Pensez-vous que nous ne sommes déjà plus des animaux ?

il y a 1 minute, zenalpha a dit :

Une réalité physique en vérité.

 

Paraitre c'est être !

il y a 1 minute, brooder a dit :

Paraitre c'est être !

 

Faut que je vous présente @JOSEPH DELETRE

Il est spécialisé dans l'être

à l’instant, zenalpha a dit :

Faut que je vous présente @JOSEPH DELETRE

Il est spécialisé dans l'être

Etre dans le virtuel, n'est pas chose facile

à l’instant, brooder a dit :

Etre dans le virtuel, n'est pas chose facile

 

Je vous crois sur parole.

Il y a 17 heures, brooder a dit :

L'animal est pour nous et depuis longtemps synonyme de rabaissement. Pourtant nous ne cessons de redécouvrir nos racines bestiales!

On mange, on dort, on baise, on pisse, on chie, on se fout sur la gueule et on se gratte les couilles le matin. Pas besoin de se re-découvrir pareille évidence.

Nous sommes des bêtes immondes.

il y a 12 minutes, K-sos a dit :

Nous sommes des bêtes immondes.

   Mais pourquoi craches tu dans la soupe de l' humanité , pépère ?

Et puis d' ailleurs , nous ne sommes pas des bêtes mes des animaux . Les bêtes c' est ........... les bêtes . Le crapaud , l' araignaie , la limace , et j' en passe , et des plus belles ..... oui , ça , c' est des bêtes .

Il y a 18 heures, brooder a dit :

Nous prenons en témoignage de notre animalité l'exemple des autres espèces. Mais que reste t-il dans notre comportement et dans notre mode de vie, d'animal ?

Nous ne vivons manifestement pas sur la même planète. Vous êtes vénusien ?

Il y a 18 heures, brooder a dit :

Nous ne pouvons plus nous passer pour notre survie des machines. Que cela soit dans l'utilisation de notre corps ou dans notre façon de penser, nous nous référons d'avantage à des schémas artificiels que par des modes de vie naturels.

L'attitude qui nous fait tracer une ligne autour de nous et qui nous fait dire "là est le monde naturel et ici est le monde des hommes" relève de l'anthropocentrisme le plus déplorable et le plus arrogant. En fait, c'est l'erreur de pensée la plus grave que nous ayons jamais commis et nous allons la payer chèrement dans les prochaines décennies.

Il y a 17 heures, Prosarko a dit :

L'homme à la base à été créé pour évoluer, progresser, avancer encore et toujours. 

L'homme n'a pas été créé et il a encore moins été créé dans un but quelconque.

Il y a 17 heures, Prosarko a dit :

Il est dit nulle part que nous sommes des animaux avec un instinct primitif encré en nous. 

Je pense que tu as loupé quelques siècles de philosophie et de psychologie.

Il y a 17 heures, Prosarko a dit :

L'évolution de l'homme n'a été que bénéfique, parfois avec des inconvénients mais sûrement mieux que nos ancêtres vivants comme des animaux même s'ils n'en étaient pas forcément.

Qu'est-ce que l'évolution ? C'est le "travail" d'une espèce pour s'adapter à des conditions changeantes. Nous évoluons essentiellement parce que les choses changent autour de nous. Puisque nous nous adaptons à des conditions changeantes, alors cela signifie que notre état actuel est forcément le plus adapté aux conditions actuelles et que si nous comparons l'état actuel des choses avec les états passés, nous allons immanquablement nous dire que l'état actuel est le meilleur. Qu'avant, les choses devaient être terribles puisque notre être n'est plus adapté pour y vivre. Et c'est ainsi que naît le mirage du progrès, du bénéfice de l'évolution.

Il y a 17 heures, Prosarko a dit :

L'homme vivait à l'état animal quand l'environnement le rendait comme tel, mais là ça n'est plus le cas. 

Conneries. T'as beau te déguiser la bite, lui apprendre les bonnes manières, lui apprendre à taper sur un clavier d'ordinateur, la faire se balader dans un décorum urbain, ça reste une bite. Et quand ton ère de technologies va s'effondrer, d'ici quelques décennies, ta bite va vite perdre ses bonnes manières.

   IDA + IDA

3 min 34

Trinh Xuan Thuan me vole ma formule à moins que ce ne soit l'inverse 

 Oui

c'est plutôt l'inverse 

Il y a 4 heures, Dompteur de mots a dit :

Nous ne vivons manifestement pas sur la même planète. Vous êtes vénusien ?

L'attitude qui nous fait tracer une ligne autour de nous et qui nous fait dire "là est le monde naturel et ici est le monde des hommes" relève de l'anthropocentrisme le plus déplorable et le plus arrogant. En fait, c'est l'erreur de pensée la plus grave que nous ayons jamais commis et nous allons la payer chèrement dans les prochaines décennies.

 

La réponse la plus possible de ce rejet des autres espèces animales et plus globalement de la nature est surement dû au développement de l'esprit humain contre sa propre nature animale. Il lui a fallu se blinder contre la faiblesse d'une empathie envers ses proies.

Il y a 4 heures, Dompteur de mots a dit :

Qu'est-ce que l'évolution ? C'est le "travail" d'une espèce pour s'adapter à des conditions changeantes. Nous évoluons essentiellement parce que les choses changent autour de nous. Puisque nous nous adaptons à des conditions changeantes, alors cela signifie que notre état actuel est forcément le plus adapté aux conditions actuelles et que si nous comparons l'état actuel des choses avec les états passés, nous allons immanquablement nous dire que l'état actuel est le meilleur. Qu'avant, les choses devaient être terribles puisque notre être n'est plus adapté pour y vivre. Et c'est ainsi que naît le mirage du progrès, du bénéfice de l'évolution.

 

Conneries. T'as beau te déguiser la bite, lui apprendre les bonnes manières, lui apprendre à taper sur un clavier d'ordinateur, la faire se balader dans un décorum urbain, ça reste une bite. Et quand ton ère de technologies va s'effondrer, d'ici quelques décennies, ta bite va vite perdre ses bonnes manières.

La sélection naturelle "oublie" t-elle les erreurs de développement ou conserve t-elle dans le patrimoine génétique tous ses essais ?

Ce qui est sûr c'est l'empreinte écologique qui reste dans la nature !

Il y a 23 heures, Prosarko a dit :

L'homme à la base à été créé pour évoluer, progresser, avancer encore et toujours. 

L'homme de Neandertal depuis sa création vivait à l'état animal et n'a cessé de chercher à se nourrir, évoluer, avancer et progresser. 

Il est dit nulle part que nous sommes des animaux avec un instinct primitif encré en nous. 

L'évolution de l'homme n'a été que bénéfique, parfois avec des inconvénients mais sûrement mieux que nos ancêtres vivants comme des animaux même s'ils n'en étaient pas forcément.

L'homme vivait à l'état animal quand l'environnement le rendait comme tel, mais là ça n'est plus le cas. 

On vit dans l'ère de le technologie et on 's'y est adaptés. 

Il y a 20 heures, CAL26 a dit :

Ta réponse est sérieuse ? Si elle l'est elle ne l'est pas.

Il y a 17 heures, Prosarko a dit :

J'aime bien les arguments fondés 

A défaut des jugements sans fondement qui sont inutiles 

@Dompteur de mots a en partie expliqué ma réponse des plus simplistes (c'était une sorte de marqueur je n'avais plus ni le temps ni l'énergie pour répondre).

Progressivement la science doit se résoudre à admettre que notre singularité n'est qu'illusoire et nous partageons avec les autres animaux le langage, la construction d'outils voire la culture.

La différence de l'homme (de l'homo sapiens, il ne reste que cette espèce)  ne serait donc pas une différence de nature mais de degré (dans le développement du langage, dans la construction des outils ou dans ce que nous permet la culture).

Alors nous resterions des animaux ayant développé la culture à un niveau tel qu'elle lui permettrait de s'affranchir momentanément de certaines barrière physiologiques ( notamment en explorant des lieux qui lui sont totalement hostiles), d'allonger son espérance de vie et sa santé...bref de pousser au maximum sa volonté de survivre.

Et un rappel : Néandertal et l'équivalent de notre espèce (homo sapiens) qui donc s'est appuyé dès l'origine sur une certaine culture qu'il a développée mais qui en a laissé que peu de traces par sa disparition il y a 30 000 ans (donc peu de supports sont restés).

Il y a 5 heures, Dompteur de mots a dit :

T'as beau te déguiser la bite, lui apprendre les bonnes manières, lui apprendre à taper sur un clavier d'ordinateur, la faire se balader dans un décorum urbain, ça reste une bite. Et quand ton ère de technologies va s'effondrer, d'ici quelques décennies, ta bite va vite perdre ses bonnes manières.

Nul ! Réponse de beauf sans aucune finesse des plaines désertiques.

il y a 18 minutes, CAL26 a dit :

 

 

@Dompteur de mots a en partie expliqué ma réponse des plus simplistes (c'était une sorte de marqueur je n'avais plus ni le temps ni l'énergie pour répondre).

Progressivement la science doit se résoudre à admettre que notre singularité n'est qu'illusoire et nous partageons avec les autres animaux le langage, la construction d'outils voire la culture.

La différence de l'homme (de l'homo sapiens, il ne reste que cette espèce)  ne serait donc pas une différence de nature mais de degré (dans le développement du langage, dans la construction des outils ou dans ce que nous permet la culture).

Alors nous resterions des animaux ayant développé la culture à un niveau tel qu'elle lui permettrait de s'affranchir momentanément de certaines barrière physiologiques ( notamment en explorant des lieux qui lui sont totalement hostiles), d'allonger son espérance de vie et sa santé...bref de pousser au maximum sa volonté de survivre.

Et un rappel : Néandertal et l'équivalent de notre espèce (homo sapiens) qui donc s'est appuyé dès l'origine sur une certaine culture qu'il a développée mais qui en a laissé que peu de traces par sa disparition il y a 30 000 ans (donc peu de supports sont restés).

Reste que l'on se retrouve à la cime des espèces vivantes et que l'on ne sait à quoi réellement cela est dû et quelle est notre rôle à ce sommet de l'évolution !

Il est du rôle des sciences de répondre, maintenant rapidement car l'homo sapiens est responsable de biens de catastrophes mais c'est peut être dans l'ordre des choses des espèces prédatrices.

Je ne sais plus de qui est cette formule mais je la trouve assez parlante : "les humains sont des singes nus en colère".

Il y a 18 heures, brooder a dit :

Reste que l'on se retrouve à la cime des espèces vivantes et que l'on ne sait à quoi réellement cela est dû et quelle est notre rôle à ce sommet de l'évolution !

Il est du rôle des sciences de répondre, maintenant rapidement car l'homo sapiens est responsable de biens de catastrophes mais c'est peut être dans l'ordre des choses des espèces prédatrices.

Nope. Ce n'est pas le rôle des sciences de nous dire quel est notre rôle, de nous dire ce que nous devrions faire. Les sciences nous disent comment les choses sont (ou du moins, elles essaient), mais jamais comment les choses devraient être. Cela relève du domaine de l'éthique et donc de la philosophie. Évidemment, ça n'empêche pas que ce que va nous dire la science va être capital pour l'élaboration subséquente de nos résolutions éthiques.

il y a 46 minutes, Dompteur de mots a dit :

Nope. Ce n'est pas le rôle des sciences de nous dire quel est notre rôle, de nous dire ce que nous devrions faire. Les sciences nous disent comment les choses sont (ou du moins, elles essaient), mais jamais comment les choses devraient être. Cela relève du domaine de l'éthique et donc de la philosophie. Évidemment, ça n'empêche pas que ce que va nous dire la science va être capital pour l'élaboration subséquente de nos résolutions éthiques.

Les sciences et la technologie modifient en profondeur nos modes de vie et l'environnement. Si elles ne sont pas prises en compte le verbiage ne servira à rien. Il faudrait réfléchir en même temps l'orientation des savoirs et leurs impacts sur l'évolution. Comme il existe deux hémisphères du cerveau, le rationnel et la sensibilité doivent diriger nos actions.

L'humain suivant son cours, au fil de son évolution, perd toujours un moment ou un autre, le sens de l'orientation, parce l'humain n'ayant jamais pu identifié la nature qui le présente au monde, et ce, peut importe le potentiel, cherchera toujours l'animal, il y en sont certains qui ne le trouvent jamais, parce que la nature est ainsi faite . 

il y a 27 minutes, Noah le seul et unik a dit :

L'humain suivant son cours, au fil de son évolution, perd toujours un moment ou un autre, le sens de l'orientation, parce l'humain n'ayant jamais pu identifié la nature qui le présente au monde, et ce, peut importe le potentiel, cherchera toujours l'animal, il y en sont certains qui ne le trouvent jamais, parce que la nature est ainsi faite . 

Effectivement l'homme se cherche une identification sinon une reconnaissance. C'est le mythe de Narcisse qui ayant vue son image s'y perd. Il ne nous est donné que de s'identifier à l'animal.