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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. Oui lors d'une compétition (et certaines sont officieuses) on est censé viser au mieux l'exploit et accepter le principe de classement dont la première place est la plus honorable, la plus glorieuse, la plus méritante. Ceci dit n'être pas à la première place mais pas non plus à la dernière c'est aussi faire mieux que certains (comme tu l'as évoqué plus loin). Et puis selon une philosophie commune le simple fait de participer dans certains types de compétitions malgré un niveau non-excellent peut représenter une forme de courage ou d'esprit de compétition où toutes les performances, même moins bonnes, sont bienvenues. Voire viser la perfection ex aequo (par rapport aux critères requis) est dans certains contextes la meilleure option. D'autre part l'empathie fait que si on se réjouit de sa propre victoire on peut éventuellement dans un même temps déplorer l'échec d'autrui si du moins cet échec apporte une certaine peine, des inconvénients. Toutefois il y a compétition et compétition, si certaines sont légitimement fondées d'autres le sont moins ou sont même néfastes. Dans ce dernier cas y participer volontairement, même avec succès est plutôt blâmable, et d'autant plus si on s'y est consacré avec zèle. Et puis on peut considérer que si les performances actuelles sont médiocres (y compris du point de vue de la condition humaine), si elles comportent des faiblesses avérées, elles sont vouées à être dépassées qu'on le puisse ou pas, on est censé alors persévérer à les dépasser, parfois chacun à son échelle. Mais couramment la rivalisation outrancière, la quête débordante de domination sur autrui, est signe de jalousie, c'est ne pas accorder à l'autre sa place d'égal face à la raison d'être respective, avec ses propres avantages inhérents. On dit que "Le malheur des uns fait le bonheur des autres." Ce proverbe comporte une part de bon sens, car le bonheur collectif optimal nécessite parfois de passer par certains sacrifices, mais si on abuse de ce principe on néglige la valeur de la solidarité, qui est une valeur essentielle philosophiquement. La solidarité étant une règle morale, et le sacrifice de cette solidarité, l'exception censée la confirmer, comme la guerre est parfois nécessaire à la paix, la guerre n'y étant pas le but en finalité. Quant à se privilégier soi quand il ne peut y avoir qu'un vainqueur, ce n'est pas toujours évident, dans certains cas on peut considérer qu'autrui mérite davantage la victoire, et préférer la lui céder même si on était capable de la remporter.
  2. Les objectifs de réussite peuvent en partie varier selon les personnes, mais certaines ambitions sont profondément ancrées en chacun de nous par nature pour ce qui concerne répondre aux besoins plus ou moins indispensables au bien-être en tant qu'individu, ambitions telles que tendre à une condition physique optimale, à ce que ses relations soient assez harmonieuses voire constructives, à avoir une vie sentimentale assez épanouissante, à acquérir assez de biens au fil du temps pour pouvoir vivre décemment, à avoir une activité quotidienne assez utile et intéressante, etc... Et d'autres objectifs de réussite qui ne concernent pas tout le monde, peuvent quand-même éventuellement concerner plusieurs individus pouvant se trouver parfois en position de compétition voire de rivalité. Rivalité pour un emploi ou dans le cadre des responsabilités professionnelles, dans une relation sentimentale, dans le sport, dans un débat politique, etc...
  3. Se dire qu'il faut faire mieux que les autres dans la vie c'est en quelque sorte avoir l'esprit de compétition, que ce soit dans un domaine ou dans un autre, c'est par exemple considérer que la vie amène à comparer les différentes réussites des uns et des autres, et chercher à se placer le plus haut possible du point de vue du niveau de réussite par rapport aux autres. Donc la question pourrait être aussi par exemple: "Faut-il avoir l'esprit de compétition au quotidien?"
  4. Pas forcément "toujours", il peut aussi être question d'une juste mesure, sans excès ni manquement. La comparaison permet entre autres d'apprendre. Comparer des expériences différentes visant un même objectif entre elles (car nous avons plus ou moins des objectifs de réussite communs), et les résultats qu'elles donnent respectivement, permet de savoir si telle méthode est plus appropriée que telle autre pour un même objectif, ou si chacune des méthodes ne peut pas s'enrichir en partie de l'autre, voire se corriger. Et puis surpasser ce qui se fait déjà, par exemple parce qu'on y a décelé une faiblesse ou un progrès envisageable, c'est aussi éventuellement atteindre un objectif qui pourra être bénéfique également pour d'autres. Ou encore se comparer dans le but de savoir en quoi nos atouts respectifs pourraient collaborer, se compléter, chacun avec ses savoirs-faire que l'autre n'a pas, dans tel ou tel domaine...
  5. Faut-il faire mieux que les autres dans la vie? Et si on y parvient, doit-on s'en réjouir?
  6. Faible qualité artistique certaines publicités Temu...
  7. Personnellement, je ne m'endette pas pour Noël. Je puise sur mon compte courant sur lequel je ne suis pas à découvert, et je paie la somme entière dès l'achat. En revanche il m'arrive parfois d'acheter en fonction des promotions, je fais attention à mon budget, j'essaie de faire de préférence des cadeaux durablement utiles (équipement numérique par exemple si ça paraît approprié pour la personne, etc...), et je n'offre pas de cadeaux à n'importe qui.
  8. J'adorerais hiberner, j'aime beaucoup le cocooning, mais mes responsabilités diverses l'empêchent. En même temps ça a aussi de bons côtés et je suis heureuse de les avoir. Pour Noël, j'ai placé les décorations le premier décembre (c'est mon habitude de commencer à le faire début décembre puis de les enlever quelques jours après le début du mois de janvier). J'ai profité du Black friday pour préparer plusieurs cadeaux, bien que j'ai l'intention d'en acheter encore quelques-uns par la suite... Pour les repas de fête, pour ma part étant végane et très attachée à la diététique je ne change pas beaucoup mes habitudes à l'occasion des fêtes, et je ne fais aucun écart car je ne suis pas tellement gourmande. Je cuisine en cette période mais je le fais toute l'année, y compris pour d'autres, donc j'en ai l'habitude.
  9. Je n'ai jamais fait ce constat personnellement, mais j'évite au maximum les toilettes publiques, surtout lorsqu'elles sont sales. Une explication possible pourrait être que certaines personnes répugnent à toucher des surfaces peu hygiéniques. Si elles évitent de s'asseoir sur la cuvette, de tirer la chasse ou de ramasser ce qui est tombé par exemple, pour ne pas risquer de se salir elles-mêmes, l'usage en est moins pratique. Mais ce n'est qu'une hypothèse, il faut tenir compte aussi d'autres facteurs comme l'importance de la fréquentation, le type de public ou la qualité de l'entretien...
  10. Ces notions sont antinomiques comme le bien et le mal. Mais elles dépendent toutes deux de la règle de l'esthétique (ou des lois de), ce qui est dans la règle, et ce qui la transgresse. Les contradictions inhérentes au cadre subjectif, ne sont pas irréconciliables entre elles, elles reposent plutôt sur des critères de jugement différents. Les contradictions inhérentes aux erreurs de jugement par rapport à la réalité ne sont pas représentatives de la vérité de ce qu'est la beauté ou la laideur, donc elles ne remettent pas légitimement en question cette vérité. Un jugement juste à propos de la beauté ou de la laideur est argumentable dans l'absolu, il peut se justifier de même qu'une sensation physiologique peut s'expliquer et avoir une signification utile à l'intellect, surtout s'il est assez consciencieusement analysé. Par exemple, on a tendance dans l'ensemble à apprécier ce qui nous paraît bon pour nous, et à contrer ou fuir ce qui nous paraît mauvais. Ainsi ce qui paraît à l'observation, blessé, sale, contagieux, dangereux, maladroit, négligé, intrusif, abîmé, etc... favorisera une impression négative à cette observation (pouvant se traduire éventuellement par de la compassion entre autres). (Mais ce qui est dangereux pour l'un par exemple, ne l'est pas forcément pour l'autre ou moins directement, et des sentiments plus positifs peuvent également s'y associer.) Il n'en reste pas moins que l'émotivité peut être mal interprétée, ou reposer sur des clichés trompeurs (mauvaises associations d'idées), et particulièrement par exemple en cas d'illusion. D'autre part, de même qu'un individu (ou autres) peut être jugé beau et laid en fonction de différents critères d'harmonie ou de disharmonie apparentes, un comportement, une idée, peuvent comporter différents aspects et donc mêler différents jugements relatifs à l'admirabilité ou l'inverse. Et puis, avec les principes d'intensité, la laideur peut être moins laide que telle autre laideur, la beauté plus belle que telle autre beauté, ou moins belle etc., ce qui n'implique pas forcément que ce qui est par exemple moins beau est laid. Mais la beauté domine la laideur comme le bien domine le mal car elle peut exister indépendamment de la laideur contrairement à l'inverse (une règle (ici naturelle, une loi de la nature) peut exister indépendamment de la transgression à cette règle mais l'inverse n'est pas vrai).
  11. Bien sûr, les droits légitimes y sont censés être défendus et valorisés, les abus condamnés, la justice est une préoccupation qui y est importante, même si elle n'est évidemment pas toujours acquise, bien des gens travaillent à ce que les individus soient traités justement, à ce que les comportements respectifs restent corrects moralement.
  12. La solidarité commune, la moralité recherchée, la mémoire par l'histoire et les témoignages du passé, par exemple...
  13. En un même individu ou objet ou idée peuvent couramment se mêler beauté et laideur, le jugement peut donc varier en fonction de ce sur quoi on ce focalise pour juger, sur le détail en particulier, le point précis que l'on observe, volontairement ou non. D'autant plus qu'un individu, un objet ou une idée peuvent aussi refléter une beauté et/ou une laideur exogènes, ou représentatives, ou aussi d'ordre relationnelles (compatibilité ou incompatibilité relationnelles), par association d'idées par exemple. La beauté est l'effet de l'esthétique, qui inspire plus ou moins un sentiment d'admiration (y compris du point de vue de l'esthétique de l'esprit), et la laideur est l'effet de l'inesthétique, qui inspire plus ou moins un sentiment de rebut (y compris du point de vue de l'inesthétique de l'esprit). L'esthétisme est en quelque sorte l'analyse de ce qui produit le beau, le sens du beau, voire son travail, et le beau est le résultat, idem par rapport à l'inesthétisme. En revanche, comme pour les notions de bien et de mal, qui sont des notions englobantes, on est par nature enclins à préserver/développer le beau, et enclins à contrer le laid ou à s'en détourner. En conséquence on peut considérer que la beauté est l'état naturel (l'harmonie du vivant) et la laideur une problématique d'ordre esthétique au sein de l'état naturel. La beauté n'est donc pas que l'exception dans l'absolu (elle peut d'ailleurs être banale parfois), c'est la règle et les exceptions qui la confirment, et la laideur est l'erreur ou l'anomalie par rapport à la règle esthétique. Ceci dit tout jugement n'est pas juste et/ou vrai, et/ou assez nuancé, donc qu'un jugement soit exprimé à propos de la beauté ou de la laideur d'une chose ne signifie pas forcément que l'on doit s'y fier tout à fait.
  14. Mes amis d'enfance ne me manquent pas pour ma part. Je les ai appréciés mais je n'ai pas créé de lien d'attachement durable avec eux. Il m'arrive de repenser de temps en temps à eux, par rapport à diverses anecdotes enrichissantes, voire aussi à des regrets. J'espère qu'ils vont bien et j'ai eu des nouvelles de certains d'entre eux parfois. Mais à mes yeux on n'est plus liés, et je n'ai aucune raison actuellement de vouloir reprendre contact.
  15. Si je devais choisir un seul moment du temps où continuer à vivre et pas plusieurs, je choisirais de rester dans le présent, pour rester auprès de mes proches dans l'ordre du temps. Et s'il fallait choisir un seul lieu où aller, de même je choisirais de rester chez moi, près des "miens".
  16. De ce que je perçois pour ma part, le stade de la drague du départ conduit parfois sans tellement de surprise à des déconvenues plus ou moins importantes. Les critères plus particulièrement recherchés chez les hommes ne sont pas tout à fait les mêmes que chez les femmes. Certains hommes peuvent être en difficulté par rapport à ces critères de virilité, d'aspect physique, ou de réussite sociale plus ou moins attendue aussi... Mais l'essentiel en amour pour un homme n'est pas forcément d'avoir beaucoup de succès auprès des femmes, plutôt d'éventuellement trouver quelqu'un avec assez d'affinités. (Et être couramment sollicitée, envisagée, pour une femme peut aussi comporter d'importants inconvénients, ce n'est pas qu'un avantage, loin de là.) Or avec l'avancée de l'indépendance respective, les attentes ont évolué (voire sont parfois confuses) et la qualité relationnelle de couple est davantage exigée qu'auparavant, le célibat moins fui. Culturellement, les hommes sont quand-même parfois davantage poussés à prendre les devants pour faire des rencontres, et en même temps ils peuvent en être culpabilisés, la juste mesure n'est pas toujours facile à trouver, d'autant que les limites ne sont pas tout à fait les mêmes selon les femmes. Et puis l'image masculine actuelle peut s'avérer à notre époque un peu lourde à porter du fait qu'elle est fréquemment et nécessairement remise en question, critiquée (dans certains cas de manière contradictoire voire caricaturale), même si tous ne sont pas forcément visés personnellement. L'expression des problématiques masculines est parfois mal reçue dans le contexte actuel. La lutte contre les violences sexistes et conjugales, dont sont plus particulièrement victimes les femmes, reste prioritaire. Cela peut reléguer au second plan socialement certaines difficultés relationnelles masculines perçues comme moins urgentes, mais pas forcément pour autant sans conséquence. Et le féminisme, quelque peu sacralisé socialement de par sa nécessité vitale, est dans certains cas instrumentalisé à mauvais escient, les clichés du "masculin toxique" utilisés aussi hors contexte légitime, et pouvant impacter également des hommes au comportement correct, dont des hommes ou jeunes hommes particulièrement vulnérables, quelquefois en manque de reconnaissance. Il peut donc paraître utile que les hommes puissent aussi suffisamment exprimer leurs difficultés relationnelles spécifiques pour favoriser une compréhension mutuelle assez équilibrée, grâce à des associations dédiées par exemple, bien que ça n'en justifie pas les éventuelles dérives.
  17. Une vidéo qui peut être intéressante au sujet de la "souffrance masculine" (si elle n'a pas été déjà postée, je n'ai pas tout lu du sujet):
  18. Ma philosophie de vie pourrait se résumer à la quête interespèce du bien-vivre ensemble: empathie envers toute forme de vie, justice pour tous dans un sens large, respect et la valorisation des droits respectifs. Si la philosophie doit servir la sagesse, à mon sens la sagesse renvoie avant tout à rester juste dans ses choix pour servir la liberté et la paix, quitte à envisager une autorité morale rigoureuse. Et pour favoriser la lucidité dans ce domaine, il faut optimiser la santé. La santé collective, mentale et physique, favorise un bon discernement et accroît les capacités positives.
  19. Pour ma part, je mange principalement des fruits frais et des "légumes-fruits" frais, secondairement des fruits à coque et légumes secs, entre autres, pour accroître notamment l'apport en protéines... Je ne consomme aucun autre sucre que celui naturellement présent dans les fruits. Je suis sportive quotidiennement et j'ai un IMC de 18,5 stable. Je prends quelques compléments végans type B12, D3, K2, fer, etc... J'ai tendance à m'informer régulièrement pour moduler au mieux mon alimentation en fonction de mes propres besoins et critères de choix (environnement, budget, apports spécifiques, etc...). Et je suppose que l'accès de plus en plus facilité aux informations diététiques favorisera d'importantes avancées collectives en matière de nutrition. Après tout "on est ce que l'on mange" dit-on...
  20. sirielle

    Petit Papa Noyel ...

    J'ai toujours aimé Noël. Lorsque j'étais enfant, c'était "mon jour préféré". La beauté particulière des paysages enneigés, mon village, toujours joli à regarder, en était d'autant plus spécial. A cette époque on y faisait de la luge et des bonhommes de neige par exemple. Il y avait une ambiance un peu mystique inspirée par les chants de Noël. Mon père étant musicien entre autres, on écoutait beaucoup de musique. Les décorations colorées et brillantes, les guirlandes lumineuses, et puis les cadeaux... Je n'ai jamais été déçue par l'histoire du Père Noël car pour moi elle représentait une légende inspirée de faits réels, une source de belles histoires à lire et écouter, et chaque offrant était en quelque sorte habité par le Père Noël, comme une fusion bienveillante entre réalité et imagination. A présent j'ai tendance à préférer les périodes plus chaudes mais j'aime encore Noël, au-delà des abus commerciaux et nutritionnels, et je le fête tous les ans. Je n'ai eu aucun Noël vraiment désagréable mais certains plus calmes que d'autres plus festifs.
  21. Je vois le bonheur à notre époque davantage comme un état plus ou moins intense et perceptible, et potentiellement composé de diverses émotions positives, que comme un état de total ou inexistant bien-être psychologique, dit autrement que comme un tout ou rien. Et je crois donc qu'en temps normal on l'est plus ou moins selon le contexte, plutôt que complètement ou pas du tout (d'autant que l'inconscient reste à prendre en considération dans l'équation). Donc je ne dirais pas que je suis tout à fait heureuse, d'autant moins que l'empathie contribue aussi à ressentir le malheur qui nous entoure, qui n'est pas qu'anodin, et qu'il faut être assez conscient des dangers qui nous menacent, mais qu'il y a bien des raisons d'éprouver régulièrement des sentiments positifs distincts en général, plus facilement quand du moins on n'est pas submergé par un malheur ou un traumatisme particulièrement lourds dans notre histoire personnelle. Pour ma part, je dirais que j'ai un état émotionnel très variable au quotidien, j'estime que j'ai plutôt de la chance du fait que je suis en plutôt bonne condition physique, ce que je m'efforce de cultiver avec application, et que j'ai une situation sociale et familiale qui me convient relativement bien dans l'ensemble, mais je passe du rire aux larmes, à la lutte psychologique, à l'amusement, à l'attendrissement, à l'inquiétude, à la peur, à l'admiration, au réconfort, à la compassion, à la fierté, à l'affliction, etc... au fil du temps, sentiments plus ou moins entremêlés les uns avec les autres, et j'estime que le bonheur total ne serait accessible que dans un monde idéal, monde idéal qu'on est censé tenter de bâtir ensemble, quitte à devoir régulièrement affronter les difficultés et les contrariétés avec persévérance pour dénouer au mieux les problèmes, même si le monde devrait déjà être plus agréable qu'il ne l'est... Et j'ai foi en la destinée naturelle.
  22. On peut plaire à tout le monde mais pas entièrement, c'est à dire qu'on ne peut pas répondre à tous les critères des individus, car certains par exemple sont fermés au relationnel entre autres, ou à certains types d'individus non pas parce que ces derniers sont tout à fait mauvais mais parce qu'un traumatisme relationnel, un préjugé négatif, par exemple, ont créé une forme de rupture, ou encore car certains peuvent avoir des attentes excessives ou difficiles à satisfaire... Mais on peut être objectivement agréable au monde, ne serait-ce que temporairement, ce qui favorise une impression positive naturelle générée. On peut aimer tout le monde, pour ce qui est de l'amour inconditionnel envers les individus et leur raison d'être, mais en revanche l'attitude est plus conditionnellement aimable, on aime ou pas aussi en fonction des conséquences et de la morale, ainsi que de l'intérêt relationnel. Le respect pour les individus est essentiel, mais il n'a pas à cautionner tout comportement, donc le respect est censé protéger les droits légitimes des individus, mais s'ils outrepassent leurs droits ou la décence, le respect dû à d'autres ou même à eux-mêmes étant atteint, il peut y avoir à raison lutte et sanction plus ou moins importantes, mais bien sûr dans l'idéal, correctement mesurées...
  23. On peut trouver une utilité, ne serait-ce qu'infime, à tout acte. Aucun acte n'est totalement dénué d'intérêt. Mais ça n'en fait pas forcément pour autant un acte approprié ni nécessaire. On dit par exemple "A quelque chose malheur est bon.", ne serait-ce aussi que par la leçon qu'on peut en tirer, etc... Les conséquences des actes dépendant aussi de ce que l'on en fait par la suite, voire de ce qui n'est pas voulu et qui en découle, etc... et ne se restreignent évidemment pas à l'acte pur. En tout cas les paroles aussi peuvent parfois avoir des conséquences importantes, parfois mauvaises, ce n'est pas dans tous les cas un acte anodin. "Parler pour ne rien dire" est généralement une expression connotée péjorativement, mais dans l'absolu les utilités peuvent en être parfois par exemple de créer une diversion ou la confusion sur un sujet, un peu comme "la langue de bois", voire de remplir un silence pesant...
  24. Copilot est une IA de Microsoft, intégrée à Windows et accessible aussi via application. Il peut s'utiliser un peu comme Chatgpt, si ce n'est qu'il a ses propres particularités. Voici un extrait de comparaison entre IA:
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