Aller au contenu

Le BREXIT a gagné

Noter ce sujet


Invité Théia

Messages recommandés

Invité elbaid
Invités, Posté(e)
Invité elbaid
Invité elbaid Invités 0 message
Posté(e)

Que de la gueule les anglais ils sortiront jamais , c'est des ptits bites . 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, 64ans Posté(e)
Gattaca Membre 1 750 messages
Forumeur en herbe ‚ 64ans‚
Posté(e)

Aux dernières nouvelles, avec un chômage à 4% et des salaires qui ,corrigés d'une inflation maitrisée  ont augmenté de 1,2 % sur un an , il semble s'en sortir pas trop mal les British....bien loin du collapsus économique qui devait les frapper.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 821 messages
74ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
Le patron d'Airbus prendrait des "décisions douloureuses" en cas de Brexit sans accord avec l'UE
Voir les photos
 
"C'est une honte" que les entreprises n'aient toujours pas de visibilité claire sur la situation future du Royaume-Uni, a estimé Tom Enders, le patron de l'avionneur européen.
Plus

Le patron d'Airbus, Tom Enders, a prévenu jeudi que l'avionneur devrait prendre des décisions "très douloureuses" si le Royaume-Uni quittait l'Union européenne sans accord avec ses partenaires, un nouveau coup dur pour l'économie britannique après le départ annoncé de Sony et Dyson.

"C'est une honte que, plus de deux ans après le résultat du référendum de 2016, les entreprises ne puissent toujours pas planifier correctement l'avenir", a déploré Tom Enders dans un message vidéo au ton glacial publié sur le site internet du groupe européen. 

Airbus emploie plus de 14.000 personnes au Royaume-Uni où il fait fabriquer les ailes de ses avions. "S'il y a un Brexit sans accord, chez Airbus nous devrons prendre des décisions potentiellement très douloureuses pour le Royaume-Uni", a averti Tom Enders, dans cette vidéo de trois minutes où il s'exprime face à la caméra, revêtu d'un polo noir à col roulé et d'une veste bleue. 

Cette sévère mise en garde intervient au moment où les préparatifs des entreprises en vue du Brexit s'accélèrent, poussant le gouvernement britannique à réagir pour tenter de rassurer les investisseurs.

 

https://fr.news.yahoo.com/patron-dairbus-prendrait-décisions-douloureuses-083623595.html

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Il y a 19 heures, Gattaca a dit :

Aux dernières nouvelles, avec un chômage à 4% et des salaires qui ,corrigés d'une inflation maitrisée  ont augmenté de 1,2 % sur un an , il semble s'en sortir pas trop mal les British....bien loin du collapsus économique qui devait les frapper.

La fin du monde et les pluies de crapauds annoncées n' ont pas eu lieu, comme quoi les " merdias" mentaient autant que les politiques europeistes fonctionnaires. 

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 15 624 messages
Forumeur confit,
Posté(e)
il y a 52 minutes, Anatole1949 a dit :

Cette sévère mise en garde intervient au moment où les préparatifs des entreprises en vue du Brexit s'accélèrent, poussant le gouvernement britannique à réagir pour tenter de rassurer les investisseurs.

Bonjour Anatole1949,

Trump aux USA, Brexit en Angleterre, gilets jaunes en France sont en fait la manifestation d’une seule et même crise existentielle des pays démocratiques.

Nos démocraties sont politiquement désemparées, car nos modes de production et d’échange, nos modes de communication médiatique, nos modes de déplacements ont tellement changés, qu’il réinterroge et bouleverse le rôle de l’état nation et la représentation symbolique que nous en avons.

Le fondement, la force, la puissance d’un système démocratique comparativement à la dictature, c’est que dans les régimes dictatoriaux, le malaise social se traduit par la réaction du dictateur.

En dictature, nous observons une dynamique de la situation qui se déroule de la façon suivante :

1)      En tirant avec des armes de guerre dans la foule des manifestants, cela se traduisant par un grand nombre de mort dans un premier temps.

2)      Puis, inexorablement, les citoyens de ces dictatures migrent vers les pays voisins pour échapper à cette violence politique, dans un second temps.

3)      En réaction à cette fuite populaire, le dictateur ferme les frontières militairement pour freiner l’exode massive et la dépopulation du pays. Puis il organise des camps ou des goulags pour éliminer physiquement à petit feu toutes les contestataires.

En démocratie, les problèmes surviennent aussi et la manière d’y répondre la plus adaptée, c’est le dialogue et l’argumentation des uns et des autres. Ce qui nécessite une écoute et une prise en considération des points de vue. Exprimer ses désaccords, sans casser ou détruire c’est le comportement même d’un démocrate.

Mais, rien ne garantit qu’une démocratie ne puisse pas à son tour, basculer un jour ou l’autre dans une dictature.

On peut être légitimement inquiet, d’un phénomène qui s’installe dans la durée et dont nous n'avons pas de réponses toutes faites ?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Debout les morts..., 74ans Posté(e)
Anatole1949 Membre 34 821 messages
74ans‚ Debout les morts...,
Posté(e)
il y a 4 minutes, Enchantant a dit :

Bonjour Anatole1949,

Trump aux USA, Brexit en Angleterre, gilets jaunes en France sont en fait la manifestation d’une seule et même crise existentielle des pays démocratiques.

Nos démocraties sont politiquement désemparées, car nos modes de production et d’échange, nos modes de communication médiatique, nos modes de déplacements ont tellement changés, qu’il réinterroge et bouleverse le rôle de l’état nation et la représentation symbolique que nous en avons.

Le fondement, la force, la puissance d’un système démocratique comparativement à la dictature, c’est que dans les régimes dictatoriaux, le malaise social se traduit par la réaction du dictateur.

En dictature, nous observons une dynamique de la situation qui se déroule de la façon suivante :

1)      En tirant avec des armes de guerre dans la foule des manifestants, cela se traduisant par un grand nombre de mort dans un premier temps.

2)      Puis, inexorablement, les citoyens de ces dictatures migrent vers les pays voisins pour échapper à cette violence politique, dans un second temps.

3)      En réaction à cette fuite populaire, le dictateur ferme les frontières militairement pour freiner l’exode massive et la dépopulation du pays. Puis il organise des camps ou des goulags pour éliminer physiquement à petit feu toutes les contestataires.

En démocratie, les problèmes surviennent aussi et la manière d’y répondre la plus adaptée, c’est le dialogue et l’argumentation des uns et des autres. Ce qui nécessite une écoute et une prise en considération des points de vue. Exprimer ses désaccords, sans casser ou détruire c’est le comportement même d’un démocrate.

Mais, rien ne garantit qu’une démocratie ne puisse pas à son tour, basculer un jour ou l’autre dans une dictature.

On peut être légitimement inquiet, d’un phénomène qui s’installe dans la durée et dont nous n'avons pas de réponses toutes faites ?

Il faut surtout être inquiet que suite à se grand malaise un parti populiste arrive au pouvoir, on le voit déjà avec des personnes d'extrême droite comme en Italie avec l'agressivité de Matteo Salvini, au Brésil avec l'autre dingue Jair Bolsonaro qui veut armer tout le monde, que dire de Trump ou Poutine, sans oublier l'extrême gauche avec Maduro au Venezuela.

J'oubliais la Hongrie, Pologne, etc...

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, In love with life and truth, Posté(e)
Swannie Membre 10 264 messages
In love with life and truth,
Posté(e)

"Brexit : Michel Barnier, le négociateur en chef pour l'UE, exclut de renégocier l'accord

Royaume-Uni.

C'est «no». Une semaine après le rejet de l'accord de Theresa May sur le Brexit au Parlement britannique, le négociateur en chef de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, Michel Barnier, a exclu mercredi dans un entretien au Monde de renégocier le texte obtenu en novembre 2018, le «seul traité du divorce possible», selon lui. «Si le gouvernement et les députés britanniques ne bougent pas leurs lignes, nous allons arriver mécaniquement au "no deal"», prévient également l'ancien ministre des Affaires étrangères de Jacques Chirac."

https://www.liberation.fr/direct/element/brexit-michel-barnier-le-negociateur-en-chef-pour-lue-exclut-de-renegocier-laccord_92867/

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 053 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)
Le 23 janvier 2019 à 17:27, Gattaca a dit :

Aux dernières nouvelles, avec un chômage à 4% et des salaires qui ,corrigés d'une inflation maitrisée  ont augmenté de 1,2 % sur un an , il semble s'en sortir pas trop mal les British....bien loin du collapsus économique qui devait les frapper.

oui, mais n'oublie pas que la majorité des anciens chômeurs enregistrés comme tels ont été sortis des listings des agences d'emplois et que même avec un contrat de travail d'une heure par mois, tu es donc en emploi... l'inflation... parlons-en, la livre sterling a perdu 30% de sa valeur. la vie a fait un bond, vas vivre en Angleterre, tu comprendras! je te le dis en toute amitié... alors rien n'est réglé mais alors rien du tout.  

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 86ans Posté(e)
ouest35 Membre 25 764 messages
Maitre des forums‚ 86ans‚
Posté(e)

AFP, publié le dimanche 27 janvier 2019 à 11h54

Depuis le référendum de 2016, l'Irlande et l'UE ont fait cause commune, plaidant pour l'absence de frontière physique avec l'Irlande du Nord après le Brexit. Mais cet entente s'effrite avec le risque croissant d'un divorce sans accord entre Londres et Bruxelles.

Pendant des mois, les autorités européennes et irlandaises ont soigneusement évité d'évoquer la faisabilité et les conséquences de la mise en place de contrôles sur ce qui va devenir la nouvelle frontière extérieure de l'UE, longue de 500 kilomètres et traversée par plus de 200 routes.

Le porte-parole de la Commission européenne, Margaritis Schinas, a brisé le tabou cette semaine. Interrogé sur les conséquences d'un éventuel retrait britannique sans accord avec l'Union européenne, M. Schinas a estimé que la réponse était "assez évidente". "Vous aurez une frontière dure", a-t-il lancé.

La remarque a pris de court Dublin, et le gouvernement du Premier ministre Leo Varadkar a rappelé l'UE à ses promesses de maintenir la frontière ouverte. 

Pour le journal The Irish Independent, les commentaires de M. Schinas sont un "coup de poignard dans le dos", destiné à "préparer Dublin à des discussions difficiles dans les semaines à venir". 

Le lendemain, M. Schinas a mis de l'eau dans son vin, soulignant que l'UE était "déterminée à faire tout ce qu'elle peut, accord ou pas accord, pour éviter le besoin d'une frontière et protéger la paix en Irlande du nord".

Mais l'Irlande, qui endure sans le vouloir la décision du Royaume-Uni de quitter l'UE après 46 ans de mariage, se sent sous pression. "Pourquoi est-ce le pays qui subit qui doit toujours faire des concessions ?", s'est agacé Leo Varadkar vendredi sur Bloomberg TV.

- "Trouver un moyen" -

Le négociateur en chef de l'UE, Michel Barnier, a cherché à calmer la situation, mais ses propos ont suscité de nouvelles interrogations. "Nous devrons trouver un moyen opérationnel d'effectuer des vérifications et des contrôles sans remettre en place une frontière", a-t-il déclaré, sans plus de précision.

Le Premier ministre irlandais a essuyé des critiques dans son pays pour le manque de préparatifs au scénario du retour d'une frontière terrestre. 

Sa position est néanmoins jugée "raisonnable" par Federico Fabbrini, directeur du Brexit Institute de la Dublin City University: "Il ne veut pas prendre de mesures tant qu'on peut éviter le retour d'une frontière", justifie le chercheur. 

Jusqu'ici, Leo Varadkar pouvait s'appuyer sur l'accord négocié entre l'UE et le Royaume-Uni, qui prévoit la solution dite du "filet de sécurité". Elle est censée éviter le retour d'une frontière physique en maintenant l'ensemble du Royaume-Uni dans une union douanière avec l'UE. 

Mais ce dispositif est vilipendé par les pro-Brexit qui redoutent un arrimage permanent à l'UE. Pour eux, les déclarations de M. Barnier prouvent qu'une alternative au filet de sécurité peut être trouvée pour empêcher une frontière terrestre. 

Et après le rejet de l'accord de retrait au parlement britannique, le 15 janvier, Londres souhaite rediscuter de la question de la frontière irlandaise, et particulièrement du filet de sécurité, avec l'UE.

- "Période de chaos" -

Leo Varadkar a prévenu vendredi qu'une sortie sans accord conduirait à une "période de chaos", pouvant impliquer à la frontière "des caméras, des infrastructures physiques, éventuellement une présence de la police ou une présence de l'armée pour la seconder". 

Une telle évolution constituerait un changement radical, alors que les derniers points de contrôle militaires à la frontière ont été démantelés il y a vingt ans après la signature d'un accord de paix mettant fin à trois décennies de conflit dans la région.

Le Premier ministre irlandais a estimé qu'à terme, l'UE, le Royaume-Uni et l'Irlande devraient "se mettre d'accord sur un alignement complet" entre l'Irlande du Nord et la République d'Irlande afin d'éviter une frontière dure. 

Mais Seamus Leheny, un responsable de la FTA (Association de transport de fret) en Irlande du Nord, redoute déjà un scénario catastrophe. "Des centaines de camions pourraient stationner à la frontière en attente des autorisations" de circuler, s'inquiète-t-il

https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/brexit-des-fissures-apparaissent-autour-de-la-frontiere-irlandaise-CNT000001clEMe/photos/des-anti-brexit-vetus-comme-des-soldats-et-douaniers-britanniques-devant-une-banderole-concretisant-la-frontiere-physique-entre-l-irlande-du-nord-et-l-irlande-a-newry-le-26-janvier-2019-ef1566edc97461e02c56f79a8007cfce.html

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
frunobulax Membre 15 693 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
Le 24/01/2019 à 13:20, PASCOU a dit :

La fin du monde et les pluies de crapauds annoncées n' ont pas eu lieu, comme quoi les " merdias" mentaient autant que les politiques europeistes fonctionnaires. 

Vous oubliez juste que la GB n'est pas encore sortie de l'UE, la véritable sortie de l'UE ne devant s'effectuer que le 29 mars.

  • Merci 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, frunobulax a dit :

Vous oubliez juste que la GB n'est pas encore sortie de l'UE, la véritable sortie de l'UE ne devant s'effectuer que le 29 mars.

Vous êtes  partout Frunobulax...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 053 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)
il y a 52 minutes, ouest35 a dit :

AFP, publié le dimanche 27 janvier 2019 à 11h54

Depuis le référendum de 2016, l'Irlande et l'UE ont fait cause commune, plaidant pour l'absence de frontière physique avec l'Irlande du Nord après le Brexit. Mais cet entente s'effrite avec le risque croissant d'un divorce sans accord entre Londres et Bruxelles.

Pendant des mois, les autorités européennes et irlandaises ont soigneusement évité d'évoquer la faisabilité et les conséquences de la mise en place de contrôles sur ce qui va devenir la nouvelle frontière extérieure de l'UE, longue de 500 kilomètres et traversée par plus de 200 routes.

Le porte-parole de la Commission européenne, Margaritis Schinas, a brisé le tabou cette semaine. Interrogé sur les conséquences d'un éventuel retrait britannique sans accord avec l'Union européenne, M. Schinas a estimé que la réponse était "assez évidente". "Vous aurez une frontière dure", a-t-il lancé.

La remarque a pris de court Dublin, et le gouvernement du Premier ministre Leo Varadkar a rappelé l'UE à ses promesses de maintenir la frontière ouverte. 

Pour le journal The Irish Independent, les commentaires de M. Schinas sont un "coup de poignard dans le dos", destiné à "préparer Dublin à des discussions difficiles dans les semaines à venir". 

Le lendemain, M. Schinas a mis de l'eau dans son vin, soulignant que l'UE était "déterminée à faire tout ce qu'elle peut, accord ou pas accord, pour éviter le besoin d'une frontière et protéger la paix en Irlande du nord".

Mais l'Irlande, qui endure sans le vouloir la décision du Royaume-Uni de quitter l'UE après 46 ans de mariage, se sent sous pression. "Pourquoi est-ce le pays qui subit qui doit toujours faire des concessions ?", s'est agacé Leo Varadkar vendredi sur Bloomberg TV.

- "Trouver un moyen" -

Le négociateur en chef de l'UE, Michel Barnier, a cherché à calmer la situation, mais ses propos ont suscité de nouvelles interrogations. "Nous devrons trouver un moyen opérationnel d'effectuer des vérifications et des contrôles sans remettre en place une frontière", a-t-il déclaré, sans plus de précision.

Le Premier ministre irlandais a essuyé des critiques dans son pays pour le manque de préparatifs au scénario du retour d'une frontière terrestre. 

Sa position est néanmoins jugée "raisonnable" par Federico Fabbrini, directeur du Brexit Institute de la Dublin City University: "Il ne veut pas prendre de mesures tant qu'on peut éviter le retour d'une frontière", justifie le chercheur. 

Jusqu'ici, Leo Varadkar pouvait s'appuyer sur l'accord négocié entre l'UE et le Royaume-Uni, qui prévoit la solution dite du "filet de sécurité". Elle est censée éviter le retour d'une frontière physique en maintenant l'ensemble du Royaume-Uni dans une union douanière avec l'UE. 

Mais ce dispositif est vilipendé par les pro-Brexit qui redoutent un arrimage permanent à l'UE. Pour eux, les déclarations de M. Barnier prouvent qu'une alternative au filet de sécurité peut être trouvée pour empêcher une frontière terrestre. 

Et après le rejet de l'accord de retrait au parlement britannique, le 15 janvier, Londres souhaite rediscuter de la question de la frontière irlandaise, et particulièrement du filet de sécurité, avec l'UE.

- "Période de chaos" -

Leo Varadkar a prévenu vendredi qu'une sortie sans accord conduirait à une "période de chaos", pouvant impliquer à la frontière "des caméras, des infrastructures physiques, éventuellement une présence de la police ou une présence de l'armée pour la seconder". 

Une telle évolution constituerait un changement radical, alors que les derniers points de contrôle militaires à la frontière ont été démantelés il y a vingt ans après la signature d'un accord de paix mettant fin à trois décennies de conflit dans la région.

Le Premier ministre irlandais a estimé qu'à terme, l'UE, le Royaume-Uni et l'Irlande devraient "se mettre d'accord sur un alignement complet" entre l'Irlande du Nord et la République d'Irlande afin d'éviter une frontière dure. 

Mais Seamus Leheny, un responsable de la FTA (Association de transport de fret) en Irlande du Nord, redoute déjà un scénario catastrophe. "Des centaines de camions pourraient stationner à la frontière en attente des autorisations" de circuler, s'inquiète-t-il

https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/brexit-des-fissures-apparaissent-autour-de-la-frontiere-irlandaise-CNT000001clEMe/photos/des-anti-brexit-vetus-comme-des-soldats-et-douaniers-britanniques-devant-une-banderole-concretisant-la-frontiere-physique-entre-l-irlande-du-nord-et-l-irlande-a-newry-le-26-janvier-2019-ef1566edc97461e02c56f79a8007cfce.html

l'Irlande va au clash une bonne fois pour toutes si le frontière est "dure" et après cela sera le tour de l'Ecosse! vive le brexit, y a pas à dire! pour peu que les "années de plomb" reprennent! à combien de morts encore, bon dieu, ouest, j'ai l'impression de revivre les années 70 et 80 sans parler des décennies abominables passées!   

il y a 41 minutes, PASCOU a dit :

Vous êtes  partout Frunobulax...

et il a raison, le brexit va avoir lieu, il n'est pas encore installé. tous vos "cocoricos", en pensant à un franXIT, pour soutenir cette idée sont un peu trop en avance sur le temps réel. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
PASCOU Membre 92 138 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
il y a 3 minutes, jacky29 a dit :

l'Irlande va au clash une bonne fois pour toutes si le frontière est "dure" et après cela sera le tour de l'Ecosse! vive le brexit, y a pas à dire! pour peu que les "années de plomb" reprennent! à combien de morts encore, bon dieu, ouest, j'ai l'impression de revivre les années 70 et 80 sans parler des décennies abominables passées!   

et il a raison, le brexit va avoir lieu, il n'est pas encore installé. tous vos "cocoricos", en pensant à un franXIT, pour soutenir cette idée sont un peu trop en avance sur le temps réel. 

Le temps a changé  d'échelle depuis les gilets jaunes.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 053 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, PASCOU a dit :

Le temps a changé  d'échelle depuis les gilets jaunes.

tu parles!!! arrête de me faire rire, pascou! ce n'est pas le moment... l'échelle des gilets jaunes est une nanoseconde dans notre temps réel du brexit &co quand il sera là!  

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Beluga-Pangolin, Posté(e)
BELUGA Membre 15 220 messages
Beluga-Pangolin,
Posté(e)

 

 

il y a 5 minutes, jacky29 a dit :

. l'échelle des gilets jaunes est une nanoseconde dans notre temps réel du brexit &co quand il sera là!  

Retour vers le futur

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 053 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, BELUGA a dit :

 

 

Retour vers le futur

excuse-moi mais je ne vois pas le lien entre le brexit et ce film, tu peux m'expliquer? 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Beluga-Pangolin, Posté(e)
BELUGA Membre 15 220 messages
Beluga-Pangolin,
Posté(e)
il y a 12 minutes, BELUGA a dit :

une nanoseconde dans notre temps réel

Faut faire des efforts, Jacky 29 !

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 70ans Posté(e)
jacky29 Membre 38 053 messages
Maitre des forums‚ 70ans‚
Posté(e)
il y a 12 minutes, BELUGA a dit :

Faut faire des efforts, Jacky 29 !

"retour vers le futur" n'est pas ma tasse de thé... préférée. 

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×