Aller au contenu

petitemaudite

Membre
  • Compteur de contenus

    62
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Points

    240 [ Donate ]

À propos de petitemaudite

  • Date de naissance 12/04/2001

Visiteurs récents du profil

Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.

petitemaudite's Achievements

Baby Forumeur

Baby Forumeur (1/14)

64

Réputation sur la communauté

  1. Tu lui p***t de demande. Au p****t de cas où. Parce que oui il y a peut-être des gens pour qui c'est pas très glamour de parler, mais là tu parles de se retrouver dans une situation où tu n'as pas le choix. Parce que oui ça existe le fait d'être bloqué et incapable de réagir même si on voudrait le faire si on était en pleine santé, alors si tu as de toute apparence une poupée gonflable en face de toi, tu fais ce que t'as à faire pour être sûr que si elle voulait se barrer eh ben c'est ce qu'elle ferait. Le sexe, au regard de l'éducation, au regard de la loi, et au regard de beaucoup de sensibilités, c'est pas un pique-nique. Le message est clair : si tu te figures que t'es apte au sexe, alors même avant le minimum vital tu es déjà capable d'assumer le sexe et donc tes responsabilités de personne qui s'y engage. Ça veut dire que quand il est possible que ta partenaire est en train de faire une attaque, déjà tu vérifies qu'elle fait pas une attaque, ça ne se discute pas. Pour quelqu'un qui se croit apte au sexe, la notion de "comment on pourrait deviner" est inconcevable. Ce qui est censé être clair pour toi, c'est que tu te débrouilles pour savoir. Tu es censé être quelqu'un pour qui il est profondément clair que si "c'est pas facile à deviner" alors on fait rien. Et c'est j'imagine précisément par un manquement à ces règles, qu'ils sont arrivés à la notion de viol par négligence. Négliger l'état d'autonomie de son partenaire, n'est pas concevable pour quelqu'un à qui on veut légalement autoriser d'avoir des rapports sexuels. Avec les écarts de fait entre l'attente et la réalité notamment aux jeunes âges qui sont légalement autorisés quand même, certes. En général il y a adaptation du jugement. N'empêche que la compréhension face à l'immaturité n'est pas un acquis. Le message est parfaitement clair.
  2. Bah non. Elle voulait dormir ensemble en sous-vêtements et pouvait pas comprendre que d'un seul coup il dépasse les limites acceptées. Rien de particulièrement étonnant là-dedans, seulement mal imaginé de sa part, et l'autre qui s'en fiche de la façon qu'elle voit les choses. A la rigueur si tu voulais douter, tu pourrais te pencher du côté de l'infâme "miol", où en gros "mouais, c'est ça, ben voyons tu as pas participé quand il s'y est mis". Mais il semble que l'idée de cette décision de justice ici, c'est qu'il y a un accord sur les faits. Effectivement, elle a pas participé. La stupeur n'est pas franchement difficile à imaginer dans ce cas.
  3. Bon je vais pas perdre mon temps à t'expliquer le droit des personnes temporairement vulnérables, manifestement le monde et la loi qui essaie de le réguler sont trop compliqués pour toi pour que tu puisses faire des comparaisons du genre "ça marche comme ça d'habitude". Tu préfères prendre un seul exemple linéaire et simpliste et penser que grâce à ça tu as tout invalidé. À ta guise. Pour t'en sortir dans ce monde il te reste la notion de bien ou de mal et tu sais parfaitement qu'abuser d'une personne vulnérable c'est mal. Pour le reste, tu as oublié deux mots importants. L'homme a réalisé un rapport sexuel _sans aide_. Ça veut dire quoi sans aide ça veut dire avec une poupée gonflable il aurait fait pareil. Personne ne l'a aidé à sortir son engin, personne ne l'a aidé à enlever la culotte, personne ne l'a aidé à se mettre en position, personne n'a attrappé sa tête pour l'embrasser pendant qu'il faisait tout ça, personne ne lui a fait de caresse sensuelle. Il a réalisé un rapport sexuel sans la participation de personne d'autre, comme avec une poupée gonflable. Il n'y a pas que le verbal comme consentement. Participer avec ses gestes à un rapport sexuel qui se fait ou sur le point de se faire, c'est un consentement largement assez clair pour que le rapport qu'on est en train de construire, ait lieu. Et cette fille n'en a fourni aucun. Elle était en état de choc, incapable de bouger et si elle l'avait été ce serait pour l'expulser ou s'enfuir mais pas pour participer. Pas de consentement donc, en sus du fait que ça veut dire pas de révocation de l'intention claire de ne pas avoir de rapport. Pour finir c'est toi qui raconte des débilités. Des millions de filles ont envie de passer un moment en ambiance intime seule à seule avec leur copain, sans pour autant vouloir faire l'amour, qu'elles soient pas prêtes, qu'elles soient pas d'humeur ou mille autres raisons. C'est simplement évident donc ce qu'il en reste c'est que ce sue tu racontes c'est de la merde.
  4. Si, une personne en état de choc est extrêmement protégée par le droit, énormément de comportements sont reconnus comme illégalement abuser de leur état temporaire de vulnérabilité. C'est dur à faire valoir en situation réelle parce que ça consiste à se dédouaner d'un contrat sur lequel on s'est engagé, et il ne faut pas prendre les juges que pour des cons. Mais c'est complètement ce que fait le droit d'habitude. Concernant le fait que les faits ne sont pas caractérisés je ne vois là que de la débilité : communication orale, claire, récente et manifeste de l'intention de ne pas avoir de rapport sexuel. Absence absolue d'une quelconque révocation de cette intention. Le coupable fait quand même en sorte qu'il y ait rapport sexuel, sans aide. C'est juste bien plus qu'il n'en faut pour caractériser le viol par chez nous, dans la mesure où l'absence d'un consentement suffit.
  5. Et des gens, autres que moi, ce sont mis à parler d'autres choses plus ou moins du fait du suivi de la discussion, ce faisant disant des choses fausses et graves. Je devais me sentir obligée d'ignorer ça ? Mais alors, pourquoi c'est pas les autres qui m'ont ignorée si c'est ce qu'il faut faire quand on s'est éloigné du sujet au fil de la discussion ? Des choses fausses et graves et hors-sujet ont été dites. Pas par moi. J'ai réagi. Cherche tes responsables ailleurs.
  6. Il y en a plein qui arrêtent pas de dire, "si tu as rien à te reprocher, tu risques rien" C'est effectivement le cas, et c'est effectivement hors-sujet. Et il se trouve que c'est faux aussi et abominable. C'était ma preuve, elle est là. Toi tu répètes non, non, sans preuve.
  7. Ce qui est affirmé sans preuve, peut être rejeté sans preuve. Moi j'ai affirmé avec preuve.
  8. Il y en a plein qui arrêtent pas de dire, "si tu as rien à te reprocher, tu risques rien" Ce n'est, pas, vrai. Admettez-le et retournons au sujet. Il vient pas de moi ce hors sujet.
  9. C'est pas une question de logique, c'est ce qui se passe. La logique elle est dans le fait que la femme qui accuse un homme est crue sans réserve par la police (en tout cas se comporte comme si) et par les gens. Alors que les autres dénonciations sont écoutées, avec des réserves au cas par cas.
  10. Quand c'est pris au sérieux, c'est pas marrant, et il y a des risques. Mais ses chances de s'en sortir sans quoi que ce soit de mal durable, sont comme on l'espère dans un pays de droit. Ou alors, je suppose que je ne le savais pas, et on a deux situations bien plus disproportionnellement injustes qu'elles ne le devraient, au lieu de juste celle que je connais. Mais il n'y en a pas tant que ça.
  11. Oui, les erreurs judiciaires, ça existe. Et on en est tous horrifiés. Mais c'est pas si facile que ça d'infliger ça à quelqu'un juste parce qu'on le veut. C'est pas un pouvoir bien établi que chacun a sur chacun. Les hommes, qu'ils aient ou non quelque chose à se reprocher, n'ont pratiquement aucune chance de s'en sortir sans séquelle très grave, s'ils sont accusés de ce genre de chose par une femme. C'est un gigantesque déséquilibre. C'est vraiment pas bénin de le nier comme ça.
  12. Qu'ils devraient ça j'en sais rien, est-ce qu'il vaut pas mieux ignorer les dangers de la vie, quand on peut rien y faire. Ils auraient toute légitimité réelle à se sentir en danger, en tout cas. Et nous pour eux. Tu te bases seulement sur le fait qu'ils seront pas condamnés par un tribunal. Comme si perdre tout le reste c'était sans importance.
×