Il y a 18 heures, fx. a dit :

Je ne sais pas, l'effet ghettos qui soit disant n'existent pas en France peut être.

Non ça n existe pas 

Ce sont les gens eux mêmes qui se ghettoïsent.

En repoussant toujours plus loin ceux qui ne supportent plus leur façon  de vivre et d'emmerder me monde.

Qui caillasse etc...

Pourquoi ne vas tu pas vivre dans ces quartiers pour remonter le niveau?

Pourquoi Borloo ne prend il pas un appartement proche pour mieux aider?

il y a 19 minutes, PASCOU a dit :

Ce sont les gens eux mêmes qui se ghettoïsent.

On constate malgré tout, partout dans le monde, que la première chose que font les habitants des "ghettos" dès qu'ils en ont les moyens financiers, c'est de s'en tirer illico-presto.

il y a 16 minutes, PASCOU a dit :

Non ça n existe pas 

Ce sont les gens eux mêmes qui se ghettoïsent.

En repoussant toujours plus loin ceux qui ne supportent plus leur façon  de vivre et d'emmerder me monde.

Qui caillasse etc...

Pourquoi ne vas tu pas vivre dans ces quartiers pour remonter le niveau?

Pourquoi Borloo ne prend il pas un appartement proche pour mieux aider?

Tu aurais dû ouvrir un sujet sur les propositions de la droite rassemblée pour mâter les banlieues, ça t'aurais éviter de troller ton propre sujet quand des voix saluent autre chose que le recours systématique à la matraque. Maintenant, tenant compte de ta signature tu voudras bien éviter de me citer et de m'invectiver sur un non espace de débat et dispenser ton mépris ailleurs qui me permettra d'économiser le mien.

il y a 57 minutes, frunobulax a dit :

On constate malgré tout, partout dans le monde, que la première chose que font les habitants des "ghettos" dès qu'ils en ont les moyens financiers, c'est de s'en tirer illico-presto.

Oui et bien moi j'ai vu à  Epinay des gens fuir à cause des gens qui arrivaient et cassaient.

Pissaient dans les ascenseurset les escaliers pillaient les boîtes aux lettres etc....

Ne soyez pas naïf.

Certains ont fait leur propre malheur.

Et le malheur de ceux qui par manque de moyen sont contraints de subir.

il y a 15 minutes, PASCOU a dit :

Ne soyez pas naïf.

La question qui se pose est assez simple:
L'énorme majorité des gens s'installent-ils dans des "ghettos" pourris minés par la violence et la délinquance par obligation financière ou par choix communautariste ?

Après, libre à vous d'être persuadé qu'il faut être "naïf" pour penser que la première réponse est la bonne.

il y a 39 minutes, frunobulax a dit :

La question qui se pose est assez simple:
L'énorme majorité des gens s'installent-ils dans des "ghettos" pourris minés par la violence et la délinquance par obligation financière ou par choix communautariste ?

Après, libre à vous d'être persuadé qu'il faut être "naïf" pour penser que la première réponse est la bonne.

Mais je n'ai jamais parlé de communautarisme, c'est vous.

Mais le ghetto se forme par effet boule de neige.

Moi je payais mon appart.

Quand la mairie à  commencé à  imposer des gens qui ne respectaient pas les voisins ceux qui avaient les moyens sont partis.

Puis le réputation d'un quartier se fait vite..

Je l'ai vécu.

Voiture cassée etc...

il y a 21 minutes, PASCOU a dit :

Mais je n'ai jamais parlé de communautarisme, c'est vous.

Il y a 2 heures, PASCOU a dit :

Ce sont les gens eux mêmes qui se ghettoïsent.

En repoussant toujours plus loin ceux qui ne supportent plus leur façon  de vivre et d'emmerder me monde.

il y a 4 minutes, frunobulax a dit :

 

Et alors?

Où  aurais je dis ça?

Non je parle de gens qui saccagent, qui mettent la musique la nuit, qui ne travaillent pas et emmerdent le monde.

Donc évitez de dire des choses que je ne pense pas.

Le 28/04/2018 à 09:34, Léna-Postrof a dit :

La France a eu besoin à certaines périodes de l’histoire, de main d’œuvre, étant donné que les natifs ne pouvaient ou ne souhaitaient pas fournir le travail demandé. Ce qui n’est pas cohérent c’est qu’elle continue encore aujourd’hui à accueillir massivement alors que la demande est supérieure à l’offre sur le marché de l’emploi, ajoutant encore à la pauvreté, demandant toujours plus d’efforts financiers à la masse imposable.

Je rectifierais en précisant que le patronat ne désirait pas payer à son juste prix la main d'oeuvre qui lui était nécessaire. Faire venir des immigrés permettait d'acquérir un quota de chômeurs bien utile pour échapper aux revendications ouvrières et à la hausse des salaires.

Les Français en cela n'ont jamais été consultés !

Le 28/04/2018 à 09:34, Léna-Postrof a dit :

Cette main d’oeuvre, peu qualifiée et sans nuldoute moins onéreuse, est souvent sans histoire et travailleuse. Leurs enfants et petits-enfants...s’ils ont le verbe pas toujours approprié, le poil dans la main et semblent souffrir de phlébite chronique, wesh wesh, n’en restent pas moins natifs français.

Les renvoyer chez eux s’ils ont la double nationalité, ou en faire des apatrides, contre une poignée d’euros, relève de l’utopie. Oui mais non, la France c’est aussi chez eux. La France a eu besoin de leurs ascendants, fallait pas, à ce moment-là. 

Utopie ? Sans doute ! Mais je crois bien que le président Giscard d'Estaing l'avait instauré, ce qui prouve bien que l'utopie est la réalité de demain... ou d'hier !

il y a 9 minutes, Barbara lebol a dit :

Je rectifierais en précisant que le patronat ne désirait pas payer à son juste prix la main d'oeuvre qui lui était nécessaire. Faire venir des immigrés permettait d'acquérir un quota de chômeurs bien utile pour échapper aux revendications ouvrières et à la hausse des salaires.

Les Français en cela n'ont jamais été consultés !

Utopie ? Sans doute ! Mais je crois bien que le président Giscard d'Estaing l'avait instauré, ce qui prouve bien que l'utopie est la réalité de demain... ou d'hier !

Et aussi le deal pour vendre nos voitures dans les pays concernés. 

Il y a 2 heures, frunobulax a dit :

 

Mon meilleur pote de boulot était un fils d'algérien, arki quand je lui ai dit que une première fois ma voiture était posée sur des parpaings, la deuxième toutes les vitres cassées, la troisième désossée, il m'a dit faut que tu partes, mais pourquoi , simple on a promis à la mairie que si une place se libère ils l'auront!

Effectivement je suis parti!

Et ils l'ont eu.

Il y a 20 heures, PASCOU a dit :

Mon meilleur pote de boulot était un fils d'algérien, arki quand je lui ai dit que une première fois ma voiture était posée sur des parpaings, la deuxième toutes les vitres cassées, la troisième désossée, il m'a dit faut que tu partes, mais pourquoi , simple on a promis à la mairie que si une place se libère ils l'auront!

Effectivement je suis parti!

Et ils l'ont eu.

C'est inexplicable ce genre de situation à ceux qui ne l'ont jamais vécu. Il faut avoir vécu la concurrence de peuplement de prêt pour savoir de quoi il s'agit.

Le 28/04/2018 à 18:16, Léna-Postrof a dit :

Il y a de cela (et Mediapart n’est pas ma tasse de thé également) l’argent mène le monde. Il y a aussi eu du laisser faire, trop. Quand Sarkozy a parlé de passer les cités au karsher il y a quelques années, tout le monde, ou presque, s’est insurgé. S’il avait réellement mis ses dires en application, nous n’en serions peut-être pas là. Ce sentiment d’impunité donne des ailes à la délinquance. Borloo et ses collaborateurs proposent aussi de renforcer les effectifs de police dans les banlieues ou de la ré instaurer là où elle n’est plus.

Il ne s’agit pas de culpabiliser la France pour des décisions antérieures, du moins pour ma part. Il n’est pas possible de renvoyer les gens d’où ils viennent, et même d’où ils ne viennent pas, quand nous n’en avons plus besoin, après avoir profité de leurs services. L’idée est plutôt de devoir composer maintenant avec des générations qui sont tout autant citoyens que les autres et même s’ils n’en ont pas vraiment le sentiment. C’est sûr ce dernier point qu’il faudrait travailler, à mon sens, sur le sentiment d’appartenance à la France et la responsabilisation. Droits mais aussi devoirs. 

Comment expliquer à des gosses, qu’ils vont devoir faire des études afin de gagner moins qu’en étant de simples guetteurs ? Borloo et ses collaborateurs ont la solution et ont proposé, par exemple, la création d’une ENA bis, sans conditions de diplôme pour quiconque réside en QPV. 1700€ bruts par mois sous 3 ans et l’espoir de devenir une élite. Réussir en politique sans diplômes ? Un tantinet démagogique. Il me vient un seul exemple : Beregovoy, pas de diplôme et... une balle dans la tête. 

Il n'y aura jamais de sentiment d’appartenance à la France, sauf quand la "France" sera à leur image, et à l'image de tous  ces quartiers/villes où ils sont majoritaires : Suffisamment islamisée. On peut maintenir une fiction de vivre ensemble pour une seule et unique raison : on leur balance une tonne de fric comme une rançon pour qu'ils se contentent de dealer, de cramer des bagnoles, et d'agresser quelques blancs (et blanches). C'est tout. Et le plan Borloo va exactement dans ce sens là.

Si un jour la manne sociale vient à manquer, la véritable nature du vivre ensemble apparaitra au grand jour.

Il y a 21 heures, Barbara lebol a dit :

Utopie ? Sans doute ! Mais je crois bien que le président Giscard d'Estaing l'avait instauré, ce qui prouve bien que l'utopie est la réalité de demain... ou d'hier !

Je ne vois pas pourquoi cela serait une utopie d'ailleurs, d'autant que c'est la seule et unique solution envisageable.

Il y a 23 heures, frunobulax a dit :

La question qui se pose est assez simple:
L'énorme majorité des gens s'installent-ils dans des "ghettos" pourris minés par la violence et la délinquance par obligation financière ou par choix communautariste ?

Après, libre à vous d'être persuadé qu'il faut être "naïf" pour penser que la première réponse est la bonne.

Qu'est ce que ça change ? Sitot qu'une famille se casse (et encore souvent se casse t'elle pour des quartiers à logement sociaux flambant neufs pour préparer les seines saint denis de demain), elle est remplacée illico par un primo arrivant. Les banlieues ne sont pas des ghettos, mais des tonneaux des danaïdes, c'est sans fin.

il y a 3 minutes, Constantinople a dit :

C'est inexplicable ce genre de situation à ceux qui ne l'ont jamais vécu. Il faut avoir vécu la concurrence de peuplement de prêt pour savoir de quoi il s'agit.

Oui, celui qui n'a pas vécu, ne peut pas comprendre !

Et moi je suis parti ce n'est pas qu'une question de moyens, c'est aussi une question de se donner les moyens, comme d'autres disent je n'ai pas le temps quand ils ne savent pas prendre le temps. 

il y a 2 minutes, Constantinople a dit :

Qu'est ce que ça change ? Sitot qu'une famille se casse (et encore souvent se casse t'elle pour des quartiers à logement sociaux flambant neufs pour préparer les seines saint denis de demain), elle est remplacée illico par un primo arrivant. Les banlieues ne sont pas des ghettos, mais des tonneaux des danaïdes, c'est sans fin.

Oui, c'est ça le problème, les ghettos ce sont les emmerdeurs qui les font.

Si les commerces ferment, c'est qu'ils sont sans arrêt emmerdés etc..

Qui veut y acheter un appartement?

Le 29/04/2018 à 17:01, frunobulax a dit :

La question qui se pose est assez simple:
L'énorme majorité des gens s'installent-ils dans des "ghettos" pourris minés par la violence et la délinquance par obligation financière ou par choix communautariste ?

Après, libre à vous d'être persuadé qu'il faut être "naïf" pour penser que la première réponse est la bonne.

Ces cités, j'y ai habité avec mes parents dans le nord quand j'étais petite...........à l'époque, il y avait une mixité culturelle à défaut d'étre financiére........et ça se passait plutot pas mal.

Quand est venue l'opportunité de sortir de là pour acheter une maison....nous en avons parlé avec nos voisins immigrés et pas. Nous avions tous le méme niveau de salaire et, comme à l'époque les allocations familiales étaient prises en compte par les banques pour autoriser les préts, il y en a méme beaucoups qui étaient mieux placés que mes parents pour partir.

Et bien ils ne voulaient pas, parce que qu'ils ne voulaient étre dispersés dans des villages en cours de développement: "et avec qui je vais faire Ramadan"....."et où elle va étre ma copine Fatima" etc...........

il y avait déjà un désir de rester en groupe.

Je ne pense pas qu'ils savaient à l'époque comment ça tournerait........et je plains ceux qui se font emmerder par des petits cons que ça fait bien rire l'idée de bosser pour 1500 euros par mois quand c'est ce qu'ils se font en deux jours.

Mais comme on fait son lit ,on se couche.

Alors le Xiéme plan style "comment qu'on est pas assez gentils avec eux" sans aussi faire remonter les responsabilités des gens....ça va bien.

Le 28/04/2018 à 18:51, Plouj a dit :

Il ne s’agit pas de culpabiliser la France pour des décisions antérieures, du moins pour ma part. Ce sont pourtant des propos récurrents.

Il n’est pas possible de renvoyer les gens d’où ils viennent Cela me parait bien compliqué aussi au pays des droits de l'homme

Comment expliquer à des gosses, qu’ils vont devoir faire des études afin de gagner moins qu’en étant de simples guetteurs ? Il n'y a pas d'explications à donner, si on supprime, ce qui est possible, la drogue dans le monde, plus besoin de guetteurs

la création d’une ENA bis, sans conditions de diplôme pour quiconque réside en QPV. Qui rentrerait en concurrence avec l'officielle ? Accepter donc, après une discrimination positive, que des personnes sans diplôme, donc sans être certain qu'elles se débrouillent bien dans la langue française, en géopolitique, en commerce internationale, etc. etc.,  réussiraient à devenir une élite en 3 années, c'est génial. Et les personnes qui ne vivent pas dans ces quartiers, mais dans des zones rurales seraient donc des laissés pour compte. Pas très égalitaire ni fraternel tout ça.

Compliqué tout cela ! Et ça devrait aidé le vivre ensemble ?

Supprimer la drogue en France, à l’heure des salles de shoots et alors que certains élus évoquent une possible légalisation ? Supprimer la drogue dans le monde ? C’est encore plus mignon cela que cette idée de vouloir se séparer des mauvais éléments, en bons amis. 

Il y a quelque chose de très antagoniste dans cette piste de création d’une école des leadeurs. D’un côté il s’agit d’ouvrir et de faire évoluer les habitants des quartiers au moyen de la culture. De l’autre de niveler par le bas en véhiculant le message qu’il n’y a aucun besoin d’avoir un diplôme afin d’accéder à une haute fonction. 

Le 28/04/2018 à 18:58, DroitDeRéponse a dit :

 

Quel rapport avec son suicide ?

Si Marchais et quelques autres avaient des diplômes , ils le cachaient bien . Alors que Beregovoy aurait largement pu donner des cours d’economie à quelques experts économiques .

 

Autre temps, autres mœurs. Auparavant il était possible de gouverner avec un certificat d’études, plus maintenant. Le rapport ? C’était juste pour le situer.

 N.B : J’aurais pu passer à côté de votre commentaire, faites l’effort de me citer correctement  la prochaine fois.

Il y a 3 heures, Constantinople a dit :

Il n'y aura jamais de sentiment d’appartenance à la France, sauf quand la "France" sera à leur image, et à l'image de tous  ces quartiers/villes où ils sont majoritaires : Suffisamment islamisée. On peut maintenir une fiction de vivre ensemble pour une seule et unique raison : on leur balance une tonne de fric comme une rançon pour qu'ils se contentent de dealer, de cramer des bagnoles, et d'agresser quelques blancs (et blanches). C'est tout. Et le plan Borloo va exactement dans ce sens là.

Si un jour la manne sociale vient à manquer, la véritable nature du vivre ensemble apparaitra au grand jour.

Je ne vois pas pourquoi cela serait une utopie d'ailleurs, d'autant que c'est la seule et unique solution envisageable.

Et omniscient, en plus du reste !

Vous fichez la trouille, pour ne pas écrire que vous êtes anxiogène. La France n’a pas pour vocation de devenir terre islamique. Ce n’est pas pour demain, ni pour après-demain. Keep cool et lisez Heïdi.

Ce n’est pas une fiction. Il n’y a pas que de la racaille en banlieue, toutes les populations dans les banlieues ne sont pas des intégristes, elles sont aussi hétérogènes, de différentes ethnies, de différentes cultures. Le dialogue n’est pas toujours aisé. Il y a toutefois de l’intelligence, des personnes qui se sortent des banlieues parce qu’elles en ont la volonté et l’ambition. Des personnes qui aiment la France, respectueux des valeurs de la République, des autres, du bien vivre ensemble. Des personnes qui œuvrent aussi au quotidien, parfois bénévolement afin de conscientiser les réfractaires. Des personnes qui sont complètement au-dessus de tout cela et ne se posant nullement de questions. Vous y trouverez de tout. Il est vrai que l’on focalise plus souvent ou généralement sur les minorités, visibles, qui fichent le bazar. C’est humain. 

À votre différence, je ne pense pas que tout soit perdu pour tout le monde.

Ce rapport donne en effet l’impression qu’il s’agit d’acheter les populations des banlieues, ou de leur donner un tribu -si cela peut vous faire plaisir- comme l’ont été peut-être tous les précédents. Faire pour les banlieues en particulier n’est pas la panacée -et je l’ai déjà écrit sur ce fil- cela marginalise encore davantage les populations, et attirent un sentiment d’injustice et de rejet. Dialoguer avec toutes les générations, sensibiliser aux valeurs de la France, apprendre, éduquer, est à mon sens une piste à suivre, mais non seulement en banlieue. 

Ce n’est pas une solution puisqu’ils sont natifs français, peu ont la double nationalité, et vous le savez très bien. Devenir apatride contre une poignée d’euros n’est guère séduisant et le meilleur moyen de soulever le peuple. 

il y a 4 minutes, Léna-Postrof a dit :

Autre temps, autres mœurs. Auparavant il était possible de gouverner avec un certificat d’études, plus maintenant. Le rapport ? C’était juste pour le situer.

 N.B : J’aurais pu passer à côté de votre commentaire, faites l’effort de me citer correctement  la prochaine fois.

Ah du coup étonnant que vous n’en connaissiez qu’un de cet autre temps . Ça arrive .

Rapport Borloo : enfin un plan ambitieux pour les banlieues ?

Cette semaine, Jean-Louis Borloo, ancien ministre de la ville, remettait un rapport sur les banlieues au premier ministre. Dans ce texte, dix-neuf "programmes", présentés comme des solutions pour "changer la donne" dans les quartiers prioritaires. Est-ce suffisamment ambitieux pour dynamiser l'économie des banlieues ?

Pourquoi les précédentes initiatives n'ont pas, ou peu, amélioré la situation ? 

C'est le thème du débat de cette semaine avec Christophe Ramaux (les économistes atterrés) et Raphaël Legendre (L'Opinion). 

https://www.franceinter.fr/emissions/on-n-arrete-pas-le-debat/on-n-arrete-pas-le-debat-28-avril-2018

il y a 20 minutes, Léna-Postrof a dit :

Supprimer la drogue en France, à l’heure des salles de shoots et alors que certains élus évoquent une possible légalisation ? Supprimer la drogue dans le monde ? C’est encore plus mignon cela que cette idée de vouloir se séparer des mauvais éléments, en bons amis. 

Il y a quelque chose de très antagoniste dans cette piste de création d’une école des leadeurs. D’un côté il s’agit d’ouvrir et de faire évoluer les habitants des quartiers au moyen de la culture. De l’autre de niveler par le bas en véhiculant le message qu’il n’y a aucun besoin d’avoir un diplôme afin d’accéder à une haute fonction. 

Autre temps, autres mœurs. Auparavant il était possible de gouverner avec un certificat d’études, plus maintenant. Le rapport ? C’était juste pour le situer.

 N.B : J’aurais pu passer à côté de votre commentaire, faites l’effort de me citer correctement  la prochaine fois.

Et omniscient, en plus du reste !

Vous fichez la trouille, pour ne pas écrire que vous êtes anxiogène. La France n’a pas pour vocation de devenir terre islamique. Ce n’est pas pour demain, ni pour après-demain. Keep cool et lisez Heïdi.

Ce n’est pas une fiction. Il n’y a pas que de la racaille en banlieue, toutes les populations dans les banlieues ne sont pas des intégristes, elles sont aussi hétérogènes, de différentes ethnies, de différentes cultures. Le dialogue n’est pas toujours aisé. Il y a toutefois de l’intelligence, des personnes qui se sortent des banlieues parce qu’elles en ont la volonté et l’ambition. Des personnes qui aiment la France, respectueux des valeurs de la République, des autres, du bien vivre ensemble. Des personnes qui œuvrent aussi au quotidien, parfois bénévolement afin de conscientiser les réfractaires. Des personnes qui sont complètement au-dessus de tout cela et ne se posant nullement de questions. Vous y trouverez de tout. Il est vrai que l’on focalise plus souvent ou généralement sur les minorités, visibles, qui fichent le bazar. C’est humain. 

À votre différence, je ne pense pas que tout soit perdu pour tout le monde.

Ce rapport donne en effet l’impression qu’il s’agit d’acheter les populations des banlieues, ou de leur donner un tribu -si cela peut vous faire plaisir- comme l’ont été peut-être tous les précédents. Faire pour les banlieues en particulier n’est pas la panacée -et je l’ai déjà écrit sur ce fil- cela marginalise encore davantage les populations, et attirent un sentiment d’injustice et de rejet. Dialoguer avec toutes les générations, sensibiliser aux valeurs de la France, apprendre, éduquer, est à mon sens une piste à suivre, mais non seulement en banlieue. 

Ce n’est pas une solution puisqu’ils sont natifs français, peu ont la double nationalité, et vous le savez très bien. Devenir apatride contre une poignée d’euros n’est guère séduisant et le meilleur moyen de soulever le peuple. 

Les salles de shoot ne sont pas faites pour diminuer la quantité de drogués, ni l'intense trafic des zones de non-droits.

Une possible législation sur quel type ? Le cannabis, je ne parle pas de celle-là ! Je ne dis pas qu'il faut les supprimer, mais que si la volonté internationale était de le faire, ce serait simple.

Impossible donc ? Alors pourquoi tenter d'injecter des millions d'euros dans certains quartiers pour un trafic que personne ne veut éradiquer ?

Pour faire évoluer une population encore faut-il qu'elle en ait le désir.

Je trouve que certains manient bien le langue lorsque je lis divers textes de leurs "chansons"

Il leur faut des diplômes pour en écrire de meilleurs ?

extrait de la chanson "Flirt avec le meurtre" :
j'aimerais voir brûler Panam au napalm sous les flammes façon
Vietnam tandis que ceux de ton espèce galopent où 24 heures par
jour et 7 jours par semaine J'ai envie de dégainer sur des f.a.c.e.s d.e
c.r.a.i.e
dommage (....) que ta mère ne t'ait rien dit sur ce putain de pays
me retirer ma carte d'identité, avec laquelle je me suis plusieurs
fois torché.

Extraits de leur chanson "Violence/délinquance" :
J'aime voir des CRS morts
J'aime les pin-pon, suivis d'explosions et des pompiers
Un jour j' te souris, Un jour j' te crève
J'perds mon temps à m' dire qu' j' finirais bien par leur tirer d' ssus

Lunatic dans la violence incite, extraits de leur chanson "Racisme" :
Et si ma haine diminue C'est qu' les porcs sont morts et qui m' reste
plus qu' dix minutes.
On met leurs femmes sans dessous. Mais attention y'a tension quand
j' vois un porc chez moi.
A rien apprendre sauf que les porcs sont à pendre.
Extraits de leur chanson "l'Effort de Paix" :
J'suis venu en paix, pour faire la guerre aux bâtards....
Chante pour que les porcs rampent ....
J' leur veux la guerre, donc laisse-moi en paix frère...
On vend du shit aux blancs...

Et j'en passe.