrumentalisation de la souffrance à des fins idéologiques, telle qu'elle transparaît dans l'argumentation de Pina, est une forme de trahison de ces principes fondamentaux. Ainsi, notre devoir, en tant qu'êtres capables de compassion et d'empathie, est de lutter contre de telles tentatives de rationalisation de la violence et de rappeler que chaque enfant mérite protection et justice, quelle que soit la forme de la menace qui pèse sur lui. Face à de telles tentatives de déshumanisation, notre devoir est de contre-attaquer avec la seule arme qui vaille : la vérité crue et une solidarité indéfectible envers toutes les victimes, sans distinction. Une bombe qui tombe, c'est la voix de la mort qui retentit, qu'elle soit lointaine ou proche. Les arguties politiques ne sauront jamais masquer le cri d'un enfant. La distance de la mort ne mesure pas l'inhumanité. Et lorsque la mort devient théorie, l'humanité perd sa substance.

Ils sont ni pires ni meilleurs que ceux de la rédac' de Valeurs Actuelles, Cnews & co.

Bah dans l'absolu ça restera toujours qu'une blague qui tue personne et qui parle d'un type qui fait tuer sans blaguer plein de gens innocents dans le monde réel. Faut toujours faire preuve de raison plutôt que de passion à l'heure où l'immédiateté plonge la plupart des gens en pleine idiocratie à la sur-réaction immédiate. Tiens d'ailleurs,derrière Soral on trouve qui d'autre? Gilad Atzmon. Certes c'est un excellent musicien de jazz qui a collaboré avec les plus grands des artistes britanniques. Mais c'est aussi un juif né à Tel Aviv, fervent militant antisioniste. On dit quoi pour lui niveau contexte et intention? Juif antisémite? Annulation des polarités donc balle au centre?

Après les purges poussives de Prometheus et Covenant, ce Romulus fait quand même un peu de bien à la franchise. Certes, on voit un peu trop que l'équipe a voulu respecter un cahier des charges pour raccrocher les wagons dans le fil chronologique du récit et fidéliser le public die hard: -on reprend les designs d'intérieurs de vaisseau du premier -on reprend le systeme d'architecture Maman -on reprend le design de l'android Ash (et son ultime punhcline du 8eme passager) pour le clin d'oeil -on reprend le trip fusil mitrailleur d'Aliens -on reprend la punchline de Ripley concernant Newt dans Aliens Faut juste pas trop trop réfléchir (tiens, c'est l'héroïne qui n'avait pourtant jamais fait un seul voyage dans l'espace qui semble s'en sortir quasiment les yeux fermés - et toute seule - avec toutes les procédures techniques du vaisseau).

Alors qu'en face, être plus que suspecté d'avoir sur les mains le sang de dizaine de milliers de victimes civiles, tranquille quoi. Nan, le plus grave, c'est la blague, pas ce qu'elle dénonce. Ou comment fixer le doigt qui montre la Lune. On est en 2024 et il faudrait surtout pas porter atteinte à l'honneur d'un dirigeant politique qui est responsable de la mort d'individus en masse. C'est beau l'évolution.

Ils profitent surtout de la tradition laïcarde française qui permet de tirer à gros calibre sur l'église catholique sans trop risquer quoi que ce soit. Ce qui est moins facile lorsqu'il s'agit des deux autres religions abrahamiques, on l'a vu. Cela dit CH n'a pas attendu les attentats pour, d'une certaine façon, mourir. Il est réellement mort quand Choron a quitté le navire et que Philippe Val a fait main basse sur le journal.

Attaqué par.... Cnews, la chaîne des vieux darons du "c'était mieux avant/yen a marre de tous ces Moustaphas/nous on veut les souris à la cuisine/un papa une maman/dehors les pédés/fan club officiel de Sardou". Venant de la part d'une bande de réacs qui crachent quasiment 350 jours par an sur les rabzas, qu'ils soient morts ou vivants d'ailleurs, c'est un peu l'hopital qui se fout de la charité.

C'est la dissonance cognitive habituelle due à une éducation dans la repentance des zeursombreudeunautristouaaaaare. Résultat, on a un truc comme ça: -l'extrême droite et en France: pas bien! -l'extrême droite en Allemagne: pas bien! -l'extrême droite en Autriche: pas bien! -l'extrême droite en Hongrie: pas bien! -l'extrême droite en Espagne: pas bien! -l'extrême droite en Argentine: pas bien! -l'extrême droite en Afrique du sud: pas bien! -l'extrême droite en Australie: pas bien! -l'extrême droite au Canada: pas bien! -l'extrême droite aux USA: pas bien! -l'extrême droite en Ukraine: pas bien! (enfin, ça dépend si c'est contre le vilain Poutine, ça passe) -l'extrême droite en Israel: bien! Et si t'es pas d'accord, t'es antisémite, 'spèce de 'tisémite!

C'est pas parce que tu comprends pas la blague que c'est pas drôle. C'est juste que ça te fait pas marrer. C'est aussi con que de décréter par exemple "les kiwis c'est pas bon" au lieu de dire en réalité "les kiwis, j'aime pas ça". Le monde tourne pas autour de toi et de ta perception des choses.

Toi, t'as pas entendu parler du bataillon Azov, de Misanthropic Division.

Des synagogues crâment pas tous les jours non plus. Par contre des palos, ça c'est tous les jours que ça tombe comme des mouches et de surcroit potentiellement de la main d'un réserviste franco israelien qui est parti dans le premier avion pour casser du bougnoule et du musul. Comme pour le 11/09/2001 avec la LDJ aux states. Tu fais comme tu veux pépé, je m'en branle en fait. C'est outrancier seulement sur la forme. Il y a toujours du fond.

L'humour, c'est comme la bouffe dans l'assiette. On ne dit pas "c'est pas bon/c'est pas drôle" mais plutôt "j'aime pas/j'ai pas trouvé ça drôle". Mais ma vanne a manifestement fait marrer deux personnes, faut croire que je suis pas si pourri ou nul que ça. Ou alors les deux autres aussi sont nuls cringes toopoooraves et dans ce cas, désolé d'être en dessous de tes exigences. Ceci étant, comme tu dis toi même être borderline, tu peux concevoir que d'autres ont aussi un profil psychologique particulier qui ne leur permet pas de rentrer dans les cases des "usages mainstreams" des codes sociaux et de la correspondance écrite.

Quel argument!

Mais..mais pourquoi tant d'attention alors? Profil SM? C'est la liberté d'expression. C'est nouveau y parait. Et puis en fait c'est pas tant que ça une accusation. C'est même plutôt factuel: -Le Nsdap comme le Likoud (le parti de coeur de Neta) sont deux partis d'extrême droite. -les deux pratiquent une politique expansionniste et d'annexion illégale de territoires -les deux pratiquent une politique nationaliste -les deux se sont fondés en partie sur une cosmogonie religieuse: la Weltanschauung d'un côté et le sionisme religieux messianique de l'autre -les deux disposent de "partis jeunesse", Jeunesses hitlériennes et Likoud Jeunesse -le Betar emploie les mêmes méthodes que les SA en leur temps -les deux n'hésitent pas à envoyer l'armée massacrer des civils ou des civils militarisés tuer des civils. Le fait que les israeliens sont les anciennes vicimes des nazis permet de jouer sur l'ironie de la situation.

Et tout ça en direct, la grande classe. Je crois qu'il y a une palanquée de personnalités politiques qui veulent saisir la justice. Franchement, c'est du même niveau qu'un neonazi qui sortirait un "le moustachu énervé aurait dû terminer le travail pendant la WWII." façon Ciel mon mardi. Et le gentil Tsahal, le coeur sur la main, se dévoue courageusement à se salir les mains malgré lui pour tous les autres? C'est limite le retour de Richard Virenque, à l'insu de son plein gré? Tu peux t'enquiller toute l'itw, c'est une succession de perles anti civils gazaouis.

https://www.facebook.com/100008319338978/videos/837895131797824?locale=fr_FR à partir de 3'10" "Maîtresse! C'est lui qu'a commencé d'abord!" Terrorisme — Wikipédia (wikipedia.org)

C'est l'humour noir quoi. C'est pas de la méchanceté, juste une façon particulière d'appréhender un sujet pourtant sérieux, voire grave pour tenter d'apporter une note de légèreté, d'absurdité, d'humour décalé et une volonté de ne pas rajouter du dramatique au dramatique. J'ai pas les bons "codes sociaux" faut dire et je terminerai probablement en enfer.

Et le grand Rabbin de France de tranquillou déclarer publiquement à la TV: "tout le monde sera bien content qu’Israël finisse le boulot".

Pas comme le voit Haïm Korsia. Il a ouvertement défendu les actions d’Israël à Gaza, affirmant qu’il ne pouvait condamner ces actes, car « ce n’est pas du même ordre » que les pertes subies par Israël. Pire encore, il a osé relativiser les 40 000 morts à Gaza, en les comparant aux 1 200 morts en Israël, allant jusqu’à déclarer que « tout le monde sera bien content qu’Israël finisse le boulot ».

TON premier degré. N'inverse pas les rôles. Moi je faisais du second degré.