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Trump dérape et insulte plusieurs pays !

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Invité PINOCCHIO

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MembreN, 125ans Posté(e)
Dan229 MembreN 12 047 messages
Baby Forumeur‚ 125ans‚
Posté(e)
Il y a 6 heures, Les Yeux de la Fée a dit :

N'empèche il a bigrement  raison...c'est toujours en provenance des "pays de merde"" que nous viennent les migrants...et on ne verra jamais des norvégiens débarquer sur nos plages :sleep:

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Les pays de merde sont en plein caca nerveux.

Trump en arrive à me faire rire de plus en plus..

 

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Membre, Posté(e)
LouiseAragon Membre 14 351 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Il y a 5 heures, Foraveur a dit :

Il y a des tas de manières de le traduire toutes en fonction du contexte....mais si on veut faire preuve d'un peut d'éducation et d'un vocabulaire plus étendu on peut dire que "cloaque" est assez consensuel et proche de la vérité je trouve.....

@'moiselle jeanne...." Respect et politesse ne doivent être demandés qu'à des lambdas anonymes, mais par contre être permis ou plutôt approuvés  chez un chef d'Etat (enfin, disons plutôt chez Trump..) car là en faire preuve devient "hypocrisie de salon" ? "......je vais vous le dire franchement....je ne repondrai pas à votre question car ma compréhension du français fait que je comprends qu'elle contient un piège mais je suis pas capable de distinguer lequel....

par contre je réponds volontiers à celle ci ...." vous apprécieriez autant si le chef d'Etat français -ou britannique, allemand, russe, chinois, iranien... etc.. - traite publiquement les Etats-Unis de "pays de merde"... et saluerez leur franchise...? ".... Si le chef d'état français ou allemand ou britannique le faisait, je me tairais et je le commenterais même pas .... par contre les autres ils auraient toute ma ..créativité....

bonne nuit...

L'obligation de réserve interdit-elle qu'on apprenne l'histoire de son pays ? L'obligation de réserve interdit-elle qu'on pense, qu'on réfléchisse aux siècles de guerres d'agressions commises par son pays dans le continent et partout ailleurs dans le monde ? Un pays de migrants colonisateurs conquérants et guerriers est-il un pays sans mémoire ? 

globalresearch.ca  books Guerre et mondialisation

Résultat de recherche d'images pour "le budget militaire des etats-unis"

Budgets militaire dans le monde 

https://www.mondialisation.ca/la-longue-guerre-des-etats-unis-contre-lhumanite/5476627

Théodore Roosevelt a repris le concept afin de justifier l’expansionnisme et l’interventionnisme des États-Unis hors de ses frontières quand les intérêts américains étaient menacés. Il déclara notamment : « Je crois que Dieu a présidé à la naissance de cette nation et que nous sommes choisis pour montrer la voie aux nations du monde dans leur marche sur les sentiers de la liberté. »

1846 : Mexique. A l’issue d’une guerre qu’ils avaient programmées et provoquées, les États-Unis s’emparent de la moitié du territoire mexicain. Ce territoire conquis s’appelle aujourd’hui : la Californie, le Nevada, l’Utah, l’Arizona, le Nouveau-Mexique, le Colorado (en partie).

1852-1853 : Argentine. Les Marines  débarquent et s’installent à Buenos-Aires pour protéger les intérêts américains face à une révolution.

1853 : Nicaragua. Protection des citoyens et intérêts américains pendant des troubles politiques.

1853-1854 : Japon. « Plan d’ouverture du Japon » et expédition Perry qui conduit, avec les navires de guerre américains, à forcer le Japon à ouvrir ses ports aux États-Unis. Attendant une réponse du Japon l’autorisant à se rendre dans ce pays, le contre-amiral américain Perry, opère une démonstration navale de force et débarque par deux fois. Il obtient des autorités de Naha, sur l’île d’Okinawa, la gestion d’une concession minière. Il opère la même démonstration de force dans les îles de Bonin afin d’obtenir des facilités commerciales.

1854 : Nicaragua. Pour venger une offense faite au ministre-président américain en poste au Nicaragua : destruction de la vile de Greytown (San Juan del Norte).

1855 : Uruguay. Les armées américaines et européennes débarquent pour protéger les intérêts américains au cours d’une tentative de révolution à Montevideo.

1859 : Chine. Intervention destinée à protéger les intérêts des États-Unis à Shanghai.

1860 : Angola. Intervention en Afrique occidentale portugaise pour assurer la sécurité des citoyens et des biens américains pendant une révolte indigène à Kissembo.

1893 : Hawaii. Sous couvert officiel de protéger les vies et les biens des américains, cette intervention visa à mettre en place un gouvernement provisoire sous l’autorité de Sanford D. Dole.

1894 : Nicaragua. Intervention militaire pour protéger les intérêts américains à Bluefields à la suite d’une révolution.

1898 : Cuba. Sous prétexte de libérer l’île de la tutelle espagnole, les États-Unis s’installent et imposent une base militaire, la possibilités d’investissements financiers américains et un droit d’intervention dans les affaires intérieures du pays.

1898 : Porto-Rico, Hawaii, Wake, Guam. Sous prétexte de défaire la tutelle espagnole, les États-Unis s’installent et imposent une base militaire, la possibilités d’investissements financiers américains et un droit d’intervention dans les affaires intérieures du pays.

1898 : Philippines. L’archipel est vendu aux USA par l’Espagne (décembre 1898), les philippins se soulèvent contre les États-Unis (février 1899), les États-Unis envoie 70 000 militaires qui mettront trois ans pour mater le soulèvement (des milliers de pertes humaines).

1903 : Colombie. Les États-Unis fomentent une révolution à l’issue de laquelle ils créent de toute pièce la République de Panama qui lui assure le contrôle du canal et des bénéfices qu’il génère.

1914-1918 : Première Guerre Mondiale.

1915 : Haïti. Nouvelle intervention et occupation des troupes américaines pendant 19 ans.

1916 : République Dominicaine. Quatrième intervention et maintien des troupes américaines pendant 8 ans.

1926 : Nicaragua. Nouvelle intervention et expédition de 5000 militaires pour contrer une révolution.

1940-1945 : Deuxième Guerre Mondiale.

1945 : Début de la Guerre Froide entre les États-Unis et l’URSS.

1945 : Japon. Bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki.

1945-46 : Chine. Bombardements.

1946 : Philippines. Colonie américaine jusqu’à l’occupation japonaise, les Philippines accèdent à leur indépendance en 1946 en concédant aux États-Unis un droit illimité d’exploitation des ressources naturelles du pays au titre des dommages de guerre. Jusqu’en 1992 les États-Unis conservent 23 bases militaires et participent à la répression des opposants communistes ou musulmans.

1947 : Grèce. Les États-Unis volent au secours de la dictature de colonels mise en place par les britanniques et menacée par la guérilla des gauchistes. Les États-Unis livrent 74 000 tonnes de matériels militaires et d’armements et envoient 250 « conseillers » militaires sur le terrain, assurant ainsi la victoire des forces de droite en 1949.

1950 : Porto Rico. Les troupes américaines qui stationnent en permanence écrasent un mouvement d’indépendance. Deux ans plus tard, Porto Rico se voit accorder le statut d‘État libre associé aux États-Unis.

1950-1953 : Corée. Les forces armées de la Corée du Nord franchissent le 38ème parallèle et pénètrent en Corée du Sud. A la « demande » des Nations-Unies, les États-Unis acceptent d’aider à repousser l’agression armée. 2 millions de coréens trouvent la mort au cours de cette guerre.

1950-53 : Chine. Nouveaux bombardements.

1953 : Iran. Opération Ajax, un coup d’État orchestré par la CIA est mené par l’armée et les grands propriétaires fonciers après que les britanniques aient organisés le boycott des compagnies pétrolières iraniennes suite à leur nationalisation en 1951. Les États-Unis soutiennent pendant les 25 ans qui suivent l’homme fort du pays, le Shah d’Iran. Celui-ci s’enfuira en 1978 devant le raz-de-marée de la Révolution Islamique de l’ayatollah Khomeiney en exil. Deux ans plus tard, en 1980, la guerre entre l’Iran et l’Irak sera une aubaine pour les industries d’armements, notamment américaines.

1954 : Guatemala. Opération PBSUCCESS, des mercenaires entraînés par la CIA au Honduras et au Nicaragua renversent, avec l’aide de l’aviation américaine, le gouvernement démocratique du président Arbenz Guzman remplacé par une junte militaire réclamée par Eisenhower.

1958 : Liban. Des milliers de Marines sont envoyés à Beyrouth pour empêcher le renversement du gouvernement pro-américain et protéger les intérêts américains dans la région.

1958 : Indonésie. Bombardements par les militaires et combattants islamistes appuyés par les États-Unis contre le gouvernement démocratique de Sumatra.

1960 : Guatemala. Bombardements.

1961 : Cuba. Opération Mongoose, armés et entraînés par la CIA, plus de 1000 exilés cubains débarquent dans la Baie des Cochons avec l’espoir de provoquer une rébellion contre le gouvernement castriste en place très populaire. Le soulèvement n’a pas lieu, les mercenaires sont rejetés à la mer, les États-Unis imposent un embargo à Cuba.

1961-1972 : Vietnam. Pendant 11 ans, les États-Unis, prenant le relais de l’armée française, utilisent tout leur arsenal militaire y compris des armes chimiques pour venir à bout d’un mouvement révolutionnaire nationaliste d’indépendance. La plus longue guerre dans laquelle se sont embarqués les États-Unis causera la mort de plus d’un million de combattants vietnamiens, quatre millions de civils et près de 60000 soldats américains.

1961-1972 : Laos et Cambodge. Bien qu’officiellement pas en guerre avec ces deux pays, les États-Unis y effectuèrent d’incessantes attaques aériennes et d’innombrables massacres de populations.

1961 : Congo. Assassinat du premier ministre Patrice Lumumba par les services secrets belges soutenus par la CIA.

1962 : Cuba. Crise des missiles.

1964 : Panama.  Les Marines qui protègent les intérêts américains du canal de Panama écrasent une révolte visant à nationaliser ce secteur stratégique. Après avoir protégé et utilisé le dictateur panaméen pour leurs attaques contre le Nicaragua sandiniste, les USA s’en débarrassent. 26 000 soldats américains envahissent le pays sous couvert de le faire comparaître devant les tribunaux américains pour trafic de drogue. Des centaines de civils périssent sous les bombardements.

1964 : Brésil. Renversement du président Joao Goulart par un putch militaire soutenu par la CIA et instauration de la dictature du maréchal Castelo Branco.

1964 : Congo. Bombardements pour réprimer la révolte nationaliste de gauche soutenue par l’Organisation de l’Unité Africaine.

1965 : Indonésie. Prétextant une tentative de putch des communiste pourtant proche du pouvoir de Sukarno, une opération militaire sanglante dont les dirigeants sont téléguidés par la CIA est menée. Des centaines de milliers d’indonésiens sont victimes d’une chasse à l’opposant, la longue et meurtrière carrière de l’homme de paille américain Suharto commence pour culminer au Timor Oriental.

1965 : République Dominicaine. Sous le couvert de l’Organisation des États Américains, les États-Unis interviennent militairement pour contrer une prétendue menace communiste et provoquent un coup d’État contre le président Juan Bosch élu démocratiquement. La bataille de Saint-Domingue fait quelque 10 000 victimes.

1965 : Pérou. Bombardements.

1967-69 : Guatemala. Formation des forces armées guatémaltèques du président Julio César Mendez Montenegro par les forces spéciales américaines pour contrer les attaques des rebelles gauchistes.

1970 : Oman. Soutien logistique de la CIA et formation par des conseillers américains, les troupes iraniennes tentent d’envahir le sultanat pour contrer l’insurrection communiste dite Guerre du Dhofar.

1970 : Moyen-Orient. Implication militaire des États-Unis auprès d’Israël dans les guerres qui ont lieu dans cette région du globe.

1973 : Chili. Suite à la réforme agraire et aux nationalisations, les États-Unis, par l’intermédiaire de la CIA et de la firme ITT, fomentent un coup d’État militaire qui conduit à l’extermination du président élu de gauche Salvador Allende. Des milliers de morts, de femmes et d’enfants enlevés et torturés, et l’installation de la dictature d’extrême-droite du général Pinochet conseillé par la CIA.

1975-1999 : Timor Oriental. Les États-Unis soutiennent sans faillir l’invasion et l’annexion conduite par l’Indonésie de Suharto. Un tiers de la population est décimée en près de 25 années. Alors qu’en 1999 lors d’un référendum, 80% de la population du Timor Oriental choisit l’indépendance, les États-Unis soutiennent les exactions et la terreur de milices téléguidées par l’armée indonésienne qui s’opposent à l’indépendance. Les États-Unis finissent par accepter, sous la pression internationale, l’idée d’une force de maintien de la Paix de l’ONU.

1979-1989 : Afghanistan. Opération Cyclone, soutien logistique aux Moudjahidins du commandant Massoud pour contrer l’invasion de l’URSS. Soutien à Oussama Ben Laden appuyé par les services secrets pakistanais, l’ISI, dans le recrutement, la formation et l’envoi de combattants islamistes sur le front afghan.

1980-1990 : Salvador. Les États-Unis s’engagent militairement aux côté des forces gouvernementales, de l’oligarchie au pouvoir et des escadrons de la mort de l’armée salvadorienne pour contrer la guérilla marxiste du FMLN. En 1980, l’archevêque Romero, très populaire chez les pauvres, est assassiné par des hommes proches de la CIA. En dix ans, la guerre civile a fait plus de 100 000 morts.

1981-1988 : Nicaragua. Les États-Unis n’acceptent pas la série de réformes que les Sandinistes du président Daniel Ortega arrivés au pouvoir en 1979 engagent. Les États-Unis apportent leur soutien aux Contras basés au Honduras. En 1986, le scandale de l’Irangate révèle que le produit financier des ventes d’armes américaines à l’Iran a servi a financer les Contras.

1982-1984 : Liban. Les troupes phalangistes du Liban soutenues par Israël et les États-Unis expulsent et massacrent des Palestiniens.

1983 : Grenade. Opération Urgent Fury, embourbés au Liban, les États-Unis font une démonstration de force en envahissant la minuscule île de la Grenade prétextant de la sécurité de quelques citoyens américains et pour renverser le dirigeant Maurice Bishop suite à son coup d’Etat pacifique contre le régime autoritaire du Premier Ministre Eric Gairy. Huit ans plus tard, le Wall Street Journal qualifie cette démonstration d’« invasion des banques », l’île est devenue un paradis pour la fraude financière et l’évasion fiscale.

1986 : Libye. Suite aux attentats anti-américains en Europe, l’aviation américaine bombarde des villes libyennes, faisant des centaines de victimes parmi les civils et les officiels.

1986 : Les États-Unis sont condamnés pour « usage illégal de la force » contre le Nicaragua par la Cour internationale de justice de La Haye.

1988 : Iran. Opération Praying Mantis de la marine américaine contre les deux plateformes pétrolières iraniennes, Sassan & Sirri, durant la guerre Iran-Irak et suite aux dégâts de la frégate USS Samuel B. Roberts causés par une mine iranienne.

1989 : Philippines. L’aviation américaine prête main-forte aux forces gouvernementales pour contrecarrer un des nombreux coup d’État contre la présidente Corazon Aquino, farouche opposante aux communistes et aux indépendantistes musulmans.

1989 : Panama. Opération Just Cause, le président George H.W. Bush ordonne la prise de contrôle du canal de Panama et renverse le dictateur militaire Manuel Noriega, agent double de la CIA, suite au prétexte de l’exécution d’un soldat américain par des soldats panaméens.

1991 : Fin de la Guerre Froide entre les États-Unis et l’URSS.

1991 : Irak. Allié précieux des États-Unis dans la région durant de longues années, le dictateur Saddam Hussein envahit le Koweït sans en référer à la superpuissance. Les États-Unis, n’acceptant pas de perdre le contrôle d’une partie des ressources pétrolières du Golfe, déclarent la guerre à l’Irak en janvier 1991 et mettent en place une coalition militaire internationale qui, avec le soutien de l’ONU, libère le Koweït. L’Irak est placé sous embargo.

1993-1994 : Somalie. Fiasco des opérations Restore Hope I et II, en appui à l’ONU, pour mettre fin à la guerre civile du seigneur de guerre Mohamed Aidid.

1994 : Haïti. Ayant occupé Haïti de 1915 à 1934 puis soutenus les deux effroyables dictatures de François et Jean-Claude Duvalier de 1957 à 1986, les États-Unis se montrent favorables au renversement par coup d’État, en 1991, contre le dictateur Raoul Cédras remplacé par le le président en exil Jean-Bertrand Aristide escorté par 22000 soldats américains. Parmi les militaires impliqués dans le coup d’État, le colonel François qui a été formé, comme les dictateurs latino-américains Noriega et d’Aubuisson, dans la même académie militaire américaine. Trois ans plus tard les États-Unis interviennent militairement pour remettre en scelle le président déchu.

1995 : Yougoslavie. Bombardements en Bosnie-Herzégovine en soutien aux forces armées de l’ONU/OTAN.

1996 : Somalie. Soutien de la CIA dans l’assassinat de Mohamed Aidid.

1998 : Irak. Les États-Unis et l’Angleterre reprennent leurs bombardements sur l’Irak et se fixent comme objectif l’élimination physique de Saddam Hussein et la mise en place d’un gouvernement de remplacement.

1998 : Soudan. Opération Infinite Reach, en riposte aux attentats terroristes contre les ambassades américaines de Nairobi au Kenya et de Dar-es-Salaam en Tanzanie, l’armée américaine détruit un complexe pharmaceutique d’Al-Shifa supposé servir de lieux de production d’armement chimique à des fins terroristes.

1998 : Afghanistan, Opération Infinite Reach, bombardements massifs par la marine américaine de quatre camps d’entrainement dont Al Badr, El Farouq et Zawhar Kili, dirigés par Oussama Ben Laden, ex-agent de la CIA, lors d’un sommet de hauts responsables de plusieurs milices islamistes. L’attaque américaine provoqua la mort de cinq agents secrets pakistanais de l’ISI.

1998 : Timor Oriental. Soutien logistique à l’ONU pour son indépendance.

1999 : Yougoslavie. Au mois de mars, sous l’impulsion des États-Unis, l’OTAN bombarde le Kosovo et la Serbie ou s’opposent l’Armée de Libération du Kosovo qui depuis 1998 mène des opérations de guérilla et les forces de polices serbes qui, de leur côté, prennent en otage les populations civiles. Des centaines de bombes à uranium appauvri sont testées par les États-Unis.

11 septembre 2001 : Début de la Guerre contre le Terrorisme. Lancement de l’opération Enduring Freedom à l’échelle du globe.

2001 à nos jours : Afghanistan. Opération Active Endeavour, suite aux attentats du 11 septembre attribués à l’organisation Al-Qaïda dirigée par Oussama Ben Laden, les États-Unis forment une coalition internationale, implantent des bases au Pakistan et bombardent massivement le pays. Les Taliban sont renversés. Les États-Unis ne parviennent pas à imposer leur « protégé » (l’ancien roi), un gouvernement de transition est mis en place. Les prisonniers de guerre se voient déniés par les États-Unis de leurs droits internationaux reconnus par les conventions internationales, certains sont déportés sur la base militaire américaine de Guantanamo à Cuba et subissent un régime d’exception contraire aux principes internationaux et à la législation américaine elle-même. Derrière ces événements, les États-Unis légitiment leur allié dictateur du Pakistan, assurent peu à peu leur mainmise sur le transit des ressources naturelles régionales.

2002 : Irak, Iran et Corée du Nord. Les États-Unis placent ces pays au nombre des composantes de l’Axe du Mal, la nouvelle doctrine militaro-mystique de mise en place de « guerres préventives »  contre tous ceux qui ne s’alignent pas sur les États-Unis.

2002 : Phillipines. Opération Enduring Freedom, soutien économique et militaire au gouvernement philippin contre les guérillas.

2002 : Corne de l’Afrique. Opération Enduring Freedom.

2002 : Géorgie. Opération Enduring Freedom, formation de plusieurs bataillons d’infanterie de l’armée géorgienne dans la vallée du Pankissi.

2002 : Irak. Les États-Unis font pression sur la communauté internationale pour lancer un corps expéditionnaire en Irak visant au renversement de Saddam Hussein, à l’instauration d’un gouvernement favorable à leurs intérêts, à l’obtention des principales parts de marchés de la reconstruction du pays après bombardements, à l’octroi de concessions sur les immenses ressources pétrolières du pays. Fin 2002, les USA et leurs alliés anglais ont massés des dizaines de milliers de soldats sur-équipés sur place, prêts à une offensive.

2003 : Irak. Les États-Unis outrepassent les décisions de l’ONU et envahissent l’Irak dans la nuit du 19 au 20 mars, avec le soutien de l’Angleterre. Un déluge de feu s’abat sur le pays et la population dont déjà près de 500 000 personnes sont mortes en 10 ans du fait du blocus économique (800 missiles Tomahawk, 23 000 bombes à uranium, à fragmentation, mini-nucléaire). Un mouvement mondial d’opposition à la guerre et à l’agression militaire des États-Unis se développe en faveur de la paix et pour le respect du droit international. La majorité des pays de la planète condamnent l’agression américaine contre un pays souverain. Par cet acte les USA ouvre la voix dangereuse et criminelle à la doctrine de la guerre préventive permettant d’attaquer tout pays ne se soumettant pas à la conception impérialiste américaine.

2003 : Sao Tomé-et-Principe. Intervention suite à une tentative de coup d’État militaire contre le président Fradique de Menezes.

2004 : Haïti. Intervention militaire avec l’aide de la France pour chasser le président Jean-Bertrad Aristide.

2004 à nos jours : Pakistan. Début de la guerre du Waziristan contre les nombreux mouvements de Taliban. Bombardements réguliers par des drones de l’armée américaine et de la CIA.

2004 : Algérie. Soutien militaire au gouvernement dans sa lutte contre le GSPC devenu AQMI (Al-Qaïda au Maghreb Islamique).

2004 : Kyrghizstan. Opération Enduring Freedom.

2008 à nos jours : Somalie. Bombardements de plusieurs camps islamistes d’Al-Shabaab supposés être liés à Al-Qaïda.

2008-2009 : Palestine. Soutien financier et logistique à l’armée israélienne dont l’envoi de 3000 tonnes de munitions en prélude à l’opération Plomb Durci dans la Bande de Gaza contre le Hamas.

2009-2010 : Yémen. Bombardements par l’aviation américaine de plusieurs camps de la rébellion zaïdites des Houthis soutenus par l’Iran et en conflit contre le gouvernement yéménite depuis 2004, dit Insurrection de Sa’dah.

 

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Membre, 69ans Posté(e)
pic et repic Membre 17 519 messages
Maitre des forums‚ 69ans‚
Posté(e)

bonjour,

bon en supposant que cela soit vrai ( ce qui ne serait pas surprenant )

sans doute déjà cité....."que viennent ils chercher ici ?"

la même chose que ce que tes ancêtres sont venus chercher....un peu plus de prospérité, de liberté ( enfin!!!! ), de joie et finalement sans doute la vie .

il faudra bien un jour que ce c.... balaie un peu devant sa porte .

bonne journée.

 

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Membre, 153ans Posté(e)
chanou 34 Membre 26 008 messages
Maitre des forums‚ 153ans‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, Constantinople a dit :

Mais c'est pas possible, ce mec est génial.

D'une certaine façon c'est pas faux ; il a un don.
Il a fichu ses compatriotes vivant dans ces pays dans la merde, ( les dirigeants de ces pays ont commencé à convoquer ses ambassadeurs...je suis sûre qu'ils laisseraient volontiers leur place à n'importe qui sur ce forum approuve leur mal dégrossi de "président"!), il a humilié ses compatriotes originaires de ces pays, (Basquiat, et Sydney Poitier entre autres sont d'origine haitienne...) ou qui y ont de la famille...et est obligé de faire machine arrière en disant que non il n'a pas dit ça...

Alors oui quelque part c'est assez génial. Il va finir par me faire rire moi aussi ; c’est un clown quoi. Les américains ont élu un clown. C'est génial.

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, 'moiselle jeanne a dit :

1- "shithole", ça ne veut pas du tout dire trou perdu. Littéralement, c'est trou de merde ; et en réalité, dans le langage courant, c'est encore pire.

"Terme très vulgaire, "shithole" se réfère aux latrines extérieures pour désigner un endroit particulièrement repoussant."

http://www.letelegramme.fr/monde/pays-de-merde-les-medias-du-monde-entier-tentent-de-traduire-les-propos-de-trump-12-01-2018-11810579.php

"Ma" traduction est en fait beaucoup plus soft que la VO.
 
2- en effet, j'estime que le respect minima à l'égard d'un Etat qu'il soit riche ou pauvre, doit se "mettre sur le même plan", surtout de la part d'un chef d'Etat. Je n'y peux rien si c'est pour vous c'est synonyme "d'hypocrisie sans nom", c'est votre problème.

PS : il s'agit non seulement d'Haiti, mais de l'Afrique, du Salvador...

3- immigration ou pas, ça n'est ni la question (et je n'ai nulle intention de répondre ici là-dessus)  ni le sujet du topic.  Sujet : voir titre du topic.

 

 

Trump est en train d'isoler les Etats-Unis de plus en plus de la scène mondiale en se mettant peu à peu la quasi-totalité de la planète à dos -avec ses provocations, sanctions, réactions unilatérales, irrespect divers et variés envers maints partenaires. Effectivement, de plus en plus de pays cherchent de nouveaux partenariat avec la Chine et l'Asie - et en font. Russie et Chine sont en train de commencer à traiter en yuans, et se passer du dollar., et entrainant leurs partenaires dans la combine ; et si le dollar perd sa suprématie, agrémenté du gel de rapports politico/diplomatiques minima cordiaux, la fin de la suprématie américaine voire son effondrement n'est plus du tout de l'ordre du fantasme. America first va devenir America alone, et ça risque fort de faire drôle aux intéressés.

 

1°) Ca s'appelle une expression, ça ne se traduit pas littéralement, et les médias le savent très bien. En français quand on dit "cette personne est un puit à merde", un anglais ne traduira pas littéralement. Il trouvera une expression équivalente en anglais pour "cette personne n'a jamais fini d'avoir des emmerdes et cela rejailli sur tout ceux qui l'entourent".

2°) C'est ça le probléme des gauchiste, et c'est pour ça qu'un pays va dans l'impasse dés que la gauche gouverne. On ne peut pas considérer sous un même plan deux choses qui ne se valent pas, pour une question de soit  disant respect mais de principe de réalité.. C'est ainsi qu'avec ses conneries, Hollande est allé poser devant les médias auprès d'une famille archi déliquante alors qu'il n'a pas daigné venir pour des policiers brulés par des délinquants. 

Par ailleurs Ia juste dit ce que vous dites vous et vos amis gauchistes seulement avec une expression familiére : que ce sont des pays sans éducation valable, pauvres, avec de la criminalité, politiquement instables, etc. Qu'un président dise les choses de la bonne façon en discours officiel, soit, à la limite là j'entendrai votre indignation. Là ce n'est pas une discussion supposé être relayée dans les médias. C'est du politiquement correct à deux balles pour éviter de reconnaitre que sur le fond, il à PARFAITEMENT raison.

Obama a du tenir des centaines de propos injurieux sur Israël en off durant son mandat,, ceux ci n'étaient jamais relayés par les médias. Sauf que la bien pensance médiatique à déclaré la guerre à Trump, ce qui prouve qu'il est sur la bonne voie.

3°) Trump disait en substance qu'il préférait recevoir une immigration venus de pays tenant debout plutôt que des pays qui ne tiennent pas debout. Remettre les propos dans le contexte, c'est quand même le sujet.

4°) encore une fois la déficience de réalisme chez les gens de gauche. La premiére puissance mondiale ne sera isolée que dans le cerveau des gens qui gobent le politiquement correct. Fantastique opportunité pour les français de redorer leur blason là bas si on avait un président qui avait des bollocks, et pas tenu par le vote des musulmans.

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Membre, Posté(e)
Constantinople Membre 18 329 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 53 minutes, chanou 34 a dit :

D'une certaine façon c'est pas faux ; il a un don.
Il a fichu ses compatriotes vivant dans ces pays dans la merde, ( les dirigeants de ces pays ont commencé à convoquer ses ambassadeurs...je suis sûre qu'ils laisseraient volontiers leur place à n'importe qui sur ce forum approuve leur mal dégrossi de "président"!), il a humilié ses compatriotes originaires de ces pays, (Basquiat, et Sydney Poitier entre autres sont d'origine haitienne...) ou qui y ont de la famille...et est obligé de faire machine arrière en disant que non il n'a pas dit ça...

Alors oui quelque part c'est assez génial. Il va finir par me faire rire moi aussi ; c’est un clown quoi. Les américains ont élu un clown. C'est génial.

1) ces pays n'ont aucun interet à ce que les citoyens américains en partent, sauf à s'enfoncer encore plus.

2) ces citoyens américains originaires de ces pays savent que Trump a une expression qui recouvre une réalité indiscutable

3) Sinon, si vous écartez la question de forme, vous préférez donc un président qui pense qu'il faut faire venir massivement et en priorité les gens de ces régions, ou plutot des pays plus develloppés ? Trump a t'il raison sur le fond, ou tort ? C'est la seule question qui compte. Preferez vous avoir tort avec Trudeau le gendre idéal ou raison avec Trump le grossier personnage ?

 

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Membre, 36ans Posté(e)
Les Yeux de la Fée Membre 908 messages
Baby Forumeur‚ 36ans‚
Posté(e)

Grâce à Trump, les Médias du Monde Entier respirent...Fini le cauchemar de la page blanche

Trump fait la fortune et le bonheur des télés, journaux et radios.

Trump se fout de la gueule des bien-pensants, ce qu'il dit n'est que le reflet de ce que pense la majorité des gens

Et en plus il s'amuse 195532001515831975_giphyi.gif

Alors elle est pas belle la vie ????

Continue, Donald:drinks:, tu es un Génie

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MembreN, 125ans Posté(e)
Dan229 MembreN 12 047 messages
Baby Forumeur‚ 125ans‚
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Et tu crois qu'il va s'excuser ?!!!

Il va les laisser faire leur caca nerveux.

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)
il y a 9 minutes, Dan229 a dit :

Et tu crois qu'il va s'excuser ?!!!

Il va les laisser faire leur caca nerveux.

Comme  ça prend de l'ampleur, faudra bien qu'il s'excuse un peu, au moins à demi mot, il est un peu comme ça le Donald, un pas en avant , deux en arrière :o°

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Membre, Posté(e)
le grand Membre 566 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Il ne faut pas s'attendre à ce que Trump utilise des mots arrondies pour cibler une personne ou un état.Peut-être qu'il s'embrouille et qu'il colporte des demie vérité mais pour ce cas il cible juste et dit haut ce que nous pensons tous.Arrêtons avec les pleures de crocodile.Haïti et certains pays africains sont des pays de m****.

Sans hypocrisie il sort comme un enfant la vérité sur ces pays.Et pour ce qui est de l'indignation on va la mettre de côté car la sensibilité de l'adulte d'aujourd'hui est comparable à la peur d'un cochon d'inde.

 

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Invité PINOCCHIO
Invités, Posté(e)
Invité PINOCCHIO
Invité PINOCCHIO Invités 0 message
Posté(e)
il y a 6 minutes, Pierrot89 a dit :

États Unis d'Amérique, pays de merde avec son président fou, schizophrène et quasi analphabète.

T'a vu un analphabète avec un empire comme il a, tu dois pas beaucoup sortir, toi ! :p

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MembreN, 125ans Posté(e)
Dan229 MembreN 12 047 messages
Baby Forumeur‚ 125ans‚
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il y a 11 minutes, Pierrot89 a dit :

États Unis d'Amérique, pays de merde avec son président fou, schizophrène et quasi analphabète.

Et qui n'arrive même pas à compter son immense fortune.

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Membre, Posté(e)
le grand Membre 566 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a 15 minutes, Pierrot89 a dit :

États Unis d'Amérique, pays de merde avec son président fou, schizophrène et quasi analphabète.

Soyons ambitieux.Planète de m****.

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Membre, Debout les morts..., 76ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 37 480 messages
76ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
Il y a 3 heures, LouiseAragon a dit :

L'obligation de réserve interdit-elle qu'on apprenne l'histoire de son pays ? L'obligation de réserve interdit-elle qu'on pense, qu'on réfléchisse aux siècles de guerres d'agressions commises par son pays dans le continent et partout ailleurs dans le monde ? Un pays de migrants colonisateurs conquérants et guerriers est-il un pays sans mémoire ? 

globalresearch.ca  books Guerre et mondialisation

Résultat de recherche d'images pour "le budget militaire des etats-unis"

Budgets militaire dans le monde 

https://www.mondialisation.ca/la-longue-guerre-des-etats-unis-contre-lhumanite/5476627

Théodore Roosevelt a repris le concept afin de justifier l’expansionnisme et l’interventionnisme des États-Unis hors de ses frontières quand les intérêts américains étaient menacés. Il déclara notamment : « Je crois que Dieu a présidé à la naissance de cette nation et que nous sommes choisis pour montrer la voie aux nations du monde dans leur marche sur les sentiers de la liberté. »

1846 : Mexique. A l’issue d’une guerre qu’ils avaient programmées et provoquées, les États-Unis s’emparent de la moitié du territoire mexicain. Ce territoire conquis s’appelle aujourd’hui : la Californie, le Nevada, l’Utah, l’Arizona, le Nouveau-Mexique, le Colorado (en partie).

1852-1853 : Argentine. Les Marines  débarquent et s’installent à Buenos-Aires pour protéger les intérêts américains face à une révolution.

1853 : Nicaragua. Protection des citoyens et intérêts américains pendant des troubles politiques.

1853-1854 : Japon. « Plan d’ouverture du Japon » et expédition Perry qui conduit, avec les navires de guerre américains, à forcer le Japon à ouvrir ses ports aux États-Unis. Attendant une réponse du Japon l’autorisant à se rendre dans ce pays, le contre-amiral américain Perry, opère une démonstration navale de force et débarque par deux fois. Il obtient des autorités de Naha, sur l’île d’Okinawa, la gestion d’une concession minière. Il opère la même démonstration de force dans les îles de Bonin afin d’obtenir des facilités commerciales.

1854 : Nicaragua. Pour venger une offense faite au ministre-président américain en poste au Nicaragua : destruction de la vile de Greytown (San Juan del Norte).

1855 : Uruguay. Les armées américaines et européennes débarquent pour protéger les intérêts américains au cours d’une tentative de révolution à Montevideo.

1859 : Chine. Intervention destinée à protéger les intérêts des États-Unis à Shanghai.

1860 : Angola. Intervention en Afrique occidentale portugaise pour assurer la sécurité des citoyens et des biens américains pendant une révolte indigène à Kissembo.

1893 : Hawaii. Sous couvert officiel de protéger les vies et les biens des américains, cette intervention visa à mettre en place un gouvernement provisoire sous l’autorité de Sanford D. Dole.

1894 : Nicaragua. Intervention militaire pour protéger les intérêts américains à Bluefields à la suite d’une révolution.

1898 : Cuba. Sous prétexte de libérer l’île de la tutelle espagnole, les États-Unis s’installent et imposent une base militaire, la possibilités d’investissements financiers américains et un droit d’intervention dans les affaires intérieures du pays.

1898 : Porto-Rico, Hawaii, Wake, Guam. Sous prétexte de défaire la tutelle espagnole, les États-Unis s’installent et imposent une base militaire, la possibilités d’investissements financiers américains et un droit d’intervention dans les affaires intérieures du pays.

1898 : Philippines. L’archipel est vendu aux USA par l’Espagne (décembre 1898), les philippins se soulèvent contre les États-Unis (février 1899), les États-Unis envoie 70 000 militaires qui mettront trois ans pour mater le soulèvement (des milliers de pertes humaines).

1903 : Colombie. Les États-Unis fomentent une révolution à l’issue de laquelle ils créent de toute pièce la République de Panama qui lui assure le contrôle du canal et des bénéfices qu’il génère.

1914-1918 : Première Guerre Mondiale.

1915 : Haïti. Nouvelle intervention et occupation des troupes américaines pendant 19 ans.

1916 : République Dominicaine. Quatrième intervention et maintien des troupes américaines pendant 8 ans.

1926 : Nicaragua. Nouvelle intervention et expédition de 5000 militaires pour contrer une révolution.

1940-1945 : Deuxième Guerre Mondiale.

1945 : Début de la Guerre Froide entre les États-Unis et l’URSS.

1945 : Japon. Bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki.

1945-46 : Chine. Bombardements.

1946 : Philippines. Colonie américaine jusqu’à l’occupation japonaise, les Philippines accèdent à leur indépendance en 1946 en concédant aux États-Unis un droit illimité d’exploitation des ressources naturelles du pays au titre des dommages de guerre. Jusqu’en 1992 les États-Unis conservent 23 bases militaires et participent à la répression des opposants communistes ou musulmans.

1947 : Grèce. Les États-Unis volent au secours de la dictature de colonels mise en place par les britanniques et menacée par la guérilla des gauchistes. Les États-Unis livrent 74 000 tonnes de matériels militaires et d’armements et envoient 250 « conseillers » militaires sur le terrain, assurant ainsi la victoire des forces de droite en 1949.

1950 : Porto Rico. Les troupes américaines qui stationnent en permanence écrasent un mouvement d’indépendance. Deux ans plus tard, Porto Rico se voit accorder le statut d‘État libre associé aux États-Unis.

1950-1953 : Corée. Les forces armées de la Corée du Nord franchissent le 38ème parallèle et pénètrent en Corée du Sud. A la « demande » des Nations-Unies, les États-Unis acceptent d’aider à repousser l’agression armée. 2 millions de coréens trouvent la mort au cours de cette guerre.

1950-53 : Chine. Nouveaux bombardements.

1953 : Iran. Opération Ajax, un coup d’État orchestré par la CIA est mené par l’armée et les grands propriétaires fonciers après que les britanniques aient organisés le boycott des compagnies pétrolières iraniennes suite à leur nationalisation en 1951. Les États-Unis soutiennent pendant les 25 ans qui suivent l’homme fort du pays, le Shah d’Iran. Celui-ci s’enfuira en 1978 devant le raz-de-marée de la Révolution Islamique de l’ayatollah Khomeiney en exil. Deux ans plus tard, en 1980, la guerre entre l’Iran et l’Irak sera une aubaine pour les industries d’armements, notamment américaines.

1954 : Guatemala. Opération PBSUCCESS, des mercenaires entraînés par la CIA au Honduras et au Nicaragua renversent, avec l’aide de l’aviation américaine, le gouvernement démocratique du président Arbenz Guzman remplacé par une junte militaire réclamée par Eisenhower.

1958 : Liban. Des milliers de Marines sont envoyés à Beyrouth pour empêcher le renversement du gouvernement pro-américain et protéger les intérêts américains dans la région.

1958 : Indonésie. Bombardements par les militaires et combattants islamistes appuyés par les États-Unis contre le gouvernement démocratique de Sumatra.

1960 : Guatemala. Bombardements.

1961 : Cuba. Opération Mongoose, armés et entraînés par la CIA, plus de 1000 exilés cubains débarquent dans la Baie des Cochons avec l’espoir de provoquer une rébellion contre le gouvernement castriste en place très populaire. Le soulèvement n’a pas lieu, les mercenaires sont rejetés à la mer, les États-Unis imposent un embargo à Cuba.

1961-1972 : Vietnam. Pendant 11 ans, les États-Unis, prenant le relais de l’armée française, utilisent tout leur arsenal militaire y compris des armes chimiques pour venir à bout d’un mouvement révolutionnaire nationaliste d’indépendance. La plus longue guerre dans laquelle se sont embarqués les États-Unis causera la mort de plus d’un million de combattants vietnamiens, quatre millions de civils et près de 60000 soldats américains.

1961-1972 : Laos et Cambodge. Bien qu’officiellement pas en guerre avec ces deux pays, les États-Unis y effectuèrent d’incessantes attaques aériennes et d’innombrables massacres de populations.

1961 : Congo. Assassinat du premier ministre Patrice Lumumba par les services secrets belges soutenus par la CIA.

1962 : Cuba. Crise des missiles.

1964 : Panama.  Les Marines qui protègent les intérêts américains du canal de Panama écrasent une révolte visant à nationaliser ce secteur stratégique. Après avoir protégé et utilisé le dictateur panaméen pour leurs attaques contre le Nicaragua sandiniste, les USA s’en débarrassent. 26 000 soldats américains envahissent le pays sous couvert de le faire comparaître devant les tribunaux américains pour trafic de drogue. Des centaines de civils périssent sous les bombardements.

1964 : Brésil. Renversement du président Joao Goulart par un putch militaire soutenu par la CIA et instauration de la dictature du maréchal Castelo Branco.

1964 : Congo. Bombardements pour réprimer la révolte nationaliste de gauche soutenue par l’Organisation de l’Unité Africaine.

1965 : Indonésie. Prétextant une tentative de putch des communiste pourtant proche du pouvoir de Sukarno, une opération militaire sanglante dont les dirigeants sont téléguidés par la CIA est menée. Des centaines de milliers d’indonésiens sont victimes d’une chasse à l’opposant, la longue et meurtrière carrière de l’homme de paille américain Suharto commence pour culminer au Timor Oriental.

1965 : République Dominicaine. Sous le couvert de l’Organisation des États Américains, les États-Unis interviennent militairement pour contrer une prétendue menace communiste et provoquent un coup d’État contre le président Juan Bosch élu démocratiquement. La bataille de Saint-Domingue fait quelque 10 000 victimes.

1965 : Pérou. Bombardements.

1967-69 : Guatemala. Formation des forces armées guatémaltèques du président Julio César Mendez Montenegro par les forces spéciales américaines pour contrer les attaques des rebelles gauchistes.

1970 : Oman. Soutien logistique de la CIA et formation par des conseillers américains, les troupes iraniennes tentent d’envahir le sultanat pour contrer l’insurrection communiste dite Guerre du Dhofar.

1970 : Moyen-Orient. Implication militaire des États-Unis auprès d’Israël dans les guerres qui ont lieu dans cette région du globe.

1973 : Chili. Suite à la réforme agraire et aux nationalisations, les États-Unis, par l’intermédiaire de la CIA et de la firme ITT, fomentent un coup d’État militaire qui conduit à l’extermination du président élu de gauche Salvador Allende. Des milliers de morts, de femmes et d’enfants enlevés et torturés, et l’installation de la dictature d’extrême-droite du général Pinochet conseillé par la CIA.

1975-1999 : Timor Oriental. Les États-Unis soutiennent sans faillir l’invasion et l’annexion conduite par l’Indonésie de Suharto. Un tiers de la population est décimée en près de 25 années. Alors qu’en 1999 lors d’un référendum, 80% de la population du Timor Oriental choisit l’indépendance, les États-Unis soutiennent les exactions et la terreur de milices téléguidées par l’armée indonésienne qui s’opposent à l’indépendance. Les États-Unis finissent par accepter, sous la pression internationale, l’idée d’une force de maintien de la Paix de l’ONU.

1979-1989 : Afghanistan. Opération Cyclone, soutien logistique aux Moudjahidins du commandant Massoud pour contrer l’invasion de l’URSS. Soutien à Oussama Ben Laden appuyé par les services secrets pakistanais, l’ISI, dans le recrutement, la formation et l’envoi de combattants islamistes sur le front afghan.

1980-1990 : Salvador. Les États-Unis s’engagent militairement aux côté des forces gouvernementales, de l’oligarchie au pouvoir et des escadrons de la mort de l’armée salvadorienne pour contrer la guérilla marxiste du FMLN. En 1980, l’archevêque Romero, très populaire chez les pauvres, est assassiné par des hommes proches de la CIA. En dix ans, la guerre civile a fait plus de 100 000 morts.

1981-1988 : Nicaragua. Les États-Unis n’acceptent pas la série de réformes que les Sandinistes du président Daniel Ortega arrivés au pouvoir en 1979 engagent. Les États-Unis apportent leur soutien aux Contras basés au Honduras. En 1986, le scandale de l’Irangate révèle que le produit financier des ventes d’armes américaines à l’Iran a servi a financer les Contras.

1982-1984 : Liban. Les troupes phalangistes du Liban soutenues par Israël et les États-Unis expulsent et massacrent des Palestiniens.

1983 : Grenade. Opération Urgent Fury, embourbés au Liban, les États-Unis font une démonstration de force en envahissant la minuscule île de la Grenade prétextant de la sécurité de quelques citoyens américains et pour renverser le dirigeant Maurice Bishop suite à son coup d’Etat pacifique contre le régime autoritaire du Premier Ministre Eric Gairy. Huit ans plus tard, le Wall Street Journal qualifie cette démonstration d’« invasion des banques », l’île est devenue un paradis pour la fraude financière et l’évasion fiscale.

1986 : Libye. Suite aux attentats anti-américains en Europe, l’aviation américaine bombarde des villes libyennes, faisant des centaines de victimes parmi les civils et les officiels.

1986 : Les États-Unis sont condamnés pour « usage illégal de la force » contre le Nicaragua par la Cour internationale de justice de La Haye.

1988 : Iran. Opération Praying Mantis de la marine américaine contre les deux plateformes pétrolières iraniennes, Sassan & Sirri, durant la guerre Iran-Irak et suite aux dégâts de la frégate USS Samuel B. Roberts causés par une mine iranienne.

1989 : Philippines. L’aviation américaine prête main-forte aux forces gouvernementales pour contrecarrer un des nombreux coup d’État contre la présidente Corazon Aquino, farouche opposante aux communistes et aux indépendantistes musulmans.

1989 : Panama. Opération Just Cause, le président George H.W. Bush ordonne la prise de contrôle du canal de Panama et renverse le dictateur militaire Manuel Noriega, agent double de la CIA, suite au prétexte de l’exécution d’un soldat américain par des soldats panaméens.

1991 : Fin de la Guerre Froide entre les États-Unis et l’URSS.

1991 : Irak. Allié précieux des États-Unis dans la région durant de longues années, le dictateur Saddam Hussein envahit le Koweït sans en référer à la superpuissance. Les États-Unis, n’acceptant pas de perdre le contrôle d’une partie des ressources pétrolières du Golfe, déclarent la guerre à l’Irak en janvier 1991 et mettent en place une coalition militaire internationale qui, avec le soutien de l’ONU, libère le Koweït. L’Irak est placé sous embargo.

1993-1994 : Somalie. Fiasco des opérations Restore Hope I et II, en appui à l’ONU, pour mettre fin à la guerre civile du seigneur de guerre Mohamed Aidid.

1994 : Haïti. Ayant occupé Haïti de 1915 à 1934 puis soutenus les deux effroyables dictatures de François et Jean-Claude Duvalier de 1957 à 1986, les États-Unis se montrent favorables au renversement par coup d’État, en 1991, contre le dictateur Raoul Cédras remplacé par le le président en exil Jean-Bertrand Aristide escorté par 22000 soldats américains. Parmi les militaires impliqués dans le coup d’État, le colonel François qui a été formé, comme les dictateurs latino-américains Noriega et d’Aubuisson, dans la même académie militaire américaine. Trois ans plus tard les États-Unis interviennent militairement pour remettre en scelle le président déchu.

1995 : Yougoslavie. Bombardements en Bosnie-Herzégovine en soutien aux forces armées de l’ONU/OTAN.

1996 : Somalie. Soutien de la CIA dans l’assassinat de Mohamed Aidid.

1998 : Irak. Les États-Unis et l’Angleterre reprennent leurs bombardements sur l’Irak et se fixent comme objectif l’élimination physique de Saddam Hussein et la mise en place d’un gouvernement de remplacement.

1998 : Soudan. Opération Infinite Reach, en riposte aux attentats terroristes contre les ambassades américaines de Nairobi au Kenya et de Dar-es-Salaam en Tanzanie, l’armée américaine détruit un complexe pharmaceutique d’Al-Shifa supposé servir de lieux de production d’armement chimique à des fins terroristes.

1998 : Afghanistan, Opération Infinite Reach, bombardements massifs par la marine américaine de quatre camps d’entrainement dont Al Badr, El Farouq et Zawhar Kili, dirigés par Oussama Ben Laden, ex-agent de la CIA, lors d’un sommet de hauts responsables de plusieurs milices islamistes. L’attaque américaine provoqua la mort de cinq agents secrets pakistanais de l’ISI.

1998 : Timor Oriental. Soutien logistique à l’ONU pour son indépendance.

1999 : Yougoslavie. Au mois de mars, sous l’impulsion des États-Unis, l’OTAN bombarde le Kosovo et la Serbie ou s’opposent l’Armée de Libération du Kosovo qui depuis 1998 mène des opérations de guérilla et les forces de polices serbes qui, de leur côté, prennent en otage les populations civiles. Des centaines de bombes à uranium appauvri sont testées par les États-Unis.

11 septembre 2001 : Début de la Guerre contre le Terrorisme. Lancement de l’opération Enduring Freedom à l’échelle du globe.

2001 à nos jours : Afghanistan. Opération Active Endeavour, suite aux attentats du 11 septembre attribués à l’organisation Al-Qaïda dirigée par Oussama Ben Laden, les États-Unis forment une coalition internationale, implantent des bases au Pakistan et bombardent massivement le pays. Les Taliban sont renversés. Les États-Unis ne parviennent pas à imposer leur « protégé » (l’ancien roi), un gouvernement de transition est mis en place. Les prisonniers de guerre se voient déniés par les États-Unis de leurs droits internationaux reconnus par les conventions internationales, certains sont déportés sur la base militaire américaine de Guantanamo à Cuba et subissent un régime d’exception contraire aux principes internationaux et à la législation américaine elle-même. Derrière ces événements, les États-Unis légitiment leur allié dictateur du Pakistan, assurent peu à peu leur mainmise sur le transit des ressources naturelles régionales.

2002 : Irak, Iran et Corée du Nord. Les États-Unis placent ces pays au nombre des composantes de l’Axe du Mal, la nouvelle doctrine militaro-mystique de mise en place de « guerres préventives »  contre tous ceux qui ne s’alignent pas sur les États-Unis.

2002 : Phillipines. Opération Enduring Freedom, soutien économique et militaire au gouvernement philippin contre les guérillas.

2002 : Corne de l’Afrique. Opération Enduring Freedom.

2002 : Géorgie. Opération Enduring Freedom, formation de plusieurs bataillons d’infanterie de l’armée géorgienne dans la vallée du Pankissi.

2002 : Irak. Les États-Unis font pression sur la communauté internationale pour lancer un corps expéditionnaire en Irak visant au renversement de Saddam Hussein, à l’instauration d’un gouvernement favorable à leurs intérêts, à l’obtention des principales parts de marchés de la reconstruction du pays après bombardements, à l’octroi de concessions sur les immenses ressources pétrolières du pays. Fin 2002, les USA et leurs alliés anglais ont massés des dizaines de milliers de soldats sur-équipés sur place, prêts à une offensive.

2003 : Irak. Les États-Unis outrepassent les décisions de l’ONU et envahissent l’Irak dans la nuit du 19 au 20 mars, avec le soutien de l’Angleterre. Un déluge de feu s’abat sur le pays et la population dont déjà près de 500 000 personnes sont mortes en 10 ans du fait du blocus économique (800 missiles Tomahawk, 23 000 bombes à uranium, à fragmentation, mini-nucléaire). Un mouvement mondial d’opposition à la guerre et à l’agression militaire des États-Unis se développe en faveur de la paix et pour le respect du droit international. La majorité des pays de la planète condamnent l’agression américaine contre un pays souverain. Par cet acte les USA ouvre la voix dangereuse et criminelle à la doctrine de la guerre préventive permettant d’attaquer tout pays ne se soumettant pas à la conception impérialiste américaine.

2003 : Sao Tomé-et-Principe. Intervention suite à une tentative de coup d’État militaire contre le président Fradique de Menezes.

2004 : Haïti. Intervention militaire avec l’aide de la France pour chasser le président Jean-Bertrad Aristide.

2004 à nos jours : Pakistan. Début de la guerre du Waziristan contre les nombreux mouvements de Taliban. Bombardements réguliers par des drones de l’armée américaine et de la CIA.

2004 : Algérie. Soutien militaire au gouvernement dans sa lutte contre le GSPC devenu AQMI (Al-Qaïda au Maghreb Islamique).

2004 : Kyrghizstan. Opération Enduring Freedom.

2008 à nos jours : Somalie. Bombardements de plusieurs camps islamistes d’Al-Shabaab supposés être liés à Al-Qaïda.

2008-2009 : Palestine. Soutien financier et logistique à l’armée israélienne dont l’envoi de 3000 tonnes de munitions en prélude à l’opération Plomb Durci dans la Bande de Gaza contre le Hamas.

2009-2010 : Yémen. Bombardements par l’aviation américaine de plusieurs camps de la rébellion zaïdites des Houthis soutenus par l’Iran et en conflit contre le gouvernement yéménite depuis 2004, dit Insurrection de Sa’dah.

 

 

 

Ces infos proviennent d'un site conspirationniste et plus que douteux (https://mecanoblog.wordpress.com/2010/03/25/chronologie-des-interventions-americaines-dans-le-monde/) , créé par un certain Claude Covassi converti à l'islam, condamné à deux reprises pour fraude et a fait de la contrebande de drogues à Ibiza pour approvisionner la scène de la fête localeex espion suisse qui a été reconnu coupable de trafic illégal de stéroïdes anabolisants, etc...

En novembre 2012, de retour à Genève, il a de nouveau fait l'actualité en Suisse à cause des déclarations antisémites qu'il avait faites sur Internet. 

Le 8 février 2013, il a été retrouvé mort, apparemment à la suite d'une surdose de drogue selon les premiers rapports de police.

Un site qui soutient Assad et pas un peu !

https://mecanoblog.wordpress.com/2013/04/30/la-syrie-et-le-gaz-sarin-les-rapports-americains-ont-un-air-de-deja-vu/

Petite question:

Combien de pays l'URSS et la Chine n'ont-elles pas aidés dans le monde via le vente d'armes, etc, afin que ceux-ci deviennent des dictatures communistes dépendantes de ces deux pays ?

il y a 28 minutes, le grand a dit :

Soyons ambitieux.Planète de m****.

Ce type frise l'irrésponsabilité et les USA et le reste du monde ont du coup, un gros problème !

Ce Trump frise l'irresponsabilité et les USA et le reste du monde a un gros problème !

il y a 3 minutes, Anatole1949 a dit :

 

Ces infos proviennent d'un site conspirationniste et plus que douteux (https://mecanoblog.wordpress.com/2010/03/25/chronologie-des-interventions-americaines-dans-le-monde/) , créé par un certain Claude Covassi converti à l'islam, condamné à deux reprises pour fraude et a fait de la contrebande de drogues à Ibiza pour approvisionner la scène de la fête localeex espion suisse qui a été reconnu coupable de trafic illégal de stéroïdes anabolisants, etc...

En novembre 2012, de retour à Genève, il a de nouveau fait l'actualité en Suisse à cause des déclarations antisémites qu'il avait faites sur Internet. 

Le 8 février 2013, il a été retrouvé mort, apparemment à la suite d'une surdose de drogue selon les premiers rapports de police.

Un site qui soutient Assad et pas un peu !

https://mecanoblog.wordpress.com/2013/04/30/la-syrie-et-le-gaz-sarin-les-rapports-americains-ont-un-air-de-deja-vu/

Petite question:

Combien de pays l'URSS et la Chine n'ont-elles pas aidés dans le monde via le vente d'armes, etc, afin que ceux-ci deviennent des dictatures communistes dépendantes de ces deux pays ?

 

 

 

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Membre, 76ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 76ans‚
Posté(e)
il y a une heure, Anatole1949 a dit :

 

Petite question:

Combien de pays l'URSS et la Chine n'ont-elles pas aidés dans le monde via le vente d'armes, etc, afin que ceux-ci deviennent des dictatures communistes dépendantes de ces deux pays ?

 

Pas autant que les USA......................Qui continue d'ailleurs d'aider des Voleurs de Territoires au MO,qui eux memes foutent la M....dans le Monde entier

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Membre, Posté(e)
le grand Membre 566 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
il y a une heure, Anatole1949 a dit :

Ce type frise l'irrésponsabilité et les USA et le reste du monde ont du coup, un gros problème !

Ce Trump frise l'irresponsabilité et les USA et le reste du monde a un gros problème !

Trump est un génie stable.Malheureusement les génies resteront des éternels incompris tout comme les idiots.Trump a choisie le camp des génies stables.Il faut le croire et ne pas le contrarier,réaction pragmatique face à un idiot.

Dans ce contexte,l'irresponsable n'est pas Trump mais celui qui prend mot pour mot et amplifie sa pensée.Cette société est incapable filtrer ce qu'il dit.Comme un irresponsable elle donne de la valeur à un idiot.Société infantile.

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