Aller au contenu

Prison avec sursis pour le "Caporal Biflette", le militaire qui giflait ses camarades avec son sexe

Noter ce sujet


Doïna

Messages recommandés

Membre+, Posté(e)
Doïna Membre+ 19 300 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Bonjour,

Le militaire aimait "bifler" ses camarades c’est-à-dire les gifler avec son pénis. Ses premiers faits d’armes remontent au lendemain de son incorporation, de nuit, sur une jeune recrue qui dormait. C’est pour cette raison qu’il avait reçu le surnom de "Caporal Biflette". Selon le récit des autres militaires, le militaire ne s’arrêtait pas là : il pouvait montrer ses testicules ou se masturber sans gêne devant ses camarades.

Caporal Biflette avait débuté ses gestes déplacés dans la Sarthe puis il avait continué dans le Morbihan où il s’était trouvé de nouveaux souffre-douleurs. "Au début, c’était rigolo, mais à force j’en avais marre, je lui ai demandé d’arrêter mais tout a continué", a expliqué à l’audience une jeune victime.

Article entier :

https://www.ladepeche.fr/2024/10/19/prison-avec-sursis-pour-le-caporal-biflette-le-militaire-qui-giflait-ses-camarades-avec-son-sexe-12272038.php

  • Haha 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre+, Posté(e)
Doïna Membre+ 19 300 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

@LAKLAS rigole, mais en vrai ce n'est pas parce que les victimes sont des hommes que c'est drôle. Ce caporal est un gros malade qui a besoin de soins psy en urgence.

  • Like 4
  • Merci 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 77ans Posté(e)
Ximène Membre 10 843 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)

de nos jours , tout est " décomplexé " , le racisme , le harcèlement sexuel , le masculinisme , la suprématie blanche ......tout est permis ! il n'y a plus aucun frein moral à la satisfaction immédiate de ses pulsions , c'est la loi de la jungle !

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 45ans Posté(e)
Kaliste Membre 1 742 messages
Maitre des forums‚ 45ans‚
Posté(e)

Étrange qu'aucun de ses petits camarades n'ait jamais pris l'initiative de la lui couper :hu: 

  • Haha 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre+, Posté(e)
Doïna Membre+ 19 300 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, Ximène a dit :

de nos jours , tout est " décomplexé " , le racisme , le harcèlement sexuel , le masculinisme , la suprématie blanche ......tout est permis ! il n'y a plus aucun frein moral à la satisfaction immédiate de ses pulsions , c'est la loi de la jungle !

Je suis moins pessimiste que toi, car des faits similaires étaient monnaie courante dans les casernes jusque dans les années 70, 80, et les victimes gardaient cela pour elles, tandis que maintenant on en parle dans les médias, sur les réseaux sociaux, et même à l'armée cela ne passe plus : ce caporal a été considéré indigne par ses supérieurs militaires.

Il est vrai qu'il y a de ces individus qui défendent sans complexe le racisme, le harcèlement sexuel, le masculinisme, la suprématie blanche, des adeptes du "c'était mieux avant", mais ils ne constituent pas la majorité.

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 40 663 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)
il y a 8 minutes, Ximène a dit :

de nos jours , tout est " décomplexé " , le racisme , le harcèlement sexuel , le masculinisme , la suprématie blanche ......tout est permis ! il n'y a plus aucun frein moral à la satisfaction immédiate de ses pulsions , c'est la loi de la jungle !

De nos jours ?

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 68ans Posté(e)
pic et repic Membre 17 337 messages
Maitre des forums‚ 68ans‚
Posté(e)

bonjour,

il en tient une couche, que dis-je un blindage ( c'est plus opportun concernant un militaire ) .

comment n'a-t-il pas été classé P4 lors de l'incorporation ( je sais, cela ne se voit pas au premier regard mais cela aurait pu être rapidement rectifié ) .

et dire que c'est censé être celui qui défend le pays ... d'ailleurs il ne devait pas être au top , caporal, il n'y a pas dre quoi faire le fier !

bonne journée.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 57ans Posté(e)
Tor boudine Membre 4 077 messages
Maitre des forums‚ 57ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Doïna a dit :

"Au début, c’était rigolo, a expliqué à l’audience une jeune victime.

Le caporal savait choisir ses 'victimes'!

  • Like 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 69ans Posté(e)
Phylou Membre 12 703 messages
Maitre des forums‚ 69ans‚
Posté(e)

Et personne ne l'a coincé dans un coin de la chambré pour lui apprendre les bonnes manières à grand coups de lattes ?

Pfffff, les traditions se perdent.

  • Haha 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Docteur Honoris Causa es "Patati & Patata ...", 62ans Posté(e)
BadKarma Membre 14 798 messages
62ans‚ Docteur Honoris Causa es "Patati & Patata ...",
Posté(e)

Que penser de ces pauvres chochottes déjà terrorisées à la vue d'une simple biffle alors que l'on n'aura pas encore exhibé son complément absolument nécessaire à toute survie lors de l'exercice de ses missions en ce monde des plus périlleux ... ?

pack-ma-bite-et-mon-couteau-600x838.jpg.f868630f0f2bdfe325f5fa5d58a63a16.jpg

 

ON SE LE DEMANDE ENCORE !

  • Haha 2
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 58ans Posté(e)
Témoudjine Membre 1 616 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, Doïna a dit :

Je suis moins pessimiste que toi, car des faits similaires étaient monnaie courante dans les casernes jusque dans les années 70, 80,

Je ne sais quel était ton statut vis-à-vis de l’armée dans les années 70-80 que tu cites, mais il n’était pas proche des casernes ou des installations militaires.

Contrairement à ton affirmation, les faits similaires étaient loin d’être courants dans les casernes.

Celui qui s’y serait livré aurait immédiatement été classé dans la catégorie des folles du régiment et son existence dans sa caserne rendue particulièrement difficile.

Bien que c’était l’époque du Rire du sergent de la Folle du Régiment de Sardou, l’individu concerné  n’aurait pas procédé deux fois de suite à son petit divertissement.

Avec l’appui de sa hiérarchie.   

Les réactions de sa compagnie, d’abord, et du reste de l’unité ensuite, lui aurait rendu la vie impossible.

Au mieux il se serait retrouvé dans un hôpital psychiatrique médical des Armées, qu’il aurait quitté en étant renvoyé dans la vie civile, soit il se serait flingué lui-même  durant le prochain exercice de tir.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre+, Posté(e)
Doïna Membre+ 19 300 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 27 minutes, Témoudjine a dit :

Je ne sais quel était ton statut vis-à-vis de l’armée dans les années 70-80 que tu cites, mais il n’était pas proche des casernes ou des installations militaires.

Je suis une femme et née dans les années 70, donc pour ce qui est de mon statut vis-à-vis de l'armée, c'est réglé.

il y a 28 minutes, Témoudjine a dit :

Contrairement à ton affirmation, les faits similaires étaient loin d’être courants dans les casernes.

 

Celui qui s’y serait livré aurait immédiatement été classé dans la catégorie des folles du régiment et son existence dans sa caserne rendue particulièrement difficile.

On m'a rapporté de ces histoires, et personne ne disait rien, il y avait une omerta à l'égard de certains groupes qui en faisaient baver aux têtes de Turc qu'ils se désignaient.

On m'a par exemple relaté le cas d'un jeune Juif qui avait subi un truc obscène : un gros l'avait coincé pour lui frotter la raie du luc sur le visage pendant un bon quart d'heure. Tout cela sous le regard d'une chambrée hilare, personne pour arrêter ça. Pour la victime, ça a dû être traumatisant. Aucune mesure n'a été prise à l'encontre de ce gros lard antisémite, qui sait si les supérieurs en ont jamais rien su d'ailleurs.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Grégairophobe..., Posté(e)
Mite_Railleuse Membre 40 663 messages
Grégairophobe...,
Posté(e)
Il y a 1 heure, Témoudjine a dit :

Je ne sais quel était ton statut vis-à-vis de l’armée dans les années 70-80 que tu cites, mais il n’était pas proche des casernes ou des installations militaires.

 

Contrairement à ton affirmation, les faits similaires étaient loin d’être courants dans les casernes.

 

Celui qui s’y serait livré aurait immédiatement été classé dans la catégorie des folles du régiment et son existence dans sa caserne rendue particulièrement difficile.

 

Bien que c’était l’époque du Rire du sergent de la Folle du Régiment de Sardou, l’individu concerné  n’aurait pas procédé deux fois de suite à son petit divertissement.

 

Avec l’appui de sa hiérarchie.   

 

Les réactions de sa compagnie, d’abord, et du reste de l’unité ensuite, lui aurait rendu la vie impossible.

 

Au mieux il se serait retrouvé dans un hôpital psychiatrique médical des Armées, qu’il aurait quitté en étant renvoyé dans la vie civile, soit il se serait flingué lui-même  durant le prochain exercice de tir.

 

Quid des bizutages ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 58ans Posté(e)
Témoudjine Membre 1 616 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Doïna a dit :

Je suis une femme et née dans les années 70, donc pour ce qui est de mon statut vis-à-vis de l'armée, c'est réglé.

On m'a rapporté de ces histoires, et personne ne disait rien, il y avait une omerta à l'égard de certains groupes qui en faisaient baver aux têtes de Turc qu'ils se désignaient.

On m'a par exemple relaté le cas d'un jeune Juif qui avait subi un truc obscène : un gros l'avait coincé pour lui frotter la raie du luc sur le visage pendant un bon quart d'heure. Tout cela sous le regard d'une chambrée hilare, personne pour arrêter ça. Pour la victime, ça a dû être traumatisant. Aucune mesure n'a été prise à l'encontre de ce gros lard antisémite, qui sait si les supérieurs en ont jamais rien su d'ailleurs.

Ton histoire est malheureusement parfaitement plausible.

La bêtise est hélas la chose du monde la mieux partagée.  

Avec quand même une ou deux remarques.

Dans l’armée de l’époque, celle de la conscription, il y avait en gros, deux catégories de casernes. Ou plutôt de régiments. Parce qu’il y avait à l’époque deux catégories de personnes dans les armées.

 

Il y avait les militaires. La plupart des conscrits.  On leur mettait un uniforme, qu’ils soient volontaires pour cela ou pas, on leur apprenait à marcher au pas et à nettoyer une carabine. Et ils passaient l’essentiel de leur temps à attendre que le temps passe en nettoyant les vitres des fenêtres du dortoir ou en balayant la place d’armes du régiment.

Et dans cette atmosphère, la connerie foncière des plus imbéciles pouvait s’épanouir à l’aise.  D’autant que le racisme et surtout l’antisémitisme parce qu’il y avait peu de musulmans, occupaient une bonne place dans les esprits, et en gros dans toutes les classes de la population.

 

Et il y avait les soldats. Il y avait tout de même des régiments où ces sentiments, même s’ils existaient comme dans le reste de la population, se trouvaient atténués par la vie de l’unité, au point de carrément disparaître. Parce que les véritables activités militaires, le vrai métier des armes, créait entre ceux qui s’y livrent ensemble un état d’esprit qui annule nombre de choses, dont ces sentiments de racisme ou d’antisémitisme.

Parce qu’avoir couru ensemble de vrais dangers créait entre ceux qui s’y livrent des sentiments qui transcendent les différentes formes de racisme.

L’on ne ressent plus pour l’autre les mêmes sentiments de rejet après avoir réellement couru avec lui de véritables dangers. De ceux où tu as intérêt à ce que ton équipier n’ait pas de bonnes raisons de te tirer dans le dos si tu lui as donné de bonnes raisons de le faire.

 

L’un des secrets, relatif mais réel, de la Guerre d’Algérie, est la manière dont sont morts un certain nombre de sous-lieutenant ou de lieutenants qui avaient encore en tête les principes de nos guerres anciennes. Et qui lançaient leurs hommes à l’assaut des pitons, alignés comme à la parade, comme au Moyen-âge. Exposants les hommes au feu de ceux qui les attendaient dans leurs trous à flanc de piton.   

Et quand un lieutenant avait fait cela deux fois de suite à ses hommes, il avait intérêt à se faire tout petit à la troisième fois. Son dos formait une excellente cible. Et dans le feu de l’action …

Et de même si les circonstances de la bataille s’y prêtait, si celui qui avait été trop maltraité par l’un de ses camarades se trouvait en mesure de le faire, il pouvait arriver que le salopard  reçoive malheureusement une balle perdue. Pas perdue pour tout le monde, heureusement.

 

Et l’Administration militaire n’allait quand même pas perdre de temps en enquêtes ou en recherche de la balle pour savoir d’où elle venait. D’autant que souvent celles du FLN venaient de dépôts de l’armée française.  

Mais dans de nombreux cas, ce n’était que justice.

 

 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 50ans Posté(e)
Elisa* Membre 14 868 messages
Maitre des forums‚ 50ans‚
Posté(e)

C’est drôle comme lorsque c’est entre mecs… ce genre d’humiliation, d’agression sexuelle est perçu, plus ou moins par certains, comme de simples déconnades, rien de bien méchant, grave.

Rien que le surnom qui lui a été attribué est symptomatique… 

Je suis convaincue que ce devait être plutôt courant du temps de mes grands-parents, passé sous silence ou pris à la rigolade. 

Modifié par Elisa*
  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 58ans Posté(e)
Témoudjine Membre 1 616 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Elisa* a dit :

C’est drôle comme lorsque c’est entre mecs… ce genre d’humiliation, d’agression sexuelle est perçu, plus ou moins par certains, comme de simples déconnades, rien de bien méchant, grave.

Rien que le surnom qui lui a été attribué est symptomatique… 

Je suis convaincue que ce devait être plutôt courant du temps de mes grands-parents, passé sous silence ou pris à la rigolade. 

Tu as raison, mais c’est d’abord parce que le regard que la société porte sur les choses concernant le sexe a beaucoup évolué.

Un exemple. Mais je pourrais en citer d’autres.  

Jusqu’à la guerre de 40, les bordels et les maisons de passe tenaient un registre de leur personnel. Que la police consultait fréquemment. Les filles de moins de douze ans y étaient théoriquement interdites.

D’une part, à l’époque de nos grands parents, de nos parents pour certains, que des filles soient prostituées dans des maisons de passe à 12 ans, ne gênait personne.  

Mais d’autre part, en réalité toutes les bonnes maisons tenaient à la disposition de la clientèle des filles de beaucoup moins de 12 ans. Des filles de 8 ou 10 ans, et des garçons du même âge, y « travaillaient » et les amateurs pouvaient en trouver sur place en permanence. Certains établissements célèbres étaient renommés pour cela. Dont pratiquement tous les grands établissements de la capitale. 

La seule règle exigée par la police était que les filles de moins de 12 ans ne soient pas mentionnées dans le registre. Mais qu’elles fassent partie du personnel ne gênait personne. Ni la police. C’était considéré comme normal et dans l’ordre des choses.

Cela était de notoriété publique et jamais personne ne s’est officiellement insurgé contre cette situation. Les journalistes de tous les grands médias, de Paris ou de province, le savaient. Au même titre que tous les hommes de France et de Navarre.

Y a-t-il un seul journal d’avant 40 qui puisse trouver dans ses archives la trace d’un article, un seul, qui se soit insurgé contre cette situation ? Non. Pourtant nos parents et nos grands-parents se considéraient certainement comme des gens biens. Mais pour la société   occidentale, la pédophilie, jusqu’à récemment, était considérée comme sans importance. Dans l’ordre des choses.

Le monde évolue, les idées changent et la perception que l’on a des choses également. Surtout pour tout ce qui touche au sexe et aux organes génitaux.

IL n’y a pas si longtemps de cela, une speakrine de la télé nationale a été licenciée parce qu’à la suite d’un faux mouvement elle a laissé l’un de ses genoux se découvrir. Ce qui d’ailleurs l’a rendue célèbre.

Et il y a seulement deux ou trois ans, le simple mot « règles » à propos des aménorrhées génitales des dames était totalement proscrit dans la publicité.  

Le temps changent, et le regard que l’on porte sur les choses tout autant.

Surtout pour tout ce qui touche au sexe, qu’il soit masculin ou féminin.  

 

  

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Neopilina Membre 3 936 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Témoudjine a dit :

L’un des secrets, relatif mais réel, de la Guerre d’Algérie, est la manière dont sont morts un certain nombre de sous-lieutenant ou de lieutenants qui avaient encore en tête les principes de nos guerres anciennes. Et qui lançaient leurs hommes à l’assaut des pitons, alignés comme à la parade, comme au Moyen-âge. Exposants les hommes au feu de ceux qui les attendaient dans leurs trous à flanc de piton. Et quand un lieutenant avait fait cela deux fois de suite à ses hommes, il avait intérêt à se faire tout petit à la troisième fois. Son dos formait une excellente cible. Et dans le feu de l’action …

Vieux comme le monde ! Vu en France en 14 - 18, etc. Idem au Vietnam chez les américains, etc. Classique avec ce profil d'officier.

Un jour à l'armée un colonel me demande mon avis à propos d'un gars de ma compagnie. J'ai réfléchis : " A la relève (tous les deux mois), y'a des gars de sa chambrée qui en profitent pour changer de chambre. Et le gars, il leur demande pourquoi ils quittent la chambre ... un jour qui sera pas fait comme les autres il passera par la fenêtre, tombera dans les escaliers ". Le colonel m'a remercié et renvoyé à mon poste. Je ne sais pas s'il a voulu rester, mais c'est sûr qu'ils ne l'ont pas gardé. C'était un corse, désolé !!

Modifié par Neopilina
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement
×