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La NUPES dévoile son programme

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Pheldwyn

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Membre+, Posté(e)
Doïna Membre+ 19 288 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 18 minutes, petirobert a dit :

faut pas se plaindre après que plus personne ne veut travailler le soir et les jours fériés pour un salaire de misère

"Pour un salaire de misère" est suffisant pour tout dire, pas la peine de rajouter "le soir et les jours fériés". Pourquoi, en effet, devrait-on accepter de bosser "pour un salaire de misère" ? Si on travaille, c'est pour gagner de quoi vivre, c'est pour soi, ce n'est pas pour la gloire de travailler.

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Membre, 82ans Posté(e)
dede 2b Membre 27 616 messages
Maitre des forums‚ 82ans‚
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A propos du programme qui est le sujet!

Sur le Pouvoir d'Achat et donc salaires et retraites:

Quant au financement, c’est le numéro un d’Europe Ecologie-Les Verts (EELV), Julien Bayou, qui s’est chargé de le préciser. En cas de victoire aux législatives, a-t-il promis, la revalorisation de 10 % du point d’indice de la fonction publique serait financée par le retour de l’ISF dans une forme renforcée (recettes de 12 milliards d’euros), celle des pensions de retraite (25 milliards) le serait par des cotisations sociales à des revenus aujourd’hui exonérés comme les dividendes et les heures supplémentaires. La garantie autonomie (25 milliards) serait, elle, financée par un impôt universel sur les entreprises.

Entre les propositions de la Nupes et celles du gouvernement Borne (chèque alimentaire, bouclier tarifaire sur le gaz, subventions à la pompe, triplement de la prime Macron, fin de la redevance sur l’audiovisuel public), deux visions aux antipodes, même si les deux pôles partagent l’idée de revaloriser les fonctionnaires et, quoique différemment, de bloquer les prix. Ce jeu des comparaisons, c’est tout ce que souhaite Jean-Luc Mélenchon, décidé à emporter sur son terrain de toujours – le social et le pouvoir d’achat – l’onction des électeurs.

On attend le programme de la droite et l'extrème droite! Si c'est comme le passé pour les LR/PS çà promet!

 

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Membre, 32ans Posté(e)
Fersi Membre 1 065 messages
Mentor‚ 32ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, soisig a dit :

Non, on n'exige jamais d'un employé, qu'il s'ache tout faire. On exige qu'il soit apte à réaliser les tâches pour lesquelles il est embauché. Le salaire proposé ne peut être au dessous du smic. Enfin, il existe des emplois ou la personne sera d'abord formée, et d'autres où la personne est sensée savoir faire le travail pour lequel elle a postulé. Si une personne n'a aucune formation et veut prétendre à un poste qualifié, forcément qu'elle de voir sa candidature rejetée.

La majorité des postes à pourvoir ne sont pas des emplois de cadre. Un seul entretien suffit. Et pour les emplois de cadre, oui, le demandeur d'emploi n'a que ça à faire que de rencontrer les différents interlocuteurs, qui le choisiront... ou pas, parmi les divers candidats. 

C'est c'est de l'excuse totalement bateau pour justifier de la flemme qu'ont certains, demandeurs d'emplois, de se présenter pour des postes. Qu'on puisse être démotivé de ne pas trouver l'emploi correspondant à nos attentes, oui, je peux l'entendre. Mais ce n'est pas la peine de partir dans l'exagération, en évoquant de l'humiliation entrainant un dégout ! 

Bonjour Soisig, 

J'ai plusieurs questions qui restent sans réponses de ta part en toute loyauté d'échanges de débats. Je les cites ici de nouveau : que fait-on demain pour faire face aux défis de la perte d'autonomie du plus grand âge des personnes en situation de vieillesse et d'inégalités d'accès au soins en cas d'inaptitude totale ou partielle à l'emploi avec impossibilité de réintégration sans perte de salaires par la suite ? Pour le cas de la discrimination à l'embauche pour un cassier judiciaire non-vierge ou en fonction de son lieu de résidence sociale ? Pour réglementer les congés maladies non-soldés dans le Code du travail puis par le droit de la négociation collective de gestion ?  Pourquoi pas un droit de formation de reconversion vers la montée en compétences dans la hiérarchie professionnelle par la validation des acquis de l'expérience pour les métiers pénibles ou pour les métiers précaires ou autres formations professionnelles par alternance et universitaires d'entrée sur le marché du travail devant être prise en compte dans le calcul des annualités de cotisations retraites où il existe aujourd'hui un déficit de compétences professionnelles pour montée en gamme ou en productivité numérique (compte épargne-temps solidaire aux seins des UES des travailleurs du secteur privé ou de travailleurs indépendants etc...) ?  Pourquoi pas une réglementation négociée du travail dominical ou du travail de nuit dans la grande distribution, dite "numériquement responsable", et dans d'autres secteurs de branches professionnelles, et notamment des services à la personne ou autres ? Quant est-t-il de l'indemnisation des maladies professionnelles non-reconnues comme l'étaient pendant longtemps le préjudice de l'amiante ou le préjudice d'anxiété et autres, problème de burn out au travail et autres coûts cachés passés sous silence de nos entreprises françaises ? De la soutenabilité de notre dette publique souveraine et privée avec la remontée des taux d'intérêts de la BCE, les probables "actifs pourris" des épargnes des foyers des épargnes sur les ménages  pour soutenir le secteur des marchés des transactions financières et de l'affaiblissement de notre système de protection sociale universelle, y compris même en période de chômage de masse conjoncturelle, etc ? Sans parler de la nécessité de la spécialisation des syndicats professionnels dans l'économie d'image de marque éthique, responsable et sociale et solidarité en jouant sur le critère de spécialité de l'objet des syndicats professionnels face à la crise de la représentativité syndicale que l'on connait tous encore aujourd'hui. Quand ce n'est pas une perte de repère dans la création des représentants de proximité en terme de coût  de retour sur investissement du patronat et notamment face aux moyens de crédits d'heures de délégation allouées. Qu'en penses-tu Soisig avec toutes tes convictions que je respecte? J'attends en tout cas  une réponse de ta part!             

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Membre, 82ans Posté(e)
dede 2b Membre 27 616 messages
Maitre des forums‚ 82ans‚
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A toutes tes questions il y a une réponse dans le programme LAEC et de la NUPES...tu les as étudiés ?

Soisig est Macroniste de droite, elle diras que c'est du flan!

Modifié par dede 2b
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Membre, 77ans Posté(e)
G2LLOQ Membre 26 290 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 9 minutes, dede 2b a dit :

A toutes tes questions il y a une réponse dans le programme LAEC et de la NUPES...tu les as étudiés ?

Soisig est Macroniste de droite, elle diras que c'est du flan!

ET  ELLE A RAISON   !!     DU FLAN     de chez  FLANBI   !    Mélanchon  n'aura pas les adieux que Roland Garros a fait a TSONGA  ,   il dégage direction  TANGER 

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Membre, 72ans Posté(e)
new caravage Membre 36 333 messages
Maitre des forums‚ 72ans‚
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il y a 16 minutes, dede 2b a dit :

A toutes tes questions il y a une réponse dans le programme LAEC et de la NUPES...tu les as étudiés ?

Soisig est Macroniste de droite, elle diras que c'est du flan!

Elle a raison Soisig!!

               A l'EHPAD le méchant con!!

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Membre, 77ans Posté(e)
G2LLOQ Membre 26 290 messages
Maitre des forums‚ 77ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, new caravage a dit :

Elle a raison Soisig!!

               A l'EHPAD le méchant con!!

Oui  ,  EHPADemain    tout de suite   avec une camisole de farce  !!  :titenath:

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Membre, 32ans Posté(e)
Fersi Membre 1 065 messages
Mentor‚ 32ans‚
Posté(e)
il y a 2 minutes, dede 2b a dit :

A toutes tes questions il y a une réponse dans le programme LAEC et de la NUPES...tu les as étudiés ?

Soisig est Macroniste de droite, elle diras que c'est du flan!

Sans compter la perte de salaire subséquent suite à un accident du travail ou à une période de grossesse. Ou encore quant est-il du congé maternité ou du congé paternité d'éducation hors périodes de scolarité etc.…  Qui sont pourtant des dépenses contraintes du ménage . De même pourquoi pas une responsabilité solidaire des mères-filiales en cas de crise alimentaire hors producteurs ou même commission ou de complicité de commission du délit d'obsolescence programmées avec les enjeux climatiques de la COP 21 (peines administratives planchers et plafonds à débattre). De même l'insertion dans notre droit positif de dommages et intérêts punitifs en droit commun en cas de faute lucrative. Voir de délai de prescription de droit commun plus long pour réparer  le préjudice corporels ou morals des victimes en cas d'action en réparation ou de constitution de partie civile etc.... Pas de réponse pour le moment. Ni non plus sur l'extension du droit d'action collective au domaine financier, ni non plus sur la lisibilité des comptes de dépôts et de titres (épargne des ménages comme l'obligation d'information du conseiller financier lors de la souscription de l'assurance vie ou autres épargnes des ménages sous peine d'engager sa responsabilité professionnelle), etc.…                   

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
Posté(e)
il y a 57 minutes, Fersi a dit :

Bonjour Soisig, 

J'ai plusieurs questions qui restent sans réponses de ta part en toute loyauté d'échanges de débats. Je les cites ici de nouveau : que fait-on demain pour faire face aux défis de la perte d'autonomie du plus grand âge des personnes en situation de vieillesse et d'inégalités d'accès au soins en cas d'inaptitude totale ou partielle à l'emploi avec impossibilité de réintégration sans perte de salaires par la suite ? Pour le cas de la discrimination à l'embauche pour un cassier judiciaire non-vierge ou en fonction de son lieu de résidence sociale ? Pour réglementer les congés maladies non-soldés dans le Code du travail puis par le droit de la négociation collective de gestion ?  Pourquoi pas un droit de formation de reconversion vers la montée en compétences dans la hiérarchie professionnelle par la validation des acquis de l'expérience pour les métiers pénibles ou pour les métiers précaires ou autres formations professionnelles par alternance et universitaires d'entrée sur le marché du travail devant être prise en compte dans le calcul des annualités de cotisations retraites où il existe aujourd'hui un déficit de compétences professionnelles pour montée en gamme ou en productivité numérique (compte épargne-temps solidaire aux seins des UES des travailleurs du secteur privé ou de travailleurs indépendants etc...) ?  Pourquoi pas une réglementation négociée du travail dominical ou du travail de nuit dans la grande distribution, dite "numériquement responsable", et dans d'autres secteurs de branches professionnelles, et notamment des services à la personne ou autres ? Quant est-t-il de l'indemnisation des maladies professionnelles non-reconnues comme l'étaient pendant longtemps le préjudice de l'amiante ou le préjudice d'anxiété et autres, problème de burn out au travail et autres coûts cachés passés sous silence de nos entreprises françaises ? De la soutenabilité de notre dette publique souveraine et privée avec la remontée des taux d'intérêts de la BCE, les probables "actifs pourris" des épargnes des foyers des épargnes sur les ménages  pour soutenir le secteur des marchés des transactions financières et de l'affaiblissement de notre système de protection sociale universelle, y compris même en période de chômage de masse conjoncturelle, etc ? Sans parler de la nécessité de la spécialisation des syndicats professionnels dans l'économie d'image de marque éthique, responsable et sociale et solidarité en jouant sur le critère de spécialité de l'objet des syndicats professionnels face à la crise de la représentativité syndicale que l'on connait tous encore aujourd'hui. Quand ce n'est pas une perte de repère dans la création des représentants de proximité en terme de coût  de retour sur investissement du patronat et notamment face aux moyens de crédits d'heures de délégation allouées. Qu'en penses-tu Soisig avec toutes tes convictions que je respecte? J'attends en tout cas  une réponse de ta part!             

Bon j'avoue, je suis en mode faignasse aujourd'hui, et je n'ai pas envie de tout lire. Si tu poses une ou deux questions succinctes, sans entrer dans des phrases de 10 lignes, promis, je te donnerais mon avis (pas ce soir je pense, mais au plus tard demain)

Bonne soirée ;)

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Membre, 32ans Posté(e)
Fersi Membre 1 065 messages
Mentor‚ 32ans‚
Posté(e)

Sans compter la perte de salaire subséquent suite à un accident du travail ou à une période de grossesse. Ou encore quant est-il du congé maternité ou du congé paternité d'éducation hors des périodes de scolarité des enfants pris en charge dans le foyer du ménage, des monoparentalités subies du partenaire survivant ou du conjoint survivant , etc.…?   Qui sont pourtant des dépenses contraintes du ménage . De même pourquoi ne pas avoir une responsabilité solidaire des sociétés mères-filiales en cas de crise alimentaire hors producteurs, ou même en cas de commission ou de complicité de commission du délit d'obsolescence programmées avec les enjeux climatiques de la COP 21 (des peines d'amendes administratives planchers et plafonds à débattre, etc....). De même que d'insérer dans notre droit positif le droit de percevoir des dommages et intérêts punitifs en droit commun en cas de faute lucrative. Voir d'instaurer un délai de prescription de droit commun plus long pour réparer  les préjudices corporels ou morals (préjudice d'anxiété, d'exposition à l'amiante, d'accidents professionnels etc....) des victimes en cas d'action en réparation ou de constitution de partie civile en droit pénal commun etc.... Pas de réponse pour le moment. Ni non plus sur l'extension du droit d'action collective au domaine financier, ni non plus sur la lisibilité des comptes de dépôts et de titres (épargne des ménages comme l'obligation d'information du conseiller financier lors de la souscription de l'assurance vie ou autres épargnes des ménages sous peine d'engager sa responsabilité professionnelle), etc.…  Voir pour réparer le préjudice écologique. Faire valoir un droit de créance incessible du partenaire ou du concubin survivant.... Voir aussi une politique de souveraineté énergique et alimentaire de proximité par une coopération dans la recherche et le développement en Afrique Eurasie (politique de brevets d'invention en commun, politique d'investissement dans des établissements publics à énergie positive à commencer le service public de lutte contre les fraudes et l'administration fiscale, cooperative agricole en Afrique Eurasie, recherche en commun de l'innovation dans l'écologie numérique de rupture, filières zéro déchet,  etc....). Veto citoyen au Conseil de Sécurité de l'Onu, etc....Réforme d'initiative citoyenne etc.... commandement intégrés des états-majors des différents Etats-européens et des Etats sous accord de libre échange avec l'Union européenne dans une défense européenne commune, Europe sociale des  cultures (notes d'option de bonification des langues régionales ou étrangères et autres traditions locales, obligations vertes ETC....            

il y a 3 minutes, soisig a dit :

Bon j'avoue, je suis en mode faignasse aujourd'hui, et je n'ai pas envie de tout lire. Si tu poses une ou deux questions succinctes, sans entrer dans des phrases de 10 lignes, promis, je te donnerais mon avis (pas ce soir je pense, mais au plus tard demain)

Bonne soirée ;)

Je te laisse prendre le temps de répondre à chacune de ces questions car elles sont pour moi assez essentielles dans notre culture du débat d'intérêt général. 

Feignasse ah ah   

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Membre, 132ans Posté(e)
soisig Membre 30 391 messages
132ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Fersi a dit :

          

Je te laisse prendre le temps de répondre à chacune de ces questions car elles sont pour moi assez essentielles dans notre culture du débat d'intérêt général. 

Feignasse ah ah   

Non désolée, je t'ai demandé des phrases succinctes. Je suis en long week-end, je ne vais surement pas me prendre la peine à décortiquer des pavés ...;)

Et oui, mode faignasse on ! 

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Membre, 32ans Posté(e)
Fersi Membre 1 065 messages
Mentor‚ 32ans‚
Posté(e)
il y a 9 minutes, soisig a dit :

Bon j'avoue, je suis en mode faignasse aujourd'hui, et je n'ai pas envie de tout lire. Si tu poses une ou deux questions succinctes, sans entrer dans des phrases de 10 lignes, promis, je te donnerais mon avis (pas ce soir je pense, mais au plus tard demain)

Bonne soirée ;)

Bonjour Soisig, 

J'ai plusieurs questions qui restent sans réponses de ta part. Je les cites ici de nouveau : que fait-on demain pour faire face aux défis de la perte d'autonomie du plus grand âge des personnes en situation de vieillesse et d'inégalités d'accès au soins en cas d'inaptitude totale ou partielle à l'emploi avec l'impossibilité de les réintégrer ensuite dans l'entreprise où ils travaillent sans perte substantielle de salaires par la suite ? Pour lutter contre le cas de la discrimination à l'embauche lorsqu'un actif en recherche d'emploi possède un cassier judiciaire non-vierge ou en fonction de son lieu de résidence ou de son origine sociale ? Pour réglementer les congés maladies non-soldés dans le Code du travail puis par le droit de la négociation collective de gestion en entreprise ?  Pourquoi ne pas créer un droit de formation de reconversion vers la montée en compétences dans la hiérarchie professionnelle par la validation des acquis de l'expérience pour les métiers pénibles ou pour les métiers précaires ou autres formations professionnelles par alternance et universitaires d'entrée sur le marché du travail d'excellence devant être prise en compte dans le calcul des annualités de cotisations retraites où il existe aujourd'hui un déficit de compétences professionnelles pour qu'une entreprise qui monte en gamme ou en productivité numérique  puisse être plus compétitive et recruter des employés (compte épargne-temps solidaire aux seins des UES des travailleurs du secteur privé ou des travailleurs indépendants, etc...) ?  Pourquoi ne pas imposer une obligation de négociation collective préalable annuelle du travail dominical ou du travail de nuit dans la grande distribution, dite "numériquement responsable", et dans d'autres secteurs des branches d'activités professionnelles, et notamment des services à la personne ou autres ? Quant est-t-il de l'indemnisation des maladies professionnelles non-reconnues comme l'étaient pendant longtemps le préjudice de l'amiante ou le préjudice d'anxiété et autres, problème de burn out au travail et autres coûts cachés passés sous silence dans nos entreprises françaises ? De la soutenabilité de notre dette publique souveraine et de notre dette privée avec la remontée des taux d'intérêts de la BCE, les probables "actifs pourris" des épargnes sur les foyers des ménages  pour soutenir le secteur des marchés des transactions financières et de l'affaiblissement de notre système de protection sociale universelle, y compris même en période de chômage de masse conjoncturelle, etc ? Sans parler de la nécessité de la spécialisation des syndicats professionnels dans l'économie d'image de marque éthique, responsable et sociale et solidarité en jouant sur le critère de spécialité de l'objet des syndicats professionnels face à la crise de la représentativité syndicale que l'on connait tous encore aujourd'hui. Quand ce n'est pas une perte de repère dans la création des représentants de proximité en terme de coût  de retour sur investissement du patronat et notamment face aux moyens de crédits d'heures de délégation allouées. Qu'en penses-tu Soisig avec toutes tes convictions que je respecte? J'attends en tout cas  une réponse de ta part! 

il y a 12 minutes, soisig a dit :

Non désolée, je t'ai demandé des phrases succinctes. Je suis en long week-end, je ne vais surement pas me prendre la peine à décortiquer des pavés ...;)

Et oui, mode faignasse on ! 

A lire 

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Membre, 34ans Posté(e)
Totof44 Membre 6 706 messages
Maitre des forums‚ 34ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, soisig a dit :

Le salaire proposé ne peut être au dessous du smic.

Qu'il serait temps de revaloriser. D'ailleurs, le smic est un salaire horaire. Et beaucoup d'employés payés au smic sont à temps partiel. Donc 8,70€ de l'heure et 24h/semaine, ça fait à peu près 860€ à la fin du mois. Alors pour faire un taf qui ne correspond pas à tes motivations, qui est à deux heures de chez toi, qui va te couter cher en essence, qui va te prendre le temps dont tu aurais besoin pour trouver le travail qui te plait, c'est vraiment peu.

Il y a 6 heures, soisig a dit :

C'est c'est de l'excuse totalement bateau pour justifier de la flemme qu'ont certains, demandeurs d'emplois, de se présenter pour des postes.

On voit que tu n'as jamais eu affaire au pôle emploi. Et encore, moi, c'était avant Macron. Comment dire simplement ..? Le palmashow ne les carricature même pas.

Il y a 6 heures, soisig a dit :

Mais ce n'est pas la peine de partir dans l'exagération, en évoquant de l'humiliation entrainant un dégout ! 

Je te peux t'assurer que c'est une réalité.

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 236 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
Il y a 13 heures, soisig a dit :

Non, une fois de plus, tu n'es pas logique. Nous aurions beaucoup plus d'emplois non pourvus, s'il n'y avait pas la main d'œuvre étrangère. ça c'est logique.

Peut-être parce qu'il est plus facile d'exploiter une main d'oeuvre étrangère ? 
Mais donc, même ta main d'oeuvre étrangère ne couvre pas ces 300 000 postes.

Il y a peut-être d'autres raisons que la seule pseudo-réticence des chômeurs à travailler, tu ne crois pas ?
 

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Membre, 34ans Posté(e)
Totof44 Membre 6 706 messages
Maitre des forums‚ 34ans‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, dede 2b a dit :

On attend le programme de la droite et l'extrème droite!

Interdire le voile. Comment ça tu ne comprends pas que ça te permettra de payer ton loyer ?

Il y a 3 heures, new caravage a dit :

Elle a raison Soisig!!

               A l'EHPAD le méchant con!!

Et je pourrais demander qu'on foute en tôle la clique à Macron pour corruption.

Super, on a bien fait avancer le débat.

On peut passer aux futilités que sont les différentes mesures de chacun. J'attends toujours que les libéraux nous disent comment, après avoir mis 300 000 personnes aux travaux forcés ils permettent aux 4 700 000 chômeurs restant de trouver du travail.

Je n'ose pas demander comment ils permettent à ceux qui travaillent 6 heures par mois comment passer à 35.

 

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 236 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)
Il y a 12 heures, soisig a dit :

C'est vrai, il n'y a pas assez de travail pour l'ensemble des chômeurs, à l'instant T, mais il y a du travail pour tous ceux qui cherchent du travail,

Bah non, c'est justement ce que l'on te dit.
Sur les 5 millions de chômeurs, la moitié ne touche plus d'allocation : soit ils ont démissionné, soit ils n'ont pas suffisamment cotisé, soit ils sont en fin de droit, pour beaucoup.
Sans compter le "chômage caché" : tous ceux qui ne vont même pas s'inscrire, puisqu'ils pensent n'avoir le droit à rien.
 

Il y a 12 heures, soisig a dit :

même s'ils ne trouvent pas tout de suite, d'où l'importance d'une indemnisation, pendant cette période de recherche.

Et il est possible qu'ils ne trouvent pas du tout.
D'autres pays font le choix d'accompagner plus fortement, de former aussi tous ceux qui aimerait améliorer leurs compétences pour trouver plus aisément.

Or l'accompagnement est à la ramasse en France, les agents pôle-emplois passent en fait leur temps à faire gare de triage et à coller les chômeurs dans des formations souvent inadaptées, ou avec des entreprises privées qui se nourrissent de cette demande mais n'offrent pas forcément les meilleures formations qui soient.

C'est du moins l'impression globale que j'ai pu avoir à mon niveau. Il y a bien évidemment des boîtes et des assocs qui font un boulot précieux, mais j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de vent.

Et encore une fois, le pan formation est pour moi trop à la ramasse.

 

Il y a 12 heures, soisig a dit :

Par contre, c'est facile de reprocher aux employeurs d'être responsables de ne pas trouver de salariés.

Mais c'est toi qui part dans les reproches, envers les chômeurs.
On te répond donc que parfois le problème vient de l'employeur, aussi !

Mais surtout, et principalement, comme je l'ai encore répété, c'est aussi un problème de formation : et là, ce n'est pas l'employeur ou le chômeur qui est en soit fautif.

C'est davantage l'Etat qui devrait - normalement - se mettre en quatre pour fournir les moyens de formations nécessaires aux chômeurs pour retrouver un emploi, aux employeurs pour trouver des salariés qualidfiés.

Ensuite, charge aussi à l'état d'oeuvrer pour la création d'emploi.

Encore une fois, la constitution garantit normalement un emploi à chaque citoyen.
C'est donc le rôle de l'état de remplir cette garantie.

 

Il y a 12 heures, soisig a dit :

Les métiers de la restauration ont en effet la monnaie de leurs pièces, et sois sur qu'ils se remettent en question.

Oui, ça va dans le bon sens, et oui les autres branches doivent se poser les mêmes questions.

 

Il y a 12 heures, soisig a dit :

Mais il y a des tas d'autres emplois où il faut simplement fournir des efforts, que nombreux chômeurs ne veulent pas fournir. Le nier, c'est de la mauvaise foi.

Il y a aussi une chose importante : il est normal que tout le monde contribue à la société, mais il est aussi normal que chacun puisse tout de même choisir plus ou moins ce qu'il veut faire comme emploi, du moins ne pas souffrir de cet emploi.
Bref, il faut au moins que le travail soit reconnu, que la valoir travail soit suffisamment rémunérée.

 

Il y a 12 heures, soisig a dit :

L'âge de la retraite n'a rien à voir, sachant que les séniors  sont une part importante, dans le nombre de chômeurs.

Là encore, tu manques de logique : si tu mets l'âge de la retraite plus tôt, une bonne partie de ces chômeurs se trouveront à la retraite et non plus au chômage.
Dans le même temps, une bonne partie de ceux qui sont employés se retrouveront en droit de partir à la retraite.
Bref, cela libèrera davantage de postes auxquels pourront prétendre les chômeurs plus jeunes.


Au contraire, en allongeant l'âge, tu vas mécaniquement créer de nouveaux chômeurs.


Sans compter qu'indirectement tu vas appauvrir les classes moyennes, et donc la consommation, et donc la santé des entreprises, et donc leur capacité à employer.

C'est un cercle infernal qui mène à la dépréciation de la situation.

 

Il y a 12 heures, soisig a dit :

Il est d'ailleurs à noter que nombreux demandent une rupture conventionnelle en fin de carrière, afin de percevoir le chômage, jusqu'à la retraite. Ce cas de figure ne me dérange pas du tout, puisque le poste vacant est alors occupé par un jeune.

Bah là tu dis l'inverse de ta phrase d'avant.
Mais au moins, on avance, tu admets qu'un sénior qui laisse sa place, ça fait rentrer un chômeur plus jeune.

Maintenant, juste une question : au lieu que ton sénior fasse une rupture conventionnelle, compte comme un chômeur et coûte de l'argent à l'UNEDIC, pourquoi ne pas directement lui donner le statut de retraité ?

 

Il y a 12 heures, soisig a dit :

Et si les séniors étaient une entrave à la baisse du chômage, pourquoi alors les inciter financièrement à travailler plus longtemps ? 

Bah justement, c'est bien le programme de la NUPES : ne pas inciter à travailler ad vitam eternam, mais pouvoir partir lorsque l'on a fait sa part.
C'est Macron qui veut allonger le temps de travail jusqu'à des 69 ans ou 70 ans.
 

Il y a 12 heures, soisig a dit :

Si le taux de chômage n'est qu'une affaire politique et que la gauche a toutes les réponses pour y remédier, pourquoi n'a t-il pas baissé quand Hollande était au pouvoir ? 

C'est bien, tu évolues, tu commencer à te poser les bonnes questions.

Pourquoi diable Hollande n'a pas mener une politique de gauche ?
La réponse est assez simple à trouver.

 

Il y a 12 heures, soisig a dit :

Mais personne n'est jamais resté 42 ans à chercher un emploi, sans le trouver.

Non, mais tu peux rester un, deux ou trois ans au chômage en cumulé sur une carrière : et ce sont des années que tu devras faire en plus à la fin.

Bref, si tu commences à 25 ans, tu dois logiquement faire tes 43 annuitées (soit 68 ans), et avec les périodes de chômage tu arrives vite à 70-71 ans.
La réponse de Macron sera certainement d'augmenter davantage les annuités pour renforcer cette situation. Je ne vois pas en quoi cela va dans le bon sens ?

 

Il y a 12 heures, soisig a dit :

Par contre, nous avons des personnes qui elles, ne travaillent jamais, préférant se contenter des aides sociales, alors qu'elles sont physiquement aptes à travailler. Et ça, pour la gauche, c'est le dénie total. 

Bah c'est surtout qu'une fois que tu as épuisé tes droits au chômage, tu vis de quoi ? Du RSA ?
Tu penses que tu peux vivre avec 550 € par mois ?

Alors oui, c'est vrai, certains y arrivent : mais sont-ils aussi majoritaires que tu le penses ?
Surtout que je rappelle encore une fois des vérités que tu devrais prendre en compte :
- la moitié des chômeurs ne touche pas d'allocation (je le répète)
- il y a un fort taux de non-recours au RSA (environ un tiers qui ne le demande pas)


Je pense  qu'il y a davantage de gens qui se retrouvent à enchaîner des petits boulots, des contrats cours, passant d'interim à CDD, de CDD à CDD, avec des périodes de creux, de chômage, de RSA, et qui passent leur vie à jongler pour s'en sortir financièrement, et pour trouver toujours un autre contrat pour arriver à payer le loyer sous peine de finir à la rue.

(Personnellement, je m'intéresse davantage à cette situation là, pour moi bien plus majoritaire et fréquente, qu'à des gens qui arriveraient à vivre au soleil au RSA).

Et donc, ces gens qui sont précarisés dans leur quotidien, je t'assure qu'ils seraient certainement très heureux de pouvoir ne pas avoir ces soucis là, cette absence de stabilité et d'avenir à long terme, et pouvoir se reposer sur un CDI et un salaire qui leur permet d'avoir un logement, de ne pas commencer le mois à découvert, et à penser à autre chose qu'à compter le moindre euro.

 

Donc, que fait-on ?

En 5 ans, le gouvernement Macron a juste touvé comme sollution :
- de faciliter les licenciements
- de mettre des barèmes pour que les entreprises puisse prévoir le coût d'un licenciement aussi injustifié soit-il
- de baisser les pensions mensuelles des travailleurs précaires qui vont de contrat courts en contrat courts.
- de diminuer le droit à la période dont tu parlais pour se retourner et trouver un nouvel emploi

... bref, pour résumer, de la flexibilité côté employeur, et moins de sécurité côté chômeurs

Mais sinon, pour la création d'emploi ?
Pour la formation ?

Rien.

Juste des anathèmes et du mépris : "il suffit de traverser la rue", "ceux qui ne sont rien", "le pognon de dingue".

 



 

 

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Il y a 9 heures, Pheldwyn a dit :

Bah non, c'est justement ce que l'on te dit.
Sur les 5 millions de chômeurs, la moitié ne touche plus d'allocation : soit ils ont démissionné, soit ils n'ont pas suffisamment cotisé, soit ils sont en fin de droit, pour beaucoup.
Sans compter le "chômage caché" : tous ceux qui ne vont même pas s'inscrire, puisqu'ils pensent n'avoir le droit à rien.
 

Et il est possible qu'ils ne trouvent pas du tout.
D'autres pays font le choix d'accompagner plus fortement, de former aussi tous ceux qui aimerait améliorer leurs compétences pour trouver plus aisément.

Or l'accompagnement est à la ramasse en France, les agents pôle-emplois passent en fait leur temps à faire gare de triage et à coller les chômeurs dans des formations souvent inadaptées, ou avec des entreprises privées qui se nourrissent de cette demande mais n'offrent pas forcément les meilleures formations qui soient.

C'est du moins l'impression globale que j'ai pu avoir à mon niveau. Il y a bien évidemment des boîtes et des assocs qui font un boulot précieux, mais j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de vent.

Et encore une fois, le pan formation est pour moi trop à la ramasse.

 

Mais c'est toi qui part dans les reproches, envers les chômeurs.
On te répond donc que parfois le problème vient de l'employeur, aussi !

Mais surtout, et principalement, comme je l'ai encore répété, c'est aussi un problème de formation : et là, ce n'est pas l'employeur ou le chômeur qui est en soit fautif.

C'est davantage l'Etat qui devrait - normalement - se mettre en quatre pour fournir les moyens de formations nécessaires aux chômeurs pour retrouver un emploi, aux employeurs pour trouver des salariés qualidfiés.

Ensuite, charge aussi à l'état d'oeuvrer pour la création d'emploi.

Encore une fois, la constitution garantit normalement un emploi à chaque citoyen.
C'est donc le rôle de l'état de remplir cette garantie.

 

Oui, ça va dans le bon sens, et oui les autres branches doivent se poser les mêmes questions.

 

Il y a aussi une chose importante : il est normal que tout le monde contribue à la société, mais il est aussi normal que chacun puisse tout de même choisir plus ou moins ce qu'il veut faire comme emploi, du moins ne pas souffrir de cet emploi.
Bref, il faut au moins que le travail soit reconnu, que la valoir travail soit suffisamment rémunérée.

 

Là encore, tu manques de logique : si tu mets l'âge de la retraite plus tôt, une bonne partie de ces chômeurs se trouveront à la retraite et non plus au chômage.
Dans le même temps, une bonne partie de ceux qui sont employés se retrouveront en droit de partir à la retraite.
Bref, cela libèrera davantage de postes auxquels pourront prétendre les chômeurs plus jeunes.


Au contraire, en allongeant l'âge, tu vas mécaniquement créer de nouveaux chômeurs.


Sans compter qu'indirectement tu vas appauvrir les classes moyennes, et donc la consommation, et donc la santé des entreprises, et donc leur capacité à employer.

C'est un cercle infernal qui mène à la dépréciation de la situation.

 

Bah là tu dis l'inverse de ta phrase d'avant.
Mais au moins, on avance, tu admets qu'un sénior qui laisse sa place, ça fait rentrer un chômeur plus jeune.

Maintenant, juste une question : au lieu que ton sénior fasse une rupture conventionnelle, compte comme un chômeur et coûte de l'argent à l'UNEDIC, pourquoi ne pas directement lui donner le statut de retraité ?

 

Bah justement, c'est bien le programme de la NUPES : ne pas inciter à travailler ad vitam eternam, mais pouvoir partir lorsque l'on a fait sa part.
C'est Macron qui veut allonger le temps de travail jusqu'à des 69 ans ou 70 ans.
 

C'est bien, tu évolues, tu commencer à te poser les bonnes questions.

Pourquoi diable Hollande n'a pas mener une politique de gauche ?
La réponse est assez simple à trouver.

 

Non, mais tu peux rester un, deux ou trois ans au chômage en cumulé sur une carrière : et ce sont des années que tu devras faire en plus à la fin.

Bref, si tu commences à 25 ans, tu dois logiquement faire tes 43 annuitées (soit 68 ans), et avec les périodes de chômage tu arrives vite à 70-71 ans.
La réponse de Macron sera certainement d'augmenter davantage les annuités pour renforcer cette situation. Je ne vois pas en quoi cela va dans le bon sens ?

 

Bah c'est surtout qu'une fois que tu as épuisé tes droits au chômage, tu vis de quoi ? Du RSA ?
Tu penses que tu peux vivre avec 550 € par mois ?

Alors oui, c'est vrai, certains y arrivent : mais sont-ils aussi majoritaires que tu le penses ?
Surtout que je rappelle encore une fois des vérités que tu devrais prendre en compte :
- la moitié des chômeurs ne touche pas d'allocation (je le répète)
- il y a un fort taux de non-recours au RSA (environ un tiers qui ne le demande pas)


Je pense  qu'il y a davantage de gens qui se retrouvent à enchaîner des petits boulots, des contrats cours, passant d'interim à CDD, de CDD à CDD, avec des périodes de creux, de chômage, de RSA, et qui passent leur vie à jongler pour s'en sortir financièrement, et pour trouver toujours un autre contrat pour arriver à payer le loyer sous peine de finir à la rue.

(Personnellement, je m'intéresse davantage à cette situation là, pour moi bien plus majoritaire et fréquente, qu'à des gens qui arriveraient à vivre au soleil au RSA).

Et donc, ces gens qui sont précarisés dans leur quotidien, je t'assure qu'ils seraient certainement très heureux de pouvoir ne pas avoir ces soucis là, cette absence de stabilité et d'avenir à long terme, et pouvoir se reposer sur un CDI et un salaire qui leur permet d'avoir un logement, de ne pas commencer le mois à découvert, et à penser à autre chose qu'à compter le moindre euro.

 

Donc, que fait-on ?

En 5 ans, le gouvernement Macron a juste touvé comme sollution :
- de faciliter les licenciements
- de mettre des barèmes pour que les entreprises puisse prévoir le coût d'un licenciement aussi injustifié soit-il
- de baisser les pensions mensuelles des travailleurs précaires qui vont de contrat courts en contrat courts.
- de diminuer le droit à la période dont tu parlais pour se retourner et trouver un nouvel emploi

... bref, pour résumer, de la flexibilité côté employeur, et moins de sécurité côté chômeurs

Mais sinon, pour la création d'emploi ?
Pour la formation ?

Rien.

Juste des anathèmes et du mépris : "il suffit de traverser la rue", "ceux qui ne sont rien", "le pognon de dingue".

 



 

 

Sans compter les défis de demain de la perte d'autonomie du plus grand âge des personnes en situation de vieillesse et d'inégalités d'accès au soins ou du travail subi des personnes déjà en postes en cas de déclaration d'inaptitude totale ou partielle à l'emploi avec l'impossibilité de réintégrer les travailleurs ensuite dans l'entreprise où ils travaillent sans perte substantielle de salaires par la suite. Pour lutter contre les cas de discrimination à l'embauche lorsqu'un actif est en recherche d'emploi et possède soit un cassier judiciaire non-vierge, malgré les difficultés de la réinsertion sociale à la sortie de prison pour prévenir la récidive ou la radicalisation en prison de jeunes délinquants ou toutes sortes de violences en prison, ou en fonction de son lieu de résidence ou de son origine sociale dans une nation par principe indivisible. Pour pouvoir réglementer les congés maladies non-soldés dans le Code du travail puis par le droit de la négociation collective de gestion en entreprise alors que c'est une dépense contrainte du foyer des ménages en cas d'arrêt maladie ou de période de grossesse. Même chose pour la solution du droit à la formation de reconversion vers la montée en compétences dans la hiérarchie professionnelle par la validation des acquis de l'expérience pour les métiers pénibles ou pour les métiers précaires ou autres périodes de formations professionnelles par alternance et universitaires d'entrée sur le marché du travail et de longue durée our former la jeune élite d'excellence de demain non-prise en compte dans le calcul injuste des annualités de cotisations retraites où il existe aujourd'hui un déficit de compétences professionnelles pour qu'une entreprise monte en gamme ou pour le dire autrement en productivité numérique pour qu'elle soit plus compétitive sur le marché de la concurrence et puisse recruter demain. Comme peut l'être par exemple le compte d'épargne-temps solidaire aux seins des UES des travailleurs et stagiaire du secteur privé ou des travailleurs indépendants, etc... Pourquoi ne pas imposer d'ailleurs une obligation de négociation collective préalable annuelle des conditions de travail dominical ou de travail de nuit dans la grande distribution, dite "numériquement responsable et d'image de marque éthique", et dans d'autres secteurs des branches d'activités professionnelles comme les services à la personne avec des dépenses de déplacements contraints ou autres infermières ou médecins libéraux à l'heure des deserts médicaux  ?  Quant est-t-il de l'indemnisation des maladies professionnelles non-reconnues comme l'étaient pendant longtemps le préjudice de l'exposition à l'amiante ou le préjudice d'anxiété et autres préjudices moraux suite à un  harcèlement scolaire ou au travail, problème de burn out non-reconnue comme maladie professionnelle au travail et autres coûts cachés passés sous silence du crible de nos entreprises françaises ? De la soutenabilité de notre dette publique souveraine et de notre dette d'entreprise privée sous-traitante avec la remontée des taux d'intérêts de la BCE, les probables existences d'"actifs pourris ou des actifs toxiques" sur le marché des épargnes du foyer des ménages avec le peu qu'ils épargnent pour survivre,; afin de soutenir le secteur des marchés des transactions financières et de l'affaiblissement de notre système de protection sociale universelle par la baisse des charges sociales , et y compris même en cas de période de chômage de masse conjoncturelle, etc ? Sans parler de la nécessité de rendre le syndicalisme français plus spécialiser dans le domaine de l'économie d'image de marque éthique, numériquement responsable et sociale et solidarité en jouant pourquoi pas sur le critère de la spécialité de l'objet des syndicats professionnels face à la crise de la représentativité syndicale que l'on connait tous encore aujourd'hui. Quand ce n'est pas une perte de repère totale dans la création des représentants de proximité en terme de coût  de retour sur investissement des investisseurs étrangers et notamment face aux moyens d'allocations de crédits d'heures de délégation; Je parle même pas de la réforme de l'autonomie des universités et de la sélection en master ou en parcoursup dans la formation initiale ou continue confondue ou par dans la formation d'apprentissage par alternance dans des secteurs d'avenir en France, ni non plus  des problèmes d'intégration des travailleurs isolés comme des travailleurs migrants de mains-d'oeuvres, etc.… Pourquoi ne pas mettre en place ne serait-ce qu'une TVA flottante sur les produits de consommation de base du panier des ménages au quotidien (produits hygiéniques, produits domestiques, etc...) ? Voir la suppression de la TVA sur les produits de première nécessité ? Ou encore la question de l'organisation politique de notre nation par une décentralisation inclusive face à la question du handicap au quotidien (école privée inclusive etc...) ? Voir même la neutralité des programmes scolaires (liberté et inviolabilité politique du statut de l'historien ou de l'enseignant-chercheur, etc.…). Voir nomination des sages du Conseil constitutionnel après avis du Conseil de la Haute magistrature et possibilité de se saisir d'un comité d'experts , mandats non-renouvelables et de plus longue durée , possibilité pour les élus locaux de se saisir du Conseil constitutionnel sur une QPC extrajudiciaire en cas de représentation nationale équilibrée des territoires décentralisée de la République,  réforme d'initiative  citoyenne etc... ?     

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Il y a 10 heures, Pheldwyn a dit :

Bah non, c'est justement ce que l'on te dit.
Sur les 5 millions de chômeurs, la moitié ne touche plus d'allocation : soit ils ont démissionné, soit ils n'ont pas suffisamment cotisé, soit ils sont en fin de droit, pour beaucoup.
Sans compter le "chômage caché" : tous ceux qui ne vont même pas s'inscrire, puisqu'ils pensent n'avoir le droit à rien.
 

Et il est possible qu'ils ne trouvent pas du tout.
D'autres pays font le choix d'accompagner plus fortement, de former aussi tous ceux qui aimerait améliorer leurs compétences pour trouver plus aisément.

Or l'accompagnement est à la ramasse en France, les agents pôle-emplois passent en fait leur temps à faire gare de triage et à coller les chômeurs dans des formations souvent inadaptées, ou avec des entreprises privées qui se nourrissent de cette demande mais n'offrent pas forcément les meilleures formations qui soient.

C'est du moins l'impression globale que j'ai pu avoir à mon niveau. Il y a bien évidemment des boîtes et des assocs qui font un boulot précieux, mais j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de vent.

Et encore une fois, le pan formation est pour moi trop à la ramasse.

 

Mais c'est toi qui part dans les reproches, envers les chômeurs.
On te répond donc que parfois le problème vient de l'employeur, aussi !

Mais surtout, et principalement, comme je l'ai encore répété, c'est aussi un problème de formation : et là, ce n'est pas l'employeur ou le chômeur qui est en soit fautif.

C'est davantage l'Etat qui devrait - normalement - se mettre en quatre pour fournir les moyens de formations nécessaires aux chômeurs pour retrouver un emploi, aux employeurs pour trouver des salariés qualidfiés.

Ensuite, charge aussi à l'état d'oeuvrer pour la création d'emploi.

Encore une fois, la constitution garantit normalement un emploi à chaque citoyen.
C'est donc le rôle de l'état de remplir cette garantie.

 

Oui, ça va dans le bon sens, et oui les autres branches doivent se poser les mêmes questions.

 

Il y a aussi une chose importante : il est normal que tout le monde contribue à la société, mais il est aussi normal que chacun puisse tout de même choisir plus ou moins ce qu'il veut faire comme emploi, du moins ne pas souffrir de cet emploi.
Bref, il faut au moins que le travail soit reconnu, que la valoir travail soit suffisamment rémunérée.

 

Là encore, tu manques de logique : si tu mets l'âge de la retraite plus tôt, une bonne partie de ces chômeurs se trouveront à la retraite et non plus au chômage.
Dans le même temps, une bonne partie de ceux qui sont employés se retrouveront en droit de partir à la retraite.
Bref, cela libèrera davantage de postes auxquels pourront prétendre les chômeurs plus jeunes.


Au contraire, en allongeant l'âge, tu vas mécaniquement créer de nouveaux chômeurs.


Sans compter qu'indirectement tu vas appauvrir les classes moyennes, et donc la consommation, et donc la santé des entreprises, et donc leur capacité à employer.

C'est un cercle infernal qui mène à la dépréciation de la situation.

 

Bah là tu dis l'inverse de ta phrase d'avant.
Mais au moins, on avance, tu admets qu'un sénior qui laisse sa place, ça fait rentrer un chômeur plus jeune.

Maintenant, juste une question : au lieu que ton sénior fasse une rupture conventionnelle, compte comme un chômeur et coûte de l'argent à l'UNEDIC, pourquoi ne pas directement lui donner le statut de retraité ?

 

Bah justement, c'est bien le programme de la NUPES : ne pas inciter à travailler ad vitam eternam, mais pouvoir partir lorsque l'on a fait sa part.
C'est Macron qui veut allonger le temps de travail jusqu'à des 69 ans ou 70 ans.
 

C'est bien, tu évolues, tu commencer à te poser les bonnes questions.

Pourquoi diable Hollande n'a pas mener une politique de gauche ?
La réponse est assez simple à trouver.

 

Non, mais tu peux rester un, deux ou trois ans au chômage en cumulé sur une carrière : et ce sont des années que tu devras faire en plus à la fin.

Bref, si tu commences à 25 ans, tu dois logiquement faire tes 43 annuitées (soit 68 ans), et avec les périodes de chômage tu arrives vite à 70-71 ans.
La réponse de Macron sera certainement d'augmenter davantage les annuités pour renforcer cette situation. Je ne vois pas en quoi cela va dans le bon sens ?

 

Bah c'est surtout qu'une fois que tu as épuisé tes droits au chômage, tu vis de quoi ? Du RSA ?
Tu penses que tu peux vivre avec 550 € par mois ?

Alors oui, c'est vrai, certains y arrivent : mais sont-ils aussi majoritaires que tu le penses ?
Surtout que je rappelle encore une fois des vérités que tu devrais prendre en compte :
- la moitié des chômeurs ne touche pas d'allocation (je le répète)
- il y a un fort taux de non-recours au RSA (environ un tiers qui ne le demande pas)


Je pense  qu'il y a davantage de gens qui se retrouvent à enchaîner des petits boulots, des contrats cours, passant d'interim à CDD, de CDD à CDD, avec des périodes de creux, de chômage, de RSA, et qui passent leur vie à jongler pour s'en sortir financièrement, et pour trouver toujours un autre contrat pour arriver à payer le loyer sous peine de finir à la rue.

(Personnellement, je m'intéresse davantage à cette situation là, pour moi bien plus majoritaire et fréquente, qu'à des gens qui arriveraient à vivre au soleil au RSA).

Et donc, ces gens qui sont précarisés dans leur quotidien, je t'assure qu'ils seraient certainement très heureux de pouvoir ne pas avoir ces soucis là, cette absence de stabilité et d'avenir à long terme, et pouvoir se reposer sur un CDI et un salaire qui leur permet d'avoir un logement, de ne pas commencer le mois à découvert, et à penser à autre chose qu'à compter le moindre euro.

 

Donc, que fait-on ?

En 5 ans, le gouvernement Macron a juste touvé comme sollution :
- de faciliter les licenciements
- de mettre des barèmes pour que les entreprises puisse prévoir le coût d'un licenciement aussi injustifié soit-il
- de baisser les pensions mensuelles des travailleurs précaires qui vont de contrat courts en contrat courts.
- de diminuer le droit à la période dont tu parlais pour se retourner et trouver un nouvel emploi

... bref, pour résumer, de la flexibilité côté employeur, et moins de sécurité côté chômeurs

Mais sinon, pour la création d'emploi ?
Pour la formation ?

Rien.

Juste des anathèmes et du mépris : "il suffit de traverser la rue", "ceux qui ne sont rien", "le pognon de dingue".

 



 

 

Sans parler des travailleurs d'âge médient ou des travailleurs handicapés   

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Invité Netra
Invités, Posté(e)
Invité Netra
Invité Netra Invités 0 message
Posté(e)

Le dernier sondage de Cluster 17, publié vendredi 27 mai, place la Nouvelle union populaire écologique et sociale en tête des intentions de vote du 1e tour des législatives. Selon ce sondage, 30% des Français interrogés souhaitent soutenir un candidat de la Nupes au 1e tour des législatives, 26% un candidat investi par la majorité présidentielle, 19% un candidat soutenu par le RN, 10,5% un candidat investi par les Républicains, et 6% un candidat de Reconquête.

 

:dance:

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Membre, Posté(e)
draenn Membre 172 messages
Forumeur survitaminé‚
Posté(e)
il y a 16 minutes, Netra a dit :

Le dernier sondage de Cluster 17, publié vendredi 27 mai, place la Nouvelle union populaire écologique et sociale en tête des intentions de vote du 1e tour des législatives. Selon ce sondage, 30% des Français interrogés souhaitent soutenir un candidat de la Nupes au 1e tour des législatives, 26% un candidat investi par la majorité présidentielle, 19% un candidat soutenu par le RN, 10,5% un candidat investi par les Républicains, et 6% un candidat de Reconquête.

 

:dance:

La plupart des sondages donnent ces ordres de grandeur. Mais les médias insistent lourdement sur le sondage qui donne moins de sièges à Nupes malgré tout. Aucun média ne veut croire en la défaite du président et en une cohabitation. Si nous devions avoir un résultat où le camp arrivé en tête obtient moins de sièges, personne ne s'en offusque dans ces médias, mais il y aurait là potentiellement un véritable séisme institutionnel.
 

Modifié par draenn
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