Dans l'Aube!

Il y a 8 heures, Barbara lebol a dit :

Breizh-info :

"L’un de nos contacts, policier à la retraite qui a travaillé pendant plus de dix ans en Seine-Saint-Denis jusqu’en 2016, a lui aussi visionné les images. Et il n’est pas surpris de ce qu’il a vu. « Aucun collègue, aucun homme honnête présent sur le terrain y compris les élus, ne peut s’étonner de cela. Les armes que vous avez vues à Dijon circulent déjà en nombre dans toutes les banlieues de France. Et ceux qui les possèdent sont prêts à s’en servir en cas de nécessité ».

Mais alors que faire ? « À ce niveau-là, ce n’est plus du ressort de la police nationale. Nous ne sommes pas équipés pour faire face à des kalachs ou à des armes lourdes »nous dit-il, tout en ironisant : « On veut déjà nous interdire les techniques d’étranglement… vous pensez sérieusement qu’on va se risquer à aller dans ces zones ? ». Alors qui pour faire le travail de maintien de l’ordre et de protection des citoyens qui résident dans ces quartiers ? « À l’heure actuelle, ce sont ces groupes qui font la police et qui sécurisent les lieux. C’est aussi pour ça que lorsque l’un d’entre eux fait une chute à scooter et qu’on accuse la police, tout le quartier se mobilise. Les familles vivent de l’argent sale, et sous la pression permanente des chefs de gangs, et ça remonte parfois jusqu’aux élus, c’est aussi pour ça qu’il y a une forme d’omerta autour de la question des banlieues ».

 

Notre contact n’imagine pas une seule seconde que l’Armée puisse être déployée : « Ils ne sont pas formés pour cela, hormis certaines unités spéciales » et selon lui « cela ne ferait que faire monter la pression encore plus ». Alors, comment mettre fin à cela ? « Au point où on en est, c’est quasiment impossible. Les gens ne s’en rendent pas compte, mais ces quartiers ont fait quasi sécession. Dans le quartier des Grésilles par exemple, vous avez un quartier dans le quartier, les collègues n’y vont déjà plus. Vous trouverez dans ces quartiers des gamins qui n’ont rien à perdre, qui sont prêts à mourir pour 1000 balles. C’est trop facile d’aller jouer les guerriers, de critiquer les forces de l’ordre et de dire il faudrait que… mais qui concrètement est prêt à mourir pour un SMIC aujourd’hui ? Ou même pour deux SMIC avec le crachat dans la figure en supplément ? Pas moi, en tout cas. »

Pour lui la solution est ailleurs, et se situe au niveau politique : « Plutôt que d’arroser à coup de millions comme ils le font depuis des années, pour rien du tout, il faut au contraire assécher ces quartiers en argent. Plus d’aides sociales, plus de services, plus de médiathèques, rien. Proposer aux familles qui veulent s’en sortir de quitter le quartier, trouver des solutions de relogement, et abandonner à leur sort ceux qui ont fait sécession. Ils ne tiendront pas longtemps comme ça, et en dehors de leurs quartiers, ils sont perdus, ils ne sont plus rien ». 

Et la question de l’immigration, puisqu’en l’occurrence, ceux qui font régner la terreur dans les quartiers sont, pour beaucoup, des extra-Européens ? « Il faut déjà arrêter de continuer à faire entasser des gens dans ces quartiers. Si vous additionnez de la misère à de la misère, vous n’obtiendrez jamais rien de bon, encore plus s’il y a une notion communautaire là-dedans. Pour le reste, c’est aux politiques de fermer les frontières au moins un bon moment que tout cela se calme, on l’a bien fait avec le virus non ? »

Puisse ce policier, qui n’est sûrement pas une voix isolée parmi les siens comme parmi les citoyens, être entendu par les autorités, alors que le pays semble en proie à une escalade… direction la guerre civile ?

Illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V

 ex-policier de Seine-Saint-Denis : « Les armes que vous avez vues à Dijon circulent déjà en nombre dans toutes les banlieues de France...

17/06/2020 04:57

 

"À ce niveau-là, ce n’est plus du ressort de la police nationale. Nous ne sommes pas équipés pour faire face à des kalachs ou à des armes lourdes »nous dit-il, tout en ironisant : « On veut déjà nous interdire les techniques d’étranglement… vous pensez sérieusement qu’on va se risquer à aller dans ces zones ? "

Sauf que ce n'est pas que la police qui intervient, il y a aussi la gendarmerie, les CRS etc...

La gendarmerie possède des armes équivalentes à la kalach, certains corps de police spécialisé également, quand aux armes lourdes, je n'ai pas vu de chars ou de canons de 120mm à Dijon !!!

Les infos de site comme Breizh-info.com (extrême droite identitaire) méfiez-vous !

Il y a 9 heures, Barbara lebol a dit :

Breizh-info :

"L’un de nos contacts, policier à la retraite qui a travaillé pendant plus de dix ans en Seine-Saint-Denis jusqu’en 2016, a lui aussi visionné les images. Et il n’est pas surpris de ce qu’il a vu. « Aucun collègue, aucun homme honnête présent sur le terrain y compris les élus, ne peut s’étonner de cela. Les armes que vous avez vues à Dijon circulent déjà en nombre dans toutes les banlieues de France. Et ceux qui les possèdent sont prêts à s’en servir en cas de nécessité ».

Mais alors que faire ? « À ce niveau-là, ce n’est plus du ressort de la police nationale. Nous ne sommes pas équipés pour faire face à des kalachs ou à des armes lourdes »nous dit-il, tout en ironisant : « On veut déjà nous interdire les techniques d’étranglement… vous pensez sérieusement qu’on va se risquer à aller dans ces zones ? ». Alors qui pour faire le travail de maintien de l’ordre et de protection des citoyens qui résident dans ces quartiers ? « À l’heure actuelle, ce sont ces groupes qui font la police et qui sécurisent les lieux. C’est aussi pour ça que lorsque l’un d’entre eux fait une chute à scooter et qu’on accuse la police, tout le quartier se mobilise. Les familles vivent de l’argent sale, et sous la pression permanente des chefs de gangs, et ça remonte parfois jusqu’aux élus, c’est aussi pour ça qu’il y a une forme d’omerta autour de la question des banlieues ».

 

Notre contact n’imagine pas une seule seconde que l’Armée puisse être déployée : « Ils ne sont pas formés pour cela, hormis certaines unités spéciales » et selon lui « cela ne ferait que faire monter la pression encore plus ». Alors, comment mettre fin à cela ? « Au point où on en est, c’est quasiment impossible. Les gens ne s’en rendent pas compte, mais ces quartiers ont fait quasi sécession. Dans le quartier des Grésilles par exemple, vous avez un quartier dans le quartier, les collègues n’y vont déjà plus. Vous trouverez dans ces quartiers des gamins qui n’ont rien à perdre, qui sont prêts à mourir pour 1000 balles. C’est trop facile d’aller jouer les guerriers, de critiquer les forces de l’ordre et de dire il faudrait que… mais qui concrètement est prêt à mourir pour un SMIC aujourd’hui ? Ou même pour deux SMIC avec le crachat dans la figure en supplément ? Pas moi, en tout cas. »

Pour lui la solution est ailleurs, et se situe au niveau politique : « Plutôt que d’arroser à coup de millions comme ils le font depuis des années, pour rien du tout, il faut au contraire assécher ces quartiers en argent. Plus d’aides sociales, plus de services, plus de médiathèques, rien. Proposer aux familles qui veulent s’en sortir de quitter le quartier, trouver des solutions de relogement, et abandonner à leur sort ceux qui ont fait sécession. Ils ne tiendront pas longtemps comme ça, et en dehors de leurs quartiers, ils sont perdus, ils ne sont plus rien ». 

Et la question de l’immigration, puisqu’en l’occurrence, ceux qui font régner la terreur dans les quartiers sont, pour beaucoup, des extra-Européens ? « Il faut déjà arrêter de continuer à faire entasser des gens dans ces quartiers. Si vous additionnez de la misère à de la misère, vous n’obtiendrez jamais rien de bon, encore plus s’il y a une notion communautaire là-dedans. Pour le reste, c’est aux politiques de fermer les frontières au moins un bon moment que tout cela se calme, on l’a bien fait avec le virus non ? »

Puisse ce policier, qui n’est sûrement pas une voix isolée parmi les siens comme parmi les citoyens, être entendu par les autorités, alors que le pays semble en proie à une escalade… direction la guerre civile ?

Illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V

 ex-policier de Seine-Saint-Denis : « Les armes que vous avez vues à Dijon circulent déjà en nombre dans toutes les banlieues de France...

17/06/2020 04:57

 

Un policier qui a tout compris.

A faire remonter et REPETER  EN BOUCLE, ce qui relève du bon sens, à tous /toutes les "chefs" cheffes"!

Prochaine étape?

le figaro. fr

"Une note confidentielle s'inquiète de la progression criminelle tchétchène en France"

Perso, je retiens:

-"affrontements Tchétchènes*/Maghrébins" se sont développés; (...) relèvent bien souvent des domaines de l'honneur ou résultent d'enjeux (...) sur fond d'économie grise"

- "Si les affrontements  (...) de ce W E relèvent plutôt  de la 1ERE catégorie , Le Parisien** rappelle que la plupart des participants côté tchétchène sont membres d'organisations criminelles"

+ dernier § de l'article: -"(...) éléments connus pour leur (....) fondamentalisme religieux"

+ dernier § de l'article: - (....) "surreprésentés"

** média...

il y a 12 minutes, kilitout a dit :

le figaro. fr

"Une note confidentielle s'inquiète de la progression criminelle tchétchène en France"

Perso, je retiens:

-"affrontements Tchétchènes*/Maghrébins" se sont développés; (...) relèvent bien souvent des domaines de l'honneur ou résultent d'enjeux (...) sur fond d'économie grise"

- "Si les affrontements  (...) de ce W E relèvent plutôt  de la 1ERE catégorie , Le Parisien** rappelle que la plupart des participants côté tchétchène sont membres d'organisations criminelles"

+ dernier § de l'article: -"(...) éléments connus pour leur (....) fondamentalisme religieux"

+ dernier § de l'article: - (....) "surreprésentés"

** média...

NOTE confidentielle DCPJ (via Le Parisien) à lire aussi sur LePoint

Le 16/06/2020 à 17:32, Condorcet a dit :

Ah oui ça doit être de là que vient le proverbe : où y a de la tchétchène y a pas de plaisir. 

Bsr Concorcet, 

Bin si il y a du plaisir, puisque précédemment sur un de vos post, vous regrettiez qu'il n'y en ai pas plus. Apparemment vous ne savez plus où vous situer. 

a+

Le 16/06/2020 à 18:04, qkv a dit :

C'est pas le problème de la République qu'ils soient bon combattants ; après dans les cités ; ça se fritte souvent avec le magreb ; cité ou t'as plus un blanc ; et la si tu cherches un logement via les hlm ; t'as pas de liste d'attente ; tu réponds juste non merci .

Bsr qkv, 

C'est pas le problème de la république, qu'ils soient bon combattant, oui, tout à fait, toujours est t-il qu'il l'est devenue, car la République connaît et sait pertinement que se peuple a travers son passé et son vécu, est totalement rompu. 

Par conséquence la république et les force de l'ordre qui la représente, ce sont dit tiens on est tombé sur une Grenade, et dans cette situation, il vaut mieux de ne pas la degoupiller. 

a+

Il y a 13 heures, versys a dit :

… en attendant, en tabassant copieusement les dealers, ils commencent à faire le job… 

Ailleurs ils sont embauchés pour ça ?

https://www.ladepeche.fr/2019/11/30/enquete-dealers-contre-vigiles-dans-les-hlm,8572992.php

https://www.valeursactuelles.com/societe/des-milices-tchetchenes-pour-pacifier-les-banlieues-113543

Il y a 11 heures, marine10 a dit :

Troyes est dans l'Aude ?

Aube

Il y a 15 heures, PASCOU a dit :

Mais faut quand même être lâche pour obéir  à  ce genre d' ordre en sachant qu' on épargne les vrais criminels. 

Lâche ? Désobéir à un ordre, prendre une initiative en sachant que tu ne seras pas soutenu par ta hiérarchie, c'est de la lâcheté ?? Curieux !

Il y a 9 heures, Plouj a dit :

Lâche ? Désobéir à un ordre, prendre une initiative en sachant que tu ne seras pas soutenu par ta hiérarchie, c'est de la lâcheté ?? Curieux !

 

Non, lâche d' obéir  à  un ordre que l' on sait qu' ailleurs pour les mêmes faits on te dira : pas de vague , alors que tu sais très  bien que ces gens sont de véritables racailles qui empoisonnent et font la loi dans leur quartier.

Les quartiers sont pourris par des petits groupes mafieux.

Voir plus haut les intérêts. 

Des personnes de la communauté tchétchène ont été interpellées. Les opérations menées par la BRI et le RAID ont eu lieu dans plusieurs villes de l’Est de la France, dont Dijon. Ces hommes ont été identifiés à partir des appels lancés sur les réseaux sociaux et des vidéos de la virée punitive diffusées elles aussi sur internet.

https://www.bienpublic.com/faits-divers-justice/2020/06/18/violences-aux-gresilles-a-dijon-des-interpellations-ce-jeudi-matin-dans-la-communaute-tchetchene

Il y a 3 heures, PASCOU a dit :

Non, lâche d' obéir  à  un ordre que l' on sait qu' ailleurs pour les mêmes faits on te dira : pas de vague , alors que tu sais très  bien que ces gens sont de véritables racailles qui empoisonnent et font la loi dans leur quartier.

Les quartiers sont pourris par des petits groupes mafieux.

Voir plus haut les intérêts. 

J'ai lu que pendant des guerres, les soldats qui reculaient ou voulaient s'enfuir devant la bêtise de certains ordres se faisaient fusiller. La "lâcheté" ou lucidité a parfois un coût.

La lâcheté dans l'obéissance, je ne connais pas ! Quelles devraient être les réactions des Forces de l'ordre ?

Quand aux quartiers pourris, ils le sont depuis bien des années et aucun gouvernement n'a corrigé les erreurs précédentes.

La peur des réactions de toutes ces associations anti-çi et anti-ça..  ce qui ne devrait pas s'arranger.

il y a 3 minutes, Plouj a dit :

La peur des réactions de toutes ces associations anti-çi et anti-ça..  ce qui ne devrait pas s'arranger.

Dans les temps anciens, on assiégeait les villes: plus de bouffe, plus d'eau, etc.

service ultra minimum dans ces quartiers: pannes d'eau, d'edf, plus de services,plus d'écoles, plus de transports, plus de magasins, plus rien: ils tiendront pas longtemps...

il y a 1 minute, BELUGA a dit :

Dans les temps anciens, on assiégeait les villes: plus de bouffe, plus d'eau, etc.

service ultra minimum dans ces quartiers: pannes d'eau, d'edf, plus de services,plus d'écoles, plus de transports, plus de magasins, plus rien: ils tiendront pas longtemps...

Méthode qui fonctionnait dans un lieu bien défini et avec une décision royale.

Le manœuvre actuelle est de vivre ensemble, dans tous les quartiers d'une ville, d'en mélanger les populations ... la mixité sociale.

Parait que cela pourrait éviter le communautarisme, nous avons des têtes pensantes. De mon vécu, j'ai toujours remarqué le "qui se ressemble s'assemble".

Faire vivre au même endroit des personnes avec des langues, des coutumes, des mœurs, des religions, des choix de vie, etc.. différents ne fonctionne pas sauf dans les cerveaux d'utopistes..

à l’instant, Plouj a dit :

Faire vivre au même endroit des personnes avec des langues, des coutumes, des mœurs, des religions, des choix de vie, etc.. différents ne fonctionne pas sauf dans les cerveaux d'utopistes..

Ou de sinistres cons qui voient ça du haut de leur tourelle ...des énarques quoi ...

ceci-dit, si les énarques avaient un cerveau, ça se saurait .. moi j dis ça j dis rien...

il y a 1 minute, BELUGA a dit :

Ou de sinistres cons qui voient ça du haut de leur tourelle ...des énarques quoi ...

ceci-dit, si les énarques avaient un cerveau, ça se saurait .. moi j dis ça j dis rien...

Mais restons optimistes, les armureries devraient être un commerce d'avenir.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/06/18/tensions-a-dijon-cinq-membres-de-la-communaute-tchetchene-interpelles_6043279_3224.html

Cinq membres de la communauté tchétchène ont été interpellés tôt jeudi 18 juin dans la matinée, à Dijon et ailleurs en France, à la suite des violences survenues récemment dans la capitale bourguignonne, a-t-on appris de sources concordantes.

« Cinq gardes à vue ont débuté » jeudi matin, a déclaré dans un communiqué Eric Mathais, procureur de la République à Dijon, ajoutant sans précisions géographiques que des perquisitions ont été réalisées « dans plusieurs villes ». « Elles sont destinées à vérifier les premiers éléments de l’enquête »,ouverte notamment pour « tentative de meurtre en bande organisée, association de malfaiteurs et participation à un groupement armé », selon M. Mathais.

Vaste opération de police à Dijon après les violences

Une vaste opération de perquisitions mobilisant 140 policiers était en cours vendredi matin dans un quartier sensible de Dijon (est de la France) secoué entre le 12 et 15 juin par plusieurs nuits de violences, a indiqué le préfet. 

(BFM)

https://www.lest-eclair.fr/id157474/article/2020-06-18/violences-dijon-interpellation-au-sein-de-la-communaute-tchetchene-troyes

Une opération de police a eu lieu tôt ce jeudi 18 juin, boulevard Blanqui à Troyes. Un ressortissant Tchétchène a été interpellé. 

Le 17/06/2020 à 15:26, kilitout a dit :

Un policier qui a tout compris.

A faire remonter et REPETER  EN BOUCLE, ce qui relève du bon sens, à tous /toutes les "chefs" cheffes"!

 

Prochaine étape?

En 2022 c'est la réforme du sig pro 2022 en service dans la police depuis l'appel d'offre passé par Sarkozy. Remplacement de l'arme de service par un NERF.

Le problème est politique ce qui nécessiter une prise en charge politique, or l’échelon politique a renoncé à tout, dernièrement il semble qu'il avait non seulement renoncé au pouvoir mais aussi à la France. Je pense que l'adoption du swahili comme langue officielle nous pend au nez.