Val-de-Marne. Un lycéen braque une arme sur sa professeure pour qu’elle le note « présent »

il y a 1 minute, Morfou a dit :

Mais ces parents sont bien allés à l'école?

C'est un des problèmes; d'où viennent les parents, quel est le degré de leur instruction, dans quel "monde" vivent-ils ?

Tourner en rond dans une cité pourrie (violence, drogue, islamiste latent, etc...) cela ne peut épanouir un jeune.

Les cités sont des usines à délinquance !

il y a 6 minutes, Morfou a dit :

Mais ces parents sont bien allés à l'école?

Ces parents ont bien eu des parents ?

il y a 1 minute, Anatole1949 a dit :

Tourner en rond dans une cité pourrie (violence, drogue, islamiste latent, etc...) cela ne peut épanouir un jeune.

Rien n'indique qu'il vie dans une cité pourrie, si ça se trouve, il vie à Saint-Maur qui est plutôt un coin très aisé...

il y a 1 minute, Kyoshiro02 a dit :

Rien n'indique qu'il vie dans une cité pourrie, si ça se trouve, il vie à Saint-Maur qui est plutôt un coin très aisé...

La vie dans les cités est rarement aisée...

à l’instant, Anatole1949 a dit :

La vie dans les cités est rarement aisée...

Saint-Maur est quand même très aisé...

il y a 2 minutes, Ink 82 a dit :

Ces parents ont bien eu des parents ?

Je n'entrerai pas dans certaines considérations!

Le 21/10/2018 à 11:00, pila a dit :

Les responsables de cette situation sont nos politiciens qui n'ont pas su gérer depuis plus de 40 ans cette crise sans fin. Il y a des solutions simples pour en finir avec cette chute éprouvante; mais il est tellement mieux de faire compliquer quand on peut faire simple !

Mais nos politiciens ont trouvé la solution grâce au travail du dimanche, des heures sup défiscalisés, du recul de l'age de la retraite, de la précarisation du code du travail . Ne me dites pas qu'ils n'ont pas tout fait pour solutionner le chômage !

Mais sans doute ne sont-ils pas assez loin.......

Plus sérieusement, le geste de cet élève relève plus d'une culture de jeux vidéos et autre crétineries, que d'une instruction scolaire.

il y a 11 minutes, Morfou a dit :

Je n'entrerai pas dans certaines considérations!

Le courage.

Il y a 3 heures, LouiseAragon a dit :

Formation du corps enseignant !

Toi, tu n'as peut-être pas connu les concours CAPES et l'année (qui suit)  de Stage ou formation pratique en établissement ! 

Quand j'ai eu le concours, j'avais plusieurs années de contrats derrière moi. L'année de stage ne m'a pas dérangé.

Il y a 1 heure, Morfou a dit :

Depuis, vos collègues se sont "détendus" et la vérité que l'on sait depuis une bonne vingtaine d'années, arrive tout doucettement....

Source ?

Même les profs les plus réacs que j'ai rencontrés rejettent en bloc vos sous-entendus raciaux... C'est dire à quel point vous êtes loin du compte.

il y a 20 minutes, PLS maker a dit :

Quand j'ai eu le concours, j'avais plusieurs années de contrats derrière moi. L'année de stage ne m'a pas dérangé.

Source ?

Même les profs les plus réacs que j'ai rencontrés rejettent en bloc vos sous-entendus raciaux... C'est dire à quel point vous êtes loin du compte.

Tiens donc, j'ai parlé "racial"?

Le 20/10/2018 à 18:14, pila a dit :

 Un mec qui bosse pas est une "racaille" en puissance.

Du coup ça explique pourquoi il y a souci au lycée : ils bossent pas

Il y a 1 heure, Ink 82 a dit :

Ces parents ont bien eu des parents ?

En réalité c'est pas vraiment une question valable, dans l'enceinte de l'établissement la discipline devrait être respectée ce qui permettrait un enseignement dans des conditions décentes pour tous. Là ce dont on parle ce n'est pas un problème de discipline, c'est les invasions barbares. Il y a une expression que je trouve idiote en générale mais dans le rapport adulte-enfant ça a un sens de dire que "la peur devrait changer de camp".

Comment voulez vous enseigner à des gosses qui vous sortent des flingues ?

Beaucoup de logorrhées sur ce fait divers banal.

Il n'y a pas d'augmentation de violences dans nos écoles (on oublie les incidents bien plus grave dans notre jeunesse).

Ce fait est amplifié médiatiquement avec les propos politiques habituels et récurrents depuis des décennies :

- la droite voit un laxisme du gouvernement et de la dégradation des mœurs depuis 1968,

- la gauche voit dans ce fait la cause du manque de moyens et d'effectifs dans l’Éducation nationale.

Pour se prévenir d'une telle stupide tempête médiatique, il serait souhaitable d'interdire les téléphones mobiles dans les écoles et lycées qui encouragent les élèves facétieux à diffuser leurs "exploits" sur les réseaux sociaux...

La passivité de la prof est frappante, comme habituée, fataliste face à un tel comportement. Bien évidemment , les bisounours vont encore commenter la scène sous l'angle de l'exclusion sociale et/ou ethnique , du manque de moyens de l'E.N. etc.. tandis que d'autres à l'opposé réclameront sanctions exemplaires et dissuasives pour l'auteur et les parents , qui ne feraient qu'accentuer ce sentiment de marginalisation vraie ou supposée de certaines catégories sociales dites" défavorisées " 
Il y a bien longtemps que l'école publique n'est plus l'endroit de l'apprentissage de la discipline et du respect inconditionnel de l'enseignant, la perspective d'un tel comportement aurait été jugée complètement surréaliste il y a encore trois ou quatre décennies à peine. Mai 68 , Dolto etc..ne sont pas la seule explication , l'apologie de la violence et du bling-bling dans les médias et sur le web non plus , mais cela , conjugué au laxisme de parents qui ont abdiqué à imprimer le basique du respect qu'un gosse doit aux adultes, pour eux-mêmes en premier , cela peut expliquer en grande partie un telle immaturité qui confine à cette irresponsabilité sidérante même pour des ados. Ce laxisme étant parfois culturel quand il s'agit de l'enfant mâle, surtout si de surcroît la mère élève seule le gosse.

il y a 6 minutes, Gattaca a dit :

La passivité de la prof est frappante, comme habituée, fataliste face à un tel comportement. Bien évidemment , les bisounours vont encore commenter la scène sous l'angle de l'exclusion sociale et/ou ethnique , du manque de moyens de l'E.N. etc.. tandis que d'autres à l'opposé réclameront sanctions exemplaires et dissuasives pour l'auteur et les parents , qui ne feraient qu'accentuer ce sentiment de marginalisation vraie ou supposée de certaines catégories sociales dites" défavorisées " 
Il y a bien longtemps que l'école publique n'est plus l'endroit de l'apprentissage de la discipline et du respect inconditionnel de l'enseignant, la perspective d'un tel comportement aurait été jugée complètement surréaliste il y a encore trois ou quatre décennies à peine. Mai 68 , Dolto etc..ne sont pas la seule explication , l'apologie de la violence et du bling-bling dans les médias et sur le web non plus , mais cela , conjugué au laxisme de parents qui ont abdiqué à imprimer le basique du respect qu'un gosse doit aux adultes, pour eux-mêmes en premier , cela peut expliquer en grande partie un telle immaturité qui confine à cette irresponsabilité sidérante même pour des ados. Ce laxisme étant parfois culturel quand il s'agit de l'enfant mâle, surtout si de surcroît la mère élève seule le gosse.

Voilà encore la logorrhée d'ignorant qui ne réfléchisse pas au delà d'une idéologie médiatique habituelle.

il y a 9 minutes, Mr_Fox a dit :

En réalité c'est pas vraiment une question valable, dans l'enceinte de l'établissement la discipline devrait être respectée ce qui permettrait un enseignement dans des conditions décentes pour tous. Là ce dont on parle ce n'est pas un problème de discipline, c'est les invasions barbares. Il y a une expression que je trouve idiote en générale mais dans le rapport adulte-enfant ça a un sens de dire que "la peur devrait changer de camp".

Comment voulez vous enseigner à des gosses qui vous sortent des flingues ?

Bonsoir, Mr_Fox. Au moins vous avez le courage de mettre des mots sur ce qu'elle n'a pas osé. Vous pointez l'intégration et l'immigration. Dès lors, il ne s'agit de mettre au ban l'éducation nationale. C'est à d'autres ministères qu'il faut jeter la première pierre.

" Sur la vidéo relayée sur les réseaux sociaux et qui a suscité l'indignation jusqu'au sommet de l'État, cette professeure de biotechnologie de 60 ans apparaît plus lasse que paniquée, assise face à son ordinateur alors que son élève de 16 ans braque un pistolet -factice- sur sa tête, et lui demande de l'inscrire "présent". La ministre de la Santé Agnès Buzyn s'est dite "troublée" par "la nonchalance de la professeure, comme si c'était banal".

"Pas du tout", a répondu l'avocate de l'enseignante, Hajer Nemri. "Elle a été surprise, très choquée, et a opté pour l'attitude qui lui paraissait la plus appropriée. Elle ne savait pas si l'arme était factice ou pas. Elle ne voulait pas envenimer les choses et, aussi, elle en était incapable". 

"Elle connaissait déjà" l'adolescent, qui a été mis en examen dimanche pour violences aggravées. "Elle l'a eu l'an dernier en cours. C'est un élément perturbateur, il ne tient pas dans une salle, il est agité, il n'écoute pas, il sort de classe quand il veut", a-t-elle expliqué. Récemment, elle l'avait même "félicité", sentant une "progression" dans son attitude.

Contrairement aux apparences, la scène, filmée par un jeune qui n'a toujours pas été identifié, ne s'est pas déroulée pendant un cours, précise Me Nemri. 

Jeudi dernier, "l'élève était arrivé à l'heure, mais au milieu du cours, sans autorisation, il est sorti. Elle l'a donc marqué absent". Les lycéens sont arrivés dans la salle une fois le cours terminé. "Elle était seule, concentrée sur son ordinateur, elle n'a vu ces jeunes rentrer qu'au dernier moment".
"Très choquée", elle n'en a parlé "à personne, sauf à son mari". Puis "elle a préparé un rapport, qu'elle a remis au proviseur le lendemain matin", avant de porter plainte. Perturbée à la fois par les faits et leur large diffusion, "elle n'est pas sortie de chez elle depuis, et elle n'arrive pas à dormir", dit son avocate. Mais si "l'incident est grave", sa cliente regrette son "instrumentalisation" politique, a-t-elle ajouté.

https://actu.orange.fr/france/prof-braquee-a-creteil-la-version-de-l-enseignante-magic-CNT0000017FfGJ.html

il y a 7 minutes, Ink 82 a dit :

Bonsoir, Mr_Fox. Au moins vous avez le courage de mettre des mots sur ce qu'elle n'a pas osé. Vous pointez l'intégration et l'immigration. Dès lors, il ne s'agit de mettre au ban l'éducation nationale. C'est à d'autres ministères qu'il faut jeter la première pierre.

PLS ne parle pas de ces enfants là...vous remarquerez...mais il m'y renvoie...

Perso, j'ai dit que l'EN est passée du racisme au laxisme...vous aviez besoin d'explication?

il y a 2 minutes, ouest35 a dit :

" Sur la vidéo relayée sur les réseaux sociaux et qui a suscité l'indignation jusqu'au sommet de l'État, cette professeure de biotechnologie de 60 ans apparaît plus lasse que paniquée, assise face à son ordinateur alors que son élève de 16 ans braque un pistolet -factice- sur sa tête, et lui demande de l'inscrire "présent". La ministre de la Santé Agnès Buzyn s'est dite "troublée" par "la nonchalance de la professeure, comme si c'était banal".

"Pas du tout", a répondu l'avocate de l'enseignante, Hajer Nemri. "Elle a été surprise, très choquée, et a opté pour l'attitude qui lui paraissait la plus appropriée. Elle ne savait pas si l'arme était factice ou pas. Elle ne voulait pas envenimer les choses et, aussi, elle en était incapable". 

"Elle connaissait déjà" l'adolescent, qui a été mis en examen dimanche pour violences aggravées. "Elle l'a eu l'an dernier en cours. C'est un élément perturbateur, il ne tient pas dans une salle, il est agité, il n'écoute pas, il sort de classe quand il veut", a-t-elle expliqué. Récemment, elle l'avait même "félicité", sentant une "progression" dans son attitude.

Contrairement aux apparences, la scène, filmée par un jeune qui n'a toujours pas été identifié, ne s'est pas déroulée pendant un cours, précise Me Nemri. 

Jeudi dernier, "l'élève était arrivé à l'heure, mais au milieu du cours, sans autorisation, il est sorti. Elle l'a donc marqué absent". Les lycéens sont arrivés dans la salle une fois le cours terminé. "Elle était seule, concentrée sur son ordinateur, elle n'a vu ces jeunes rentrer qu'au dernier moment".
"Très choquée", elle n'en a parlé "à personne, sauf à son mari". Puis "elle a préparé un rapport, qu'elle a remis au proviseur le lendemain matin", avant de porter plainte. Perturbée à la fois par les faits et leur large diffusion, "elle n'est pas sortie de chez elle depuis, et elle n'arrive pas à dormir", dit son avocate. Mais si "l'incident est grave", sa cliente regrette son "instrumentalisation" politique, a-t-elle ajouté.

https://actu.orange.fr/france/prof-braquee-a-creteil-la-version-de-l-enseignante-magic-CNT0000017FfGJ.html

Elle a juste peur des représailles, ça aussi c'est courant...

il y a 34 minutes, Gattaca a dit :

La passivité de la prof est frappante, comme habituée, fataliste face à un tel comportement. 

C'est une attitude pourtant habituelle en cas de menace. C'est après l'incident qu'on craque.

il y a 23 minutes, ouest35 a dit :

Contrairement aux apparences, la scène, filmée par un jeune qui n'a toujours pas été identifié, ne s'est pas

Comment est-ce possible? Celui-là est au moins aussi coupable que le "porteur d'arme factice"..