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Afghanistan : L'avancée des Talibans

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Invité Lowy..

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Membre, 82ans Posté(e)
dede 2b Membre 27 616 messages
Maitre des forums‚ 82ans‚
Posté(e)
il y a 17 minutes, qkv a dit :

Bien sur ; c'est un texte de BONI -MENTEUR ; 60% de vrai ; le reste étant faux ; en plus la personne se fait un croche - patte à elle méme . Le monde que nous connaissons aujourd ' hui , c'est posé pendant la guerre de Corée ; les 3grands . Un serpent à 3tétes qui méne le monde . La plupart de ces conflits se sont menés à 3 . 

Ce serait mieux que tu commentes son texte!

Un serpent à 3tétes qui méne le monde . La plupart de ces conflits se sont menés à 3 .

Non à deux, lutte de classes oblige !

Y a pas de serpent dans cette histoire, et on est pas dans la rubrique zoologie!

 

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Membre, 70ans Posté(e)
petirobert Membre 6 976 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)

 les talibans seraient plus gentils que par le passé , on a enfin progressé, c est beau,  d après ce qu on entend , les femmes pourront travailler, la chine,  la russie, la turquie   veulent bien échanger avec eux , c est incroyable  comme les pays changent . en plus ils sont contres daech, bientôt on nous dira que c est bien, alors tout ça pour ça , il ne faut pas s inquiéter

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 415 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
Il y a 6 heures, garthriter a dit :

Les premiers attentats islamistes frappaient quand même les représentations diplomatiques et des militaires étrangers...Au Liban...US justement et Français...

Je ne suis pas sûr que ça contredise vraiment l'idée sous-jacente d'Azed.

De même, l'aide américaine a grandement aidé les islamistes en Afghanistan.

Et Daesh il vient d'où ?? D'Irak et fondé par d'anciens membres du parti Baas, après le renversement du régime irakien...Joli succès une fois de plus...

Pareil, l'Iran serait-il cet "Iran des Mollahs" si les Américains et les Britanniques n'avaient pas eu l'ingénieuse idée de faire renverser le gouvernement démocratique de Moassadegh ? Aujourd'hui c'est l'ennemi juré des Américains, avec des fanatiques religieux au pouvoir.

Alors je ne dis pas que sans les américains ça n'aurait pas existé...Mais ils ont été de très zélés contributeurs à cette situation merdique en renversement des pouvoirs en place, en armant et aidant des islamistes. Assurément, la merde n'aurait pas la même taille sans eux.

Pareil, si un jour la Libye devenait un repère de terroristes islamistes, tu ne pourras pas dire qu'on y est pour rien et puis de toute façon, on a pas inventé le djihad...

Nous avons aidé la rébellion en sachant pertinemment que le gros des combattants étaient des islamistes. Qu'historiquement, les opposants au pouvoir était le groupe islamique combattant en Libye (composé notamment d'anciens d'Afghanistan). Mais qui ont été vaincus par Kadhafi dans les années 1990. Ces derniers qui ont fui le pays à l'époque ont d'ailleurs pu trouver refuge en Grande Bretagne, pays qui les soutenait.

Ah, et pour remercier de l'aide en 1990 et de les avoir aidé à renverser Kadhafi en 2011...Le fils d'un de ces islamistes a commis un attentat meurtrier dans un concert à Manchester en 2017. Tuant principalement de jeunes filles/femmes compte tenu de l'artiste qui se produisait.

 

Et les attentats dans Paris, c'était contre des représentations diplomatiques ?

Exemple:

L'attentat du RER B à Saint-Michel est un attentat meurtrier qui s'est déroulé le 25 juillet 1995, vers 17 h, dans la gare de Saint-Michel - Revendiqué par le Groupe islamique armé (GIA) algérien.

Sans parler de tous les autres attentats qu'ils soient en France ou ailleurs causés par des islamistes ou non.

L'Irak, parlons en, intervention US dans ce pays (on peut ne pas apprécier effectivement...) mais de toute façon cela aurait tourné mal avec Hussein, tôt ou tard cela aurait été le drame et je rappelle que le pari Baas est laïc !

Les US ont aidé les afghans contre les soviétiques et alors ?

On a aussi aidé un des pires criminel qui soit, je parle de Staline qui luttait contre les nazis...

Au Liban les forces française (et américaines) étaient là par le biais de l'ONU, pas pour conquérir mais bien pour y maintenir la paix. Les attentats qui a fait de nombreuse victimes militaires françaises et américaines date de1983 et ces attentats ont été revendiqués par le Mouvement de la révolution islamique libre puis par l'Organisation du Jihad islamique, comme quoi l'islamiste ne remonte pas à l'intervention en Afghanistan ou en Irak par les américains.

Rouhollah Moussavi Khomeini et sa révolution islamique en Iran, date de..1979 ! 

"Pareil, si un jour la Libye devenait un repère de terroristes islamistes, tu ne pourras pas dire qu'on y est pour rien et puis de toute façon, on a pas inventé le djihad..."

Sois réaliste, de toute façon Kadhafi serait tombé, avec ou sans intervention occidentale, et qui aurait pris le pouvoir à ton avis, sinon les islamistes ?

L'intervention occidentale a simplement évité que des villes comme Benghazi et autres soient rasées par Kadhafi et sa bande dont son fils.

En Syrie les américains on refusé d'intervenir au dernier moment  contre le dictateur al-Assad et on voit le résultat, + de 450.000 morts, des dizaines de villes réduites en cendres, des millions de réfugiés dans des camps et un dictateur sanguinaire toujours en place, soutenu par les russes et le Hezbollah à la solde de l'Iran, est-ce mieux ?

Dans ces pays, les gouvernants sont tous corrompus, un jour ils sont laïcs, le lendemain ils sont islamistes (voir les membre du parti Baas irakien et syrien), tous escrocs et criminels, ils vont dans le sens qui peut leur sauver la vie et protéger leurs biens mal acquis.

Je rappelle que le dictateur syrien al-Assad est du parti Bass qui est  laïc et pourtant celui-ci accepte sur son sol des milices islamistes de la pire espèce comme le Hezbollah (parti de dieu !!!) qui obéit aux ordres des mollahs fanatiques iraniens, mouvement qui depuis le début des années 90,  s'accoquine avec d'autres mouvements islamistes et terroristes comme par exemple, le Hamas.

 

 

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Membre, 82ans Posté(e)
dede 2b Membre 27 616 messages
Maitre des forums‚ 82ans‚
Posté(e)
il y a 5 minutes, Anatole1949 a dit :

Je rappelle que le dictateur syrien al-Assad est du parti Bass qui est  laïc

Je rappelle qu'il n'y a pas le parti BAAS mais DES partis Baas

Le Parti Baas, Parti Baath ou Parti socialiste de la résurrection arabe (en arabe حزب البعث العربي الاشتراكي, Hizb al-Ba'ath al-Arabi al-Ishtiraki ; parfois orthographié Baas, Baath, Ba'ath ou Ba'as), de l'arabe البعث (« la Résurrection »), est créé en 19441 en Syrie avec comme but l'unification des différents États arabes en une seule et grande nation.

Après de nombreux événements (dont la scission du parti en deux et l'exil de ses fondateurs), le Baas arrive au pouvoir en Syrie (1963-1966, puis de 1970 jusqu'à nos jours) et en Irak (1963, chassé la même année, puis de 1968 à 2003).

La doctrine baathiste dit combiner le socialisme arabe et le nationalisme panarabe. La laïcité est un autre pilier du Baas : Michel Aflak reconnaît la place prépondérante de l'islam dans l'essor de la nation arabe, mais pense que seul un État laïc permettra de regrouper toutes les composantes d'une nation arabe très divisée sur le plan confessionnel. La devise du parti Wahdah, Hurriyah, Ishtirrakiyah (وحدة حرية اشتراكية) signifie « unité, liberté, socialisme ». « Unité » se rapporte à l'unité panarabe, « liberté » souligne la liberté vis-à-vis des intérêts occidentaux en particulier, et « socialisme » fait référence spécifiquement au socialisme arabe opposé au marxisme et se fondant sur la personne (et non les classes).

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Membre, 91ans Posté(e)
CURIOSUS23 Membre 1 203 messages
Mentor‚ 91ans‚
Posté(e)

Je vois ici et là des références aux pires dictateurs assassins de l'Histoire :
Hitler, Staline, plus récemment Kadhafi et tant d'autres......
Et pourtant, le cauchemar est toujours d'actualité.
L'Afghanistan est de nouveau sous le joug d'une bande de simples "cul-en-l'air", de malfrats incultes, quoique parait-il, leur leader serait un érudit. Dans ce cas, il se sert mal de son érudition si ce n'est que pour anéantir une nation sur tous les plans.
Je me suis battu autrefois contre des fous de Dieu catholiques sur le forum  Orange des papes, notamment aux côtés de Chanou34, de Jacky29 entre autres que j'oublie, c'est pour cela que je m'insurge avec véhémence contre ces empêcheurs de tourner en rond qu'apparemment aucune force en ce monde ne parvient à réduire au silence.
Puisse le Monde libre se coaliser afin de parvenir enfin à débarrasser la planète de cette gangrène religieuse qui la ronge, alors que nous avons suffisamment à faire avec les fléaux naturels biologiques comme géologiques qui nous empoisonnent la vie.
Les Talibans, il fallait les exterminer tant qu'il était temps. Malheureusement, ceux qui devaient être en charge de cette œuvre salutaire pour l'Humanité ne l'ont pas fait.
Cela reste donc à faire. Les punaises, on les écrase !!!!!!!!!! SNDD !!!!!!!!
Excusez moi, mais je suis très en colère. :dev:

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Membre, 58ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 58ans‚
Posté(e)
il y a 53 minutes, Anatole1949 a dit :

Et les attentats dans Paris, c'était contre des représentations diplomatiques ?

Exemple:

L'attentat du RER B à Saint-Michel est un attentat meurtrier qui s'est déroulé le 25 juillet 1995, vers 17 h, dans la gare de Saint-Michel - Revendiqué par le Groupe islamique armé (GIA) algérien.

Sans parler de tous les autres attentats qu'ils soient en France ou ailleurs causés par des islamistes ou non.

L'Irak, parlons en, intervention US dans ce pays (on peut ne pas apprécier effectivement...) mais de toute façon cela aurait tourné mal avec Hussein, tôt ou tard cela aurait été le drame et je rappelle que le pari Baas est laïc !

Les US ont aidé les afghans contre les soviétiques et alors ?

On a aussi aidé un des pires criminel qui soit, je parle de Staline qui luttait contre les nazis...

Au Liban les forces française (et américaines) étaient là par le biais de l'ONU, pas pour conquérir mais bien pour y maintenir la paix. Les attentats qui a fait de nombreuse victimes militaires françaises et américaines date de1983 et ces attentats ont été revendiqués par le Mouvement de la révolution islamique libre puis par l'Organisation du Jihad islamique, comme quoi l'islamiste ne remonte pas à l'intervention en Afghanistan ou en Irak par les américains.

Rouhollah Moussavi Khomeini et sa révolution islamique en Iran, date de..1979 ! 

"Pareil, si un jour la Libye devenait un repère de terroristes islamistes, tu ne pourras pas dire qu'on y est pour rien et puis de toute façon, on a pas inventé le djihad..."

Sois réaliste, de toute façon Kadhafi serait tombé, avec ou sans intervention occidentale, et qui aurait pris le pouvoir à ton avis, sinon les islamistes ?

L'intervention occidentale a simplement évité que des villes comme Benghazi et autres soient rasées par Kadhafi et sa bande dont son fils.

En Syrie les américains on refusé d'intervenir au dernier moment  contre le dictateur al-Assad et on voit le résultat, + de 450.000 morts, des dizaines de villes réduites en cendres, des millions de réfugiés dans des camps et un dictateur sanguinaire toujours en place, soutenu par les russes et le Hezbollah à la solde de l'Iran, est-ce mieux ?

Dans ces pays, les gouvernants sont tous corrompus, un jour ils sont laïcs, le lendemain ils sont islamistes (voir les membre du parti Baas irakien et syrien), tous escrocs et criminels, ils vont dans le sens qui peut leur sauver la vie et protéger leurs biens mal acquis.

Je rappelle que le dictateur syrien al-Assad est du parti Bass qui est  laïc et pourtant celui-ci accepte sur son sol des milices islamistes de la pire espèce comme le Hezbollah (parti de dieu !!!) qui obéit aux ordres des mollahs fanatiques iraniens, mouvement qui depuis le début des années 90,  s'accoquine avec d'autres mouvements islamistes et terroristes comme par exemple, le Hamas.

 

 

tu tourne en rond depuis 5 ans toi ! je t'ai apporté des preuves et tu continue à radoter comme hérodote.

l'otan , le réseau gladio, depuis 1996 bien avant les attentats de pâris et bruxelles était déjà sur le coup, en  1996 bien avant le 11/09/2001.

je te remets l'article issus d'un rapport militaire belge sur le réseau gladio et la suite à donner pour l'occident pour le futur post guerre froide. tout ce qu'on a vécu y est ! ils ont une boule de crystale à l'otan. l'article en ligne est payant , mais je l'ai en format word. en 1996 c'était l'affaire dutroux. on ne parlait pas de ben laden ou autre al qaida. l'otan a remplacé l'urss par les islamistes. tout ça pour du fric ! pour engraisser les marchands d'armes et les actionnaires comme bush, rumsfeld et autres. rien d'autres.

lis le , car tu me fatigue.

Une note d'un nouveau et discret réseau de renseignement

L'ARMEE CRAINT UNE MENACE IMMIGREE L'ARMEE TISSE UN NOUVEAU RESEAU D'ESPIONS LA JUSTICE ET LE COMITE R ENQUETENT

 

Page Une Mardi (30 juillet 1996)


La suppression du réseau Gladio et la restructuration des Forces armées ont modifié ou détruit des pans entiers de la structure de défense du territoire comme elle s'était patiemment bâtie depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Rien d'étonnant, dès lors, à ce que l'armée redéfinisse ces plans. Mais depuis l'effondrement du bloc de l'Est, quelle est la menace qui pèse sur le territoire et qui mérite qu'on s'en protège ? Un document classifié, daté d'août 1995 et intitulé Plan de base de la défense militaire du territoire, dont nous avons pu prendre connaissance, permet de craindre que l'armée considère qu'il sagit, par principe, des communautés immigrées. On peut ainsi y lire que Nombre de communautés immigrées se sont fixées dans les grandes agglomérations. Si ces groupes de population devaient entrer clairement en désaccord avec la politique belge, ils pourraient déclencher des actions visant à contrarier cette politique ou visant à faire connaître leurs mécontentements (...) Nous considérons qu'il n'existe aucune menace ouverte en Belgique (...) Mais il existe bien une menace clandestine avec un caractère permanent. Fort de cette analyse de la menace actuelle fournie par l'Etat-major, le Commandement territorial interforces - organisé par provinces et essentiellement constitué d'officiers de réserve - a donc pu définir les missions de son personnel : La mission des Unités de la Sécurité militaire du territoire repose sur la collecte du renseignement. Les unités doivent s'engager au travail dans les provinces comme " un agent de quartier dans son quartier "... Concrètement, plusieurs centaines d'officiers de réserve sont ou seront donc priés, selon ce plan, de tisser un réseau d'informateurs dans la société civile. Avec la mission de porter un intérêt particulier aux communautés immigrées constituant une menace clandestine avec un caractère permanent. S'il n'est étroitement lié aux activités du Service général de renseignement

 

(ce qui serait étonnant) ce réseau n'est donc rien d'autre qu'une nouvelle structure de renseignement militaire curieuse des soubresauts de la société civile et particulièrement méfiante à l'égard de ce qui lui est étranger. Interrogé à propos de ce plan, un porte-parole de la défense nationale nous a expliqué, hier, qu'il s'agit d'un projet de plan qui doit être finalisé avant la fin de l'année et la menace qu'il évoque est une menace en temps de guerre. L'ensemble du plan (détaillant le comportement d'un ennemi en temps de paix, en période de crise, puis en période de conflit) et les mesures de surveillance qu'il prévoit (et qui s'appliquent en temps de paix) démontrent que ce second argument est pour le moins étonnant. Quant au premier argument, on notera avec intérêt que quand bien même il s'agirait d'un " projet ", il a déjà reçu au moins un début d'exécution... Du 28 novembre au 1er décembre de l'année dernière, le Régiment territorial des Guides (un nouveau bataillon constitué essentiellement d'officiers de réserve dans la Région militaire Bruxelles-Brabant) a en effet participé à l'exercice-période de rappel " Meise 95 " dont on a peu parlé dans les journaux. Le scénario de cet exercice était le suivant : Depuis le mois d'août dernier, un mouvement de terreur s'affirme dans la plupart des grandes villes européennes. Les trafics aérien et ferroviaire sont perturbés dans de nombreux pays. Les communautés d'émigrants originaires principalement de la République de Moslavie (sic !) affichent leurs idées anti-européennes et anti-américaines... ALAIN GUILLAUME Articles page 15 L'armée tisse un nouveau réseau d'espions Le renseignement militaire s'organise et recrute pour contrer une " menace clandestine permanente " dans les communautés immigrées. Depuis plusieurs mois, quelques journaux se font l'écho, de manière imprécise, d'une apparente renaissance du " réseau Gladio " ou " Stay behind " au sein des forces armées. Parallèlement, diverses informations de presse ont rapporté le redéploiement discret de certaines sections du SGR (le Service général de renseignement de l'armée) et le développement de ses méthodes de collecte du renseignement impliquant, entre autres, des écoutes téléphoniques et des interceptions de radiocommunications. Pour la première fois, " Le Soir " est en mesure, documents à l'appui, de préciser et d'expliquer ces soupçons. Les Forces armées belges procèdent bel et bien, depuis environ un an et discrètement, au redéploiement d'unités de défense militaire du territoire (sous l'autorité de l'ITC, le commandement territorial interforces). Une composante de cette structure est - ou devrait être - un réseau d'information (et d'action) parallèle plongeant ses racines dans un corps de plus de 1.000 officiers de réserve de la Force terrestre. Ce réseau travaille, selon toute vraisemblance, en relation avec le service général du renseignement (de l'état-major). Il est chargé, selon des plans ébauchés en août 1995, de s'insérer dans la société civile et d'y recruter des correspondants. La cible principale de ce réseau de renseignement est formée, toujours selon ces plans, par les communautés immigrées installées en Belgique qui, selon ces documents confidentiels, constituent une menace clandestine avec un caractère permanent. LA MENACE ACTUELLE L'analyse des menaces que pressent l'armée et l'ébauche du dispositif qu'elle entend mettre en place pour y faire face se trouvent (entre autres) dans un document classifié portant le titre de Plan de base de la défense militaire du territoire, daté d'août 1995. Le cabinet de la Défense nationale en reconnaît l'existence mais soutient qu'il s'agit d'un projet qui doit encore être aménagé avant la fin de l'année. Il nous est impossible de préciser dans quelle mesure, mais ce " projet " a déjà connu (au minimum) un début d'exécution. En témoignent, entre autres, l'exercice " Meise 95 " qui s'est déroulé en novembre 1995 dans la province de Brabant sur les scénarios décrits dans le Plan de base et un exercice similaire qui doit se dérouler en septembre dans la province d'Anvers ! Par ailleurs, on a peine à imaginer que quelques mois suffiront à transformer " la menace actuelle " telle qu'elle est décrite dans ce plan du commandement territorial interforces et telle qu'elle est conçue par l'état-major général (et donc plus que probablement par le SGR). On peut y lire que... Nous [les unités de défense militaire du territoire] constatons qu'un grand nombre de pays et de nations veulent vivre sur le modèle occidental. En témoignent les transformations en Europe de l'Est et les tentatives de démocratisation, entre autres en Afrique. Dans le même temps, un nombre croissant d'étrangers d'origines variées - mais issus surtout de l'Afrique qui est notre principal fournisseur de matières premières - s'installent dans les pays de la Communauté européenne. Nombre de communautés immigrées, poursuit ce texte classifié, se sont fixées dans les grandes agglomérations où se trouvent également les principaux organes de décision (...) Si ces groupes de population devaient entrer clairement en désaccord avec la politique belge, ils pourraient déclencher des actions visant à contrarier cette politique ou visant à faire connaître leurs mécontentements. Compte tenu de l'actuelle absence d'intentions ou d'actions [de ces groupes], nous pouvons limiter notre attention aux moyens dont dispose chaque opposant potentiel. (...) Nous considérons qu'il n'existe aucune menace ouverte en Belgique (...) mais il existe bien une menace clandestine avec un caractère permanent. Le document énumère ensuite les missions que des groupes hostiles pourraient remplir (collecte de renseignements militaires, reconnaissance d'objectifs, subversion, propagande et désinformation, sabotage, etc.) ainsi que les moyens qui pourraient être mis en oeuvre par l'adversaire. Il énumère à cet égard des agents et sympathisants qui résident le plus souvent légalement dans notre pays. Ils font partie des milieux diplomatique, culturel, commerciaux et religieux. Ou encore, des sections de propagande et de désinformation qui manipulent toutes sortes d'activités pour, à terme, influencer les décisions politiques par la voie de l'opinion publique. Concrètement, pour faire face à cette menace, le Plan de base de défense militaire du territoire conclut que la mission des unités Sécurité militaire du territoire repose sur la collecte du renseignement. Les unités doivent s'engager au travail dans les provinces comme " un agent de quartier dans son quartier ". Ainsi, une relation de confiance doit se nouer entre le personnel [des unités] et les services de police et de gendarmerie, les gardes champêtres et gardes forestiers des provinces, et la population qui habite aux alentours des points sensibles. Ces contacts doivent avoir été établis en temps de paix. Cela doit de préférence se produire à l'occasion des périodes de rappel. C'est pourquoi il est conseillé d'établir une liste de ces autorités et services, avec mention de leur adresse, numéro de téléphone et fax, et d'autres données qui peuvent être utiles. Très concrètement, la défense du territoire est déjà réorganisée au niveau des provinces... tout comme une série d'antennes du service général de renseignement. Plusieurs des réservistes attachés à ces unités ont déjà été informés des menaces pesant - selon l'état-major et le commandement territorial interforces - potentiellement sur le pays et savent qu'on attend d'eux qu'ils développent, dans la population civile, des réseaux d'informateurs attentifs aux " points sensibles " (ports, centres de télécommunications, centrales d'énergie...) et aux communautés immigrées. ALAIN GUILLAUME La " Moslavie " menaçait la Belgique En novembre 1990, le ministre de la Défense de l'époque - Guy Coëme - décide de révéler l'existence au sein de l'armée d'une structure secrète : l'organisation " Stay behind " qui oeuvre dans le cadre d'un plan de défense international. Coëme craint - sur base de ce que l'on découvre alors en Italie (où le réseau est connu sous le nom de Gladio) - que la structure belge puisse être mêlée aux années noires du terrorisme belge. Les " Stay Behind " s'étaient progressivement constitués au lendemain de la seconde guerre. Leur but : organiser en temps de paix une structure clandestine qui pourrait rester à l'intérieur des frontières envahies par l'ennemi, pour y mener des actions de renseignement et d'action. Les tueurs du Brabant se cachaient-ils au sein de cette structure constituée de militaires et de civils en principe patriotes ? Une commission d'enquête parlementaire allait bientôt constater que rien ne permettait de le penser. Mais les " Stay behind " étaient obsolètes à bien des égards. Le Parlement allait constater que leur structure même (des civils pour combattre l'ennemi) était en infraction avec les lois de la guerre et dans l'émoi causé par la révélation du ministre, le gouvernement avait décidé, en novembre 1990 déjà, de supprimer le réseau secret (alors animé par la section SDRA-8 du SGR et par une section spéciale de la Sûreté). Cette décision était plus lourde de conséquences qu'on feignait de l'imaginer à l'époque. Un pan important des plans de défense s'écroulait avec la disparition des " Stay Behind ", de leur matériel, de leur documentation et de leur savoir-faire. Il était évident que d'une manière ou de l'autre " quelque chose " devrait remplacer les " Stay behind" , au moins partiellement. Ce " quelque chose " est donc constitué des unités de défense du territoire du commandement territorial interforces. Dans son numéro de janvier 1996, la revue Vox a consacré un article - très discret - au premier exercice de l'une de ces unités, le régiment territorial des Guides déployé (en période de rappel) dans la province du Brabant. Depuis le mois d'août dernier, un mouvement de terreur s'affirme dans la plupart des grandes villes européennes. Les trafics aérien et ferroviaire sont perturbés dans de nombreux pays. Les communautés d'émigrants originaires pour la plupart de Moslavie (sic !) affichent leurs idées anti-européennes et anti-américaines... Tel était le scénario de l'exercice " Meise 95 ". Quel est le scénario pour le mois prochain, en province d'Anvers ? En son temps, le Centre pour l'égalité des chances avait réagi auprès de Vox. Les responsables de la revue militaire avaient reconnu la " mauvaise lecture " que l'on pourrait avoir de ce scénario, assurant que ce serait à tort et précisant que leur publication fait activement campagne contre le racisme. Vingt-cinq officiers de réserve du tout nouveau régiment territorial des Guides (de la région militaire Bruxelles-Brabant) y avaient participé. Le tableau organique de ce régiment comprend un quartier général tactique (39 hommes), trois compagnies d'infanterie légère (145 hommes) et un escadron de reconnaissance léger (133 militaires). L'insigne de cette unité - issue de la réorganisation du cadre de réserve - porte le monogramme d'Albert II. Al. G. La Justice et le Comité R enquêtent Depuis de nombreux mois, plusieurs journaux évoquent, périodiquement, la reconstitution d'une sorte de " réseau Gladio " et l'attitude particulièrement " offensive " du Service général de renseignement. Ces articles ont déclenché, à la demande du ministre de la Défense Jean-Pol Poncelet, une enquête du Comité R (le Comité de contrôle des services de renseignement); elles ont provoqué l'ouverture d'une information à l'auditorat général; et elles ont enfin suscité une série d'interpellations et de questions parlementaires. Les investigations du Comité R sont toujours en cours, sous la " direction " de l'une des " sages " du Comité, Mme Cailloux. Ces travaux ont connu quelques bégaiements, entre autres parce que la présidente du Comité disposait d'informations que " les sages " l'entourant hésitaient à utiliser sans savoir qui était le mystérieux informateur de la présidente. Faut-il attendre beaucoup de cette enquête ? Rien n'est moins sûr : depuis sa création, le Comité R se montre particulièrement compréhensif à l'égard du service de renseignement militaire. L'information ouverte à l'auditorat général n'a qu'un objet limité : les écoutes téléphoniques et les interceptions radio effectuées (illégalement ou abusivement ?) par le SGR. On insiste, à l'auditorat, pour que les démarches de l'institution ne soient pas interprétées à tort comme un début de suspicion à l'égard du service. Les démarches ? Rien d'autre que des entretiens avec les responsables du service et des visites courtoises - la dernière en date ce mois-ci encore - et sur rendez-vous (où l'on n'a rien trouvé d'extraordinaire !). Quoi qu'il en soit, la justice militaire est décidée à clôturer au plus vite - question de semaines - ce dossier à l'information : soit en engageant des poursuites, soit en classant l'affaire. Restent les questions et interpellations parlementaires. Aucune ne porte jusqu'ici sur la réorganisation de la défense militaire du territoire, mais on y découvre des précisions intéressantes fournies par le ministre Poncelet. La documentation centrale du SGR comprend, précise-t-il, 450.000 dossiers. Des fichiers mécaniques dont l'informatisation est en cours de mise au point. La commission pour la protection de la vie privée a émis, en février 96, une série de réserves sur ces fichiers. Un " nettoyage " sera fait, promet le ministre, lors de la mise en oeuvre du fichier électronique. On entre dans ce fichier entre autres quand on a été impliqué dans des actions menées contre des installations militaires ou dans des activités qui touchent à l'espionnage, à la subversion, au sabotage et au terrorisme, au sein ou à l'encontre des forces armées. C'est évidemment avec cet alibi que les renseignements recueillis par les unités de défense du territoire sur des étrangers constituant une menace clandestine avec un caractère permanent devraient en bonne logique trouver leur place dans le fichier du SGR. A propos de l'installation de " détachements provinciaux " du SGR dans des bureaux locaux, Jean-Pol Poncelet a précisé que cette décision avait été prise en 1993 et mise en oeuvre en 1995 (au moment où les unités de défense du territoire se redéployaient). Dans le seul but de rationaliser les déplacements et les communications du personnel, ajoutait sérieusement le ministre. Al. G.


https://plus.lesoir.be//art/l-armee-craint-une-menace-immigree-l-armee-tisse-un-nou_t-19960730-Z0CEUE.html

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Membre, 70ans Posté(e)
petirobert Membre 6 976 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
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si on lutte aussi bien contre le terrorisme que pour la drogue, il ne faut pas  s en faire , dans quelques années  ça va être la grande vadrouille ou la 7 éme compagnie  

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Membre, 82ans Posté(e)
dede 2b Membre 27 616 messages
Maitre des forums‚ 82ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, CURIOSUS23 a dit :

Les Talibans, il fallait les exterminer tant qu'il était temps. Malheureusement, ceux qui devaient être en charge de cette œuvre salutaire pour l'Humanité ne l'ont pas fait.

Bah non puisque ce sont eux qui les ont protégés et armés!

 

Il y a 2 heures, azed1967 a dit :

je te remets l'article issus d'un rapport militaire belge sur le réseau gladio

Gaffe c'est issu d'un site complotiste!

Bien qu'effectivement ce réseau a exister, CIA et C°:

Les réseaux clandestins de l'OTAN pendant la guerre froide, dits Stay-behind, étaient actifs dans la quasi-totalité des pays d'Europe occidentale, dont la Belgique. Révélés en Italie le 24 octobre 1990 par le président du Conseil Giulio Andreotti sous le nom Gladio (Glaive en italien), ces réseaux paramilitaires visaient à se préparer en cas d'invasion soviétique, notamment par le biais de mise en place de réseaux d'évacuation et par l'entraînement à la guerre de partisans. Des caches d'armes à la disposition de ces armées secrètes étaient enfouies un peu partout sur le territoire européen. Wiki

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qkv Membre 2 486 messages
Forumeur vétéran‚
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Il y a 1 heure, azed1967 a dit :

tu tourne en rond depuis 5 ans toi ! je t'ai apporté des preuves et tu continue à radoter comme hérodote.

l'otan , le réseau gladio, depuis 1996 bien avant les attentats de pâris et bruxelles était déjà sur le coup, en  1996 bien avant le 11/09/2001.

je te remets l'article issus d'un rapport militaire belge sur le réseau gladio et la suite à donner pour l'occident pour le futur post guerre froide. tout ce qu'on a vécu y est ! ils ont une boule de crystale à l'otan. l'article en ligne est payant , mais je l'ai en format word. en 1996 c'était l'affaire dutroux. on ne parlait pas de ben laden ou autre al qaida. l'otan a remplacé l'urss par les islamistes. tout ça pour du fric ! pour engraisser les marchands d'armes et les actionnaires comme bush, rumsfeld et autres. rien d'autres.

lis le , car tu me fatigue.

Une note d'un nouveau et discret réseau de renseignement

L'ARMEE CRAINT UNE MENACE IMMIGREE L'ARMEE TISSE UN NOUVEAU RESEAU D'ESPIONS LA JUSTICE ET LE COMITE R ENQUETENT

 

Page Une Mardi (30 juillet 1996)


La suppression du réseau Gladio et la restructuration des Forces armées ont modifié ou détruit des pans entiers de la structure de défense du territoire comme elle s'était patiemment bâtie depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Rien d'étonnant, dès lors, à ce que l'armée redéfinisse ces plans. Mais depuis l'effondrement du bloc de l'Est, quelle est la menace qui pèse sur le territoire et qui mérite qu'on s'en protège ? Un document classifié, daté d'août 1995 et intitulé Plan de base de la défense militaire du territoire, dont nous avons pu prendre connaissance, permet de craindre que l'armée considère qu'il sagit, par principe, des communautés immigrées. On peut ainsi y lire que Nombre de communautés immigrées se sont fixées dans les grandes agglomérations. Si ces groupes de population devaient entrer clairement en désaccord avec la politique belge, ils pourraient déclencher des actions visant à contrarier cette politique ou visant à faire connaître leurs mécontentements (...) Nous considérons qu'il n'existe aucune menace ouverte en Belgique (...) Mais il existe bien une menace clandestine avec un caractère permanent. Fort de cette analyse de la menace actuelle fournie par l'Etat-major, le Commandement territorial interforces - organisé par provinces et essentiellement constitué d'officiers de réserve - a donc pu définir les missions de son personnel : La mission des Unités de la Sécurité militaire du territoire repose sur la collecte du renseignement. Les unités doivent s'engager au travail dans les provinces comme " un agent de quartier dans son quartier "... Concrètement, plusieurs centaines d'officiers de réserve sont ou seront donc priés, selon ce plan, de tisser un réseau d'informateurs dans la société civile. Avec la mission de porter un intérêt particulier aux communautés immigrées constituant une menace clandestine avec un caractère permanent. S'il n'est étroitement lié aux activités du Service général de renseignement

 

(ce qui serait étonnant) ce réseau n'est donc rien d'autre qu'une nouvelle structure de renseignement militaire curieuse des soubresauts de la société civile et particulièrement méfiante à l'égard de ce qui lui est étranger. Interrogé à propos de ce plan, un porte-parole de la défense nationale nous a expliqué, hier, qu'il s'agit d'un projet de plan qui doit être finalisé avant la fin de l'année et la menace qu'il évoque est une menace en temps de guerre. L'ensemble du plan (détaillant le comportement d'un ennemi en temps de paix, en période de crise, puis en période de conflit) et les mesures de surveillance qu'il prévoit (et qui s'appliquent en temps de paix) démontrent que ce second argument est pour le moins étonnant. Quant au premier argument, on notera avec intérêt que quand bien même il s'agirait d'un " projet ", il a déjà reçu au moins un début d'exécution... Du 28 novembre au 1er décembre de l'année dernière, le Régiment territorial des Guides (un nouveau bataillon constitué essentiellement d'officiers de réserve dans la Région militaire Bruxelles-Brabant) a en effet participé à l'exercice-période de rappel " Meise 95 " dont on a peu parlé dans les journaux. Le scénario de cet exercice était le suivant : Depuis le mois d'août dernier, un mouvement de terreur s'affirme dans la plupart des grandes villes européennes. Les trafics aérien et ferroviaire sont perturbés dans de nombreux pays. Les communautés d'émigrants originaires principalement de la République de Moslavie (sic !) affichent leurs idées anti-européennes et anti-américaines... ALAIN GUILLAUME Articles page 15 L'armée tisse un nouveau réseau d'espions Le renseignement militaire s'organise et recrute pour contrer une " menace clandestine permanente " dans les communautés immigrées. Depuis plusieurs mois, quelques journaux se font l'écho, de manière imprécise, d'une apparente renaissance du " réseau Gladio " ou " Stay behind " au sein des forces armées. Parallèlement, diverses informations de presse ont rapporté le redéploiement discret de certaines sections du SGR (le Service général de renseignement de l'armée) et le développement de ses méthodes de collecte du renseignement impliquant, entre autres, des écoutes téléphoniques et des interceptions de radiocommunications. Pour la première fois, " Le Soir " est en mesure, documents à l'appui, de préciser et d'expliquer ces soupçons. Les Forces armées belges procèdent bel et bien, depuis environ un an et discrètement, au redéploiement d'unités de défense militaire du territoire (sous l'autorité de l'ITC, le commandement territorial interforces). Une composante de cette structure est - ou devrait être - un réseau d'information (et d'action) parallèle plongeant ses racines dans un corps de plus de 1.000 officiers de réserve de la Force terrestre. Ce réseau travaille, selon toute vraisemblance, en relation avec le service général du renseignement (de l'état-major). Il est chargé, selon des plans ébauchés en août 1995, de s'insérer dans la société civile et d'y recruter des correspondants. La cible principale de ce réseau de renseignement est formée, toujours selon ces plans, par les communautés immigrées installées en Belgique qui, selon ces documents confidentiels, constituent une menace clandestine avec un caractère permanent. LA MENACE ACTUELLE L'analyse des menaces que pressent l'armée et l'ébauche du dispositif qu'elle entend mettre en place pour y faire face se trouvent (entre autres) dans un document classifié portant le titre de Plan de base de la défense militaire du territoire, daté d'août 1995. Le cabinet de la Défense nationale en reconnaît l'existence mais soutient qu'il s'agit d'un projet qui doit encore être aménagé avant la fin de l'année. Il nous est impossible de préciser dans quelle mesure, mais ce " projet " a déjà connu (au minimum) un début d'exécution. En témoignent, entre autres, l'exercice " Meise 95 " qui s'est déroulé en novembre 1995 dans la province de Brabant sur les scénarios décrits dans le Plan de base et un exercice similaire qui doit se dérouler en septembre dans la province d'Anvers ! Par ailleurs, on a peine à imaginer que quelques mois suffiront à transformer " la menace actuelle " telle qu'elle est décrite dans ce plan du commandement territorial interforces et telle qu'elle est conçue par l'état-major général (et donc plus que probablement par le SGR). On peut y lire que... Nous [les unités de défense militaire du territoire] constatons qu'un grand nombre de pays et de nations veulent vivre sur le modèle occidental. En témoignent les transformations en Europe de l'Est et les tentatives de démocratisation, entre autres en Afrique. Dans le même temps, un nombre croissant d'étrangers d'origines variées - mais issus surtout de l'Afrique qui est notre principal fournisseur de matières premières - s'installent dans les pays de la Communauté européenne. Nombre de communautés immigrées, poursuit ce texte classifié, se sont fixées dans les grandes agglomérations où se trouvent également les principaux organes de décision (...) Si ces groupes de population devaient entrer clairement en désaccord avec la politique belge, ils pourraient déclencher des actions visant à contrarier cette politique ou visant à faire connaître leurs mécontentements. Compte tenu de l'actuelle absence d'intentions ou d'actions [de ces groupes], nous pouvons limiter notre attention aux moyens dont dispose chaque opposant potentiel. (...) Nous considérons qu'il n'existe aucune menace ouverte en Belgique (...) mais il existe bien une menace clandestine avec un caractère permanent. Le document énumère ensuite les missions que des groupes hostiles pourraient remplir (collecte de renseignements militaires, reconnaissance d'objectifs, subversion, propagande et désinformation, sabotage, etc.) ainsi que les moyens qui pourraient être mis en oeuvre par l'adversaire. Il énumère à cet égard des agents et sympathisants qui résident le plus souvent légalement dans notre pays. Ils font partie des milieux diplomatique, culturel, commerciaux et religieux. Ou encore, des sections de propagande et de désinformation qui manipulent toutes sortes d'activités pour, à terme, influencer les décisions politiques par la voie de l'opinion publique. Concrètement, pour faire face à cette menace, le Plan de base de défense militaire du territoire conclut que la mission des unités Sécurité militaire du territoire repose sur la collecte du renseignement. Les unités doivent s'engager au travail dans les provinces comme " un agent de quartier dans son quartier ". Ainsi, une relation de confiance doit se nouer entre le personnel [des unités] et les services de police et de gendarmerie, les gardes champêtres et gardes forestiers des provinces, et la population qui habite aux alentours des points sensibles. Ces contacts doivent avoir été établis en temps de paix. Cela doit de préférence se produire à l'occasion des périodes de rappel. C'est pourquoi il est conseillé d'établir une liste de ces autorités et services, avec mention de leur adresse, numéro de téléphone et fax, et d'autres données qui peuvent être utiles. Très concrètement, la défense du territoire est déjà réorganisée au niveau des provinces... tout comme une série d'antennes du service général de renseignement. Plusieurs des réservistes attachés à ces unités ont déjà été informés des menaces pesant - selon l'état-major et le commandement territorial interforces - potentiellement sur le pays et savent qu'on attend d'eux qu'ils développent, dans la population civile, des réseaux d'informateurs attentifs aux " points sensibles " (ports, centres de télécommunications, centrales d'énergie...) et aux communautés immigrées. ALAIN GUILLAUME La " Moslavie " menaçait la Belgique En novembre 1990, le ministre de la Défense de l'époque - Guy Coëme - décide de révéler l'existence au sein de l'armée d'une structure secrète : l'organisation " Stay behind " qui oeuvre dans le cadre d'un plan de défense international. Coëme craint - sur base de ce que l'on découvre alors en Italie (où le réseau est connu sous le nom de Gladio) - que la structure belge puisse être mêlée aux années noires du terrorisme belge. Les " Stay Behind " s'étaient progressivement constitués au lendemain de la seconde guerre. Leur but : organiser en temps de paix une structure clandestine qui pourrait rester à l'intérieur des frontières envahies par l'ennemi, pour y mener des actions de renseignement et d'action. Les tueurs du Brabant se cachaient-ils au sein de cette structure constituée de militaires et de civils en principe patriotes ? Une commission d'enquête parlementaire allait bientôt constater que rien ne permettait de le penser. Mais les " Stay behind " étaient obsolètes à bien des égards. Le Parlement allait constater que leur structure même (des civils pour combattre l'ennemi) était en infraction avec les lois de la guerre et dans l'émoi causé par la révélation du ministre, le gouvernement avait décidé, en novembre 1990 déjà, de supprimer le réseau secret (alors animé par la section SDRA-8 du SGR et par une section spéciale de la Sûreté). Cette décision était plus lourde de conséquences qu'on feignait de l'imaginer à l'époque. Un pan important des plans de défense s'écroulait avec la disparition des " Stay Behind ", de leur matériel, de leur documentation et de leur savoir-faire. Il était évident que d'une manière ou de l'autre " quelque chose " devrait remplacer les " Stay behind" , au moins partiellement. Ce " quelque chose " est donc constitué des unités de défense du territoire du commandement territorial interforces. Dans son numéro de janvier 1996, la revue Vox a consacré un article - très discret - au premier exercice de l'une de ces unités, le régiment territorial des Guides déployé (en période de rappel) dans la province du Brabant. Depuis le mois d'août dernier, un mouvement de terreur s'affirme dans la plupart des grandes villes européennes. Les trafics aérien et ferroviaire sont perturbés dans de nombreux pays. Les communautés d'émigrants originaires pour la plupart de Moslavie (sic !) affichent leurs idées anti-européennes et anti-américaines... Tel était le scénario de l'exercice " Meise 95 ". Quel est le scénario pour le mois prochain, en province d'Anvers ? En son temps, le Centre pour l'égalité des chances avait réagi auprès de Vox. Les responsables de la revue militaire avaient reconnu la " mauvaise lecture " que l'on pourrait avoir de ce scénario, assurant que ce serait à tort et précisant que leur publication fait activement campagne contre le racisme. Vingt-cinq officiers de réserve du tout nouveau régiment territorial des Guides (de la région militaire Bruxelles-Brabant) y avaient participé. Le tableau organique de ce régiment comprend un quartier général tactique (39 hommes), trois compagnies d'infanterie légère (145 hommes) et un escadron de reconnaissance léger (133 militaires). L'insigne de cette unité - issue de la réorganisation du cadre de réserve - porte le monogramme d'Albert II. Al. G. La Justice et le Comité R enquêtent Depuis de nombreux mois, plusieurs journaux évoquent, périodiquement, la reconstitution d'une sorte de " réseau Gladio " et l'attitude particulièrement " offensive " du Service général de renseignement. Ces articles ont déclenché, à la demande du ministre de la Défense Jean-Pol Poncelet, une enquête du Comité R (le Comité de contrôle des services de renseignement); elles ont provoqué l'ouverture d'une information à l'auditorat général; et elles ont enfin suscité une série d'interpellations et de questions parlementaires. Les investigations du Comité R sont toujours en cours, sous la " direction " de l'une des " sages " du Comité, Mme Cailloux. Ces travaux ont connu quelques bégaiements, entre autres parce que la présidente du Comité disposait d'informations que " les sages " l'entourant hésitaient à utiliser sans savoir qui était le mystérieux informateur de la présidente. Faut-il attendre beaucoup de cette enquête ? Rien n'est moins sûr : depuis sa création, le Comité R se montre particulièrement compréhensif à l'égard du service de renseignement militaire. L'information ouverte à l'auditorat général n'a qu'un objet limité : les écoutes téléphoniques et les interceptions radio effectuées (illégalement ou abusivement ?) par le SGR. On insiste, à l'auditorat, pour que les démarches de l'institution ne soient pas interprétées à tort comme un début de suspicion à l'égard du service. Les démarches ? Rien d'autre que des entretiens avec les responsables du service et des visites courtoises - la dernière en date ce mois-ci encore - et sur rendez-vous (où l'on n'a rien trouvé d'extraordinaire !). Quoi qu'il en soit, la justice militaire est décidée à clôturer au plus vite - question de semaines - ce dossier à l'information : soit en engageant des poursuites, soit en classant l'affaire. Restent les questions et interpellations parlementaires. Aucune ne porte jusqu'ici sur la réorganisation de la défense militaire du territoire, mais on y découvre des précisions intéressantes fournies par le ministre Poncelet. La documentation centrale du SGR comprend, précise-t-il, 450.000 dossiers. Des fichiers mécaniques dont l'informatisation est en cours de mise au point. La commission pour la protection de la vie privée a émis, en février 96, une série de réserves sur ces fichiers. Un " nettoyage " sera fait, promet le ministre, lors de la mise en oeuvre du fichier électronique. On entre dans ce fichier entre autres quand on a été impliqué dans des actions menées contre des installations militaires ou dans des activités qui touchent à l'espionnage, à la subversion, au sabotage et au terrorisme, au sein ou à l'encontre des forces armées. C'est évidemment avec cet alibi que les renseignements recueillis par les unités de défense du territoire sur des étrangers constituant une menace clandestine avec un caractère permanent devraient en bonne logique trouver leur place dans le fichier du SGR. A propos de l'installation de " détachements provinciaux " du SGR dans des bureaux locaux, Jean-Pol Poncelet a précisé que cette décision avait été prise en 1993 et mise en oeuvre en 1995 (au moment où les unités de défense du territoire se redéployaient). Dans le seul but de rationaliser les déplacements et les communications du personnel, ajoutait sérieusement le ministre. Al. G.

 

 

https://plus.lesoir.be//art/l-armee-craint-une-menace-immigree-l-armee-tisse-un-nou_t-19960730-Z0CEUE.html

Juste une info rapide ; le rer GIA , donneur d'ordres , les services secrets Algeriens ; Alger reprochez à la France de ne pas vouloir prendre parti dan,s le conflit ; et une fin de non recevoir à la demande d'Alger pour une aide logistique . Après , on a revu notre position . Pour le LIBAN ; donneur d'ordres , l' IRAN ; les Iraniens avaient demandé à PARIS de ne pas prendre parti dans le conflit ;  d'arretter de former les pilotes Iraquiens et de ne pas fournir les avions . Sans le révolver , la munition de donne pas la mort .

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Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
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Le 18/08/2021 à 08:56, Constantinople a dit :

Bientôt le mec va nous dire que ce sont les américains qui ont apporté avec eux et développé la culture du pavot :smile2:

Bsr Constantinople, 

 

Les states sont les plus gros trafiquants. Je me rappel d'un américain rentré tout jeune dans la DEA parce que son frangin était mort d'overdose, il en est sorti 20 ans plus tard, dégouté et s'apercevant, que non seulement les states étaient les plus gros trafiquant, mais qu'en plus l'argent de la drogue leur servaient à alimenter et financer les guérillas intestines, en Amérique latine. Quoi de mieux que de l'argent sale pour alimenter et financer quelque chose de plus sale, la guerre. 

 

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Membre, Posté(e)
qkv Membre 2 486 messages
Forumeur vétéran‚
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il y a 6 minutes, Abu nuwas a dit :

Bsr Constantinople, 

 

Les states sont les plus gros trafiquants. Je me rappel d'un américain rentré tout jeune dans la DEA parce que son frangin était mort d'overdose, il en est sorti 20 ans plus tard, dégouté et s'apercevant, que non seulement les states étaient les plus gros trafiquant, mais qu'en plus l'argent de la drogue leur servaient à alimenter et financer les guérillas intestines, en Amérique latine. Quoi de mieux que de l'argent sale pour alimenter et financer quelque chose de plus sale, la guerre. 

 

a+

Oui ; les fameuses contras ; après les talibans sont bien de retour ; le maillage se met en place ; encore plus perfides que la première fois ; ça ratisse de partout ; ils recrutent des indics pour les personnes recherchés ; et une femme ne doit surtout pas parler à un homme ; rien n'a changé ; et il y a des histoires de virements d'argent à certaines Mosquées . Après les talibans n'attendent qu'une chose ; que les Américains quittent la zone ; 

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Membre, 60ans Posté(e)
italove Membre 9 294 messages
Maitre des forums‚ 60ans‚
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Il y a 6 heures, petirobert a dit :

 les talibans seraient plus gentils que par le passé , on a enfin progressé, c est beau,  d après ce qu on entend , les femmes pourront travailler, la chine,  la russie, la turquie   veulent bien échanger avec eux , c est incroyable  comme les pays changent . en plus ils sont contres daech, bientôt on nous dira que c est bien, alors tout ça pour ça , il ne faut pas s inquiéter

Vu ce qu'il se passe actuellement à Kaboul, je suis assez sceptique sur les paroles de respect et de tolérance des nouveaux Talibans !

Toutes ces personnes, hommes, femmes et enfants qui fuient l'Afghanistan aujourd'hui, c'est pas pour rien !

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qkv Membre 2 486 messages
Forumeur vétéran‚
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il y a 19 minutes, Abu nuwas a dit :

Bsr Constantinople, 

 

Les states sont les plus gros trafiquants. Je me rappel d'un américain rentré tout jeune dans la DEA parce que son frangin était mort d'overdose, il en est sorti 20 ans plus tard, dégouté et s'apercevant, que non seulement les states étaient les plus gros trafiquant, mais qu'en plus l'argent de la drogue leur servaient à alimenter et financer les guérillas intestines, en Amérique latine. Quoi de mieux que de l'argent sale pour alimenter et financer quelque chose de plus sale, la guerre. 

 

a+

Tiens une histoire drole sur l'argent de la guerre . Tous les groupes opérants au liban à l'époque du merdier Libanais ont été financé avec des vrais faux dollars Américains . Les Américains avaient fourni les rotatives à l'IRAN pour fabriquer des dollars ; les mollads ont pris le pouvoir ; ils ne se sont surtout pas génés pour en fabriquer ; tant qu'il y avait du papier .

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Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
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il y a 52 minutes, Abu nuwas a dit :

Bsr Constantinople, 

 

Les states sont les plus gros trafiquants. Je me rappel d'un américain rentré tout jeune dans la DEA parce que son frangin était mort d'overdose, il en est sorti 20 ans plus tard, dégouté et s'apercevant, que non seulement les states étaient les plus gros trafiquant, mais qu'en plus l'argent de la drogue leur servaient à alimenter et financer les guérillas intestines, en Amérique latine. Quoi de mieux que de l'argent sale pour alimenter et financer quelque chose de plus sale, la guerre. 

 

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Les états unis ne contrôlent pas le pavot afghan.

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Abu nuwas Membre 9 355 messages
Maitre des forums‚
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Le 18/08/2021 à 08:48, menon a dit :

tu racontes n'importe quoi , les states comme tu dis on placé des dirigeants qui ont fait des études aux USA pour essayer d'unir toutes ces tribus ... c'était impossible avec la corruption , les jalousie , les coups bas

il y a eu des élections ... enfin Abu renseigne-toi au lieu cracher ta haine contre les états unis , ils ne sont pas parfaits mais là tu me déçois vraiment .

Va lire ce que obama- biden on discuté à Doha au quatar  etc , etc

absolument .non on ne modèle pas si facilement une société

ben , non et tu crois que les battements de cils des chinois c'est complètement désintéressé :rolle:  ?

 

Bsr menon, 

 

Je raconte n'importe quoi, je veux bien l'entendre, cepandant vous expliquez que les states ont mis leur hommes pour diriger l'Afghanistan, ses derniers ayant fait leur études au USA, pour unir des tribus. Et patatrac, c'était impossible. 

Voyez-vous, il y a ceux comme moi qui raconte n'importe quoi, et ceux qui font n'importe quoi. Mais faire n'importe quoi, à des répercussions sur la vie des gens. 

Je comprends mieux les 20 ans de présence, il ont mis leur gars étudier au states, après avoir envahi l'Afghanistan. Ont ils compris que l'Afghanistan était un patchworks, non, puisqu'ils recommence en 2003 et en Irak. 

 

Oui, il y a eu des élections, et sur le ton de l'ironie, les seules a être démocratique. Et il ont discuté de quoi à doha, de l'Afghanistan ? Si c'est le cas, ils se sont trompé de lieux. 

Mais qui vous parle de modeler une société, c'est ce qu'ont voulu faire les states. Échec. La société se modèle par elle même, à travers de subtiles et multiples batailles mené par l'individu contre lui même. Les states son venu avec arme et bagage, grosse erreur, ils auraient dû débarquer avec la plume et le verbe. 

 

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Abu nuwas Membre 9 355 messages
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Le 17/08/2021 à 23:27, frunobulax a dit :

"Les Etats-Unis ont dépensé environ 8,6 milliards de dollars entre 2002 et 2017 pour freiner le trafic de drogue en Afghanistan.
Sans succès, les frappes contre les laboratoires ou les champs n'ont pas freiné leur culture mais attisé un peu plus la colère contre les étrangers et le gouvernement. 
D'autant que les autorités locales participent aussi à la "taxation" des agriculteurs sur une production qu'elles sont censées combattre."

https://www.bfmtv.com/economie/international/afghanistan-comment-la-culture-de-l-opium-est-redevenue-un-moteur-de-l-economie_AN-202108170001.html

Bsr Frunobulax, 

 

Et merci pour le chiffre, 8,6 milliards, mais je reste sur ma faim, car sur la même période combien ont engrangé les talibans. 

Bien évidemment à travers ce chiffre, vous me faites comprendre que les states se sont impliqués dans la lutte, une dépense rikiki. 

 Combien coûte la lutte anti drogue au states, pays non producteur, et pas en guerre à l'intérieur de ses frontières, et pourtant chaque année le trafic est en progression. 

En France, et ailleurs en Europe puisque c'est Apparament une directive européenne, le commerce du trafic de drogue à intégrée le PIB. Que ne ferai y-on pas pour rehausser le PIB. 

Donc des pays non en guerre et non producteur de drogue, verrait cet économie filer à la vitesse d'un avion de chasse. Tout en nous faisant croire que le premier producteur d'opium du monde, l'Afghanistan, serait presque à l'arrêt suite à une présence américaine. 

Je rappel, histoire d'ironiser, les states étaient propriétaire du robinet, comme on dit à la source, et il ne l'ont pas tarie, pourquoi ? 

 

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Abu nuwas Membre 9 355 messages
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il y a 28 minutes, Constantinople a dit :

Les états unis ne contrôlent pas le pavot afghan.

Bsr Constantinople, 

 

Avoir un contrôle sur le pavot, leur permet et leur assure d'avoir une meilleure vision de la région et d'en saisir les rouage. Bien évidemment, il ont tout pour que ce trait d'union, le pavot, survive, et pour cela faut le nourrir. 

 

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Constantinople Membre 18 329 messages
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à l’instant, Abu nuwas a dit :

Bsr Constantinople, 

 

Avoir un contrôle sur le pavot, leur permet et leur assure d'avoir une meilleure vision de la région et d'en saisir les rouage. Bien évidemment, il ont tout pour que ce trait d'union, le pavot, survive, et pour cela faut le nourrir. 

 

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Les états unis ne contrôlent pas le pavot afghan, celui ci est contrôlé par des seigneurs locaux.

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