il y a 5 minutes, cheuwing a dit :

non le GSPR c'est pour tout les aspects durant tout son mandat, aussi bien à l'élysée qu'en déplacement que pendant ses vacances

 

si dans le cadre de la manifestation, il a le droit de porter un brassard ( qui n'est pas un insigne ) pour être identifié par les policiers

Non il n'a pas le droit, mais c'est une pratique courante ...

çà y est l,embrouillage et l,enfumage commence, peu importe badge , ou brassard ,çà ne lui donnait pas le droit de cogner sur ces jeunes a tour de bras et a multiples reprises

il y a 1 minute, Fuck Them All a dit :

Rien à voir avec la GSPR, qui s'occupe de la sécurité du président lors de manifestations. Pas de sa sécurité rapprochée en permanence. Pour l'instant l'enquête est en cours, rien ne permet de dire sur ce quoi il etait embauché etait illégal, il n'avait pas le droit de porter une insigne de policier, mais ça ne veut pas dire qu'il n'avait pas le droit de s'occuper de la sécurité du président.

c'est Sarkozy qui a inauguré ce genre de protection rapprochée ...il s'était vu attrapé par le col et plaqué sur la barrière de sécurité par un manifestant ....en même temps il était environ dix fois plus sur le terrain que Chirac ....

c'est plus simple de ne pas quitter l’Élysée et de mettre le paquet à chaque rare sortie ...

en tous les cas ,je trouve que l'assemblée donne une image pitoyable de colonie de vacance ...il y avait une réforme constitutionnelle sur le feu qui a due être reportée ...Ce pourquoi ces gens sont payés  ne semble pas les intéresser ,pire introduire une part de proportionnalité dans les prochains scrutins les épouvante ...ils risquent de perdre leur place ,surtout si le nombre de députés est réduit ...Ils ont trouvé là  un bon prétexte pour se venger de cette atteinte à leurs privilèges ...sanctionner une irrégularité ,mettre à la porte un ou plusieurs types en faute professionnelle ,dépister les mauvaises pratiques ,oui ,mais de là à en faire un watergate  c'est ridicule ,et souligne bien l'outrance des ténors de l'opposition ...

à l’instant, jimmy45 a dit :

Non il n'a pas le droit, mais c'est une pratique courante ...

 

 

si si , quelqu'un qui est envoyé en observateur reçoit casque, gilet pare balle et brassard, le sociologue dans la vidéo dit qu'il l'avait reçu à chaque fois qu'il l'avait fait dans le cadre de son métier

ça permet d'être identifier par les autres policiers mais comme il le dit ça ne donne en aucun cas le droit d'intervenir et ils doivent se tenir à des distances de sécurité

il y a 15 minutes, PASCOU a dit :

https://www.francetvinfo.fr/politique/emmanuel-macron/agression-d-un-manifestant-par-un-collaborateur-de-l-elysee/affaire-benalla-le-couple-agresse-avait-une-attitude-extremement-pacifique_2862025.html

Affaire Benalla : le couple agressé "avait une attitude extrêmement pacifique"

Quand Alexandre Benalla s'en est pris physiquement à un jeune couple, lors des manifestations du 1er-Mai, le photographe Naguib Michel Sidhom fut témoin de la scène. Il revient sur cet épisode.

Alexandre Benalla s'en est pris physiquement à un jeune couple, lors des manifestations du 1er-Mai. Le photographe Naguib Michel Sidhom a immortalisé cet instant clé. (NAGUIB-MICHEL SIDHOM / AFP)

franceinfoRadio France

Mis à jour le 22/07/2018 | 13:05
publié le 22/07/2018 | 13:05

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il y a 5 heures

L'article à lire pour comprendre l'affaire Alexandre Benalla

Le couple de jeunes qui a été frappé par Alexandre Benalla et Vincent Crase lors des manifestations du 1er-Mai à Paris "avait une attitude extrêmement pacifique", a témoigné sur franceinfo dimanche 22 juillet, Naguib Michel Sidhom, photographe et ancien journaliste qui a notamment travaillé à l'AFP et au Monde.

Témoin clé de l'affaire Benalla

Il a été témoin de la scène depuis son appartement, situé dans un immeuble qui donne sur la place de la Contrescarpe, où se sont déroulés les faits. Naguib Michel Sidhom a pris "141 photos qui sont maintenant à la disposition de la justice". Il a par ailleurs été entendu par la police judiciaire.

Selon Naguib Michel Sidhom, "on voit de manière très claire que l'ensemble des manifestants, qui étaient extrêmement jeunes, avaient été fouillés" par les CRS présents sur la place. "Il n'y avait à mon sens aucun danger", estime donc le photographe. Sur la place, le couple de jeunes victimes des coups portés par Alexandre Benalla et Vincent Crase "avait une attitude extrêmement pacifique", qu'il qualifie de "souriante et décontractée." "Je ne suis pas certain que ces deux jeunes faisaient partie des manifestants", affirme Naguib Michel Sidhom. "J'ai l'impression qu'ils étaient là peut-être par hasard." En référence au rôle d'observateur pour lequel Alexandre Benalla avait reçu une autorisation, Naguib Michel Sidhom assure : "Ceux qui était observateurs, c'était plutôt les deux jeunes."

Une série de coups 

Selon Naguib Michel Sidhom, il y a eu une première charge des CRS pour faire refluer les manifestants rassemblés sur la place de la Contrescarpe. Elle ne concernait pas les deux jeunes. Les CRS ont reflué puis "le garçon a pointé un doigt en direction des CRS, sans doute pour dire sa manière de penser sur cette charge." Les CRS ont alors lancé une petite charge à l'encontre du couple et les deux jeunes ont pris la fuite en direction de la rue Mouffetard. "Ils sont d'abord ramenés par Alexandre Benalla, qui ramène la fille vers le café des Arts. Il l'oblige à s'asseoir de manière un peu vigoureuse et la confie à ce que je crois être - parce que maintenant je ne suis plus sûr de rien - un policier en civil portant des lunettes."

Alexandre Benalla est alors reparti et, pendant ce temps, Vincent Crase est arrivé "avec une demi-douzaine de CRS tenant le garçon qui, à mon sens, fait de la résistance passive", témoigne Naguib Michel Sidhom. "En même temps, [le jeune] essaie de dialoguer. Il a une attitude qui n'est pas dangereuse à mon avis." C'est alors qu'Alexandre Benalla "revient, attrape par derrière le garçon est lui assène des coups. Ces coups ont continué, y compris quand il était à terre, c'est-à-dire qu'il est relevé, remis à terre et de nouveau frappé."

Des CRS conciliants ?

Selon Naguib Michel Sidhom, Alexandre Benalla apparaissait clairement comme un membre des forces de l'ordre. "A ce moment-là, c'est évident. Il a le casque et l'insigne. Je ne vois ni bandeau ni arme (...) mais c'est évident, ils font partie de l'équipe." Il estime que le comportement des CRS n'est "pas mieux" que celui d'Alexandre Benalla et Vincent Crase. D'après lui, les CRS n'ont d'ailleurs eu "aucun mouvement de surprise" en voyant les agissements d'Alexandre Benalla. Et de conclure : "Si c'est nécessaire, je témoignerai en leur faveur."

C'est tout à fait l'analyse que je me suis faite en voyant la vidéo en entier.

Puis il suffit de relire les vidéos de ce jour.

Le General de Villiers: « Benalla avait les codes nucleaires »

http://nordpresse.be/general-de-villiers-benalla-avait-codes-nucleaires/

il y a 7 minutes, cheuwing a dit :

si si , quelqu'un qui est envoyé en observateur reçoit casque, gilet pare balle et brassard, le sociologue dans la vidéo dit qu'il l'avait reçu à chaque fois qu'il l'avait fait dans le cadre de son métier

ça permet d'être identifier par les autres policiers mais comme il le dit ça ne donne en aucun cas le droit d'intervenir et ils doivent se tenir à des distances de sécurité

Non il reçoit un casque et un gilet par balle mais pas de brassard ou quoi que ce soit qui puisse laisser penser qu'il fasse partie de la police car c'est un délit d'usurper l'identité d'un policier.

Dans certains pays les observateurs ont naturelle un dossard où il est inscrit "police observateur" si on doit le traduire. Il est très important que la population ne le confonde pas avec un policier, justement en raison des abus qu'il pourrait faire de cette méprise.

Si il se retrouve avec un brassard, c'est parce que les policiers ne respectent pas la loi et trouvent plus pratique de lui filer l'équipement d'un collègue absent. Le risque on le voit de ce genre de "prises de libertés", c'est quand ils se retrouvent avec le mec qui tabasse des gens dans la rue ...

Et Pourquoi il avait dû lui donner les codes nucléaires? 

Alexandre Benalla, un réserviste opérationnel passé de brigadier à lieutenant-colonel : explications

L’affaire “Benalla” qui prend des allures de scandale d’état implique Alexandre Benalla, réserviste opérationnel de la Gendarmerie et non pas réserviste citoyen comme l’assurent différents médias, et Vincent Craze,  également réserviste opérationnel de la Gendarmerie. Tous deux ont été placés en garde- à -vue ce vendredi.

En précisant qu’un réserviste opérationnel n’est militaire que lorsqu’il est officiellement convoqué et que dans ce cas, il a les mêmes obligations et les mêmes droits qu’un militaire d’active, rappelons, qu’à notre connaissance,  les deux hommes n’étaient pas en mission  pour  la Gendarmerie le jour du 1er mai.

Cela étant dit, le fait qu’Alexandre Benalla soit lieutenant-colonel de la réserve opérationnelle alors qu’il n’est âgé que de 27 ans, interpelle, c’est le moins qu’on puisse dire,  nombre de civils, mais surtout de réservistes mais aussi . Ceux-ci sont en effet soumis à des règles d’avancement très encadrées et très précises avec des critères d”ancienneté, de notation.

C’est pourquoi il est nécessaire d’expliquer par quel biais ce chargé de mission de l’Elysée, simple brigadier de réserve dans l’Eure,  s’est retrouvé directement lieutenant-colonel en un temps record

La réserve opérationnelle est composée d’une réserve opérationnelle de premier niveau (RO1), regroupant les citoyens Français volontaires, issus de la société civile, avec ou sans expérience militaire et d’une réserve opérationnelle de deuxième niveau (RO2) constituée de tous les ex-militaires d’active soumis à une obligation de disponibilité durant les 5 ans suivant leur départ des forces armées. Depuis le 13 octobre 2016, tous les réservistes opérationnels de premier niveau (RO1) font partie de la garde nationale.

Mais si Vincent Craze, promu chef d’escadron de réserve en 2013,  fait partie de cette catégorie en tant qu’ancien aspirant de l’armée de l’air ayant changé d’arme pour intégrer la Gendarmerie, Alexandre Benalla a pu intégrer la réserve opérationnelle comme gendarme de base après une préparation militaire, étant trop jeune pour avoir effectué son service national.

Il a été recruté dans l’Eure il y a plusieurs années comme simple gendarme adjoint de réserve et a été, comme le révèle Libération, sous les ordres du secrétaire d’état Sébastien Lecornu, alors lieutenant de réserve.

Alexandre Benalla “n’était pas un mauvais gendarme de réserve, au contraire ” commente Sébastien Lecornu au Monde.

En fait, il a  été a subitement promu pour se voir conférer, dans la théorie, un grade correspondant à ses qualifications et à ses  fonctions dans le civil.

Ne pouvant progresser dans le corps des officiers de Gendarmerie sans passer par le parcours normal qui impose des périodes,  des examens, et des années d’ancienneté,  il a été rattaché au corps technique et administratif.  

Dans la réalité, la Gendarmerie, même si elle ne communique pas sur l’affaire, n’a pas pu s’opposer à la demande de le faire passer lieutenant-colonel.

Il est affecté au cabinet du directeur général sur le papier,  mais n’a jamais été convoqué depuis 2015 selon une source de L’Essor.

Cette pratique est courante dans la Gendarmerie et dans les armées afin de pouvoir ponctuellement recruter des experts, des spécialistes, comme des médecins légistes par exemple, des informaticiens, experts immobiliers, communicants, interprètes, etc. Le grade attribué au réserviste est en fonction de ses qualifications et de son salaire dans le civil, afin d’être incitatif car un employé du privé ne peut pas cumuler au delà de 5 jours son salaire privé et sa solde de réserviste (qui n’est pas imposable).

https://lessor.org/alexandre-benalla-un-reserviste-operationnel-tres-particulier-explications/

il y a 3 minutes, Kyoshiro02 a dit :

Le General de Villiers: « Benalla avait les codes nucleaires »

http://nordpresse.be/general-de-villiers-benalla-avait-codes-nucleaires/

si on sait déjà que les militaires qui accompagnent le président ne possèdent que les moyens de communications permettant de transmettre les codes qui autorisent une deuxième autorité à utiliser les siens pour déclencher le feu nucléaire, on peut se demander d'où ce torchon tient ses informations ...

à l’instant, samira123 a dit :

Alexandre Benalla, un réserviste opérationnel passé de brigadier à lieutenant-colonel : explications

 

L’affaire “Benalla” qui prend des allures de scandale d’état implique Alexandre Benalla, réserviste opérationnel de la Gendarmerie et non pas réserviste citoyen comme l’assurent différents médias, et Vincent Craze,  également réserviste opérationnel de la Gendarmerie. Tous deux ont été placés en garde- à -vue ce vendredi.

En précisant qu’un réserviste opérationnel n’est militaire que lorsqu’il est officiellement convoqué et que dans ce cas, il a les mêmes obligations et les mêmes droits qu’un militaire d’active, rappelons, qu’à notre connaissance,  les deux hommes n’étaient pas en mission  pour  la Gendarmerie le jour du 1er mai.

Cela étant dit, le fait qu’Alexandre Benalla soit lieutenant-colonel de la réserve opérationnelle alors qu’il n’est âgé que de 27 ans, interpelle, c’est le moins qu’on puisse dire,  nombre de civils, mais surtout de réservistes mais aussi . Ceux-ci sont en effet soumis à des règles d’avancement très encadrées et très précises avec des critères d”ancienneté, de notation.

C’est pourquoi il est nécessaire d’expliquer par quel biais ce chargé de mission de l’Elysée, simple brigadier de réserve dans l’Eure,  s’est retrouvé directement lieutenant-colonel en un temps record

La réserve opérationnelle est composée d’une réserve opérationnelle de premier niveau (RO1), regroupant les citoyens Français volontaires, issus de la société civile, avec ou sans expérience militaire et d’une réserve opérationnelle de deuxième niveau (RO2) constituée de tous les ex-militaires d’active soumis à une obligation de disponibilité durant les 5 ans suivant leur départ des forces armées. Depuis le 13 octobre 2016, tous les réservistes opérationnels de premier niveau (RO1) font partie de la garde nationale.

Mais si Vincent Craze, promu chef d’escadron de réserve en 2013,  fait partie de cette catégorie en tant qu’ancien aspirant de l’armée de l’air ayant changé d’arme pour intégrer la Gendarmerie, Alexandre Benalla a pu intégrer la réserve opérationnelle comme gendarme de base après une préparation militaire, étant trop jeune pour avoir effectué son service national.

Il a été recruté dans l’Eure il y a plusieurs années comme simple gendarme adjoint de réserve et a été, comme le révèle Libération, sous les ordres du secrétaire d’état Sébastien Lecornu, alors lieutenant de réserve.

Alexandre Benalla “n’était pas un mauvais gendarme de réserve, au contraire ” commente Sébastien Lecornu au Monde.

En fait, il a  été a subitement promu pour se voir conférer, dans la théorie, un grade correspondant à ses qualifications et à ses ses fonctions dans le civil.

Ne pouvant progresser dans le corps des officiers de Gendarmerie sans passer par le parcours normal qui impose des périodes,  des examens, et des années d’ancienneté,  il a été rattaché au corps technique et administratif.  

Dans la réalité, la Gendarmerie, même si elle ne communique pas sur l’affaire, n’a pas pu s’opposer à la demande de le faire passer lieutenant-colonel.

Il est affecté au cabinet du directeur général sur le papier,  mais n’a jamais été convoqué depuis 2015 selon une source de L’Essor.

Une pratique courante

Cette pratique est courante dans la Gendarmerie et dans les armées afin de pouvoir ponctuellement recruter des experts, des spécialistes, comme des médecins légistes par exemple, des informaticiens, experts immobiliers, communicants, interprètes, etc. Le grade attribué au réserviste est en fonction de ses qualifications et de son salaire dans le civil, afin d’être incitatif car un employé du privé ne peut pas cumuler au delà de 5 jours son salaire privé et sa solde de réserviste (qui n’est pas imposable).

https://lessor.org/alexandre-benalla-un-reserviste-operationnel-tres-particulier-explications/

C'est quand même assez étonnant que des responsables tels que E.Macron ont laissé cette personne si haut gradé au vu de son historique, surtout que A.Montebourg l'a licencié au bout d'une semaine pour les mêmes raison :

https://www.vanityfair.fr/actualites/articles/arnaud-montebourg-avait-licencie-alexandre-benalla-au-bout-dune-semaine/66726

il y a 3 minutes, 120lola120 a dit :

Et Pourquoi il avait dû lui donner les codes nucléaires? 

Fake news ? ou pas ?

à l’instant, jimmy45 a dit :

Non il reçoit un casque et un gilet par balle mais pas de brassard ou quoi que ce soit qui puisse laisser penser qu'il fasse partie de la police car c'est un délit d'usurper l'identité d'un policier.

un brassard n'est pas une plaque, c'est juste une identification sur un événement

et ce n'est pas un délit car c'est la police qui leur fournit

à l’instant, jimmy45 a dit :

Dans certains pays les observateurs ont naturelle un dossard où il est inscrit "police observateur" si on doit le traduire. Il est très important que la population ne le confonde pas avec un policier, justement en raison des abus qu'il pourrait faire de cette méprise.

pas de problème à ce que ceci soit mis en place, mais pour l'instant en France ce n'est pas le cas

les différents articles et la vidéo que j'ai mis en liens disent tous la même chose , c'est dans le protocole pour toute personnes envoyé en observateur

que l'on revoit ce système, c'est tout à fait normal, mais on ne peut pas dire que c'est illégal

à l’instant, jimmy45 a dit :

Si il se retrouve avec un brassard, c'est parce que les policiers ne respectent pas la loi et trouvent plus pratique de lui filer l'équipement d'un collègue absent. Le risque on le voit de ce genre de "prises de libertés", c'est quand ils se retrouvent avec le mec qui tabasse des gens dans la rue ...

 

tu as tout faux, c'est le protocole après cette personne est mise au courant qu'elle ne doit pas intervenir et se substituer à eux, si elle le fait alors là oui on tombe dans l'illégalité et à la prise de sanction

il y a 2 minutes, stvi a dit :

 

si on sait déjà que les militaires qui accompagnent le président ne possèdent que les moyens de communications permettant de transmettre les codes qui autorisent une deuxième autorité à utiliser les siens pour déclencher le feu nucléaire, on peut se demander d'où ce torchon tient ses informations ...

 

Ouf... Merci...

il y a 1 minute, 120lola120 a dit :

Fake news ? ou pas ?

On sait qu'il était très proche de E.Macron, mais on ne sait pas à quel point, du coup, ça ne serait pas étonnant.

le général Devilliers au moment de son départ, le président lui avait donné ordre de donner les codes nucléaires a benalla.

quand je dis que c,est une affire qui va dépasser l,imagination et ce n,est que le début.nous finirons peut être par savoir le fond des chose ,ou (de la chose)

il y a 3 minutes, stvi a dit :

 

si on sait déjà que les militaires qui accompagnent le président ne possèdent que les moyens de communications permettant de transmettre les codes qui autorisent une deuxième autorité à utiliser les siens pour déclencher le feu nucléaire, on peut se demander d'où ce torchon tient ses informations ...

 

il y a 6 minutes, 120lola120 a dit :

Et Pourquoi il avait dû lui donner les codes nucléaires? 

allô

nordpresse.be , c'est un site parodique comme le gorafi

il y a 4 minutes, chatperché a dit :

le général Devilliers au moment de son départ, le président lui avait donné ordre de donner les codes nucléaires a benalla.

quand je dis que c,est une affire qui va dépasser l,imagination et ce n,est que le début.nous finirons peut être par savoir le fond des chose ,ou (de la chose)

Comment mais comment pouvez-vous croire une seule seconde à ce genre de CONNERIE??

il y a 30 minutes, Fuck Them All a dit :

 Pour l'instant l'enquête est en cours, rien ne permet de dire sur ce quoi il etait embauché etait illégal, il n'avait pas le droit de porter une insigne de policier, mais ça ne veut pas dire qu'il n'avait pas le droit de s'occuper de la sécurité du président.

On se moque sur quoi Benalla a été embauché, de plus son acte n'a rien à voir avec la protection du président. En quoi est-il qualifié pour faire le service d'ordre ? 

mais la question demeure ,qu,est ce que benalla pour macron a part ce coté barbouse ,y aurait il un coté intime?