«Elle l'a tirée jusqu'aux lavabos et lui a cogné la tête», paroles de pensionnaires du Bon Pasteur

il y a 4 minutes, zebusoif a dit :

J’y pensais, parce que c’est une histoire que j’ai entendu aussi chez ceux qui sont dans les foyers. A 18 ans à la porte et demerdaou! C’est quand même dur, à 18 ans on est môme.

Et souvent sans rien aussi. Il n’y a pas d’institutions idéals pour les momes et les ados il y a juste du moins pire. Il faudrait tirer les leçons du passé mais apparement ce n’est pas le cas. Il y a de la violence dans tous les foyers, les gamins se battent entre eux ou s’en prennent aux adultes. 

il y a 12 minutes, hanss a dit :

Idem à l’ASE à 18 ans tout le monde dégage sans avoir fait ni ménage ni repassage ni lessive. Il n’y a rien d’idéal. 

bonjour hanss,

ces jeunes placés à l'ASE ne peuvent ils pas faire des études ? n'y a t il rien de prévu pour eux quant à un apprentissage par exemple ?, car nous ne sommes plus dans les années 60.

belle après midi à vous.

Il y a 5 heures, pic et repic a dit :

pas vraiment "dans la charité chrétienne" les sœurs !

A l'exact opposé de la bonté et de la bienveillance inhérentes à la foi chrétienne.

Je ne peux m'empêcher de penser que ces religieuses maltraitantes, voire sadiques (toutes ne le sont pas mais l'Histoire est émaillée de faits abominables en impliquant de nombreuses) n'ayant pas vécu leur vie de femme et ayant renoncé à la maternité sont mues par la frustration et la jalousie à l'égard des jeunes filles et jeunes femmes mères; d'où la dureté de leur coeur déserté par l'amour du prochain et leur cruauté envers elles.

Il y a 5 heures, Doïna a dit :

Ces filles n'avaient rien fait de mal.

C'étaient très souvent les familles qui les y collaient...soit pour s'en débarrasser à cause de leur comportement, soit parce qu'ils n'avaient pas les moyens de les garder! soit l'Etat qui s'en débarrassait ainsi!

il y a 31 minutes, hanss a dit :

 

Les plus démocrates font la guerre et tuent des gens sur des mensonges. 

Je te vois venir avec tes gros sabots. Ça n'a rien à voir avec le sujet. Personne n'est parfait (y compris les démocraties), et à côté de ça tu as de vrais, d'authentiques salauds. La nuance est de taille.

il y a 3 minutes, Passiflore a dit :

 

A l'exact opposé de la bonté et de la bienveillance inhérentes à la foi chrétienne.

Je ne peux m'empêcher de penser que ces religieuses maltraitantes, voire sadiques (toutes ne le sont pas mais l'Histoire est émaillée de faits abominables en impliquant de nombreuses) n'ayant pas vécu leur vie de femme et ayant renoncé à la maternité sont mues par la frustration et la jalousie à l'égard des jeunes filles et jeunes femmes mères; d'où la dureté de leur coeur déserté par l'amour du prochain et leur cruauté envers elles.

Pardon Passiflore mais c’est à l’exact opposé de tout être digne et humain et je n’en doute pas néanmoins de l’esprit chrétien. 

Je trouve par ailleurs un peu « simpliste » de mettre  indirectement leur comportement sauvage sur le dos de femmes n’ayant pas enfanté dans la douleur selon les textes, me semble-t-il ! 
Je n’ai pas non plus de bonnes explications à fournir et à dire vrai, peu me chaux… c’est inadmissible, c’est tout et bien trop déjà ! 

Il y a 5 heures, BELUGA a dit :

de la "charité" ??? apparement elles devaient être un peu frustrées et leur "charité s'était faite la malle...

Certaines religieuses n'étaient là que parce que les pères, souvent veufs, (la mortalité des femmes en couche était effarante en ces époques) refaisaient leur vie et se débarrassaient de l'encombrant fardeau qu'étaient les enfants nés d'un premier mariage...élevées par les soeurs dans les orphelinats, la plupart devenaient religieuses! elles n'avaient que peu de choix!

Il y a 5 heures, Elisa* a dit :

Quand bien même, cela ne justifie aucun mauvais traitement. 

C'était guère mieux dans les familles...ne pas l'oublier!

il y a 3 minutes, Morfou a dit :

C'était guère mieux dans les familles...ne pas l'oublier!

Je n’oublie rien… 

Il y a 2 heures, Elisa* a dit :

Si je me fie à l’âge déclaré : tu as 77 ans et l’éducation était différente d’aujourd’hui ac ses avantages et ses travers.

L’enfant n’était pas considéré comme un sujet à part entière mais comme l’objet, la possession de ses parents : il n’avait pas à piper un seul mot même pour se plaindre, le châtiment à l’école ac la règle ou la fessée étaient monnaie courante, etc…

Évidemment tous les parents, ni tout le corps enseignant ne se comportaient ainsi j’imagine bien mais disons que c’était « la tendance » de l’époque.

Mon propos n’est absolument pas de juger tes parents, ils ont fait comme on leur a appris, comme ils ont cru le mieux, comme ils ont pu… néanmoins, je ne peux concevoir une seule seconde que l’on tape sur un enfant quelle que soit la raison invoquée.

L’on peut tout à fait être aimant, câlinant, tendre, à l’écoute, ouvert à la discussion et bien élever ses enfants, leur permettre de se construire et d’évoluer à tout niveau. 
Idem pour les institutions scolaires religieuses ou pas… la violence y est proscrite heureusement.

Ce n’est absolument pas un outil éducatif ! 

La seule violence que j'ai subi, c'est à l'école publique...peu de temps passé là, fort heureusement!

Il y a 2 heures, Maurice Clampin a dit :

   Pas que dans les écoles privées .

J' ai eu des instituteurs de notre bonne et républiquaine école publique qui n' étaient pas avare d' un bon coup de pied au cul , d' une mémorable baffe , d' un méchant coup de règle sur le bout des doigts , ou d' un cynique tirage des petits cheveux au dessus des oreilles .

He bé , je n' en suis pas mort , dites donc ! Et si on se pleignait à la maison , on avait toute les chances d' en ramasser une de plus .

 

Z'ont l'air de croire que le public était le paradis...ils devraient se renseigner auprès de ceux qui l'ont fréquenté dans ces années là...

Il y a 1 heure, Luchik a dit :

En même temps je peux me vanter d'avoir une certaine expérience, j'ai croisé deux pédo entre 10 et 12 ans (dont un curé enseignant).

Les plus nombreux, la plus grande majorité, sont quand même "à la maison"...à l'école publique aussi...

C'est affreux tout ce qui pouvait se passer dans ces endroits lugubres 

Jésus crie et les pensionnaires y passent quand même 

Il y a 1 heure, Beebee a dit :

Tu as eu besoin de battre tes enfants pour les éduquer?

Faut pas dire que c'est une question de génération. Mon père est de ton âge et mon grand-père n'a JAMAIS levé la main sur ses enfants. Il parait qu'il avait le verbe un peu haut mais jamais de coups de ceinture.

Quant à moi, je n'ai même pas reçu la moindre gifle de mes parents. Je pense que ça me protège contre toute violence : non pas d'en recevoir mais de ne pas en supporter d'autrui.

Et inversement le grande majorité des tueurs en série a grandi dans un environnement familial violent... 

Il y a 1 heure, guernica a dit :

il y a eut de bons films et téléfilms sur le sujet

France jusqu'à la fin des années 60

Elles....Les filles du Plessis

https://television.telerama.fr/tele/films/elles...-les-filles-du-plessis,96351597.php

The magdalen sisters

https://www.abusdecine.com/critique/magdalene-sisters-the/

Dans les années 70, la maternité du Mans où j'ai accouché, avec un service pour les jeunes mineures, futures et mamans abandonnées et rejetées par leurs familles...elles pouvaient restées là jusqu'aux 18 mois de l'enfant...elles pouvaient apprendre un métier et étaient entièrement prises en charge!

à l’instant, Elisa* a dit :

c’est à l’exact opposé de tout être digne et humain et je n’en doute pas néanmoins de l’esprit chrétien.

Cela va sans dire mais comme il s'agit de religieuses, j'ai parlé en toute logique de l'état d'esprit chrétien dont elles sont dépourvues.

à l’instant, Elisa* a dit :

Je trouve par ailleurs un peu « simpliste » de mettre  indirectement leur comportement sauvage sur le dos de femmes n’ayant pas enfanté (...)

Le fait que ces religieuses cruelles, voire sadiques aient renoncé à la maternité, cela peut expliquer la raison de la sécheresse et de la dureté de leur coeur. Vivant mal leur frustration, elles le font payer très cher à ces jeunes filles et jeunes femmes.

Tu vas me dire qu'il y a des mères maltraitantes, cruelles, tortionnaires, c'est malheureusement vrai mais ces religieuses n'étaient sûrement pas aussi viles lorsqu'elles sont entrées dans les ordres, c'est la circonstance qui a fait ressortir toute la noirceur de leur coeur.

il y a 3 minutes, Morfou a dit :

Les plus nombreux, la plus grande majorité, sont quand même "à la maison"...à l'école publique aussi...

Sans être trop HS on peut élargir le débat aux organismes DDASS, qui ne contrôlaient pas ou très rarement les familles où étaient envoyés les enfants.

Combien de viols, de maltraitance, de violences non dénoncés et impunis..

Il y a 6 heures, pic et repic a dit :

bonjour,

lu ce matin ... pas vraiment "dans la charité chrétienne" les sœurs !

il faut dire que la compréhension était loin d'être la méthode de d'éducation !

pas très loin d'ici, il y avait une école catholique dont le "principal et ecclésiastique bonhomme " était réputé pour sa dureté envers les élèves ( c'est là-bas que l'on envoyait ceux qui n'étaient pas au niveau du fait de leur supposée fainéantise , les châtiments corporels avaient cours et ce jusque dans les années 68/70 , du moins c'était "la rumeur".....pas totalement infondée ! ) .

mais là .. ces "établissements" semblaient être l'équivalent des maisons de correction pour les garçons ....

un passé pas si ancien et il est normal que les victimes ( car c'était des victimes ) veuillent maintenant se faire entendre et surtout reconnaitre en tant que telles .

bonne journée.

bonjour Pic, ne m'en parle pas, mon grand-père a été "pupille" car de parents, il n'en avait plus... l'institut était un institut religieux... pour faire du blé et leur "faire apprendre un métier" à des enfants entre 6 et 12 ans, les bonnes soeurs les louaient comme garçons de ferme aux propriétaires terriens vivant autour d'elles... côté Dinan... le pépé a gardé une haine féroce pour ces femmes... il n'a jamais pardonné ce qu'elles ont pu faire à ses camarades et à lui-même... c'est bien simple en parlant des "soeurs", il disait textuel, "ce sont toutes des salopes!"

il y a 4 minutes, Morfou a dit :

Les plus nombreux, la plus grande majorité, sont quand même "à la maison"...à l'école publique aussi...

Dans l'environnement familial sans doute oui.

il y a 49 minutes, Plouj a dit :

J'ai vu dans les écoles que j'ai fréquentées dans les années 60. Les coups de règle sur les doigts, les gifles sur le visage..

Heureusement, j'étais un enfant sage et studieux.

 

Les temps changent, aujourd'hui, ce sont les profs qui subissent les sévices..

C'est bien de leur faute...le laxisme est une tare quand on a la responsabilité d'enfants...parents comme enseignants!

Il y a 6 heures, Gepetto a dit :

C'était pas des tendres , on le sait bien , les curés dans les écoles privées te bottaient les fesses en retroussant la soutane ou te mettait des baffes en plus avec la trique  , je l'ai vu moi même, ça faisait partie de la vie à l'époque et personne en est mort  car ça filait droit et tu te faisais virer vite fait , en plus les parents t'en mettait une autre , bref on va pas dire que c'était le bon temps là , mais au moins tout le monde était respecté et ça maintenant c'est bien terminé 

Oui c'est bien terminé et c'est tant mieux, parce que le bon temps ou les filles étaient maltraitées parce qu'elles avaient été violées, et que c'était forcément leurs fautes, ou les gamins se faisaient tripoter par les curtons ... je ne vois pas où était le respect !

il y a 51 minutes, Plouj a dit :

J'ai vu dans les écoles que j'ai fréquentées dans les années 60. Les coups de règle sur les doigts, les gifles sur le visage..

Heureusement, j'étais un enfant sage et studieux.

 

Les temps changent, aujourd'hui, ce sont les profs qui subissent les sévices..

Moi jamais...la punition était d'aller faire "tant" de tours de cour en courant!