Quel regard la psychiatrie porte-t-elle sur la pédophilie ?

il y a 1 minute, Atipique a dit :

Je n'ai jamais prétendu qu'une victime pouvait devenir un agresseur potentiel; mais que les agresseurs ont bien souvent été victimes, ce qui est bien différent.

Pas si souvent que ça, et surtout ça ne doit pas faire l'objet d'une quelconque explication. 

Tellement amusant tout ça.... tellement mieux dit. Bref.... 

à l’instant, Out of Paprika a dit :

Pas si souvent que ça, et surtout ça ne doit pas faire l'objet d'une quelconque explication. 

Ouais, ok!

Il y a 13 heures, anoésiotomie a dit :

Encore une fois, les "vertueux" qui ne consomment même pas de la pédopornographie, tout en ayant ce genre de vie? Mouais... Peut-être quelques dizaines sur des millions.

Hélas de tels pédophiles n'épousent sûrement que des "femmes-enfants" (ou "hommes-enfants") et tiennent sans doute des propos scabreux du type "quand notre fille/fils grandira, je pourrai draguer ses cop(a)ines" (oui j'ai déjà entendu des gros cons se croyant drôles mais ça fait bizarre de voir de tels mecs pourtant pères... et finissant plus qu'à leur tour avec un divorce le jour où madame tombe sur le mauvais disque dur). Le démon ne sera jamais bien loin et faudra me prouver que le gus tient la distance sans avoir de ratés.

Et ravi d'apprendre que sous étendre qu'un membre aurait des propos ambigus sur la pedophilie.... ca passe creme. 

il y a 7 minutes, Atipique a dit :

Je n'ai jamais prétendu qu'une victime pouvait devenir un agresseur potentiel; mais que les agresseurs ont bien souvent été victimes, ce qui est bien différent.

Faux.....

il y a 10 minutes, January a dit :

Jusqu'au bout du bout et même plus loin. Pourquoi ? Parce-que c'est nécessaire pour faire de la prévention et c'est nécessaire pour prévenir aussi la récidive. 

 

Il est troublant de constater à quel point la psychiatrie, dans certains cas, semble chercher à excuser l’inexcusable. L’idée n’est pas de nier la souffrance mentale ni de refuser l’humanité aux auteurs de délits graves, mais de s’interroger sur les conséquences d’une approche trop "compréhensive". Entre réalité et mensonge, entre trouble réel et manipulation, il n’existe parfois qu’un fil invisible. Ce fil, c’est à la justice de le trancher — mais quand le glaive tremble, c’est toute la société qui vacille. Il ne s’agit pas d’ériger un mur entre droit et soin, mais de redonner à la justice sa pleine autorité, et à la psychiatrie sa juste place : celle d’éclairer, pas d’absoudre.

Bien souvent quand il s’agit d’enfants, l’émotionnel, le reptilien prennent le pas sur tout le reste. Et empêchent d’appréhender réellement une/des réalités. C’est pourtant en tentant de comprendre, en étant le plus factuel possible et pas dans la croyance, l’interprétation, qu’on peut tenter de faire, au mieux. 

à l’instant, de ghoul a dit :

Il est troublant de constater à quel point la psychiatrie, dans certains cas, semble chercher à excuser l’inexcusable.

Du factuel, merci. 

à l’instant, de ghoul a dit :

les conséquences d’une approche trop "compréhensive".

Qu'est ce que c'est, une approche trop compréhensive ? 

Soupe pour le reste, incompréhensible. 

On n'est pas dans l'affect hein ? Faut arrêter de tout mélanger. On parle psychiatrie, donc science. Donc oui, il est nécessaire de tout étudier et de tout comprendre. 

il y a 5 minutes, de ghoul a dit :

Il est troublant de constater à quel point la psychiatrie, dans certains cas, semble chercher à excuser l’inexcusable. L’idée n’est pas de nier la souffrance mentale ni de refuser l’humanité aux auteurs de délits graves, mais de s’interroger sur les conséquences d’une approche trop "compréhensive". Entre réalité et mensonge, entre trouble réel et manipulation, il n’existe parfois qu’un fil invisible. Ce fil, c’est à la justice de le trancher — mais quand le glaive tremble, c’est toute la société qui vacille. Il ne s’agit pas d’ériger un mur entre droit et soin, mais de redonner à la justice sa pleine autorité, et à la psychiatrie sa juste place : celle d’éclairer, pas d’absoudre.

La psychiatrie absoud la pédophilie ?

il y a 5 minutes, January a dit :

 

. On parle psychiatrie, donc science. 

 

Hum...

Ben c'est de la médecine, psychiatrie, neuro-psychiatrie...

il y a 3 minutes, January a dit :

Ben c'est de la médecine, psychiatrie, neuro-psychiatrie...

Non

Ben si, il sont médecins même s'ils ont un très large volet psychologie et neuro psychologie dans leur formation.

il y a 23 minutes, soan a dit :

Tellement amusant tout ça.... tellement mieux dit. Bref.... 

Le principal c'est de se faire comprendre, non?

https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/pacte_de_confiance_-_cph_-_specificite_psychaitire_publique.pdf

"Le savoir psychiatrique n'est pas une science médicale au sens littéral, mais symbolique : il constitue un modèle opératoire, une théorie de la pratique permettant de mieux comprendre les manifestations de souffrance psychologique individuelle, et d'y répondre avec humanité."

il y a 1 minute, Auger a dit :

https://sante.gouv.fr/IMG/pdf/pacte_de_confiance_-_cph_-_specificite_psychaitire_publique.pdf

"Le savoir psychiatrique n'est pas une science médicale au sens littéral, mais symbolique : il constitue un modèle opératoire, une théorie de la pratique permettant de mieux comprendre les manifestations de souffrance psychologique individuelle, et d'y répondre avec humanité."

Ah bon ?

Contrairement au psychologue, le psychiatre a suivi des études de médecine, après une formation médicale polyvalente, il effectue une spécialisation en psychiatrie générale. Il peut notamment délivrer des médicaments ou un arrêt de travail. C'est un spécialiste en psychopathologie et en psychopharmacologie.

ICI

Alors si on remet en question que la psychiatrie est une branche spécialisée de la médecine, on peut tout arrêter, puisque tout part de là. Si on se met à dire que les psychiatres sont à la médecine ce que l'homéopathie est à la médication, c'est mort, il n'y a plus aucun débat...

Il y a 1 heure, January a dit :

Alors si on remet en question que la psychiatrie est une branche spécialisée de la médecine, on peut tout arrêter, puisque tout part de là. Si on se met à dire que les psychiatres sont à la médecine ce que l'homéopathie est à la médication, c'est mort, il n'y a plus aucun débat...

La médecine possède ses spécialités et ni la psychiatrie ou la psychologie n'y sont représentées

il y a 3 minutes, de ghoul a dit :

La médecine possède ses spécialités et ni la psychiatrie ou la psychologie n'y sont représentées

La psychiatrie si, ce sont des médecins. 

il y a 1 minute, de ghoul a dit :

La médecine possède ses spécialités et ni la psychiatrie ou la psychologie n'y sont représentées

Maintenant pour répondre à certaines et certains, je dirais en premier lieu que le psychiatre dans l'enceinte de la justice joue un rôle secondaire. Il fait partie des témoins et son témoignage n'est pas forcément pris en considération

il y a 3 minutes, Out of Paprika a dit :

La psychiatrie si, ce sont des médecins. 

https://www.doctissimo.fr/sante/medecin-specialiste/psychiatre