Jedino

Intéressant, intéressant, mais j'ai pas trop l'temps, là

Ecoute eurydice, c'est la voix de la sagesse (puis c'est une fille, donc d'autant plus intéressant) Et, la philosophie est souffrance. Si t'en veux une crédible, vaut encore mieux partir dans l'ataraxie, l'absence de désirs, qu'est pour Schopenhauer la souffrance en elle-même. Sinon, t'arrêtes de te prendre la tête avec ces types et tu te fais la tienne, à ton image. Allez, courage

Les consommateurs ont les personnages qu'ils désirent.

Epicurien? Comment peut-on vouloir finir ainsi? Contente-toi de suivre ta philosophie. Les grands, on s'en fout. Par grand, j'entends les philosophes. Et, pourquoi cesser le combat en plein milieu? Comment gagner si on abandonne dès que la défaite se montre devant nous?

L'amour, oui. Difficile sujet qu'il faut aborder. Je ne te dirai pas quoi faire, mais je pense que t'en aller n'est pas le choix à faire. Oh, ton désespoir, ta souffrance, je la comprends en partie, je crois. Les pourquoi, je les "connais". En vérité, il m'est arrivé aussi de désirer mourir. Récemment, je suis allé jusqu'à écrire sur la fugue et le suicide pour me calmer. S'exprimer, là est la clef. Tu n'as pas à t'en excuser. Mais, tu as à t'accrocher. Pas à la vie, pas à l'avenir. Simplement à ce qui te fait vivre. Elle s'en va doucement? Tu connais les raisons? Peux-tu y changer? C'est rare. Mais ça existe. Non, tu ne le peux pas? Alors, sors-en grandi, sors-en en un morceau. C'est facile à dire, je sais bien, mais l'amour, vu comme une "expérience totale et finale", n'est en fait qu'éphémère et puissant. Les raisons sont multiples, dépendent des situations. Ce n'est pas toujours vrai. Je ne te dirai pas de garder espoir. L'espoir, c'est la mort. Néanmoins, ne désespère pas pour autant. Il y a toujours un moyen de se relever.

Héhéhé, l'beau gosse, quand même x) T'as un blog pas mal long!

L'histoire n'a rien de "marrant" prise au premier degré, mais j'associe ça à une sorte d'humour noir

Mais est-ce vraiment propre aux religions? Pas sûr...

C'est une façon de lire les choses

Je ne l'avais jamais vu, celui-ci, mais j'aime bien. Bonne journée

C'est à "mourir de rire", au contraire.

Chagrin d'école de Daniel Pennac.

Haha! Pas mal, oui.

Qui es-tu? - Je suis toi. Qu'as-tu? - Je perds la foi. Entre aliénation et castration, Etrange sentiment de fascination, L'osmose serait-elle une destruction? Tu me comprends? - Je ne saurais pas. Crois-tu? J'ai aimé ce premier et dernier pas. Tous les jours, je croise des gens beaux et des gens moches, des gens cons et des gens géniaux, des gens perdus et des gens éclairés. Je ne les connais pas mais je sais qui ils sont en les observant brièvement alors que moi-même je m'en vais par là avec ma bêtise et ma mauvaise foi. Pour eux, je n'existe pas. Pour moi, eux non plus. C'est un choix de vie, celui d'ignorer ce que nul ne connait. Pourtant, celle-ci me plaît. Celui-là aussi à quelques traits bien épais. Je pourrais m'y fier. Mais jamais, ô non jamais, je n'y songerais. Je préfère me dandiner, sèchement regarder, doucement railler, bêtement damner, la simple idée de couper la trajectoire d'un de ces êtres pressés seraient délirante à souhait. Qu'importe! De toute façon, nous avons nos amis, nos familles, nos amours et nos vies. S'encombrer d'un abruti en plus, gâcher son temps à rencontrer ce qu'auparavant nous aurions évité, voilà quelque chose qui tient drôlement de l'absurdité. Ceci est un curieux discours lorsqu'il est rapporté à l'asocial apparemment caché derrière ces mots que trop taillés à partir de la banalité. Je m'étonne de cette créature se nommant sociable qui passe ses heures à fuir les relations les plus insignifiantes et insignifiées.

(Ah bon? :D ) Les trucs de (femelles) filles quoi! Ouai :D

C'est gentil. Ce n'est pas forcément l'avis de tout le monde. Pas forcément à tort aussi. J'ai jamais su faire simple. Mais merci :) Une carte, puis deux. Un voyant rouge et des feux. Il m'incendie des ses choix, Je m'y astreins mille fois. Qui a raison à présent? L'Enfer ou l'argent? Je brûle maintenant D'avoir cédé de mon sang. Envole-toi idiot des temps modernes! Leurre leur foi en ces balivernes! Tu n'as jamais connu le monde des cavernes Ni même celui où les heures étaient si ternes. Tu ne connais que la Vie loin des fermes, Celle-là même où doucement tu t'enfermes. Tu te meurs de n'être celui que tu dégermes Lorsque tu titubes virtuellement sur les bermes.

Intéressant

Ah, je verrai, alors! :D

Oh, tu te débrouilles mieux que moi! Les têtes aussi, dans mon cas! Et le corps! En fait, un peu tout :D Mais, si tu t'entraines, ça changera!