Pourquoi l'Europe est un échec

Faire comme les Ricains une bonne petite guerre  "maison" ; que les Anglais fassent comme les bourgeois de Calais , amende honorable ;   il y a aura un Grant et un Lee , et voila !

Cela fait 60 ans que j'entend parler de l'Europe , certains en ont bien profité ..........

Le 06/11/2021 à 13:27, pluc89 a dit :

Et bien moi c'est le "référendum" de 2005 que je conteste.

Je ne sais pas quel NON il faut accepter, celui de Besancenot, ou de JM Le Pen, celui de Fabius ou celui de Pasqua ou de de Villiers ou encore celui de ceux qui ont cru naïvement que Chirac démissionnerait si le NON l'emportait. Lequel de ces NON minoritaires est le bon ?

On te proposait soit un oui soit un non il n'y a pas de variété possible.

Une fois que tu as accepté le réel (les gens ne voulaient pas de "plus d'Europe") la question de savoir "quel non" ne se pose pas.

Il n'y a qu'un seul et unique non. Celui qui dit non. Celui qui dit votre projet est rejeté. Il n'y a pas de construction qui continue, la construction s'arrête, bloquée par l'absence d'adhésion des peuples à un projet qui les exclut.

Tous les non se valent puisqu'ils disent tous la même chose à savoir NON.

Bonsoir,

Certes non 

Pas d'euro, pas de allemand

Égal,

France devenu un pays émergent.

Bonne soirée.

Une bonne nouvelle pour changer, enfin sauf pour ceux qui n'aiment pas la France quand elle fait mieux que ses voisins et que l'Europe quand elle obtient des résultats positifs ...

Le chômage au plus bas en Europe grâce à une croissance record

Le chômage a terminé l'année 2021 au plus bas depuis un quart de siècle en Europe, grâce à la très forte reprise économique qui a suivi la crise historique provoquée par la pandémie de Covid-19.

Le taux de chômage de la zone euro a atteint 7% de la population active en décembre, en baisse de 0,1 point par rapport à novembre, tombant au plus bas depuis avril 1998, date depuis laquelle Eurostat compile ces données.

Pour l'ensemble de l'Union européenne, le chômage a également atteint un plancher historique, à 6,4%, d'après l'office européen des statistiques. Pour l'UE à 27, la série statistique a démarré en janvier 2000.

L'économie européenne, tirée par la France et l'Italie, a surmonté l'an dernier l'impact de la pandémie, enregistrant une croissance record. Le produit intérieur brut (PIB) de la zone euro a augmenté de 5,2% en 2021, comme dans l'ensemble de l'UE.

Logiquement, ces chiffres exceptionnels ont provoqué une embellie inédite du marché du travail.

"La zone euro a fini 2021 - l'année après la pire récession depuis la Seconde Guerre mondiale - avec son plus faible taux de chômage jamais atteint", s'est félicité le commissaire européen à l'Economie, Paolo Gentiloni, sur Twitter. Il y a vu "un témoignage du succès de notre réponse collective à cette crise".

M. Gentiloni a martelé ces derniers mois que la crise économique provoquée par la pandémie avait été beaucoup mieux gérée par l'Europe que la grande récession de 2008, grâce à une réponse plus réactive et plus solidaire.

"Après la crise financière mondiale, il a fallu sept ans pour que le PIB de la zone euro retrouve son niveau d'avant-crise", a-t-il déclaré le 17 janvier, en soulignant qu'après la pandémie le niveau d'avant-crise avait déjà été atteint à la fin de 2021.

L'UE a notamment décidé d'un endettement commun inédit pour financer un plan de relance de plus de 800 milliards d'euros, soutenant en priorité les pays les plus touchés et qui a donné lieu à de premiers déboursements l'été dernier.

Avant la publication de mardi, les taux de chômage les plus faibles tant pour les 19 pays partageant la monnaie unique que pour l'UE à 27 remontaient à mars 2020, à respectivement 7,2% et 6,5%.

AFP 01/02/2022 - 13:37

Toutes catégories confondues ? Y compris le chomage partiel qui est en phase de reccords?

Le 28/02/2021 à 17:09, Quasi-Modo a dit :

 

Quelle naïveté fautive. Même les européistes les plus fervents admettent aujourd'hui que l'Europe politique est un échec. Les postures qui consistent à tambouriner sur la table et dire le contraire par principe ne changeront pas les faits. L'UE n'a jamais dépassé le stade de l'union monétaire et commerciale et dans le fond tout le monde, sauf peut-être la France, ne regarde que sur son intérêt au niveau européen.

Si énoncer les faits c'est être fermé d'esprit, on confondra la liberté avec l'aliénation. Et je voudrais 100 fois être plus fermé d'esprit encore ! La France n'a pas vocation à s'effacer, à suivre le mouvement et accepter gentiment avec le sourire de se faire marcher sur les pieds.

"La France n'a pas vocation à s'effacer, à suivre le mouvement et accepter gentiment avec le sourire de se faire marcher sur les pieds."

Ce n'est pas le cas et que ferait la France hors "Europe", aujourd'hui nos économies sont liées, ouvrez les yeux, sortez un peu de votre province...

Maintenant il ne s'agit pas nier les problèmes qui sont réels comme par exemple la difficulté de créer une défense européenne et autres.

Souvenez-vous, il y a seulement 80 ans, c'était hier, on se faisait la guerre pour tout et n'importe quoi.

Aujourd'hui nous vivons en paix depuis des décennies, le niveau de vie est parmi les plus élevés, etc...

Mention; "très bien", mais peut faire mieux !

La faute a toute la  mérule politicarde  enchevétrée dans des lobying de traficouillages  !     ça vous fait rire  ?   le scandale carbone , l'entrée de la Grèce , entre autre  , c'est quoi ?

il y a une heure, G2LLOQ a dit :

'entrée de la Grèce , entre autre  , c'est quoi ?

C'est du passé. Il faut construire l'avenir, c'est plus important que de se lamenter sur ce qui a été mal fait ou pas fait.

Il y a 11 heures, pluc89 a dit :

C'est du passé. Il faut construire l'avenir, c'est plus important que de se lamenter sur ce qui a été mal fait ou pas fait.

facile a dire , mais avec les mème guignols , on aura les mèmes résultats !  

Le 06/11/2021 à 13:42, G2LLOQ a dit :

Faire comme les Ricains une bonne petite guerre  "maison" ; que les Anglais fassent comme les bourgeois de Calais , amende honorable ;   il y a aura un Grant et un Lee , et voila !

Cela fait 60 ans que j'entend parler de l'Europe , certains en ont bien profité ..........

ben pas nous on donne plus qu'on reçoit, je me demande en quoi c est bien .  le kilo de courgette  presque 4 euros en plus ça vient d espagne . Qui aurait dit un jour qu'on achèterait des courgettes à   26, 20 fr le kilo, les clémentines  idem autour de 4 euros, c est devenu un produit de luxe les fruits et légumes , je me demande comment fait une famille  avec 2 ou trois gosses qui perçoit le smic .  c est certain que  celui qui gagne 5500 euros par mois  comme député n a pas les mêmes besoins. 

Monde. Inflation aux États-Unis : les denrées alimentaires telles que le blé, le fromage, le pain et les légumes plus chères en 2022

La hausse constante des prix des denrées alimentaires au cours de la première année à la présidence de Joe Biden a été un sujet de discussion majeur pour l’année 2021. Selon les Nations Unies, l’indice FAO des prix des produits alimentaires a atteint en 2021 son plus haut niveau depuis 10 ans.

Les calculs de l’institution financière internationale Rabobank montrent que les prix des produits de base ont augmenté de plus de 28 % en 2020. Selon Refinitiv, fournisseur de données et d’infrastructures sur les marchés financiers, le prix du blé a augmenté de 24 % depuis début 2021, le prix à terme du maïs a augmenté de 28 %, et le prix du café a bondi de plus de 80 %... La suite ci-dessous

https://www.visiontimes.fr/actualite/monde/inflation-etats-unis-denrees-alimentaires-telles-que-ble-fromage-pain-legumes-plus-cheres

Centre France 5/02/2022

Le 01/02/2022 à 19:06, pluc89 a dit :

Une bonne nouvelle pour changer, enfin sauf pour ceux qui n'aiment pas la France quand elle fait mieux que ses voisins et que l'Europe quand elle obtient des résultats positifs ...

Le chômage au plus bas en Europe grâce à une croissance record

 

Le chômage a terminé l'année 2021 au plus bas depuis un quart de siècle en Europe, grâce à la très forte reprise économique qui a suivi la crise historique provoquée par la pandémie de Covid-19.

 

Le taux de chômage de la zone euro a atteint 7% de la population active en décembre, en baisse de 0,1 point par rapport à novembre, tombant au plus bas depuis avril 1998, date depuis laquelle Eurostat compile ces données.

 

Pour l'ensemble de l'Union européenne, le chômage a également atteint un plancher historique, à 6,4%, d'après l'office européen des statistiques. Pour l'UE à 27, la série statistique a démarré en janvier 2000.

 

L'économie européenne, tirée par la France et l'Italie, a surmonté l'an dernier l'impact de la pandémie, enregistrant une croissance record. Le produit intérieur brut (PIB) de la zone euro a augmenté de 5,2% en 2021, comme dans l'ensemble de l'UE.

 

Logiquement, ces chiffres exceptionnels ont provoqué une embellie inédite du marché du travail.

 

"La zone euro a fini 2021 - l'année après la pire récession depuis la Seconde Guerre mondiale - avec son plus faible taux de chômage jamais atteint", s'est félicité le commissaire européen à l'Economie, Paolo Gentiloni, sur Twitter. Il y a vu "un témoignage du succès de notre réponse collective à cette crise".

 

M. Gentiloni a martelé ces derniers mois que la crise économique provoquée par la pandémie avait été beaucoup mieux gérée par l'Europe que la grande récession de 2008, grâce à une réponse plus réactive et plus solidaire.

 

"Après la crise financière mondiale, il a fallu sept ans pour que le PIB de la zone euro retrouve son niveau d'avant-crise", a-t-il déclaré le 17 janvier, en soulignant qu'après la pandémie le niveau d'avant-crise avait déjà été atteint à la fin de 2021.

 

L'UE a notamment décidé d'un endettement commun inédit pour financer un plan de relance de plus de 800 milliards d'euros, soutenant en priorité les pays les plus touchés et qui a donné lieu à de premiers déboursements l'été dernier.

 

Avant la publication de mardi, les taux de chômage les plus faibles tant pour les 19 pays partageant la monnaie unique que pour l'UE à 27 remontaient à mars 2020, à respectivement 7,2% et 6,5%.

Marrant ce montant de 800 milliards d'Euros, ça fait penser au plan Paulson de 700 milliards de Dollars en réponse à la crise de 2008.

Oui, c'est l'Euro qui a permis le quoi qu'il en coute, expression reprise par Macron qui faisait référence à l'expression chérie de Mario Draghi.

Cependant il manque quelques précisions pour compléter cette dithyrambe. C'est qu'il faut se méfier de l'effet rebond car la crise a fait baisser la production et forcément la résilience provoque un taux de croissance élevée. Par ailleurs une évolution de long terme fait que - quand bien même on serait en après crise - les emplois de merde, le temps partiel et les gens sous les radars n'ont jamais été autant (en formation, rayés des listes, sans activité pour diverses raisons, etc.) Si l'on ajoute des évaluations de ces effectifs, le chômage en France doit être le double de celui de l'Allemagne. Pas un mot non plus sur les balances du commerce extérieur respectifs entre la France et l'Allemagne non plus, les deux (chômage et balance) étant mécaniquement liés. L'Euro est donc un succès considérable, surtout pour l'Allemagne. Cette dernière a fini par être obligée de lâcher sur l'endettement, raisonnablement motivée en cela pour que ça continue.

Parce que elle est infiltrée par une mérule politicarde sans visions réalistes !  

il y a 12 minutes, VladB a dit :

L'Euro est donc un succès considérable, surtout pour l'Allemagne.

La faute à qui, aux allemands, à l'Europe ou aux français et à leurs dirigeants précédents qui n'ont pas pris les bonnes décisions ?

Il y a 1 heure, pluc89 a dit :

La faute à qui, aux allemands, à l'Europe ou aux français et à leurs dirigeants précédents qui n'ont pas pris les bonnes décisions ?

Ce n'est pas la faute d'un fait précis. Il s'agit d'une mécanique infernale. Pour vivre ensemble, les français ont plus de charges, plus d'impôts, plus de redistribution, plus d'égalité, plus de solidarité, plus de fonctionnaires, plus de tout ça, charges qui sont portées par l'appareil productif. En conséquence, on ne peut bien évidemment pas mettre en concurrence l'industrie française et l'industrie allemande avec une même monnaie. Sinon l'une va disparaitre et l'autre va croitre et embellir.

Plus tard il y a eut des circonstances aggravantes et amplificatrices dont on ne peut opposer aux européistes que c'était prévisible avec précision. La réunification d'une part qui a masqué un temps la force de l'Allemagne se trouvant chargée de remettre l'Allemagne de l'Est sur les rails d'une certaine efficacité économique. Ensuite l'intégration avec les pays de l'est qui pour des raisons historiques se fait entre l'Allemagne et ces derniers (Pologne, l'ancienne Tchécoslovaquie, la Hongrie). La main d'œuvre à bas coût contribue à une chaine de fournisseurs qui se termine en produits made in Germany. 

Le sujet est bien évidemment complexe et ont peut difficilement attendre d'un fil de discussion une explication limpide alors qu'on trouvera plutôt comme explication Macron toutou de Merkel de la part de crétins.

Le 28/02/2021 à 14:35, Invité riad** a dit :

Oui c'est bien de justifier sa fermeture d'esprit par un ramassis de conneries.

Au vu de votre propos, il y a de quoi être fier d'être votre con....

Le 05/02/2022 à 13:09, VladB a dit :

En conséquence, on ne peut bien évidemment pas mettre en concurrence l'industrie française et l'industrie allemande avec une même monnaie. Sinon l'une va disparaitre et l'autre va croitre et embellir.

A la fin des années 60, la France et l'Allemagne n’avaient pas les mêmes monnaies. Comment expliquer que la France dévaluait régulièrement sa monnaie, alors que l'Allemagne réévaluait la sienne ?

il y a 1 minute, pluc89 a dit :

A la fin des années 60, la France et l'Allemagne n’avaient pas les mêmes monnaies. Comment expliquer que la France dévaluait régulièrement sa monnaie, alors que l'Allemagne réévaluait la sienne ?

La raison est là:

https://www.lesechos.fr/2008/11/1971-la-fin-de-bretton-woods-1080633

il y a 4 minutes, dede 2b a dit :

La raison est là:

https://www.lesechos.fr/2008/11/1971-la-fin-de-bretton-woods-1080633

Mais alors, pourquoi après la fin de Bretton Woods, les choses continuent d'aller mieux pour l'Allemagne et le Mark que pour la France et le Franc ?

La fin de Bretton Woods ne semble pas être la bonne raison ou en tous les cas, pas la seule.