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Invité JOSEPH DELETRE

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L’univers existe. Or, l’existence relève de ce qui est puisque que toute chose existante peut toujours être définie par certains attributs. En d'autres termes, toute chose existante est nécessairement sujet du verbe substantif: être; sans lequel rien ne pourrait être défini à commencer par l'être humain. 
 
Etant donné que l’existence ne saurait émerger du néant sans en faire autre chose que du néant, alors l’Etre, tout ce qui est, relève de la substance au sens philosophique du terme, c’est-à-dire qu’il est toujours par lui-même et qu'il ne peut être le sujet d'aucune autre chose que lui-même.
 
Or, le réel est régi par le principe de causalité de sorte qu'une vérité conceptuelle doit avoir sa correspondance en termes de véracité factuelle.
 
L'état "d'aucune autre chose que l'être lui-même" doit alors être mesuré dans le réel objectif par voie de conséquence: l'être doué de conscience esseulé dans le cosmos de sorte qu'il ne peut être le sujet "d'aucune autre chose que lui-même" et qu'il ''est par lui-même'' en vertu de son libre arbitre.
 
L'existence est donc nécessaire afin que ce qui est puisse relever de la substance: être toujours par lui-même et n'être le sujet d'aucune autre chose que lui-même.
 
Je l'explique dans mon essai publié sur mon blog : https://cequiunie.blogspot.com/.
 
Le texte est construit comme suit :
 
-Partie 1 : De ce qui est ;
-Partie 2 : De ce qui n’est pas ;
-Partie 3 : Du réel objectif (avec l’explication du moteur de la gravitation, de l’intrication quantique, de la superposition quantique et de la dualité onde-corpuscule que vous pouvez ignorer si le sujet ne vous intéresse pas);
-Partie 4 : De la raison de l’existence (avec l’explication de ce qu’est la mort et la preuve de l’âme humaine par ce qui est substantiel: le sentiment);
-Partie 5 : Conclusion sur l’issue du progrès à l’heure de l’ordinateur quantique;
 
Merci d’avance pour vos avis.
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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
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il y a 50 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

L’univers existe. Or, l’existence relève de ce qui est puisque que toute chose existante peut toujours être définie par certains attributs. En d'autres termes, toute chose existante est nécessairement sujet du verbe substantif: être; sans lequel rien ne pourrait être défini à commencer par l'être humain

Tout est faux dans ce paragraphe sauf la première proposition. 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a une heure, JOSEPH DELETRE a dit :
L’univers existe. Or, l’existence relève de ce qui est puisque que toute chose existante peut toujours être définie par certains attributs. En d'autres termes, toute chose existante est nécessairement sujet du verbe substantif: être; sans lequel rien ne pourrait être défini à commencer par l'être humain. 
 
Etant donné que l’existence ne saurait émerger du néant sans en faire autre chose que du néant, alors l’Etre, tout ce qui est, relève de la substance au sens philosophique du terme, c’est-à-dire qu’il est toujours par lui-même et qu'il ne peut être le sujet d'aucune autre chose que lui-même.
 
Or, le réel est régi par le principe de causalité de sorte qu'une vérité conceptuelle doit avoir sa correspondance en termes de véracité factuelle.
 
L'état "d'aucune autre chose que l'être lui-même" doit alors être mesuré dans le réel objectif par voie de conséquence: l'être doué de conscience esseulé dans le cosmos de sorte qu'il ne peut être le sujet "d'aucune autre chose que lui-même" et qu'il ''est par lui-même'' en vertu de son libre arbitre.
 
L'existence est donc nécessaire afin que ce qui est puisse relever de la substance: être toujours par lui-même et n'être le sujet d'aucune autre chose que lui-même.
 
Je l'explique dans mon essai publié sur mon blog : https://cequiunie.blogspot.com/.
 
Le texte est construit comme suit :
 
-Partie 1 : De ce qui est ;
-Partie 2 : De ce qui n’est pas ;
-Partie 3 : Du réel objectif (avec l’explication du moteur de la gravitation, de l’intrication quantique, de la superposition quantique et de la dualité onde-corpuscule que vous pouvez ignorer si le sujet ne vous intéresse pas);
-Partie 4 : De la raison de l’existence (avec l’explication de ce qu’est la mort et la preuve de l’âme humaine par ce qui est substantiel: le sentiment);
-Partie 5 : Conclusion sur l’issue du progrès à l’heure de l’ordinateur quantique;
 
Merci d’avance pour vos avis.

Hello

Je place peut-être à titre personnel une différence entre être et exister.

Etre à une dimension passive et constante alors qu'exister a une dimension dynamique.

Exister, c'est évoluer, changer, changer même...qui on est, évoluer du qui on était vers le qui on sera et donc susceptible de transformer un être par ses actions.

Les philosophies existentialistes s'appuient sur cette dynamique et cette potentialité qui est en nous.

Mais la principale critique (positive) que je ferai est qu'il manque la dimension relationnelle "comme si" nous pouvions pleinement "être" sans interaction à l'altérité de l'autre.

Ces relations se sont inscrites bien sûr dans les philosophies orientales mais aussi dans une vision plus moderne où on ne peut plus parler d'être ni d'objet en partant de la substance ou d'attribut mais au travers des relations a l'environnement 

A l'extrême, la mécanique quantique ou même la relativité générale amènent à considérer davantage la relation et l'interaction qu'une forme d'existence en soi et absolue.

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Invité JOSEPH DELETRE
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Posté(e)
il y a 37 minutes, Maroudiji a dit :

Tout est faux dans ce paragraphe sauf la première proposition. 

Un avis péremptoire n'est pas un argument. Pourriez-vous éventuellement expliquer en quoi cela est faux?

il y a 1 minute, zenalpha a dit :

Hello

Je place peut-être à titre personnel une différence entre être et exister.

Etre à une dimension passive et constante alors qu'exister a une dimension dynamique.

Exister, c'est évoluer, changer, changer même...qui on est, évoluer du qui on était vers le qui on sera et donc susceptible de transformer un être par ses actions.

Les philosophies existentialistes s'appuient sur cette dynamique et cette potentialité qui est en nous.

Mais la principale critique (positive) que je ferai est qu'il manque la dimension relationnelle "comme si" nous pouvions pleinement "être" sans interaction à l'altérité de l'autre.

Ces relations se sont inscrites bien sûr dans les philosophies orientales mais aussi dans une vision plus moderne où on ne peut plus parler d'être ni d'objet en partant de la substance ou d'attribut mais au travers des relations a l'environnement 

A l'extrême, la mécanique quantique ou même la relativité générale amènent à considérer davantage la relation et l'interaction qu'une forme d'existence en soi et absolue.

Oui précisément. Il faut distinguer la vérité d'une chose, ce qu'elle est, et sa modalité existentielle qui ne relève que de la véracité factuelle. C'est ce que j'explique dans mon essai. Merci

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 3 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Un avis péremptoire n'est pas un argument. Pourriez-vous éventuellement expliquer en quoi cela est faux?

Oui précisément. Il faut distinguer la vérité d'une chose, ce qu'elle est, et sa modalité existentielle qui ne relève que de la véracité factuelle. C'est ce que j'explique dans mon essai. Merci

Tant mieux si nous rapprochons des points de vue.

A ce propos, le concept de vérité est extrêmement dépendant du cadre dans lequel on interprète un fait.

Est il vrai qu'à un point extérieur à une droite ne passe qu'une parallèle ?

Et bien tout dépend de la géométrie 

Pire, non seulement il existe des 'vérités' indemontrables au sein d'un cadre logique donné s'il est suffisamment complexe mais Alain Connes démontre même au travers des topos de Grothendieck que c'est le concept même de vérité qui est friable.

D'ailleurs Grothendieck relevait souvent chez ses interlocuteurs des raisonnements y compris mathématiques dichotomiques quand il relevait des subtilités ne permettant pas réellement d'établir une valeur de vérité donnée.

J'aurai beaucoup de mal a définir ce que je suis dans la mesure où tellement de mes composantes y compris psychologiques me sont inaccessibles

Un beau sujet

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
Posté(e)
il y a 7 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Un avis péremptoire n'est pas un argument. Pourriez-vous éventuellement expliquer en quoi cela est faux?

Parce que l'être est une abstraction, personne ne sait ce qu'il est. C'est donc de l'esbrouffe. 

J'ai dit que ta première proposition était juste mais je te défie d'appliquer ta compréhension de l'être par rapport à lui... 

As-tu lu quelques pages sur le sujet qui est traité ici, L'univers est-il stupide ou intelligent ? 

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Invité JOSEPH DELETRE
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Invité JOSEPH DELETRE
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Posté(e)
il y a 16 minutes, zenalpha a dit :

Tant mieux si nous rapprochons des points de vue.

A ce propos, le concept de vérité est extrêmement dépendant du cadre dans lequel on interprète un fait.

Est il vrai qu'à un point extérieur à une droite ne passe qu'une parallèle ?

Et bien tout dépend de la géométrie 

Pire, non seulement il existe des 'vérités' indemontrables au sein d'un cadre logique donné s'il est suffisamment complexe mais Alain Connes démontre même au travers des topos de Grothendieck que c'est le concept même de vérité qui est friable.

D'ailleurs Grothendieck relevait souvent chez ses interlocuteurs des raisonnements y compris mathématiques dichotomiques quand il relevait des subtilités ne permettant pas réellement d'établir une valeur de vérité donnée.

J'aurai beaucoup de mal a définir ce que je suis dans la mesure où tellement de mes composantes y compris psychologiques me sont inaccessibles

Un beau sujet

L'exemple géométrique que vous prenez relève de la véracité factuelle. Il faut distinguer véracité et vérité. Si la vérité dépend de l'interprétation, alors on sombre dans le relativisme et il n'y a plus de vérité possible à commencer par celle selon laquelle il n'y aurait pas de vérité. On aboutirait alors à une aporie révélant le fait qu'il y a bien une vérité. Par ailleurs, s'il existait des vérités en dehors du champ de la compréhension, alors la raison serait vaine.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 1 minute, JOSEPH DELETRE a dit :

L'exemple géométrique que vous prenez relève de la véracité factuelle. Il faut distinguer véracité et vérité. Si la vérité dépend de l'interprétation, alors on sombre dans le relativisme et il n'y a plus de vérité possible à commencer par celle selon laquelle il n'y aurait pas de vérité. On aboutirait alors à une aporie révélant le fait qu'il y a bien une vérité. Par ailleurs, s'il existait des vérités en dehors du champ de la compréhension, alors la raison serait vaine.

La valeur de vérité a une définition très précise en mathématique.

En géométrie euclidienne a un point extérieur à une droite passe une parallèle, c'est vrai

En géométrie hyperbolique en passe une infinité, c'est tout aussi vrai

Et en géométrie elliptique n'en passe aucune, bingo ça aussi c'est vrai

Si je conceptualise la droite parallèle comme une notion absolue, dont la valeur de vérité est fixe, ce qu'on a cru pendant longtemps avec euclide, on est simplement dans l'erreur 

Aucun relativisme la dedans :)

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 29 minutes, Maroudiji a dit :

Parce que l'être est une abstraction, personne ne sait ce qu'il est. C'est donc de l'esbrouffe. 

J'ai dit que ta première proposition était juste mais je te défie d'appliquer ta compréhension de l'être par rapport à lui... 

As-tu lu quelques pages sur le sujet qui est traité ici, L'univers est-il stupide ou intelligent ? 

Alors, cela reviendrait à nier l'être humain ainsi que l'existence puisque toute chose existante est sujet de l'être.

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 6 minutes, zenalpha a dit :

La valeur de vérité a une définition très précise en mathématique.

En géométrie euclidienne a un point extérieur à une droite passe une parallèle, c'est vrai

En géométrie hyperbolique en passe une infinité, c'est tout aussi vrai

Et en géométrie elliptique n'en passe aucune, bingo ça aussi c'est vrai

Si je conceptualise la droite parallèle comme une notion absolue, dont la valeur de vérité est fixe, ce qu'on a cru pendant longtemps avec euclide, on est simplement dans l'erreur 

Aucun relativisme la dedans :)

La géométrie relève de la véracité factuelle et non de la vérité conceptuelle. Lorsqu'une particule est décrite par un vecteur d'état dans un espace de Hilbert aux dimensions infinies en mécanique quantique, cela signifie-t-il que le corps humain est une somme de vecteurs ? 

Enfin, mathématique et géométrie ont une vérité propre en cela qu'elles peuvent être définies.

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Membre, 69ans Posté(e)
Maroudiji Membre 6 485 messages
Forumeur expérimenté‚ 69ans‚
Posté(e)
il y a 9 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Alors, cela reviendrait à nier l'être humain ainsi que l'existence puisque toute chose existante est sujet de l'être.

Tu te parles tout seul. 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
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il y a 9 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

La géométrie relève de la véracité factuelle et non de la vérité conceptuelle.

En mathématique, au sens large, y compris en géométrie, on définit une valeur de vérité dont les modalités sont différentes selon qu'on adopte la logique classique ou intuitionniste.

Mais une vérité factuelle dissociée d'une vérité conceptuelle, ce n'est pas defini :)

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Membre, Talon 1, 79ans Posté(e)
Talon 1 Membre 23 940 messages
79ans‚ Talon 1,
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Je suis plutôt d'accord, sauf pour ce qui est du libre-arbitre, qui n'est qu'une illusion, une vanité.

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 13 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

Lorsqu'une particule est décrite par un vecteur d'état dans un espace de Hilbert aux dimensions infinies en mécanique quantique, cela signifie-t-il que le corps humain est une somme de vecteurs ? 

Justement, la physique classique est sur une logique classique selon laquelle la valeur de vérité peut être vrai, faux ou indefini.

Alors que la physique quantique n'est pas compatible au tiers exclu.

Tu ne peux pas conclure sur le chat de Schrodinger qui est un état macroscopique classique sur base d'une particule quantique autorisant une supperposition d'états 

Il y a le livre "le théâtre quantique" d'Alain Connes qui retrace le retour d'une femme physicienne après un voyage quantique dans l'espace de Hilbert

A lire sans modération sur ce sujet :)

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)
il y a 14 minutes, Maroudiji a dit :

Tu te parles tout seul. 

Mais encore, auriez-vous éventuellement un argument?

il y a 4 minutes, zenalpha a dit :

Justement, la physique classique est sur une logique classique selon laquelle la valeur de vérité peut être vrai, faux ou indefini.

Alors que la physique quantique n'est pas compatible au tiers exclu.

Tu ne peux pas conclure sur le chat de Schrodinger qui est un état macroscopique classique sur base d'une particule quantique autorisant une supperposition d'états 

Il y a le livre "le théâtre quantique" d'Alain Connes qui retrace le retour d'une femme physicienne après un voyage quantique dans l'espace de Hilbert

A lire sans modération sur ce sujet :)

Je ne traite pas de valeur mais de vérité. J'explique l'état de superposition dans mon essai en redéfinissant l'axe du temps si cela vous intéresse. La mécanique quantique pose le sujet du statut du réel que j'aborde également. 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 20 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

 

Je ne traite pas de valeur mais de vérité. J'explique l'état de superposition dans mon essai en redéfinissant l'axe du temps si cela vous intéresse. La mécanique quantique pose le sujet du statut du réel que j'aborde également. 

Valeur....de ...vérité 

La vérité ne peut être definie si on ne qualifie pas les modalités de réponse d'une assertion à une situation donnée 

Comme je le disais, il n'est vrai qu'a un point ne passe qu'une seule droite qu'en géométrie euclidienne 

Une vérité prend la valeur vraie dans ... un cadre... et faux ... dans un autre.

Oui, j'irai voir votre essai mais je suis dubitatif 

Il y a tellement de conceptions personnelles sur ces sujets....

En matière de ... vérité... je lis plutôt les physiciens de tous poils

D'autant que le temps en physique...

Prenez Hawking qu'il envisage un temps imaginaire dans son modèle ou Rovelli pour qui le temps n'existe pas ou Lee Smolin qui évoque un temps absolu universel ou encore Connes pour qui le temps émerge de la non commutativité du quantique 

Bref, qu'est ce que redefinir l'axe du temps ?

Je suppose que vous parlez de flèche du temps.

Dans ces domaines, mieux vaut publier dans des revues type Arxiv puis éventuellement vulgariser par un ouvrage.

Mais en philosophie, ou même sur un forum comme celui-ci, ca reste du débat sémantique peu profond de mon point de vue.

J'irai vous lire.

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Membre, Obsédé textuel, 73ans Posté(e)
Gouderien Membre 37 813 messages
73ans‚ Obsédé textuel,
Posté(e)

La raison de notre existence? Mais c'est l'argent, voyons ! :p Comme le chante Lana del Rey :

 

 

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Invité JOSEPH DELETRE
Invités, Posté(e)
Invité JOSEPH DELETRE
Invité JOSEPH DELETRE Invités 0 message
Posté(e)

@zenalpha

La vérité peut tout à fait être définie, c'est l'essence d'une chose, ce qu'elle est.

Et la valeur peut être définie comme l'estimation ou l'évaluation d'une chose.

Il n'y a que l'être qui ne puisse être défini par un concept plus fondamental que lui-même car ce qui est est tout simplement sans que l'on puisse dire autre chose.

Concernant le temps, il est souvent confondu avec la durée. Or, ces deux concepts sont totalement différents.

S'agissant de l'état de superposition précisément, celui-ci est inobservable avant mesure du vecteur d'état. J'explique dans mon essai qu'un état superposé est inobservable pour la raison simple qu'il n'est pas encore avéré par la mesure quantique constitutive du présent. Par conséquent, le futur ne serait plus à venir mais antérieur à la mesure du vecteur d'état du point de vue d'une logique causale et non plus temporelle. Il faudrait alors substituer à la notion de futur à venir celle de devenir perpétuel dans l'espace. Dans ce contexte, la description d'un état superposé par une somme de vecteurs d'état peut être mathématiquement juste mais fausse conceptuellement car il n'y aurait pas encore de géométrie avant mesure. J'explique que l'état de superposition relève de potentialités logiques dont une est avérée de manière certaine par la mesure quantique.

Le temps correspondrait alors au laps d'indétermination durant lequel une conséquence ne serait pas encore établie à l'échelle quantique ou, dit autrement, à l'établissement de toutes les potentialités logiques dont une seule serait avérée par la mesure. Il s'agirait alors d'un objet conceptuel dans lequel des instants présent seraient perpétuellement renouvelés. Il faudrait alors passer d'une réalité continue à une réalité en temps discret où chaque instant présent est une conséquence logique. Il serait alors possible de comprendre l'intrication quantique puisque deux particules seraient intriquées instantanément et quelle que soit la distance parce qu'elles apparaîtraient concomitamment au sein du même instant sans nécessité de propagation de signal à juste raison.

Je serais ravi d'avoir vos commentaires après lecture: https://cequiunie.blogspot.com/

Merci! 

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Membre, Agitateur Post Synaptique, 56ans Posté(e)
zenalpha Membre 21 895 messages
56ans‚ Agitateur Post Synaptique,
Posté(e)
il y a 42 minutes, JOSEPH DELETRE a dit :

@zenalpha

La vérité peut tout à fait être définie, c'est l'essence d'une chose, ce qu'elle est.

Et la valeur peut être définie comme l'estimation ou l'évaluation d'une chose.

Il n'y a que l'être qui ne puisse être défini par un concept plus fondamental que lui-même car ce qui est est tout simplement sans que l'on puisse dire autre chose.

Concernant le temps, il est souvent confondu avec la durée. Or, ces deux concepts sont totalement différents.

S'agissant de l'état de superposition précisément, celui-ci est inobservable avant mesure du vecteur d'état. J'explique dans mon essai qu'un état superposé est inobservable pour la raison simple qu'il n'est pas encore avéré par la mesure quantique constitutive du présent. Par conséquent, le futur ne serait plus à venir mais antérieur à la mesure du vecteur d'état du point de vue d'une logique causale et non plus temporelle. Il faudrait alors substituer à la notion de futur à venir celle de devenir perpétuel dans l'espace. Dans ce contexte, la description d'un état superposé par une somme de vecteurs d'état peut être mathématiquement juste mais fausse conceptuellement car il n'y aurait pas encore de géométrie avant mesure. J'explique que l'état de superposition relève de potentialités logiques dont une est avérée de manière certaine par la mesure quantique.

Le temps correspondrait alors au laps d'indétermination durant lequel une conséquence ne serait pas encore établie à l'échelle quantique ou, dit autrement, à l'établissement de toutes les potentialités logiques dont une seule serait avérée par la mesure. Il s'agirait alors d'un objet conceptuel dans lequel des instants présent seraient perpétuellement renouvelés. Il faudrait alors passer d'une réalité continue à une réalité en temps discret où chaque instant présent est une conséquence logique. Il serait alors possible de comprendre l'intrication quantique puisque deux particules seraient intriquées instantanément et quelle que soit la distance parce qu'elles apparaîtraient concomitamment au sein du même instant sans nécessité de propagation de signal à juste raison.

Je serais ravi d'avoir vos commentaires après lecture: https://cequiunie.blogspot.com/

Merci! 

Hello

J'ai lu d'autant plus attentivement que la grève sncf me fait jouer les sardines en boîte.

C'est un texte plus qu'ambitieux..., qui relie des interrogations disparates de la philosophie aux mathématiques en passant par la physique avec des références morales.

Ces liens piochent des grandes interrogations et je perçois des influences diverses ici et là.

C'est difficile de donner un avis parce que je ressens votre intérêt et votre implication.

C'est un aspect positif que j'aime entretenir 

Mais vous perdrez votre lecteur parce que ces ponts, que vous construisez et qui forcément vous conviennent satisfont votre logique dans votre cohérence personnelle qui vous fait sens mais ils s'écartent et très rapidement d'ailleurs de la distance qui vous sépare de vos lecteurs 

On passe donc d'un pont de concepts à un gouffre avec le lecteur 

Il y a pas mal de notions mal définies par rapport à leur utilisation académique et votre logique de construction sémantique à partir de ces briques fragiles n'est pas toujours rigoureux, à lecture extérieure personnelle du moins.

N'oubliez pas que l'explication consiste à faire adhérer donc à partir de votre auditoire et de sa propre logique pour l'amener...  a la votre.

Ici, on vous perd, on retrouve un fil à creuser mais aussitôt on vous reperd.

Bref, même si je ne trouve pas chez moi un écho, je pense que vous aurez du mal à en trouver ailleurs.

Peut-être faudrait-il un texte moins ambitieux, plus ciblé, plus decoupé pour vous assurer au fur et à mesure si ce n'est d'une adhésion car ce n'est pas le lieu au moins d'une marque d'intérêt 

On est trop loin de mes schémas mentaux philosophiques et scientifiques pour que votre propos puisse générer un feedback précis.

Sur chaque ligne il y aurait à préciser ou discuter et votre texte est long.

En tout cas gros travail 

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