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Tout ce qui a été posté par sirielle
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Faut-il autoriser les jupes pour les hommes au travail ? 👔👗
sirielle a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Société
Pour moi, ça dépend du contexte professionnel, beaucoup de professions impliquent une tenue de travail réglementaire justifiée par rapport à l'activité en question. Cependant si ça ne pose pas de problème trop important dans le cadre de l'activité alors d'accord, comme également pour le maquillage par exemple même si ce n'est pas tout à fait pareil... D'autant qu'oser dans des contextes professionnels où c'est plus facile favorise la normalisation pour des contextes plus compliqués par rapport à l'excentricité au départ. Ceci dit les morphologies des hommes et des femmes étant différentes, il me paraît logique que les attentes vestimentaires ne soient pas forcément toujours les mêmes, donc trop de mimétisme peut parfois paraître décalé, un peu inconforme au type de physique selon la coupe, mais une jupe (ou une robe) pour homme peut quoi qu'il en soit convenir possiblement à mes yeux d'un point de vue pratique dans bien des situations. -
"Les pensées ne sont pas les nôtres"
sirielle a répondu à un(e) sujet de crockettpolice dans Quotidien
En fonction du contexte au sein duquel elle est prononcée cette phrase peut varier plus ou moins dans sa signification. Une interprétation possible: On peut par exemple considérer que nos pensées sont influencées par d'autres individus, voire qu'il peut arriver d'adopter des shémas de pensée qui viennent de quelqu'un d'autre, entre autres par le biais de l'éducation ou de la culture... Or il peut arriver d'adopter des pensées sans les soumettre tout à fait à notre esprit critique, dans ce cas la pensée n'est pas forcément en adéquation avec notre propre personnalité mais peut coïncider avec une attente sociale, voire un formatage ou une déteinte. On peut adapter nos opinions et nos jugements en fonction de ce que l'on peut attendre de soi ou de ce que l'on veut nous transmettre, et pas exclusivement en fonction de nos propres sentiments d'autant plus si on ne s'est pas tellement penché sur le sujet concerné, si on ne l'a pas vérifié, réfléchi par soi-même, voire aussi s'il existe une pression importante de pensée unique. Par exemple si quelqu'un nous dit "Tu es susceptible." sans qu'on ne l'ait conclu aussi par soi-même, il est possible de le prendre pour argent comptant sans forcément le remettre en question pour différentes raisons, dans ce cas cette pensée que l'on a adoptée ne nous appartient pas totalement, elle provient d'un jugement extérieur et non pas d'une construction personnelle. Ou on peut dire "Je pense qu'il faut manger un petit-déjeuner le matin." alors que c'est ce qu'on nous a appris, ça ne vient pas forcément d'une réflexion personnelle plus poussée, parfois oui mais pas forcément. Autre interprétation: Les pensées peuvent se partager, voire se ressembler. Si je me demande par exemple pourquoi cette personne pense comme moi, a la même opinion, je peux en être contente, mais je peux aussi le déplorer, me dire que ça m'enlève le privilège de cette réflexion, ou que cette personne a trop imité ce que j'ai pu dire alors qu'il ne s'agissait pas de sa réflexion... Ce qui peut conduire éventuellement à une forme de sentiment de dévalorisation ou d'injustice (dans le cadre d'une rivalité professionnelle par exemple) plus ou moins lié au principe de propriété intellectuelle (qui a cependant ses limites). Les gens peuvent s'inspirer de ce que l'on pense et que l'on exprime, une pensée que l'on exprime ne nous appartient pas forcément exclusivement. Si on veut garder seulement pour soi ses jugements, ses opinions, on évite de les exprimer, mais même dans ce cas d'autres peuvent parfois penser la même chose que soi par d'autres sources d'inspiration que soi. Autre interprétation: Les pensées ne dépendent pas que de notre propre volonté. On peut penser en réaction même si on ne le veut pas, même si on préfèrerait ne pas y penser. Elles peuvent parfois dépendre davantage de ce à quoi on est confronté extérieurement ou de certains déterminismes que de ce à quoi on veut penser. ... -
Je ne comprends rien au sujet de la conscience
sirielle a répondu à un(e) sujet de cerulean dans Philosophie
La conscience peut se résumer par la distinction mentale (volontaire ou involontaire) d'une réalité (y compris éventuellement de ce que l'on est soi). Et cette réalité distinguée peut-être plus ou moins prise en considération, par la suite. Par exemple on peut écouter une anecdote sans avoir conscience qu'il s'agit d'un mensonge. Si la réalité est qu'il s'agit d'un mensonge, on peut être confronté à cette réalité sans la distinguer mentalement, des signaux peuvent être présents sans être identifiés distinctement comme tels, sans être reconnus comme significatifs. Ou bien on peut avoir conscience de cette réalité, la distinguer mentalement plus ou moins, par l'intuition, l'impression, le sentiment, la pensée ou une réflexion plus approfondie. Ensuite on peut tenir compte on non de cette prise de conscience, se comporter en conséquence, agir en conscience, voire cultiver sa conscience, chercher à l'alimenter ou la compléter davantage sur tel ou tel sujet. Cela dit il faut pouvoir différencier la conscience de l'illusion. Une interprétation erronée de la réalité peut paraître conforme à la réalité d'après certaines apparences sans l'être véritablement. -
La reproduction est elle une fin ou un moyen ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Philosophie
La reproduction des êtres vivants peut être les deux, une finalité parmi d'autres et un moyen parmi d'autres au sein du système biologique. Une finalité des appareils et systèmes reproducteurs et des instincts qui les motivent (la sexualité ne sert cependant pas qu'à la reproduction, elle joue aussi entre autres un rôle relationnel essentiel), et un moyen de transmission générationnelle inscrit dans l'organisation de l'écosystème et son adaptation progressive. Mais les appareils ou systèmes reproducteurs ne sont pas voués à multiplier les individus sans limites, ni forcément au maximum, ni à sacrifier outrancièrement une génération à sa descendance, ils sont voués par nature à engendrer potentiellement de nouveaux individus dans un contexte de transmission générationnelle bienvenue, c'est à dire favorable à l'équilibre du Vivant. L'écosystème n'a pas pour intérêt de favoriser forcément la reproduction maximale, il comporte d'ailleurs divers moyens (évolutifs) de la réguler et de l'optimiser, dont une capacité plus ou moins limitée, selon les individus et les espèces, et des conditions de reproduction. Toutefois, il existe donc bien d'autres besoins (limités) et capacités potentiellement utiles à l'harmonie du Vivant que la seule reproduction des individus et espèces. -
La Nature est-elle faite pour réussir ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans Philosophie
La Nature est faite pour réussir le (ou servir la réussite du) bien-être écosystémique, pour favoriser son harmonie. Dans cette perspective, elle impose des lois (principes de libertés et de limites), lois de la physique et du vivant en partie évolutives contextuellement et en partie divergentes selon les individus. Mais tout comportement du vivant n'est pas forcément tout à fait naturel. Car le vivant peut plus ou moins se détacher du naturel, ce qui peut permettre son libre-arbitre, son adaptivité et son évolutivité, voire sa transcendance, malgré l'éventualité d'un contexte nécessairement sacrificiel. Par exemple, pour ce qui concerne la Santé, qui peut être considérée comme un principe naturel, il faut parfois pouvoir s'en détacher partiellement pour la servir (effets secondaires d'un traitement dans un contexte particulier par exemple). Cette capacité à s'extraire du naturel peut cependant engendrer aussi des dérives illégitimes, excessivement contre-nature (et non pas modérément tel que parfois légitime et approprié donc). -
Je ne prétends pas que tu n'as pas qualifié ta logique de vérité formelle. Mais pour ma part je ne l'aurais pas qualifiée ainsi, présentée comme telle, mais plutôt de logique formelle, car à mes yeux elle paraît trop déficiente, dans sa forme, pour pouvoir être qualifiée sans réserve de vérité. Une logique peut s'avérer vraie ou fausse même dans le cadre de la fiction, de l'imaginaire ou de l'hypothèse. La forme du raisonnement logique doit être assez bien présentée pour être considérée rigoureusement fiable à mon avis. De même qu'on n'énonce pas tout à fait une hypothèse, une rêverie ou un espoir de la même manière qu'une connaissance par exemple, même si chacun de ses registres peut s'avérer justifié, vrai d'une certaine manière. Mal énoncés, d'une manière trop simpliste par exemple, ces différents registres peuvent induire en erreur. A mon sens, il ne suffit pas d'affirmer n'importe quoi puis d'y greffer une cohérence logique pour parler de vérité formelle. Il faut que les prémisses, même si elles sont imaginaires ou hypothétiques, soient suffisamment structurées et scrupuleusement formulées, ne serait-ce que dans leur forme. Ceci dit, en philosophie les concepts sont couramment discutables, voire sujets à controverses.
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On peut effectivement parler de vérité formelle lorsqu'un raisonnement est cohérent dans sa structure même s'il repose sur des prémisses imaginaires, cependant il est plus prudent dans ce cas de suffisamment présenter ces faits comme imaginaires (ou hypothétiques), ne serait-ce qu'implicitement, par exemple dans le cadre clair d'une fiction ou d'une théorie exposées, pour éviter l'assimilation du raisonnement à un paralogisme... Par exemple, si je commente un film et que je dis: "Les maisons sont toutes sous la mer, la femme est dans une maison, la femme est sous la mer." les autres spectateurs peuvent comprendre que je parle du film. Si je fais ce commentaire hors contexte, sans préciser que je parle d'une fiction, ma logique risque de sembler erronée.
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Si l'énoncé est hypothétique on peut dire par exemple pour énoncer une vérité "Si Toto est un dragon et que tous les dragons sont rouges alors Toto est rouge." En philosophie si on se base sur des affirmations imaginaires il peut paraître plus prudent de le préciser suffisamment pour parler de vérité.
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En philosophie, le terme vérité peut prêter à confusion notamment si l'affirmation imaginaire n'est pas présentée suffisamment comme hypothétique.
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Lorsque le raisonnement logique repose sur une ou plusieurs affirmations fausses il me semble sémantiquement plus juste de parler de validité formelle plutôt que de vérité formelle.
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Toute affirmation n'est pas forcément vérité même si elle ne contredit pas la ou les autres affirmations qui l'entourent, et forme un raisonnement relativement logique avec cette ou ces dernières. Pour parler de vérité la rigueur de l'affirmation par rapport au réel compte avant tout, quitte à éventuellement par exemple nuancer l'affirmation par la part de doute ou autre précision qu'elle nécessite pour être vraie. Ou bien il peut aussi être davantage question de biais de raisonnement faussé par une logique carencée que de vérité.
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Il existe des moyens de se nourrir en harmonie avec la nature et l'environnement si on le souhaite, ou d'y tendre. Et pour ma part ça a été mon aspiration depuis longtemps. Toute alimentation n'est pas prédation ou toute alimentation n'est pas aussi mortifère que d'autres, il y a des choix plus inoffensifs pour le vivant que d'autres. Question de libre-arbitre et de responsabilité. L'évolution s'attache à développer l'écologie pour le bien-être, à valoriser les droits des êtres vivants et leur respect. Chacun sa pierre à l'édifice de la vie ou de la mort jour après jour.
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Il existe des personnes volontairement néfastes, par rivalité, ou par vengeance, directes ou par transfert sur une personne étrangère à la véritable cause de leur contrariété. Et pour certaines personnes chercher à dominer par l'attaque (parfois déguisée) devient un exutoire récurrent pour valoriser leur égo... Or leur agressivité latente peut alors parfois s'avérer palpable, voire inquiétante. Il est normal, voire légitime, de se défendre dans le relationnel si le contexte le justifie, mais les limites morales ne sont pas toujours les mêmes selon chacun, on s'en impose plus ou moins respectivement... Et effectivement certains peuvent aussi par exemple simplement éprouver un sentiment de persécution (plus ou moins fondé), qui les pousse à adopter une attitude défensive, parfois excessive, sans qu'ils n'aient forcément conscience de ne pas s'en prendre à la véritable cause de leur souffrance ou de leur anxiété. Voire ils peuvent être sur la défensive par précaution. Là aussi la tension de la personne, sa nervosité, peut être dans certains cas ressentie. Ou encore des ondes peuvent également être malsaines sans agressivité ni malveillance mais par égarement, lubie... Une mauvaise ambiance, malaisante, générée par des attitudes mal placées, outrancières voire envahissantes... Or quand on est plongé dans une certaine ambiance, il faut bien s'y adapter d'une manière ou d'une autre, on ne peut pas s'en détacher totalement, à moins de s'en éloigner suffisamment, y compris par la pensée.
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En politique, par rapport à la contagion émotionnelle on peut par exemple se référer à l'emploi du "pathos" pour sensibiliser les foules, à tort ou à raison, par le biais des émotions provoquées volontairement par un discours orienté...
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On parle de l'ensemble, de l'ingratitude dans un sens large, comportementale, mentale et physique. D'un comportement ingrat et/ou d'une mentalité ingrate, et/ou d'un physique ingrat. Et on peut choisir d'aborder plutôt l'ingratitude comportementale, ou bien mentale, ou bien physique, seulement un point en particulier. Il n'est pas obligatoire de traiter de tous les aspects du concept dans chaque message...
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Je suis reconnaissante envers certaines personnes pour leur bonne influence sur moi, parfois je les reconnais un peu en moi, à travers ce qu'elles m'ont transmis, dans la manière d'être, sans que cela n'ait systématiquement été voulu, ni par elles, ni par moi. Et je m'efforce aussi consciemment de m'inspirer parfois de personnes que j'admire ou qui m'intéressent, non pas dans le but d'être tout à fait comme elles, mais d'apprendre un peu d'elles, notamment dans leur manière de gérer leurs émotions. On peut s'inspirer entre autres d'artistes d'ailleurs au quotidien, ça ne remplace pas notre propre personnalité ni notre propre réflexion, mais ça les enrichit. Et la musique par exemple peut parfois embellir les idées... Il ne s'agit pas alors d'être forcément joyeux à mon avis mais de rester droit pour bien canaliser ses émotions. Et j'essaie, moi aussi, d'être plutôt d'assez bonne influence au quotidien... Mais il arrive que des personnes dégagent de mauvaises ondes, quelquefois gratuitement, pas dans le sens simplement négatives, malheureuses comme on peut l'être parfois à raison, mais malsaines, toxiques. Si ça peut n'être que passager, et plus ou moins facilement surmontable, avec ou sans aide, dans certains cas il vaut mieux simplement les éviter, ou s'en protéger. Elles sont certainement plus agréables à d'autres moments, ou avec d'autres...
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Je ne suis pas une personne très ouverte ni tolérante psychiquement. Je ressens relativement fréquemment le besoin de me recentrer sur moi-même comparé à la norme. Je ne suis pas extrêmement influençable intellectuellement, mais je suis sensible aux ambiances et je n'apprécie la compagnie que parcimonieusement. Même en couple je suis quelqu'un de relativement distante, qui n'aime pas beaucoup qu'on lui parle longtemps sauf de temps en temps...
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Avez-vous déjà craint la contagion émotionnelle, une influence psychologique néfaste pour vous-même? Vous a-t-elle déjà causé du tort, cherchez-vous à vous en protéger parfois? Comment le cas échéant? Evitez-vous parfois d'écouter des individus de peur de finir par leur ressembler psychologiquement? Ou au contraire cherchez-vous souvent à côtoyer des personnes que vous admirez psychologiquement pour davantage leur ressembler? Pensez-vous que cette contagion est trop souvent crainte?
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Pour moi il n'y a pas grand intérêt à mesurer au cas par cas le degré d'indignation de chaque spectateur à moins d'un abus net de la part de l'un d'eux, et je comprends qu'on puisse juger la programmation inappropriée dans ce contexte. Il n'est question d'aucune sanction autre pour autant dans l'article pour l'instant. Et je ne vais pas aller doser chaque réaction personnelle pour savoir si elle n'est pas trop outrée. J'ai vu que la polémique a été l'occasion pour certains de stigmatiser la religiosité, mais pour ce qui me concerne mon avis est indépendant de principes religieux bien que j'ai un certain respect pour la religiosité dans un cadre légal, simple question de convenance sociale.
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Oui, je l'ai visionné par le biais de l'article. Je le résumerais ainsi: "Scènes de rapport sexuel de couples de personnages aux physiques moyens type Bidochon, associées à des scènes de course cycliste et de bord de mer." La sexualité comme leitmotiv au sport et à la réussite masculine... Amusant voire original mais sans grand intérêt à mes yeux, et pas vraiment tout public.
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Qu’est-ce que l’alimentation «holistique», bonne pour la planète, la santé et le portefeuille?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Société
Dans une société où les repas en commun ou de restauration collective sont fréquents, adopter au quotidien une alimentation très personnalisée reste encore relativement peu répandu, et n'est pas forcément très facile à concilier avec une vie familiale ou professionnelle classique, entre autres contraintes sociales, même si cette alimentation s'inspire aussi de critères alimentaires courants.