Policiers accusés de viol à Aulnay

il y a 54 minutes, samira123 a dit :

On le voit, le récit du policier diffère très sensiblement de celui de la victime. Or il concorde avec les images des trois caméras de surveillance de la municipalité. "Le point"

On ne sait pas si le policier ou Théo a menti, peut être qu’ils ont menti tous les deux. Quand à dire que la version du policier concorde avec les images, ça ne veut pas dire grand-chose, on peut par exemple voir qu’il y a bagarre mais dire qui a donné un coup de poing avant, comme le dit l’IGPN, ils ne peuvent trancher.  Concernant le détournement de fonds, ça n’est pas Théo mais de son frère que l’on parle qui est président d’associations  et on parle de soupçon d’escroquerie non d’escroquerie, ce qui est différent d’autant qu’aucun protagoniste actuellement  n’est poursuivi et qu’en plus aucun rapport avec cette affaire sur Théo. Et pourquoi les médias devraient s’excuser, c’est un fait que trois policiers sont mis en examen pour violences volontaires et l’autre policier pour viol.  

Théo a-t-il été violé ? Selon l'IGPN, le visionnage des images enregistrées par les caméras de la ville ne permet pas de trancher en faveur d'une version ou de l'autre. "Le point" 

L’IGPN n’a pu trancher s’il y a eu viol ou pas d’après les images, ce qui veut dire qu’elle ne confirme pas qu’il y a viol ni qu’il n’y a pas viol.

À 16 h 47 et 50 s, constatons que le nommé L (Théo, NDLR) se bat avec les fonctionnaires de police. »Une chose est sûre : l'intervention de Théo L. intervient quinze secondes après l'arrivée des policiers. Par contre, la police des polices n'a pas réussi à trancher la question de savoir qui a commencé l'altercation. "Le point"

L’IGPN n’a pu réussi à trancher la question de savoir qui a commencé l’altercation.  

http://www.lepoint.fr/societe/rapports-des-policiers-videosurveillance-comment-theo-a-ete-interpelle-16-02-2017-2105237_23.php

 

L'IGPN attend peut-être l'aval de Hollande qui attend de voir ce qui se dit....les journaux sont ses amis, tout comme madame "Mirza", la voyante, était l'amie de Mitterrand!

Le 27/02/2017 à 19:52, DroitDeRéponse a dit :

Hmmm il y a deux propositions 

1-Avoir visé la cuisse

2- Ne pas s'en etre rendu Compte 

 

Il y en a 3

occulter la 3ème ne la fait pas disparaitre.

Le ‎01‎/‎03‎/‎2017 à 02:16, cubes2 a dit :

Pourquoi la police de proximité a t'elle été supprimée ? Ben, parce qu'elle coutait cher en fonctionnaires, pardi ! C'est Sarkozy ministre de l'intérieur qui l'a stoppée et supprimé au passage 13000 postes de policiers (non remplacement des départs en retraite). 

La police de proximité, c'était des petits postes de police disséminés dans tous les quartiers (d'où des frais immobiliers et de remise en état de cet immobilier souvent dégradé pendant la nuit) avec à chaque fois une dizaine de fonctionnaires payés à se promener, a discuter avec les gens et a traiter les petits dossiers. Efficace en terme de relation avec les habitants honnêtes, j'en suis moins sûr en ce qui concerne la délinquance.

 

Bsr cubes2,

Voila la réponse qui vous troue, ou, celui qui est garant de la sécurité de la nation supprime des postes parce que ça coutait trop cher. Cependant, ce garant là, une fois élu, va doper son service personnel de sécurité d'une petite dizaine d'individus.

a+

Le ‎28‎/‎02‎/‎2017 à 21:43, DroitDeRéponse a dit :

http://www.la-croix.com/Actualite/France/40-ans-de-plans-pour-les-banlieues-2015-10-26-1372959

 

Ces émeutes révélaient que, si d’importants programmes de rénovation urbaine ont été engagés, l’absence de brassage social et d’emploi crée un effet de ghetto.

 

1999 Pendant la cohabitation, Lionel Jospin revient sur le traitement du bâti, avec un programme « de rénovation urbaine et de solidarité ». 20 milliards de francs sont investis sur Six ans. En 2001, une seconde enveloppe de 5,4 milliards d’euros sur cinq ans est débloquée pour redonner un coup de neuf aux quartiers.

2003 Lancement du plan national de rénovation urbaine (PNRU). En dix ans, la France investit 46,5 milliards d’euros dans la refonte des zones les plus fragiles. Le programme précédent avait certes été une réussite, au vu du gigantesque chantier réalisé (150 000 logements ont été détruits, 142 000 reconstruits, 337 000 réhabilités…). Mais l’objectif d’assurer le brassage social n’a pas été rempli pour les habitants des zones urbaines sensibles. Ni celui de créer de l’emploi stable. Le taux de chômage, dans les zones sensibles, reste deux fois plus élevé qu’ailleurs.

.........

1 300 quartiers prioritaires

2013 Le gouvernement Ayrault décide de concentrer les moyens sur 1 300 quartiers prioritaires en se centrant sur le critère unique de la pauvreté de la population.

2015 Le premier ministre Manuel Valls, en réaction aux attentats de janvier, condamne la situation d’« apartheid » dans laquelle se retrouvent certains quartiers sensibles. Il promet d’y développer une « politique du peuplement » de manière à encourager la mixité sociale.

Pour la période 2015-2024, 5 milliards d’euros seront investis en équivalents subventions par l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru). Avec la participation des bailleurs sociaux et des collectivités, le financement total devrait approcher cette fois les 20 milliards d’euros et concerner près de deux millions d’habitants.

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Et pendant ce temps

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/12/1989635-la-france-en-crise-de-florence-aubenas.html

Mis bout à bout, vos articles montrent une France confrontée «à quelque chose de froid qui se répand silencieusement comme un poison». En est-on vraiment là ?

Malheureusement, oui. Quand les gens se plaignent encore, ils expriment des doléances, cela a un côté positif. Quand ils ne disent plus rien, c'est vraiment le désespoir qui gagne. Heureusement qu'il reste quelques personnes qui se battent pour leur avenir. Ils mettent en pratique ce qu'on entend souvent en Algérie : «Quand on touche le fond, on creuse».

A Hénin-Beaumont et ailleurs, vous montrez comme le F.N. est toujours en embuscade…

C'est très frappant. Ils effectuent un travail de terrain quotidien. Mais ils ne sont pas les seuls à exprimer le vote «anti-système». Et les partis traditionnels ont eu le tort de jouer sur la peur, en se positionnant comme «gentils» par rapport aux «méchants». Ils jouent avec le feu. Leur absence de remise en question est dangereuse. Quant aux journalistes, ils laissent toute la vie politique magnétisée par le F.N.

Bsr DroitDeRéponse,

Toute ses sommes, une manière comme une autre d'acheter la paix sociale.

a+

il y a 47 minutes, Abu nuwas a dit :

Bsr DroitDeRéponse,

 

Toute ses sommes, une manière comme une autre d'acheter la paix sociale.

 

a+

Elles ont été investies dans des trams , renovation , structure sportive , ... 

Mais vous avez raison rénover une ligne de train c'est acheter la paix sociale , quand le RER est merdique ça énerve . Mais de fait ces sommes attestent mes dires . Et ca n'inclue pas les zeps . Cet argent n'est pas parti dans les sables , Villeneuve est désenclavé , tout comme bezons. Libre à vous d'y voir un achat de la paix sociale et de transformer du positif en limite du négatif . Nous ne sommes sans doute pas câble pareil .

Il y a 16 heures, DroitDeRéponse a dit :

Elles ont été investies dans des trams , renovation , structure sportive , ... 

Mais vous avez raison rénover une ligne de train c'est acheter la paix sociale , quand le RER est merdique ça énerve . Mais de fait ces sommes attestent mes dires . Et ca n'inclue pas les zeps . Cet argent n'est pas parti dans les sables , Villeneuve est désenclavé , tout comme bezons. Libre à vous d'y voir un achat de la paix sociale et de transformer du positif en limite du négatif . Nous ne sommes sans doute pas câble pareil .

 

Bjr DroitDeRéponse,

Bin ma foi s'ils désenclave c'est qu'ils se sont aperçus que tout se passe comme si les frontières supprimé par la logique de Schengen se reconstituaient a l'intérieur du pays, sous la forme d'enclave livré a la délinquance des bandes et a une economie mafieuse fondée sur divers trafic. A croire, comme le disait Valls, un apartheid de fait est en train de s'imposer sur le territoire français. Bref, rénover une ligne cela leur permet de s'échapper au delà des hauts murs de la Banlieue, une soupape de sécurité.

a+

il y a 46 minutes, Abu nuwas a dit :

Bjr DroitDeRéponse,

Bin ma foi s'ils désenclave c'est qu'ils se sont aperçus que tout se passe comme si les frontières supprimé par la logique de Schengen se reconstituaient a l'intérieur du pays, sous la forme d'enclave livré a la délinquance des bandes et a une economie mafieuse fondée sur divers trafic. A croire, comme le disait Valls, un apartheid de fait est en train de s'imposer sur le territoire français. Bref, rénover une ligne cela leur permet de s'échapper au delà des hauts murs de la Banlieue, une soupape de sécurité.

 

a+

Les murs de la banlieue sont loin d'être haut partout .

Les murs sont dans leur tête!

A défaut de désert....

en attendant , ce tas d immondices contre la police est toujours la !

resultat des dernieres videos visionnees : VIOL NON AVERE ! si vous savez lire !

si j etais les flics je porterais plainte contre de forums comme celui la !

mais policiers condamnes des le premier jour par la sainte gauche !

https://www.marianne.net/societe/info-ou-intox-l-etrange-pv-de-l-affaire-theo

« Ainsi, poursuit le policier, les trois individus m’ont indiqué qu’un certain nombre d’individus travaillant sur ce point avait été soumis à des actes de torture [par d'autres personnes impliquées dans le trafic, ndlr] afin de leur soutirer leurs aveux quant à une collaboration éventuelle avec la police. J’ai reçu alors la précision que les individus, pour qu’ils avouent, étaient copieusement fouettés et sodomisés à l’aide d’un manche à balai ».

Il y a 10 heures, itsmeagain a dit :

 

Après l'"affaire Théo", un policier risque les assises pour viol.

Le dossier a pris une nouvelle tournure depuis l'"affaire Théo": un policier municipal accusé d'avoir blessé un jeune homme avec sa matraque en 2015 risque la cour d'assises pour viol, a jugé lundi le tribunal de Bobigny contre l'avis du parquet.

Le tribunal devait rendre son jugement dans l'affaire de ce fonctionnaire de 33 ans, poursuivi pour des "violences volontaires aggravées" par l'usage d'une arme et sa fonction, en marge d'une interpellation à Drancy (Seine-Saint-Denis) en octobre 2015.

Lors du procès à la mi-janvier, le parquet avait requis contre lui six mois de prison avec sursis et une interdiction professionnelle d'un an, estimant que si les violences étaient avérées, l'intention sexuelle n'était pas caractérisée.

Mais à l'ouverture de cette audience très médiatique, la présidente de la 14e chambre du tribunal correctionnel a redonné lecture des certificats médicaux de la victime établissant, clairement selon elle, qu'il y avait eu "pénétration anale".

http://www.linternaute.com/actualite/depeche/afp/17/1713920/apres-l-affaire-theo-un-policier-risque-les-assises-pour-viol.shtml

Un collègue des quatre policiers mis en examen s'exprime anonymement au pure player Mediapart. « J’ai honte de travailler à Aulnay », a lâche d'emblée ce fonctionnaire du commissairiat d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), dont tous les collègues sont «écœurés, dégoûtés par ce qui s’est passé».

le policier interrogé affirme que «(ses) collègues avaient le droit d’interpeller Théo, ils avaient un motif légitime. Mais pas le reste… ». Avant de revenir plus longuement sur la mauvaise réputation de ce groupe. «J’ai vu et entendu des officiers de police judiciaire passer leur temps à leur dire d’y aller moins fort. C’étaient vraiment des habitués, déclare-t-il. Dès qu’ils sortaient du commissariat et qu’il n’y avait plus d’autorité derrière eux, ils s’imaginaient être les maîtres dans la rue. Ils faisaient ce qu’ils voulaient, quoi ! Le plus vieux, il n’avait que sept ans de police. On les a un peu lâchés dans la nature…»

Dans cette enquête, qui s'attache à décrire le fonctionnement des brigades et la course aux chiffres qui y règne, le policier donne des éléments supplémentaires sur les dérives de ces quatre fonctionnaires. « Ils aiment se battre, casser des gens. C’étaient toujours les premiers à se ruer dans les cellules lorsqu’un gardé à vue pétait un plomb ou se rebellait. L’un d’eux, un brigadier, était particulièrement violent. Je l’ai vu avoir des gestes déplacés au poste, menacer des hommes menottés au banc : ‘‘Toi, on va t’éclater !” Et, à chaque fois que des jeunes se plaignaient, c’était cette équipe-là. »

Le policier interrogé par Mediapart veut en conclusion envoyer un message positif aux personnes se déclarant victimes de violences policières. « Il faut leur dire : peut-être que la première fois, cela n’aboutira pas, ni même la seconde. N’empêche que les signalements figureront dans les dossiers des collègues. Cela finira par alerter la hiérarchie. Des enquêtes seront menées. Les jeunes doivent nous aider à faire le ménage ! ». 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/affaire-theo-un-policier-denonce-les-derives-de-ses-collegues-d-aulnay-sous-bois-04-03-2017-6733128.php

http://www.20minutes.fr/societe/2024967-20170305-affaire-theo-policier-aulnay-sous-bois-denonce-comportement-collegues-policiers-aiment-casser-gens

« Si le viol est avéré, il faut qu’ils prennent 20 ans ferme. » La citation est de Serge*, policier au commissariat d’Aulnay-sous-Bois. Samedi, dans un long témoignage anonyme au média en ligne Médiapart, il exprime sa rancœur vis-à-vis des quatre policiers mis en examen dans l’ affaire Théo Luhaka, ce jeune Aulnaysien victime d’un viol présumé lors d’une interpellation musclée le 2 février dernier, à proximité d’un point de vente de stupéfiants dans la « cité des 3.000 ».

« J’ai honte de travailler à Aulnay »

Par des connaissances communes, Serge a fait savoir à un journaliste de Médiapart qu’il avait envie de parler et ne va pas par quatre chemins : « J’ai honte de travailler à Aulnay », attaque-t-il d’emblée. Il affirme que « (ses) collègues avaient le droit d’interpeller Théo, ils avaient un motif légitime. Mais pas le reste… », précise-t-il.

...

« Ils aiment se battre, casser des gens »

Serge poursuit en décrivant le profil des quatre policiers mis en cause : « Ils aiment se battre, casser des gens. (…) L’un d‘eux, un brigadier, était particulièrement violent. Je l’ai vu avoir des gestes déplacées au poste, menacer des hommes menottés au banc : « Toi, on va t’éclater ! »

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http://www.20minutes.fr/paris/2024267-20170303-affaire-theo-jeune-aulnaysien-entendu-juge-instruction

Après avoir été entendu à plusieurs reprises par la police des polices (IGPN), c’est désormais devant le juge d’instruction que Théo, cet Aulnaysien grièvement blessé à l’anus lors d’un contrôle de police, a raconté sa version des faits. Selon BFM, le jeune homme est arrivé au palais de justice de Bobigny (Seine-Saint-Denis) ce vendredi en s’appuyant sur une béquille.

Un témoignage anonyme ?

Hum !

il y a 5 minutes, DroitDeRéponse a dit :

en s’appuyant sur une béquille.

Moi, c'est pareil. Quand j'ai mal au dents, je m'appuie sur une béquille.

Sinon, c'est juste du cinéma pour en rajouter.

il y a 48 minutes, Dan229 a dit :

Un témoignage anonyme ?

Hum !

 

J'imagine que la justice recherchera son témoignage .

http://actu.orange.fr/societe/fait-divers/affaire-theo-un-policier-denonce-les-methodes-de-ses-collegues-d-aulnay-sous-bois-magic-CNT000000DXQjT.html

il y a 19 minutes, Xsylon a dit :

http://actu.orange.fr/societe/fait-divers/affaire-theo-un-policier-denonce-les-methodes-de-ses-collegues-d-aulnay-sous-bois-magic-CNT000000DXQjT.html

Ter repetita. Vu qu'il est du commissariat d'aulnay , la justice peut elle lever l'anonymat pour s'en servir de témoin ?

Il y a 5 heures, DroitDeRéponse a dit :

J'imagine que la justice recherchera son témoignage .

Elle ne devrait pas avoir à le faire. Pourquoi n'y est il pas allé de lui même ?

Je reviens aussi sur "l'inexpérience " de l'équipe : outre le fait qu'au bout d'un an, en région parisienne, on a déjà une bonne expérience du metier,  à 7 ans, on est déjà un vieux de la vieille, hein !