il y a 5 minutes, fx. a dit :

Pourquoi elles ne sont pas concernées par la mesure d'aide à l'embauche que j'ai cité et qui induit certains comportements généralisés en matière salariale ?

Si vous ne comprenez pas que le cout du travail est trop elevé pour une petite enctreprise, et que cela pése in fine sur le salarie, alors, il n'y a rien à faire, c'est que vous n'avez pas envie de vivre dans une société oùle doit à la propriété privée est reconnu. Fin de la discussion.

il y a 17 minutes, sush'bar a dit :

L'inflation recule à 1,9% en novembre

• Par  Le Figaro.fr avec AFP 
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• Mis à jour le 30/11/2018 à 11:45 
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• Publié le 30/11/2018 à 09:14

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• 33 commentaires Imprimer cet article (ouvre la fenêtre d'impressio

La hausse des prix à la consommation a ralenti à 1,9% en novembre sur un an après avoir atteint 2,2% en octobre, en raison notamment du ralentissement des prix de l'énergie, selon les chiffres provisoires publiés vendredi par l'Insee.

Sur un mois, les prix reculent de 0,2% après une légère hausse de 0,1% en octobre, a précisé l'organisme public dans un communiqué. Sur un mois, les prix reculent de 0,2% après une légère hausse de 0,1% en octobre, interrompant ainsi sept mois consécutifs de hausse, sous l'effet de la baisse des prix de l'énergie "dans le sillage des cours du pétrole", a indiqué l'Insee. Les prix des services ont également reculé en novembre "du fait d'un repli saisonnier des prix des transports aériens et d'une baisse des prix des services de communication". Ceux de l'alimentation ont également reculé, comme en octobre. En revanche, les prix des produits manufacturés ont légèrement progressé.

Cela représente toujours une perte de pouvoir d'achat in fine. Sachant que les prix de l'énergie vont remonter, avec des hausses dès début 2019, je ne vois pas bien l'efficacité de pinailler sur 0,3%.

Les porte paroles qui devraient être reçus à Matignon :

Benjamin Cauchy (Occitanie), Jacline Mouraud (Bretagne), Cédric Guémy (Île-de-France), membres fondateurs ; Chantal Perrotin (Auvergne-Rhône-Alpes), Cédric Delaire (Hauts-de-France), David Tan (Pays de la Loire), Christophe Chalençon (Provence-Alpes-Côte d'Azur), Ghjuvan-Andria Culioli, David Roig (Un espoir pour la Corse), Damien Molin (Nouvelle-Aquitaine).

il y a 4 minutes, Swannie a dit :

Le richesse est relative, un smicard va considérer riche celui qui gagne le double 

Donc celui qui vit en HLM peut considérer riche ceux qui sont propriétaires (perso je les dis simplement aisés, l'un comme l'autre, mais je dis aussi : tant mieux pour eux, c'est qu'ils ont travaillé pour).

Lorsque je regarde la vitesse à laquelle poussent les lotissements aujourd'hui, il semble plus aisé d'être propriétaire que de mon temps ! Mais nous débordons du sujet !

il y a 23 minutes, Constantinople a dit :

Que le travail paie, en résumé.

beaucoup de méres de famille de 1 ou 2 enfants qui justement gagnent juste un peu trop pour beneficier du jackpot social. Des femmes courageuses.

Le jackpot social, c'est quoi? C'est de gagner assez de dividendes sur une société pour subvenir à ses besoins?

il y a 2 minutes, January a dit :

Les porte paroles qui devraient être reçus à Matignon :

Benjamin Cauchy (Occitanie), Jacline Mouraud (Bretagne), Cédric Guémy (Île-de-France), membres fondateurs ; Chantal Perrotin (Auvergne-Rhône-Alpes), Cédric Delaire (Hauts-de-France), David Tan (Pays de la Loire), Christophe Chalençon (Provence-Alpes-Côte d'Azur), Ghjuvan-Andria Culioli, David Roig (Un espoir pour la Corse), Damien Molin (Nouvelle-Aquitaine).

 

bon, au moins on a les membres du parti....

il y a de fortes chances pour qu'ils remportent les prochaines élections avec un programme sur le point d'être affiné, dixit jacline

il y a 1 minute, zebusoif a dit :

faut que j'aille me renseigner sur le site de la police pour connaître la vérité... sur la police T'es sûre d'être née au pays de Montesquieu. L'un des plus grands, alors je mets sa photo, et te conseille d'aller consulter sa page Wiki, ainsi que l'article relatif au "conflit d'intérêt"

Ravie de voir que tu admires les riches tel que Charles Louis de Secondat, baron de la Brède et de Montesquieu   

il y a 30 minutes, Abu nuwas a dit :

Bjr DroitDeRéponse, 

 

Bravo, vous avez fait une recherche, maintenant je vous invite à remonter les pages pour aller consulter ce que j'ai dis précisément. Munissez vous d'un dico par précaution. 

 

a+

J’ai cité précisément ce que vous avez dit . Ne vous reste plus qu’à remonter les pages pour constater que je vous ai bien répondu sur vos propos . Mais comme ça gratte je comprends parfaitement le pourquoi de votre propos 

il y a 9 minutes, samira123 a dit :

Quelque chose de profond s'est noué dans les entrailles d'une société qui, à travers les Gilets jaunes, dit qu'elle n'accepte plus le destin politico-technocratique que d'aucuns, de très haut, veulent lui opposer. La potion est d'autant moins buvable que la manière dont on lui administre la cuiller est désormais jugée irrecevable, voire indisposante.

Le Président de la République, dont les marges de manœuvre sont réduites du fait même de la perte d'autonomie des politiques nationales, doit d'abord être un homme d'intuition et de tact, deux qualités qui à l'heure actuelle ont fait cruellement défaut à l'hôte de l'Élysée. La stratégie de celui-ci, posture tout à la fois d'inflexibilité sur les fondamentaux et de dénonciation de violences dont il espère à peine secrètement et un peu grossièrement qu'elles affaibliront le soutien de l'opinion aux Gilets jaunes, a mécaniquement conduit aux points de tensions dont le pays est aujourd'hui le théâtre.

Qu'il le veuille ou non, Emmanuel Macron est comptable de cette situation. Sous la Vème république, tout remonte au Président - le meilleur parfois, le pire le plus souvent. L'homme dont le mantra consiste à répéter et à faire répéter qu'il assume ne peut faire l'économie de sa propre responsabilité dans la dégradation impressionnante du climat du pays. Son style, mi-provoc', mi-péremptoire, sa com' bien plus maltraitante que pédagogique, son entourage un tantinet inexpérimenté et frisant une forme de mépris, ont dispersé autour du pouvoir un halo de suffisance fortement répulsive. Les gilets jaunes sont tout autant l'expression d'un rejet d'une politique que d'un comportement: la combinaison des deux est potentiellement révolutionnaire, en ce sens qu'elle mine jour après jour l'adhésion aux institutions. Par un enchaînement irrésistible des événements, le problème de la taxation des carburants s'est transformé... en problème Macron.

C'est la singularité des événements exceptionnels que de déstabiliser les cadres d'action des autorités et de désosser les grilles de lecture des analystes. Question: sommes-nous dans ce moment irréductiblement exclusif? Sans doute est-il encore trop tôt pour le dire mais force est de constater que trois facteurs concourent à cette hypothèse: la violence, aussi insupportable soit-elle, n'a pas donné lieu à un affaiblissement du «giletisme», lequel reste pour l'instant assuré d'un fort soutien populaire ; le tempo du pouvoir est dépassé, débordé même par une dynamique événementielle qui lui impose son propre agenda ; le crédit institutionnel qui insuffle aux autorités leur légitimité est entamé, comme le démontre le refus quasi-absolu des Gilets jaunes de dialoguer avec le Premier ministre. Un pouvoir qui n'impressionne plus est un souverain sans amarre: c'est à ce début de démonétisation qu'est confrontée une majorité pour laquelle la force des institutions ne suffit plus dans ces heures imprévisibles à lester solidement le mandat.

On imagine sans peine que les spin doctors du macronisme escompteront sur les clichés d'un Arc-de-triomphe scandaleusement couvert de tags pour inverser une mécanique qu'ils ne parviennent pas à maîtriser. On peut tout autant imaginer que les adversaires de la majorité insisteront sur le contraste d'un Président absent de Paris, G20 oblige, et les scènes d'émeutes de ce 1er décembre, pour souligner comme «l'insoutenable légèreté» voire l'insolente négligence de la tête de l'exécutif. Quoi qu'il en soit, entre les revendications parfois hétéroclites des «giletistes», les propos inappropriés, voire surjoués, donc mal joués, de nombre de ministres et cadres macronistes, les caractérisations inadaptées d'évènements que commentateurs et analystes ne parviennent pas à saisir, s'installe cette atmosphère d'anomie qui préside généralement aux grandes crises.

Tout se met en place comme si peu à peu nous avancions dans un monde dont nous ne reconnaissons plus les repères. Si la réponse du pouvoir se réduisait à la grammaire du seul ordre public, la question sociale et en conséquence politique ne manquerait pas de resurgir, un cran toujours au-dessus, à la fenêtre de la République. Rien ne sert de vouloir, en vain, corneriser un sentiment populaire ; le Président serait bien inspiré non seulement de faire avec, mais de faire pour. L'autonomie des événements est telle qu'elle échappe à tout le monde ; c'est en ce sens peut-être qu'elle constitue un fait d'histoire... À ne pas tenir compte de cette intensité-là, c'est le «game over» qui guettera. Personne n'y a intérêt.

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/12/02/31001-20181202ARTFIG00096-gilets-jaunes-le-point-de-bascule.php

C'est le boomerang qui lui revient en pleine poire.

Moi je pense que sans réponse immédiate, le mouvement va se renforcer, car si paris en a rien à foutre des "bouseux", les bouseux s'en fichent de paris.

il y a 2 minutes, Constantinople a dit :

Si vous ne comprenez pas que le cout du travail est trop elevé pour une petite enctreprise, et que cela pése in fine sur le salarie, alors, il n'y a rien à faire, c'est que vous n'avez pas envie de vivre dans une société oùle doit à la propriété privée est reconnu. Fin de la discussion.

Je te remercie donc de cesser d'instrumentaliser la peur des gens qui vivent avec de faibles revenus et dont les conditions sont precarisėes par les modifications du code du travail que la droite aurait tout aussi bien accompli dans ce qu'elle annonçait comme une blitzkrieg. Je te remercie d'autre part de te souvenir que les pme ont largement profitėes du CICE et que la politique salariale n'à que peu évoluée malgré les engagements divers.

il y a 2 minutes, Kyoshiro02 a dit :

Le jackpot social, c'est quoi? C'est de gagner assez de dividendes sur une société pour subvenir à ses besoins?

Effet de seuil, tout simplement.  Le drame du smic est qu'il est trop cher pour l'entreprise mais ne rapporte pas assez au travailleur, et d'autre part, qu'il prive d'aides sociales sans proposer une perspective d'évolution salariale sur le court terme.

à l’instant, fx. a dit :

Je te remercie donc de cesser d'instrumentaliser la peur des gens qui vivent avec de faibles revenus et dont les conditions sont precarisėes par les modifications du code du travail que la droite aurait tout aussi bien accompli dans ce qu'elle annonçait comme une blitzkrieg. Je te remercie d'autre part de te souvenir que les pme ont largement profitėes du CICE et que la politique salariale n'à que peu évoluée malgré les engagements divers.

écoutez, allez faire la guerre aux entreprises si ça vous chante, qu'est ce que vous voulez que je vous dise ? Pour raconter autant de conneries en un seul tweets vous démontrez que vous ne comprenez rien aux réalités des petites boites. Ciao.

E Macron reçu en Argentine

https://www.courrierinternational.com/article/vu-dargentine-macron-et-le-gilet-jaune-de-buenos-aires-une-horreur-diplomatique

Il y a 2 heures, pila a dit :

Vous savez très bien qu'il y a toujours des imbéciles qui se feront remarquer par des propos déplacés. Et cette élue qui n'a pas l'air d'être une science en rajoute ! Qu'elle aille donc pointer demain matin à 5h00 avec les employés du premier Lidl venu. Ca luii fera voir la Vie.

Pila radote. Et vous, Morfou, vous êtes souvent une enc...... de mouches !

Elle a été au RSA...

il y a 12 minutes, samira123 a dit :

Tout se met en place comme si peu à peu nous avancions dans un monde dont nous ne reconnaissons plus les repères. Si la réponse du pouvoir se réduisait à la grammaire du seul ordre public, la question sociale et en conséquence politique ne manquerait pas de resurgir, un cran toujours au-dessus, à la fenêtre de la République. Rien ne sert de vouloir, en vain, corneriser un sentiment populaire ; le Président serait bien inspiré non seulement de faire avec, mais de faire pour. L'autonomie des événements est telle qu'elle échappe à tout le monde ; c'est en ce sens peut-être qu'elle constitue un fait d'histoire... À ne pas tenir compte de cette intensité-là, c'est le «game over» qui guettera. Personne n'y a intérêt.

http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2018/12/02/31001-20181202ARTFIG00096-gilets-jaunes-le-point-de-bascule.php

C'est pas mal cet article mais la conclusion c'est Blanche Neige et les Sept Nains. En fait le game over guette parce que le pouvoir n'a aucun pouvoir. Il a tout filé à l'étranger et est pieds et poings liés.

Personne n'a peut-être intérêt à ce qu'il dégage, mais le dégagisme est inéluctable. Son successeur, pour sa part devra reprendre le pouvoir afin de garantir la légitimité des institutions.

Si nous gouvernants n'étaient pas de grosses merdes et leurs commanditaires trop gourmands, on l'aurait eu cette Europe unie, à 4 ou 6 membres la monnaie unique c'était jouable. La solidarité, c'était jouable. Mais faire n'importe quoi en comptant sur le dénigrement sans fin des peuples, ça trouve ses limites.

il y a 6 minutes, Constantinople a dit :

Effet de seuil, tout simplement.  Le drame du smic est qu'il est trop cher pour l'entreprise mais ne rapporte pas assez au travailleur, et d'autre part, qu'il prive d'aides sociales sans proposer une perspective d'évolution salariale sur le court terme.

Le SMIC ne prive pas d'aides sociales, un SMICard a le droit à la prime d'activité, APL, allocations familiales, aides à la mobilité en début de contrat, ne pas payer d'IRPP, la prime de noël de la CAF, l'évolution salariale peut se faire au SMIC contrairement à ce que certains pensent mais certaines entreprises abusent du droit du travail pour mettre certaines primes dans le brut...

Et sinon, le grand soir de la fiscalité tant promise...? L' équité par un système progressif, la redistribution des richesses...?

Etude du CREDOC menée lorsque l' ISF était encore en vigueur : "le système fiscal français serait peu progressif et même régressif au sommet de la hiérarchie des revenus...; « Le système fiscal français, pris dans son ensemble, est ainsi peu redistributif »

https://www.ofce.sciences-po.fr/blog/le-systeme-socio-fiscal-francais-est-il-vraiment-redistributif/

moz-extension://12de74ab-47b0-4b3d-8d46-971ec6fa58a1/content/web/viewer.html?file=http%3A//www.credoc.fr/pdf/4p/264.pdf

à l’instant, Kyoshiro02 a dit :

Le SMIC ne prive pas d'aides sociales, un SMICard a le droit à la prime d'activité, APL, allocations familiales, aides à la mobilité en début de contrat, ne pas payer d'IRPP, l'évolution salariale peut se faure au SMIC contrairement à ce que certains pensent mais certaines entreprises abusent du droit du travail pour mettre certaines primes dans le brut...

Elles baissent drastiquement, et oui, il faut reconnaitre aussi que beaucoup d'entreprises privilégient le smic pour beneficier des différents coups de pouces, effets pervers donc multiple : le probléme est comment se sortir de l'impasse du smic et ses effets pervers ?

On s'en fiche on va prendre la bastille..

La "sorcière"!

https://www.20minutes.fr/societe/2385687-20181202-blocage-gilets-jaunes-emmanuel-macron-arc-triomphe-reunion-crise-elysee-suivez-journee

il y a 31 minutes, Constantinople a dit :

Vus niez que les familles nombreuses sont sur représentées dans les familles exclues qui survivent grace aux aides sociales ? Sérieusement ? Mais dans quelle bulle macroniste vivez vous ddr ?

Dans ma paroisse les familles de 3 enfants sont loin d’avoir Des feuilles de paie nécessitant votre empathie 

Après libre à vous de considérer que la famille Fillon soit une preuve de la dysgenie française

il y a 31 minutes, Constantinople a dit :

Vous inquietez pas, on parle cash sur les barrages. Gauchistes, droitards, apolitiques. On se comprends parce que tout le monde sait qu'on est arrivé au bout d'un monde et qu'il va falloir se serrer les coudes pour affronter le suivant. Les gauchos savent bien au fond qu'ils on besoin des classes moyennes et des entrepreneurs pour vivres, et les classes moyennes et entrepreneurs savent bien qu'un smic ne donne pas la possibilité de vivre en épargnent et se constituant un patrimoine pour la famille.

Là vous me voyez ravi . Si ce mouvement permet de dégager un consensus entre LRs et LFIs , le bout du tunnel est proche . Vous venez d’illuminer ce week-end. Gauche et droite main dans la main sur un projet commun, c’est une très bonne nouvelle !

il y a 31 minutes, Constantinople a dit :

Même moi j'ai été surpris de rencontrer autant de solidarité au delà des différences sociales, bon, évidemment il y a les retraités et les cassos qui en dehors du systéme économique lambda, vivent dans une sorte de réalité parallelle, encore que les retraités ont des enfants et comprennent à travers eux un minimum la merde qu'on leur prépare.

Retraites et cassos qui comprennent , gauche et droite main dans la main , l’unite nationale , je suis pour !

Et donc le projet c’est la réforme en profondeur de l’etat et la réduction drastique des dépenses et de son périmètre ?

il y a 31 minutes, Constantinople a dit :

Si vous êtes optimiste DDR, rassurez vous, c'est juste que vous êtes complétement con.

Et si vous vous permettez de m’interpeller ainsi c’est juste que vous en êtes un gros . 

il y a 3 minutes, Constantinople a dit :

Elles baissent drastiquement, et oui, il faut reconnaitre aussi que beaucoup d'entreprises privilégient le smic pour beneficier des différents coups de pouces, effets pervers donc multiple : le probléme est comment se sortir de l'impasse du smic et ses effets pervers ?

Donner les aides à l'embauche pour l'embauche de salariés au dessus du SMIC.

Les APL varient peu du RSA au SMIC, la prime d'activité quand on est a SMIC, c'est plus de 150€ (350€ d'écart avec le RSA), la prime de noël est identique qu'on soit au RSA ou au SMIC.