charge mentale/surcharge mentale, où est votre limite ?

il y a 1 minute, Jim69 a dit :

Moi je ne fais pas en parallèle, je fais une liste, ordonnée dans l’ordre de priorité avec date butoir et je n’attends pas le dernier moment pour le faire, j’en fais une à la fois, je le fais tout de suite dès que j’ai toute les billes.

Comment ça ? Vous ne portez pas les cartons pendant que vous remplissez le bon de livraison ? C'est étonnant quand même.

Je suis de type "bordel désorganisé" avec du TDA à gérer en background.
En gros, dès que je suis en train de planter, j'essaie de m'isoler.



Eh oui, je suis une merde.

à l’instant, truebypass a dit :

Je suis de type "bordel désorganisé" avec du TDA à gérer en background.
En gros, dès que je suis en train de planter, j'essaie de m'isoler.



Eh oui, je suis une merde.

je vous trouve dur avec vous. Etre TDA n'est pas simple à vivre, lorsque notre cerveau ne peut pas faire ce que d'autres font si facilement, c'est dur à vivre, en plus de compliquer la vie quotidienne.

Il y a 4 heures, Axo lotl a dit :

Combien de problèmes, de "dossiers", de trucs à gérer, à régler, arrivez vous à prendre en charge ?

Je dirais beaucoup. je fais tout de A à Z.

il y a 24 minutes, Jim69 a dit :

Moi je ne fais pas en parallèle, je fais une liste, ordonnée dans l’ordre de priorité avec date butoir et je n’attends pas le dernier moment pour le faire, j’en fais une à la fois, je le fais tout de suite dès que j’ai toute les billes.

Pour arriver à faire ça, malheureusement, il faut une liste de choses réalistes à faire. Sinon on est constamment déborder car le dossier actuel prend toujours plus de temps que prévu (ou alors il faut saloper le travail...)...

Il y a 4 heures, Axo lotl a dit :

où se situe votre limite avant d'entrer dans la zone de surcharge

Quand je continue à trop charger la mule. Il m'est déjà arrivé d'arriver à un stade sûrement proche du burn out, voir d'y avoir déjà été confronté.

J'ai une charge mentale assez élevée puisque je gère tout chez moi, je gère au boulot et j'ai des dossiers pour la famille à gérer en plus.

il y a 23 minutes, Jim69 a dit :

Moi je ne fais pas en parallèle, je fais une liste, ordonnée dans l’ordre de priorité avec date butoir et je n’attends pas le dernier moment pour le faire, j’en fais une à la fois, je le fais tout de suite dès que j’ai toute les billes.

Alors c'est dire à quel point la charge mentale est une mode pour justifier qu'on n'a pas envie de faire quelque chose.

Une amie, en dépression actuellement, m'a parlé du test de Beck, après l'avoir fait, il m'a indiqué un test de 31, dépression sévère. On a ri jaune là dessus car on a le même score.

Il y a 4 heures, Axo lotl a dit :

Combien de problèmes, de "dossiers", de trucs à gérer, à régler, arrivez vous à prendre en charge ? où se situe votre limite avant d'entrer dans la zone de surcharge ? 

On pourrait reformuler la question ainsi : jusqu'à quel point supporte-t-on de faire ce qu'on n'a pas choisi ? Car c'est ça qui génère le sentiment de surcharge et non les tâches en elles-mêmes.

Car si ce qu'on fait a du sens, il n'y a pas de limite autre que purement physique : les travailleurs infatigables agissent dans le sens de leurs convictions, sans subir leur existence.

Bonne soirée

il y a 2 minutes, Totologik a dit :

On pourrait reformuler la question ainsi : jusqu'à quel point supporte-t-on de faire ce qu'on n'a pas choisi ? Car c'est ça qui génère le sentiment de surcharge et non les tâches en elles-mêmes.

Car si ce qu'on fait a du sens, il n'y a pas de limite autre que purement physique : les travailleurs infatigables agissent dans le sens de leurs convictions, sans subir leur existence.

Bonne soirée

alors vous pouvez formuler votre propre question à ce sujet pas de sujet. mais ma question est celle que j'ai formulé, comprise par certaines personnes. 

et je ne suis pas d'accord avec votre postulat, c'est peut être vrai pour vous, mais ça n'en fait pas une généralité.

Il y a 5 heures, Axo lotl a dit :

Combien de problèmes, de "dossiers", de trucs à gérer, à régler, arrivez vous à prendre en charge ? où se situe votre limite avant d'entrer dans la zone de surcharge ? 

Au fil des années je suis devenu très expérimenté. A moi on ne me l'a fait pas. Je gère beaucoup de dossiers en même temps dans différents domaines. Il faut être très organisé et savoir hiérarchiser les priorités. Mon travail a évolué au fil des années et maintenant il consiste à gérer les imprévus, régler les problèmes, trouver des solutions, faire beaucoup avec peu. En principe lorsque mon téléphone sonne ça n'est pas pour mes beaux yeux ni pour prendre de mes nouvelles, c'est qu'il y a un problème à régler, vite, trouver une solution, faire réparer ou payer. Ou alors on a un service à me demander ou des conseils. En fait on attend toujours une action de ma part. Des jours je suis découragé et je me dis que j'en ai ras le bol de ce boulot. Puis des jours où c'est un peu plus facile, la motivation revient. En fait lorsque je me lève le matin je ne sais pas ce qu'il va se passer dans la journée mais je sais d'office qu'il va falloir gérer. Je trouve la charge mentale quand même importante. Le travail intellectuel même s'il n'est pas physique est tout aussi épuisant, peut-être plus. Toutes les semaines je me dis que je ne tiendrais jamais le coup jusqu'à 64 ans. J'ai encore beaucoup d'années à faire, ça va être long. L'autre jour en face de mon bureau je regardais des maçons en train de monter des moellons les uns sur les autres pour un immeuble en construction. Je me demandais qui était le plus épuisé, eux ou moi ? Le travail physique ou le travail de bureau ? 

Je suis bien fort mais pas tant que ça quand même. Je dois avoir 10 problèmes majeurs.

Demandez à un cuisinier combien de clients il doit "gérer" durant un service...C'est du mental ET du physique  

il y a 7 minutes, Kid_Ordinn a dit :

Demandez à un cuisinier combien de clients il doit "gérer" durant un service...C'est du mental ET du physique  

Avec ma mémoire de poisson rouge et mes deux mains gauches j'éprouve une admiration sans borne pour les serveurs et serveuses.

Même quand ils ne sont pas top, je ne dis rien parce que je sais que je ferais pire...

il y a 2 minutes, apis 32 a dit :

une admiration sans borne pour les serveurs et serveuses.

Pfffff...Ceux-là on les nomme les "loufiats" ou les "Fenwick" 

Il y a 16 heures, Fantasio128 a dit :

(...) L'autre jour en face de mon bureau je regardais des maçons en train de monter des moellons les uns sur les autres pour un immeuble en construction. Je me demandais qui était le plus épuisé, eux ou moi ? Le travail physique ou le travail de bureau ? 

Ce n'est pas la même fatigue,