sirielle

Pour moi oui, sur ce point-là du moins, ça n'excuse pas n'importe quel comportement mais c'est une réussite du point de vue de la survie.

Personnellement d'habitude je n'appelle pas les gens âgés "les vieux" car c'est un peu les réduire à leur vieillissement, vieillissement qui a un côté un peu péjoratif d'un point de vue médical. A tout âge on est censé chercher à préserver et valoriser sa santé, et certaines personnes âgées y parviennent relativement bien, parfois mieux que certains moins âgés, ce qui contribue parfois à expliquer leur longévité... En tout cas vivre longtemps ici-bas, avec la maturité que ça peut impliquer souvent, représente une forme de réussite qui mérite une part de respect et d'admiration. Et bien que ça n'engage que moi, j'ai tendance à trouver les gens âgés souvent plus humbles et plus réfléchis par certains côtés, ce qui représente des qualités essentielles à mes yeux, voire ce qui peut favoriser le charme d'une personne...

Personnellement je n'adhère que peu à ce classement. Par exemple la tolérance illimitée n'est pas une vertu à mes yeux, elle doit rester modérée pour l'être, de même que l'intolérance. Il y a des comportements à tolérer, d'autres à ne pas tolérer, aussi selon le contexte et ses propres responsabilités... L'introversion n'est pas un défaut dans une mesure raisonnable, chacun en a besoin à certains moments. Un sourire n'est pas forcément adapté, c'est selon ce qu'exprime ce sourire et le contexte dans lequel il s'exprime. Etc... Beaucoup de ces traits comportementaux, classés comme qualités ou défauts, sont à mes yeux simplement à modérer en fonction du contexte. Seules quelques exceptions sont réellement représentatives de vertus ou de vices à mon sens dans l'absolu. Si ce n'est qu'une qualité n'est pas forcément entendue comme vertu, c'est selon le sens qu'on lui donne...

Je dirais pour ma part que Dieu tel que je le comprends n'est pas une fleur mais qu'il est insuffleur de vie, de la nature et ses principes, et donc aussi de la vie des fleurs, leurs aspirations et leurs destins. Mais il offre à chaque individu la liberté d'être soi-même. Dieu est à mon sens une présence à travers la naissance et la pérennité des lois de la nature et une promesse au travers des idéaux naturels. Il n'est pas un être vivant ou un être mortel au sens commun. Dieu est éternel un peu comme l'existence est éternelle, au-delà de la vie ou de la mort, il est l'inspirateur qui peut éventuellement rendre la vie possible sous certaines conditions, et qui le cas échéant la veille discrètement dans son périple.

Pour ce qui me concerne la vie m'a démontré maintes fois que l'amour entre un homme et une femme pouvait exister, même longtemps parfois, mais que cette réalité pouvait s'avérer plus magique ou plus glauque que ce que je pouvais imaginer étant enfant... Une histoire avec quelqu'un est un peu à mes yeux comme un intrigant pays qu'on doit traverser avec beaucoup d'inconnu et d'aléas rencontrables. Ce n'est pas qu'une histoire de sentiment léger qui unit...

L'angoisse de mort est liée à l'instinct de survie. On a tous un rôle existentiel, un destin à accomplir, auxquels on tient par nature (potentiellement associés à une conscience plus ou moins mesurée du danger). Dans un sens il est préférable pour un individu d'avoir un instinct de survie (possiblement collectif) relativement alerte et assez judicieusement protecteur, car lorsqu'il laisse place à la résignation de mort, c'est en principe qu'il n'a plus assez d'espoir vital auquel se raccrocher. (Ceci dit le cas échéant ce n'est pas systématiquement insoluble ou tout à fait insoluble.)

Arrêter ou empêcher les causes de la souffrance du monde a davantage d'intérêt qu'arrêter la souffrance du monde. La souffrance peut représenter du point de vue de la sensibilité un signal utile à l'amélioration. Sans souffrance relative aux nuisances, moins de lucidité, de conscience des problèmes à résoudre. La gérer peut être utile mais sans diabolisation excessive. Car il faut l'écouter suffisamment... Pour empêcher les causes de souffrance, les nuisances, il est par exemple nécessaire de responsabiliser suffisamment chaque individu capable de nuire ou de protéger, et de sécuriser les lieux de vie dans la mesure du possible. Il s'agit donc d'une responsabilité collective à grande échelle incluant différentes formes de vie par le biais du libre arbitre dans de multiples domaines d'actions influentes, à optimiser en fonction du ressenti et des rôles respectifs, avec le sens du moindre risque pour la santé des uns et des autres. La quête du bien-être des êtres sensibles passe forcément par tendre à une harmonisation collective, par le bien-vivre ensemble, car considérer la souffrance, qui peut être aussi empathique, passe par prendre en considération tous les individus capables de souffrance, leurs besoins et leurs droits, la recherche de leur bien-être. D'autant plus que la vie dépend de très différentes espèces, le bien-être en dépend donc aussi. Et s'il n'est pas possible d'atteindre l'idéal du bien-être collectif absolu, il reste en tout cas possible de chercher à s'en approcher au mieux jour après jour.

En tout cas personnellement il y a beaucoup d'hommes dont je peux apprécier la compagnie pour différentes raisons, avec lesquels je peux ou j'ai pu entretenir un lien durable, mais sans éprouver pour autant d'attirance sexuelle à leur égard, que ce soit réciproque ou non. Et à mes yeux une retenue sexuelle, non pas excessive mais suffisante, peut représenter une qualité importante en société. Ne pas s'autosuggestionner outre mesure, canaliser sa sexualité correctement en fonction du contexte me semblent favoriser une sexualité sereine et épanouie, et permettre plus facilement les échanges sincères dénués d'ambiguïté susceptible de devenir problématique, entre autres quand on est déjà dans une relation de couple à laquelle on tient, ou bien dans le cadre du travail par exemple...

Merci pour le compliment, j'apprécie aussi votre présence sur ce forum. Je n'ai pas abordé la normalité car elle n'était pas directement évoquée dans le sujet. La normalité peut servir couramment de critère de valeur de référence, bien que l'anormalité puisse éventuellement en dépasser la valeur, ou bien en ajouter une, et pas forcément y être inférieure ou impliquer une anomalie. En principe la normalité permet de vérifier différents critères de bon état ou de fonctionnement valide, voire de jauger une qualité, par rapport à diverses attentes sociales, ou bien représenter un état ou un fonctionnement classiques, voire connus (avec l'éventuelle minimisation des risques ou inadaptations liés à l'inconnu ou à l'inhabituel induite). Elle peut être partiellement associable au conformisme, voire donc aussi à ses dérives car en servant de modèle elle peut aussi parfois favoriser l'intolérance à outrance, l'incrédulité, la grégarité, ou le mimétisme excessifs, voire faire obstacle à certains types de progrès ou d'adaptation, ou encore encourager de mauvaises habitudes culturelles...

Pour ma part je distinguerais en résumé avant tout par rapport à la dictature l'obéissance imposée drastiquement par une autorité politique centralisée et pour la démocratie le sens du positionnement politique majoritairement exprimé. Les deux concepts principaux et particulièrement valorisés par ces systèmes pouvant être alors par exemple à mes yeux autorité et majorité. Le terme "devoir" se cantonne à mon sens au principe de règles imposées, or dans une dictature la source centrale d'autorité extrême compte fondamentalement, pas uniquement les devoirs spécifiques qu'elle implique, qui sont plus secondaires. Quant au terme "droit", d'après moi l'avis majoritaire ou populairement dominant n'est pas forcément tout à fait en adéquation avec la liberté, si on parle exclusivement de droit nécessaire, ou encore avec la justice ou bien le laxisme, si on inclut les interdits nécessaires ou les droits immodérés, cela peut éventuellement coïncider par le biais de l'esprit collectif mais pas à coup sûr.

Pour appréhender la complexité du monde et son esprit il faut d'après moi avant tout saisir les bases de son fonctionnement, ce qui l'anime fondamentalement. Et je dirais que la psychologie est l'un des domaines les plus essentiels pour comprendre le monde. Comprendre comment fonctionne le psychisme contribue fortement à mieux interpréter les comportements divers, même les plus absurdes, les plus intelligents ou les plus atypiques, voire à maîtriser la manière de penser le monde... Or la psychologie peut révéler entre autres des instincts communs qui nous animent malgré toutes nos différences, et qui sont fortement représentatifs du système du vivant (sachant cependant qu'il faut savoir différencier l'instinct de la manière d'y répondre, ainsi que différencier assez bien ce qui est de ce qui devrait être)... Donc à mes yeux le niveau requis représente un niveau de psychologie objectivement assez adapté, pas forcément d'un point de vue cursus social officiel mais d'un point de vue théorique et pratique, un niveau permettant de saisir suffisamment les motivations et les craintes diverses derrière les différents choix, et d'en orienter son propre raisonnement assez optimalement grâce à une profonde connaissance de soi contextualisée.

Je réserve le plus souvent les émojis insérés dans les messages à mes proches. Il est plus rare que j'en utilise en-dehors des liens de familiarité (mis à part les likes et équivalent). J'utilise pour eux couramment ce type d'émojis: ...

A mes yeux surveiller son alimentation et faire du sport représente dans une certaine mesure une tendance plutôt saine si elle s'inscrit dans une démarche de santé consciencieuse et pas dans l'exigence déraisonnable d'une apparence conforme. Les principes de "régime" et de performances corporelles n'ont pas à être diabolisés outre mesure même s'il existe une discrimination injuste à l'encontre de ceux qui n'entrent pas dans les critères physiques et esthétiques à la mode ou qui ne parviennent pas à les atteindre. Mais tous les moyens ne sont pas bons pour autant, à considérer aussi pour le long terme, et les risques encourus pour y parvenir, parfois invisibles, peuvent poser problème. Dans l'article ne sont pas précisés les dangers de l'ozempic, ou autres substances potentiellement dangereuses, or c'est davantage un problème à mon avis, plutôt que de savoir si c'est ou non de la "triche" comme certains peuvent qualifier le maquillage ou les retouches photos par rapport à l'illusion créée (pouvant rester souvent du domaine du libre choix quoi qu'il en soit)... Ceci dit si l'ozempic est prescrit par un médecin compétent et non pas obtenu illégalement par exemple, on peut prendre en considération à mon avis le respect de la vie privée et du secret médical et ne pas trop exiger de ceux à qui il a été prescrit de le faire savoir publiquement...

Je m'intéresse à l'extrasensorialité depuis relativement longtemps donc j'ai beaucoup exploré le sujet par rapport à divers types de perceptions encore peu expliquées par la science (la télépathie par exemple mais pas uniquement). Pour ce qui concerne les pratiques classiques de divination je ne m'y suis intéressée que rarement, mais lors de mon adolescence par exemple je me suis amusée à faire quelques tirages de cartes de tarot aidée d'un guide explicatif. Les réponses se sont avérées étonnamment très justes en détail par la suite, avec des précisions importantes... (Ceci dit je n'ai pas pour autant une confiance illimitée envers ce type de pratique, loin de là.) Il me paraît intéressant aussi de considérer les autres sens reconnus plus récemment par la science, autres que les cinq sens les plus souvent pris en compte.

J'ai choisi des photos relativement soft, car on n'est pas en sexualité. Il y a d'autres styles plus osés, homme et femme, y compris avec filtre de recherche modéré. Le choix d'images est extrêmement varié. La différence réside surtout à mon avis dans le fait que les gens consultent bien davantage Internet que les magazines à présent, ce qui a plutôt tendance à faciliter l'accès aux divers contenus à l'heure actuelle.

C'est tendre à justifier la violence physique comme sanction dans les établissements scolaires. La lutte contre le harcèlement existe, elle est essentielle, mais heureusement elle ne consiste pas à autoriser les professeurs à donner de grands coups de pied ou coups de poing à leurs élèves s'ils le souhaitent. Si on va par là on peut se demander aussi si celui qui a été attaqué en premier dans la vidéo n'avait pas lui-même attaqué un autre auparavant, ce qui justifierait le comportement des autres élèves... C'est un principe de spirale de violence sans limite.

Pour ma part je considèrerais que le comportement du professeur est inacceptable dans ce contexte. Comme s'il profitait des débordements pour s'adonner au sport de combat en plein cours, au risque d'infliger de graves blessures à ses élèves. Les sanctions habituelles (convocations, colles, exclusions, etc...) me semblent bien plus appropriées d'un point de vue éducatif pour une telle situation, plutôt qu'inculquer que si on estime être du côté du juste on peut se permettre de frapper fort physiquement sans réserve... La légitime défense justifie parfois la violence, on n'est pas véritablement dans ce cas de figure dans cette vidéo...

Ce type de publicités en sous-vêtements existe encore à profusion, voire davantage qu'auparavant même si les supports utilisés ont évolué, et elles sont très facilement trouvables, bien qu'à l'heure actuelle en passant par Internet, ou avec les préférences publicitaires, on peut davantage consulter les publicités en fonction de ce que l'on cherche.

A mon avis, il faut quand-même relativiser suffisamment l'influence des parents sur les enfants. Ce que peuvent exprimer les enfants ne vient pas forcément des parents, il y a bien d'autres sources d'influence possible, dont leur propre personnalité, et leurs idées peuvent être parfois même en contradiction avec l'éducation parentale qu'ils ont reçue. Ceci dit les conseils cités sont mignons et amusants à mes yeux. Et les enfants ont parfois beaucoup d'esprit. Mais je ne suis pas tout à fait d'accord avec tous. Par exemple, il y a des chiens qui ne s'approchent pas des assiettes qui ne leur sont pas destinées, une réponse franche mais avec tact peut s'avérer meilleure que l'hypocrisie ou le silence, la manipulation psychologique est parfois contre-productive, etc... Mais quoi qu'il en soit leurs idées sont intéressantes et parfois fines ou drôles.

En petite quantité, l'une des marques célèbres dit utiliser pour les feuilles 100% de fibres végétales dont 5% de fibres de lin. Une autre 100% de papier...

La composition diffère selon les marques. Il y en a une par exemple dont la formule est sans parfum et à 99% d'eau, d'autres incluent davantage de soins hydratants, de parfums ou autres, il y a différents choix... Les feuilles sont en papier ou en fibres biodégradables, fibres de lin par exemple...

C'est plus hygiénique que le papier classique...

Non, au rayon papier-toilette. Les lingettes pour bébé ne doivent pas être jetées dans les toilettes, mais le papier-toilette humide, lui, le peut.

Il y a aussi dans le même style le papier-toilette humide dans beaucoup de supermarchés.