Pour la première fois, la Cour suprême suédoise juge un homme coupable de viol par négligence

Pour la première fois, la Cour suprême suédoise juge un homme coupable de viol par négligence

Titre de ce sujet.

il y a 1 minute, 120lola120 a dit :

Pour la première fois, la Cour suprême suédoise juge un homme coupable de viol par négligence

•  

Titre de ce sujet.

 

 

 

Et des gens, autres que moi, ce sont mis à parler d'autres choses plus ou moins du fait du suivi de la discussion, ce faisant disant des choses fausses et graves.

Je devais me sentir obligée d'ignorer ça ? Mais alors, pourquoi c'est pas les autres qui m'ont ignorée si c'est ce qu'il faut faire quand on s'est éloigné du sujet au fil de la discussion ?

Des choses fausses et graves et hors-sujet ont été dites. Pas par moi. J'ai réagi. Cherche tes responsables ailleurs.

Et collante, en plus...

Le 23/07/2019 à 13:21, Condorcet a dit :

Qu'elle en ait envie ?  Moi je ne baise pas avec des salopes. 

Mais qui dit qu'une "salope" veuille baiser avec toi 

Désolé si mon langage choque. Mais j'ai pas pu résister.

il y a 6 minutes, lysiev a dit :

Mais qui dit qu'une "salope" veuille baiser avec toi 

Désolé si mon langage choque. Mais j'ai pas pu résister.

Toutes les mêmes, surtout certaines...

Il y a 6 heures, Léna-Postrof a dit :

Hélas oui et c'est désolant. Ces femmes ont reçu une éducation repiquée sur le patriarcat et n'ont pas (encore) réussi à s'en extraire. C'est aussi une façon pour elles, de se rendre plus "aimables", auprès des hommes. 

C'est l'effet pervers d'un trop long mutisme des femmes qui vous donne l'impression d'une chasse aux sorcières à l'endroit des hommes. Cependant, ce sont toujours les comportements inappropriés qui sont pointés et ne sont fort heureusement pas faits de tous les hommes. Des hommes ne sont non seulement pas inquiets, mais en plus sont bienveillants et solidaires des femmes : remarquables. Il y a une différence de taille entre être paranoïaque et juste prudent.

La diffamation peut toucher n'importe qui et sur Internet il est aisé de calomnier en toutes choses, hommes comme femmes, sans être (trop) inquiété. Le souci est plus global, plus profond et non seulement dirigé vers les hommes. Les nouvelles technologies, sans les diaboliser, ont favorisé un sentiment de pleine liberté. Vous pourrez constater avec la fin de l'omerta et l'information qui en a découlé, que les "figures" mises en lumière par des mouvements comme #MeToo (Weinstein, Green), #Balancetonporc (Brion) sont des porcs avérés. La Justice décidera -et ce sera toujours à elle d'en juger et non la justice du peuple- si leurs comportements sont constitutifs du harcèlement, de l'agression, du viol ou de l'outrage. L'erreur que nous avons commise pendant trop longtemps, c'est d'avoir considéré qu'il s'agissait simplement de drague lourde.

En ce qui concerne ces gardes à vue "musclées", dont seraient victimes des hommes innocents, pensez sincèrement à arrêter les films de série B. Encore trop peu de victimes d'agressions et de viol vont jusqu'au dépôt de plainte. Les forces de l'Ordre reçoivent plus de formation quant aux violences faites aux femmes, de tout ordre, ce qui n'empêche pourtant pas la maladresse, les sorties de route, la rustauderie. C'est fait connu et reste malheureusement dissuasif. Sans compter qu'il y a (toujours eu) une suspicion envers les victimes et même quand il s'agit d'enfants et d'adolescents face à un hébé- ou à un pédo- phile, comme vous pouvez le constater déjà sur ce fil. 

Au sujet de femmes accusatrices que vous nous décrivez comme des couardes ; je les verrais davantage comme plus intuitives, préconscientes, avec un sens de la perception plus aigu. Nous savons aussi que l'obscurité favorise les crimes et les larcins. Cette angoisse, ce sentiment d'être proies, qu'elles verbalisent, ces réactions presque -ou tout à fait- épidermiques font penser à une forme d'atavisme. Et puis les filles sont toujours, tant et si bien élevées dans la crainte perpétuelle du viol, qu'elles auront bien fini par intégrer, qu'elles vivent dans une société dangereuse. Vous noterez que l'espace public n'est pas vraiment partagé, les femmes ne s'y attardent pas et pressent le pas.

Quant au regard, insistant, déplaisant voire lubrique... c'est, il est vrai, souvent dérangeant, parfois intimidant, néanmoins pas constitutif d'une peine. Il n'est pas possible d'empêcher les individus de contempler, il n'y a pas grand chose à faire contre cela. Il est compréhensible toutefois que des femmes aient besoin de verbaliser. C'est lourd. 

N.B : Vous pouvez vous détendre sur l'utilisation du gras avec moi, je ne souffre pas de cécité. Ensuite, cela ne donne pas plus de force à vos propos et au contraire. 

Eh bien heureusement que nous ne guillotinons plus les gens par ici...

L'éducation est tout autant en cause, il manque simplement "pas" dans la phrase, "non plus" ainsi que l'ensemble du paragraphe auraient toutefois dû vous mettre sur la voie. 

L'Islam, tout autant que le judéo-christianisme sont en cause, ainsi que tout ce qui a précédé, c'est un continuum. Les racines du mal, à moins que... du mâle : la religion est une invention des mâles, au service des mâles. Il faudra bien nous défaire de cet esprit de domination masculine, un jour. Ça ne rime à rien, nous pouvons vivre harmonieusement, vers plus d'égalité et nous y tendons. Il ne s'agit pas d'un regain pour ces religions passéistes en réaction à l'évolution d'un statut, il a toujours eu un goût pour, il a toujours été au goût du jour. Elles ont toujours subsisté envers et contre tout. Les plus dévots se reproduisent aussi comme des lapins. L'emploi des contraceptifs est condamné, quant au droit à l'avortement, n'en parlons même pas. C'est toute une stratégie de survie pour la religion.  

La Suède propose une éducation d'abord sans violence. Le dialogue, l'écoute, l'échange sont privilégiés afin de désamorcer les situations même les plus difficiles. Les enfants ne sont plus élevés à coups de trique. Chez nous, les ayatollahs des violences ordinaires dans l'éducation sont toujours légion. À partir du secondaire, il est proposé aux élèves -en plus du tronc commun- des matières plus spécifiques, en adéquation avec l'évolution des sociétés et des marchés (numérique, science politique etc...). Nous y venons ici, tout doucement. Les meilleurs lycées le proposent. Personnellement, je trouve que c'est un progrès. Libre à chacun, ensuite d'aimer les torgnoles et étudier la flûte à bec. 

En ce qui concerne cette loi, passée l'été dernier, elle est bien trop jeune, et la Justice encore trop pusillanime, pour que nous puissions en apprécier les effets. Ça se fera sur le long, il reste encore fort à faire. Les parents sont démissionnaires, l'Éducation nationale devrait davantage être enseignement national, reste donc plus que la Justice. C'est malheureux en effet, c'est la dernière chance. 

C'est quoi cette histoire de "peur du viol"?

Si les filles étaient élevées réellement avec cette "peur", il y aurait beaucoup moins de viols et d'agressions...les filles sauraient instinctivement comment s'en défendre...

Si ces dames voulaient bien commencer par éduquer leurs petits chéris à sa maman autrement que "tout le monde est à ses pieds, puisque j'y suis moi-même"...nous n'en serions pas là...

La bizarrerie de tout cela est que ce sont les mères qui font, le plus souvent, de leurs fils des salopards de première qui se croient tout permis!

Et ceux qui se croient tout permis parce que tout le monde, y compris les victimes, ont laissé faire pour obtenir quelque chose, comme un rôle dans le monde du cinéma...Je suis bien d'accord avec Catherine Deneuve sur ce point!

Ca fait bien 50 ans que le public lui-même sait ce qu'il se passe dans ce monde là...

Et puis il y a les psychopathes sexuels..les déviants...des récidivistes quoi qu'il arrive!

Pour qui le sexe n'est pas toujours la fin en soi!

https://www.marianne.net/societe/subir-un-viol-sans-reagir-comment-la-justice-se-familiarise-avec-l-etat-de-sideration

Dans le sujet?

il y a 12 minutes, Morfou a dit :

https://www.marianne.net/societe/subir-un-viol-sans-reagir-comment-la-justice-se-familiarise-avec-l-etat-de-sideration

 

Dans le sujet?

Un bon lien

Merci.

Il y a 2 heures, Condorcet a dit :

Toutes les mêmes, surtout certaines...

Mais vous aimez ça 

Le 24/07/2019 à 15:52, Léna-Postrof a dit :

En France, depuis quelques gouvernements, nous nous intéressons plus sérieusement aux violences faites aux femmes, et nous pouvons ainsi comptabiliser les cris d'orfraie de pauvres mâles, qui se sentent visés (on ne sait trop pourquoi, s'ils n'ont rien à se reprocher) se rangeant sans ciller aux côtés des délinquants et criminels sexuels, ainsi que les insultes dirigée vers Mme Schiappa notamment.

Je ne veux pas dire mais si Marlène Shiappa est "clivante", ce n'est pas nécessairement à cause de son combat...

C'est plus lié à la personnalité. Comme un Sarkozy. Beaucoup adorent, beaucoup détestent. Mais peu restent indifférents.

Le 24/07/2019 à 15:52, Léna-Postrof a dit :

Et des femmes sont violées lors de différents festivals en France et encore tout dernièrement. Aucun pays n'est vraiment sûr pour les femmes

Pour les hommes non plus, mais la question de la sécurité n'est pas la question de la sécurité, c'est la question de la sécurité des femmes. Personne ne peut le comprendre dans un contexte ou la loi serait la même pour tous. 

Le 24/07/2019 à 15:52, Léna-Postrof a dit :

par contre certains font plus d'efforts que d'autres ou se sentent vraiment concernés/ne restent pas dans l'immobilisme. En France, depuis quelques gouvernements, nous nous intéressons plus sérieusement aux violences faites aux femmes,

Ce qui est incompréhensible dans un contexte ou la loi serait la même pour tous. Par contre dans un état d'esprit ségrégationniste, ça colle.

Le 24/07/2019 à 15:52, Léna-Postrof a dit :

et nous pouvons ainsi comptabiliser les cris d'orfraie de pauvres mâles, qui se sentent visés (on ne sait trop pourquoi, s'ils n'ont rien à se reprocher) 

Parce que l'ennemi -incarnation du MAL- est l'homme et non le coupable. On cherche une culpabilité de nature comme des ségrégationnistes, et non une culpabilité individuelle. L'existence de l'homme est le risque, comme l'existence des juifs pour nos voisins allemands fut le risque, et c'est bien ainsi que ce fut formalisé, les camps étaient des camps de protection des populations civiles. C'est exactement la dialectique féministe.

Quand on tient un discours ségrégationniste, on ne s'étonne pas des conséquences qui en découlent. Il faut juste en prendre conscience.

Le 24/07/2019 à 15:52, Léna-Postrof a dit :

se rangeant sans ciller aux côtés des délinquants et criminels sexuels, ainsi que les insultes dirigée vers Mme Schiappa notamment. 

Étant rangés sans ménagement dans le camp des criminels par la naissance, et ne reniant pas leur être, ils sont automatiquement au côté des criminels puisqu'on ne leur reproche pas leurs crimes mais le potentiel criminogène qui exhale de leur personne.

Ce sont des cisgenre, blancs, hétéros, oppresseurs, colonisateurs, bassistes, machistes et antisémites. Leur existence est un outrage pour les féministes, contrebassistes et autres catégories oppressées. Parce qu'ils ne se renient pas. Ca n'a aucun sens si on regarde bien.

Shiappa est l'incarnation contemporaine et française de ce genre de discours délirant, en plus d'autres discours délirant sur l'ubermensch Macron.

Il y a 11 heures, garthriter a dit :

Je ne veux pas dire mais si Marlène Shiappa est "clivante", ce n'est pas nécessairement à cause de son combat...

C'est plus lié à la personnalité. Comme un Sarkozy. Beaucoup adorent, beaucoup détestent. Mais peu restent indifférents.

Toute personnalité (politique) est clivante, personne ne fait vraiment le consensus. 

Marlène Schiappa s'est faite connaître alors qu'elle était blogueuse et en publiant une vidéo tandis qu'elle se promenait dans les quartiers afin de montrer le sexisme ordinaire qui y règne. C'est une femme engagée, qui n'a pas froid aux yeux, et il nous fallait bien cela. 

Tous les hommes ne la détestent pas néanmoins. Si je ne me trompe pas, nous avons même ici bas, un intervenant plutôt fan @Gouderien. 

Il y a 10 heures, Mr_Fox a dit :

Pour les hommes non plus, mais la question de la sécurité n'est pas la question de la sécurité, c'est la question de la sécurité des femmes. Personne ne peut le comprendre dans un contexte ou la loi serait la même pour tous. 

Ce qui est incompréhensible dans un contexte ou la loi serait la même pour tous. Par contre dans un état d'esprit ségrégationniste, ça colle.

Parce que l'ennemi -incarnation du MAL- est l'homme et non le coupable. On cherche une culpabilité de nature comme des ségrégationnistes, et non une culpabilité individuelle. L'existence de l'homme est le risque, comme l'existence des juifs pour nos voisins allemands fut le risque, et c'est bien ainsi que ce fut formalisé, les camps étaient des camps de protection des populations civiles. C'est exactement la dialectique féministe.

Quand on tient un discours ségrégationniste, on ne s'étonne pas des conséquences qui en découlent. Il faut juste en prendre conscience.

Étant rangés sans ménagement dans le camp des criminels par la naissance, et ne reniant pas leur être, ils sont automatiquement au côté des criminels puisqu'on ne leur reproche pas leurs crimes mais le potentiel criminogène qui exhale de leur personne.

Ce sont des cisgenre, blancs, hétéros, oppresseurs, colonisateurs, bassistes, machistes et antisémites. Leur existence est un outrage pour les féministes, contrebassistes et autres catégories oppressées. Parce qu'ils ne se renient pas. Ca n'a aucun sens si on regarde bien.

Shiappa est l'incarnation contemporaine et française de ce genre de discours délirant, en plus d'autres discours délirant sur l'ubermensch Macron.

Entre troll, envolées lyriques et gloubi boulga... 

Plus le choix là, il va vous falloir intégrer un bunker en compagnie de @libredeparler

Rappelons que le violeur en question est multirécidiviste, connu par la Justice pour des faits similaires sur mineurs. Pour défendre un individu du genre, à titre gracieux, il faut vraiment être accro au dadaïsme ou bien pourri jusqu'à la moelle et bien plus encore... 

il y a 24 minutes, Léna-Postrof a dit :

Toute personnalité (politique) est clivante, personne ne fait vraiment le consensus. 

Marlène Schiappa s'est faite connaître alors qu'elle était blogueuse et en publiant une vidéo tandis qu'elle se promenait dans les quartiers afin de montrer le sexisme ordinaire qui y règne. C'est une femme engagée, qui n'a pas froid aux yeux, et il nous fallait bien cela. 

Tous les hommes ne la détestent pas néanmoins. Si je ne me trompe pas, nous avons même ici bas, un intervenant plutôt fan @Gouderien.

 

Il y a tout de même une différence importante entre "ne pas faire consensus" et être clivant.

Chirac ne fait nullement consensus. Mais il est indéniablement moins clivant que ne l'a été Sarkozy.

il y a 40 minutes, Léna-Postrof a dit :

Toute personnalité (politique) est clivante, personne ne fait vraiment le consensus. 

Marlène Schiappa s'est faite connaître alors qu'elle était blogueuse et en publiant une vidéo tandis qu'elle se promenait dans les quartiers afin de montrer le sexisme ordinaire qui y règne. C'est une femme engagée, qui n'a pas froid aux yeux, et il nous fallait bien cela. 

Tous les hommes ne la détestent pas néanmoins. Si je ne me trompe pas, nous avons même ici bas, un intervenant plutôt fan @Gouderien. 

 

Fan est un bien grand mot. Disons que je la trouve séduisante, ce qui est loin d'être le cas de certaines de ses collègues du gouvernement.

Schiappa est une conne qui devrait réfléchir avant de parler, je comprend pas qu'une personne de ce niveau arrive a cette  fonction de l’état, en même temps, ça donne de l'espoir aux personne de mon niveau.

il y a 19 minutes, garthriter a dit :

Il y a tout de même une différence importante entre "ne pas faire consensus" et être clivant.

Chirac ne fait nullement consensus. Mais il est indéniablement moins clivant que ne l'a été Sarkozy.

Chirac semblait plus tranquille, c'était aussi une autre époque. À partir de Sarkozy, aucun n'a réellement plu. 

Najat Vallaud Belkacem avait aussi droit d'être une "sorcière".

il y a 7 minutes, Gouderien a dit :

Fan est un bien grand mot. Disons que je la trouve séduisante, ce qui est loin d'être le cas de certaines de ses collègues du gouvernement.

Brune Poirson ? 

il y a 2 minutes, old kyfran a dit :

Schiappa est une conne qui devrait réfléchir avant de parler, je comprend pas qu'une personne de ce niveau arrive a cette  fonction de l’état, en même temps, ça donne de l'espoir aux personne de mon niveau.

Les autres membres du gouvernement sont plus réfléchis et moins cons ? 

il y a 1 minute, Léna-Postrof a dit :

 

Brune Poirson ? 

 

Il y a pire.

il y a 3 minutes, Léna-Postrof a dit :

Les autres membres du gouvernement sont plus réfléchis et moins cons ? 

j'avoue, non, mais elle comme castagnette sortent du lot.

Il y a 10 heures, Léna-Postrof a dit :

Plus le choix là, il va vous falloir intégrer un bunker en compagnie de @libredeparler

Rappelons que le violeur en question est multirécidiviste, connu par la Justice pour des faits similaires sur mineurs. Pour défendre un individu du genre, à titre gracieux, il faut vraiment être accro au dadaïsme ou bien pourri jusqu'à la moelle et bien plus encore... 

Visiblement votre besoin  de lyncher les hommes vous aveugle  ....

Si vous aviez pris le temps de lire ce que j'ai écrit sur ce sujet, vous auriez vu que je condamne sans la moindre excuse l'acte de cet homme de 27 ans..

Mais bon, je sais bien que la religion féministe vous interdit l'objectivité...

Viol par négligence ok.

Récidiviste, con, salop c'est sûr 

Mais la grogniasse d'ado qui se couche à poils en souhaitant faire un scrabble est pas mal dans le genre non plus.

Conne de son état et prise par destination.

Le nobel de la grogniasse.