Le BREXIT a gagné

Dans le cas présent c'est un poil plus compliqué, des pays comme le Japon voir mon article, ont investi en UK comme tête de pont vers l'Europe. Il y a donc de vives inquiétudes car de facto la libre circulation n'est plus une évidence, il va falloir faire vite pour rassurer les marchés sur ce point . Mais nul doute que ça se fera c'est l'intérêt de tous .

L'avenir nous dira ce que cette décision aura eut comme véritable impact, pour l'instant c'est la panique mais rien ne dit que dans quelques temps tout ne sera pas revenu à la normal.

Que les autres pays s'inquiètent des répercussions je peux le comprendre qu'ils soient en panique c'est peut être un poil exagéré peut être.

Attendons de voir ce qu'il va se passer!

Pas certaine que ce ne soit que du bon!

Elle a de bonnes raisons pour ça .

@vintage keep cool

:smile2: on peut en rire.

A moins que foutre le bordel soit l'objectif afin que les capitaux boursiers changent de poches!

Si la GB commerce moins avec nous, réjouissez -vous bon peuple de France:à court terme,les produits de bonne qualité et pas chers vont envahir de nouveau les supermarchés comme au moment où la Russie a coupé ses importations.Ca ne va pas faire de bien à nos agriculteurs mais les consommateurs y trouveront leur compte:c'est le moment d'acheter un congélateur et de stocker pour cet hiver!

Entre la Grèce qui est passée près de la sortie l'an dernier la GB qui sort,espérons que nous n'assisteront pas à un effet domino!

De toutes façons l'euro était déjà bien menacé par l'inflation qui est en train de lui faire perdre 25% de sa valeur par rapport au dollar jusqu'en mars 2017.La GB est juste en train de sauver les meubles et de limiter les dégâts!

L'avenir nous dira ce que cette décision aura eut comme véritable impact, pour l'instant c'est la panique mais rien ne dit que dans quelques temps tout ne sera pas revenu à la normal.

Que les autres pays s'inquiètent des répercussions je peux le comprendre qu'ils soient en panique c'est peut être un poil exagéré peut être.

Oui, en dehors du fric, aucun commentaire sur le peuple , on continue le mépris.

Demain ils vont commencer à spéculer pour se faire du blé sur cette sortie.

:smile2: on peut en rire.

Rira bien qui rira le dernier.

L'avenir nous dira ce que cette décision aura eut comme véritable impact, pour l'instant c'est la panique mais rien ne dit que dans quelques temps tout ne sera pas revenu à la normal.

Que les autres pays s'inquiètent des répercussions je peux le comprendre qu'ils soient en panique c'est peut être un poil exagéré peut être.

Bah la panique, c'est un terme de journaliste , l'outrance est devenue la norme .

A moins que foutre le bordel soit l'objectif afin que les capitaux boursiers changent de poches!

Si la GB commerce moins avec nous, réjouissez -vous bon peuple de France:à court terme,les produits de bonne qualité et pas chers vont envahir de nouveau les supermarchés comme au moment où la Russie a coupé ses importations.Ca ne va pas faire de bien à nos agriculteurs mais les consommateurs y trouveront leur compte:c'est le moment d'acheter un congélateur et de stocker pour cet hiver!

Entre la Grèce qui est passée près de la sortie l'an dernier la GB qui sort,espérons que nous n'assisteront pas à un effet domino!

De toutes façons l'euro était déjà bien menacé par l'inflation qui est en train de lui faire perdre 25% de sa valeur par rapport au dollar jusqu'en mars 2017.La GB est juste en train de sauver les meubles et de limiter les dégâts!

Le premier qui sort sera le gros gagnant.

Le Brexit , et après ?

Que va-t-il arriver maintenant que le Royaume-Uni a voté pour quitter l’UE ?

L’article 50 du Traité de Lisbonne 2009 prévoit le processus de retrait. Aucun État n’ayant jamais quitté l’UE, personne n’y a eu recours.

Dans la pratique, comment se déroule un retrait ?

• Le Premier ministre David Cameron doit informer immédiatement le Conseil européen (CE) de son intention de se retirer.

• Les négociations peuvent alors commencer sur les modalités du retrait du Royaume-Uni et sur ses relations futures avec les 27 membres restants.

• Les dirigeants et le Parlement européen doivent convenir d’un accord de règlement. Cela peut également être ratifié par les parlements nationaux.

• Le Royaume-Uni ne sera pas impliqué dans les négociations côté européen, et n’aura pas son mot à dire sur les conditions définitives offertes.

• Les traités de l’UE devront être modifiés pour permettre de définir le nouveau statut du Royaume-Uni, qui pourrait devoir élaborer une nouvelle législation nationale.

Il existe des exemples de pays qui travaillent avec l’UE sans être membres du bloc. Chaque arrangement est unique et comporte ses propres avantages et inconvénients.

La Suisse

• Membre de l’Association européenne de libre-échange (AELE)

• Les exportateurs suisses ont accès sans droits de douane aux marchés de l’UE

• La Suisse est libre de négocier des accords commerciaux avec les pays tiers (la Chine, par exemple)

• Accès limité aux marchés des services de l’UE

• Accès très restreint au marché européen des services financiers

• Liberté en matière de politiques sociales et d’emploi

• Contribue au budget de l’UE

• Accepte la libre circulation des personnes

La Norvège

• Membre de l’AELE

• Membre de l’Espace économique européen (EEE)

• Libre de négocier des accords commerciaux avec les pays non membres de l’UE

• Non soumis à la Cour européenne de justice

• Accepte la libre circulation des citoyens de l’UE

• Contribue au budget de l’UE, payant par tête deux fois plus que le Royaume-Uni

• Applique les règles et les règlements du marché unique

• A rejeté à deux reprises par référendum l’adhésion à l’UE

Groenland

• A quitté la CEE en 1985, trois ans après un référendum

• Continue à contribuer au financement de l’UE

• Accès au marché des produits de la pêche sans droits de douanes

• A cédé en retour des droits de pêche dans ses eaux à l’UE

• Période de transition à la libre circulation des migrants de l’UE

Quels arrangements existent entre la Turquie et l’UE ?

La Turquie bénéficie d’un accord d’union douanière avec Bruxelles. Cela signifie qu’elle ne paie pas les droits de douane pour exporter la plupart de ses marchandises vers l’UE. Cependant, elle doit appliquer les mêmes droits de douane que l’UE avec les pays non membres de l’Union. Comme elle est encore seulement un pays candidat à l’UE, la Turquie n’a pas encore son mot à dire dans les négociations pour fixer le montant de ces droits de douane. L’accord ne couvre pas le marché des services. Les accords concernent surout le commerce.

Qu’en est-il de l’Organisation mondiale du commerce, alors ?

Certains appellent cela le “filet de sécurité du Brexit”. Si le Royaume-Uni ne parvient pas à se mettre d’accord avec l’UE sur un accord de libre-échange, il pourrait se rabattre sur les règles de l’OMC.

• Des droits de douane très faibles ou nuls sur de nombreuses exportations

• Les barrières douanières dans des secteurs-clés comme l’automobile, les produits chimiques et l’alimentation resteraient relativement élevées

• Des obstacles subsisteraient concernant certains services, en particulier les marchés très régulés comme la finance

• Le Royaume-Uni n’aurait pas à accepter la libre circulation

http://fr.euronews.com/2016/06/24/le-brexit-et-apres/

http://www.lefigaro.fr/international/2016/06/24/01003-20160624ARTFIG00119-brexit-bruxelles-en-etat-de-choc.php

Bruxelles, en état de choc, tentait ce matin de se donner une contenance face à un irréparable saut dans l'inconnu. Dans une atmosphère de sauve-qui-peut, les rendez-vous devaient s'enchaîner vendredi dans les trois grandes institutions, la Commission, le Conseil et le Parlement. En attendant un sommet des chefs d'État et de gouvernement mardi, si ce n'est pas plus tôt.

«La situation est grave, elle est même dramatique», a reconnu, visiblement tendu, Donald Tusk le président du Conseil européen. L'institution, où siègent les États, s'était préparée à ce résultat, mais poursuit-il, «il est impossible d'en prévoir toutes les conséquences politiques». Les dirigeants européens devraient se retrouver sans David Cameron «en marge» du sommet à Vingt-Huit déjà programmé. Il s'agira «d'entamer une réflexion plus large sur l'avenir de l'UE (...) Ce qui ne vous tue pas vous rend finalement plus fort.»

.....

La priorité politique n°1 est d'éviter une réaction en chaîne, à l'annonce du divorce britannique. Populistes et souverainistes triomphent et les appels à d'autres référendums nationaux se multiplient, notamment en France et aux Pays-Bas. À qui le tour? La question est sur toutes les lèvres et devait être abordée en début de matinée, lors d'un entretien entre Angela Merkel et le président du parlement Martin Schulz.

......

À côté d'institutions européennes fragilisées, tous les regards se tournent maintenant vers l'Allemagne et la France. Si l'Europe «doit maintenant retrouver la confiance des peuples», comme on le souhaite un peu vite à Paris, l'essentiel va maintenant dépendre des décisions prises par la chancelière allemande et par le président français, et surtout de leur degré de cohésion dans la tempête. Seront-ils à la hauteur? Ce qui sera entendu vendredi donnera le ton, sous la pression constante de l'opinion et celle, immédiate, des marchés.

Sur la croissance, l'emploi, la solidarité financière intra-européenne, l'afflux des réfugiés, les frontières ou la défense, Angela Merkel et François Hollande sont désormais en demeure de discuter au fond les dossiers esquivés depuis cinq ans et surtout, de produire des résultats dans l'urgence. Viendra ensuite le casse-tête d'une possible reconstruction de l'UE, sans brusquer les vingt-cinq autres capitales maintenant que la porte de sortie s'est ouverte outre-Manche.

......

Le pays va entrer, avec l'Europe, dans un tunnel de tractations sur les clauses de séparation, encadrées par les traités européens. La procédure de liquidation, dite de l'article 50, devrait durer deux ans. En attendant, le Royaume-Uni restera lié par tous ses accords avec l'UE. Mais le camp des vainqueurs, impatient et grisé par sa victoire, garde toujours l'option «nucléaire» de claquer la porte, ou de dénouer unilatéralement et une à une les clauses du contrat d'adhésion de 1973.

OH OUIIII !!! Ouiii ! Ouiiiii ! Putain.... que c'est bon ! OUIIIII !!!! Aaaahhhh ouiiiii !!!! Ouiiiii !!!!! Le Brexit a gagnééééé !!!!

A quand pour la France ????

J'imagine déjà le pied que je vais prendre !

:smile2: :smile2: :smile2:

ça confirme ce que je pensais ..ceux qui pensent à un franxit on le cerveau à la place des testicules ....

on va en avoir une confirmation dans les mois qui vont suivre ...

ce ne sont pas les gros financiers qui vont souffrir ,mais bien ceux qui ont voté pour le brexit ....

ce sera un juste retour de manivelle ...

pour redistribuer de l'argent ,il faut commencer par en faire ....si ceux qui en apportaient à la grande Bretagne s'en vont ,(comme l'Ecosse ,les financiers ,les investisseurs par exemple ) il n'y aura rien à redistribuer ...

Modifié le 24 juin 2016 par stvi

Les Anglais ont décidé la splendide médiocrité. L'Ecosse et l'Irlande du Nord vont se faire la male. Londres en tant que place finacière va reculer face à Francfort et même Paris. Ils l'ont voulu, ils l'ont eu.

NAN l'Europe des nations , je pense que c'est ce genre de pensée magique qui emmène l'Europe vers l'inconnu , l'Europe existe, les peuples aussi, un français n'est pas un allemand, on ne viole pas les peuples . L'Euro c'est fait sans un minimum d'uniformisation il faudra soit sortir soit accepter la convergence et ce qui va avec. Le reste est de la blague les démographies sont très disparates , les structures éco aussi , bref les intérêts et les psychés sont différentes . Seul une politique des petits pas sur le très long terme peut fonctionner .

J'ai jamais prétendu qu'un Français était ou pouvait être un Allemand ou qu'un Espagnol pouvait être un Polonais, il est tout à fait possible qu'ils gardent leur identité mais qu'ils aient en commun une même langue officielle pour pouvoir dialoguer, comprendre et échanger. Par ce que pour moi ce qui fait que l'on se sent appartenir à un pays c'est aussi mais pas que le fait que l'on partage la même langue celle qui nous permet d'aller de l'Est à l'Ouest et du Nord au Sud de ce même pays et de toujours pouvoir se faire comprendre et cela même si les traditions et la culture diffèrent d'une région à une autre.

Si c'est possible pour un pays pourquoi cela serait il impossible pour l'UE.

Super nouvelle ce matin, j'avais oublié. Je n'y croyais pas.

Pour moi ce n'est qu'un début, j'anticipe un revirement du curseur, dans le monde entier. Les gens ne vont plus avoir peur, de ces pensées de robot politiquement correctes, qu'on nous impose depuis des lustres, de cette idée fasciste selon laquelle l'humanité doit obligatoirement devenir une seule entité.

Ces menaces lancées par des fonctionnaires obscurs, qui doivent leur vie et leur salaire à la communauté qu'ils terrorisent... ont révélé qu'ils agissent en terroristes.

Ça va en inspirer d'autres, et bien que je sois pour la construction européenne parce que logiquement, c'est l'intérêt de tous, il faut revoir toute sa structure pour laisser les pays s'épanouir dans leur identité.

Et surtout que ça ne profite pas qu'aux financiers (fraude T V A), grands patrons, et aux supers bobos qui ont le moyen d'immatriculer leurs véhicules dans certains pays de l'UE pour échapper aux amendes du code de la route. L'UE c'est le paradis des cols blancs avec les fonds de culottes usés,des robots de la pensée unique, pas celle des salariés qui triment et qui entendent les parasites de Bruxelles dire qu'il faut serrer la vis. Je suis d'accord avec ceux qui ont voté Brexit; marre de ce pot de pu qu'est l 'U.E !!! ça leur fait une douche froide à tous les dirigeants qui ne se sont jamais occupé de l'intérêt de leur peuple,, le social ( sans assistanat bien entendu), n'a jamais été leur tasse de thé; par contre Davos et toute la smala du haut du panier ça oui ils s'en délectent.

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Ah moi si, carrément. Enfin pas le résultat, mais le principe. On ne gouverne pas à coups de référendums, c'est complètement absurde ce truc.

Heu, le référendum, c'est la voix du peuple. Tu es contre la démocratie ?

Super nouvelle ce matin, j'avais oublié. Je n'y croyais pas.

Pour moi ce n'est qu'un début, j'anticipe un revirement du curseur, dans le monde entier. Les gens ne vont plus avoir peur, de ces pensées de robot politiquement correctes, qu'on nous impose depuis des lustres, de cette idée fasciste selon laquelle l'humanité doit obligatoirement devenir une seule entité.

Ces menaces lancées par des fonctionnaires obscurs, qui doivent leur vie et leur salaire à la communauté qu'ils terrorisent... ont révélé qu'ils agissent en terroristes.

Ça va en inspirer d'autres, et bien que je sois pour la construction européenne parce que logiquement, c'est l'intérêt de tous, il faut revoir toute sa structure pour laisser les pays s'épanouir dans leur identité.

Et surtout que ça ne profite pas qu'aux financiers, (fraude T V A) grands patrons, et aux supers bobos qui ont le moyen d'immatriculer leurs véhicules dans certains pays de l'UE pour échapper aux amendes du code de la route. L'UE c'est le paradis des cols blancs avec les fonds de culottes usés,des robots de la pensée unique, pas celle des salariés qui triment et qui entendent les parasites de Bruxelles dire qu'il faut serrer la vis. Je suis d'accord avec ceux qui ont voté Brexit; marre de ce pot de pu qu'est l 'U.E !!! ça leur fait une douche froide à tous les dirigeants qui ne se sont jamais occupé de l'intérêt de leur peuple,, le social ( sans assistanat bien entendu), n'a jamais été leur tasse de thé; par contre Davos et toute la smala du haut du panier ça oui ils s'en délectent. C'est un peu une revanche des sans dents Anglais, à quand celle des sans dents Français?

http://www.capital.f...-france-1141134

A peine entrés dans la Communauté économique européenne, ils organisaient déjà un référendum pour en sortir. Depuis, leurs griefs se sont accumulés (trop de réglementation, trop de migrants, trop de coûts de fonctionnement) et l'Europe était depuis longtemps montrée du doigt comme la cause de tous les maux.A première vue, leur défection n'a aucune raison de nous réjouir. D'abord parce que le Royaume-Uni était un membre important de l'Union, contributeur net au budget de Bruxelles, ainsi qu'une puissance diplomatique et militaire de premier plan, difficilement remplaçable, surtout en ces temps troublés. "Dans une période de tempête, il n'est pas bon qu'un membre de l'équipe se désolidarise", regrette Guillaume Klossa, président du think tank EuropaNova.

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Bof il y a l'OTAN et l'Europe est un nain politique, l'aspect contributeur net par contre est exact

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Pour nous, en revanche, l'affaire pourrait se révéler plutôt payante sur le front de l'emploi et de la croissance à long terme. Un Brexit pourrait en effet pousser entreprises et investisseurs à fuir le Royaume-Uni, jusque-là considéré comme une porte d'entrée privilégiée dans l'UE grâce à son marché du travail ultra-flexible, sa fiscalité très attractive et sa stabilité financière. Londres accueille 40% des sièges sociaux européens des 250 plus grandes multinationales.

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Rien n'est moins sur, la livre représentera un avantage concurrentiel, tout dépendra en fait des nouveaux accords.

Pour les sièges sociaux finalement n'étant déjà ni dans Schengen ni dans l'Euro, Londres pourra encore plus pratiquer le dumping si l'UE est trop conciliante sur les nouvelles conditions .

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Les sociétés de la finance pourraient être les premières tentées de faire leurs valises. "Le Brexit va peser sur l'activité de La City en tant que plaque tournante de l'Union européenne", reconnaît Paul McGhee, directeur de la stratégie de l'AFME (Association for Financial Markets in Europe). Bruxelles risque fort, en effet, de se montrer intraitable lors des négociations sur la question des services financiers. La BCE avait déjà essayé une première fois de rapatrier les transactions en euros sur le continent (40% se font à Londres), mais elle s'était heurtée à un refus de la Cour de justice de l'Union européenne, au motif que le Royaume-Uni était un Etat membre. Maintenant que cette raison s'est envolée, on doute que Bruxelles laisse passer cette belle occasion de récupérer certaines activités...

Très certainement privés du "passeport" qui leur permet, une fois agréés dans un Etat membre, d'exercer leurs activités dans les autres pays européens, et incapables de prévoir les conséquences réglementaires et juridiques de ce changement de situation, un certain nombre d'établissements financiers avaient déjà commencé à se poser la question de leur déménagement avant le vote. HSBC avait prévenu qu'en cas de rupture avec l'UE, elle transférerait 20% de ses effectifs (soit 1.000 personnes) à Paris. D'autres, comme la Deutsche Bank, ont déclaré réfléchir sérieusement à un déplacement de certaines activités. Pour les membres de la zone euro, le gâteau à se partager est plutôt appétissant : sur les 12.700 établissements du secteur présents à Londres, plus de la moitié sont des sièges européens de sociétés étrangères.

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Là effectivement c'est plus problématique , preuve mon PEE est chez HSBC, sortant des protections UE, tous les fonds vont changer de crèmerie ^^

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Et la ville qui pourrait tirer le plus son épingle du jeu est... Paris ! Selon Standard & Poor's, notre capitale est en effet très bien placée pour devenir la première place financière de l'Union, même si Francfort - qui abrite la Banque centrale européenne - frétille également à l'idée de récupérer une partie des activités de la City.

Des premiers signes avaient d'ailleurs déjà commencé à se faire sentir le long de la Seine depuis quelques mois. "De plus en plus de banquiers, d'avocats et d'expatriés se renseignent pour acheter à Paris", avait remarqué Laurent Demeure, président de Coldwell Banker France et Monaco, un réseau spécialiste de l'immobilier de prestige, lorsque nous l'avons interrogé au mois de mars. Même son de cloche du côté de la mairie de Paris et d'Europlace, l'organisme qui regroupe les marchés financiers français : des entreprises et des banques s'informaient déjà sur les avantages que pourrait leur offrir la Ville lumière en cas de Brexit.

"Nous sommes prêts à leur dérouler le tapis rouge", glisse Jean-Louis Missika, adjoint à l'urbanisme, dans une allusion à David Cameron, qui promettait il y a quelques années la même chose aux entreprises françaises. "Paris dispose de beaucoup d'atouts pour séduire les groupes internationaux qui souhaitent développer une présence dans l'UE", renchérit Arnaud de Bresson, délégué général de Paris Europlace.

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Oh oui oh oui, on verra bien

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Surtout, le départ des Anglais sonne comme une libération pour les Etats qui rêvent d'approfondir l'Union, à commencer par la France et l'Allemagne. "Londres a toujours tout refusé et s'est contenté de nous utiliser pour faire son marché", s'agace l'eurodéputée Virginie Rozière. De fait, enkystés dans leur refus de toute intégration supplémentaire et dans leur conception a minima de l'UE - ils n'y ont jamais vu autre chose qu'une simple grande zone de libre-échange - nos amis britanniques nous ont conduits à privilégier l'élargissement au détriment de l'approfondissement.

Du coup, sur certains sujets, comme l'intégration plus poussée de la zone euro ou l'harmonisation de la fiscalité, leur disparition de la scène pourrait enfin permettre d'avancer. "On pourrait profiter de l'occasion pour créer une ressource propre à l'Union afin de remplacer la contribution britannique", suggère Jérôme Creel, économiste à l'OFCE.

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Effectivement, mais les autistes à la commission sont nombreux , et les intérêts allemand et français très divergents , le seul point commun est l'Euro ...

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Modifié le 24 juin 2016 par DroitDeRéponse

ça confirme ce que je pensais ..ceux qui pensent à un franxit on le cerveau à la place des testicules ....

on va en avoir une confirmation dans les mois qui vont suivre ...

ce ne sont pas les gros financiers qui vont souffrir ,mais bien ceux qui ont voté pour le brexit ....

ce sera un juste retour de manivelle ...

pour redistribuer de l'argent ,il faut commencer par en faire ....si ceux qui en apportaient à la grande Bretagne s'en vont ,(comme l'Ecosse ,les financiers ,les investisseurs par exemple ) il n'y aura rien à redistribuer ...

Elles sont chelou les photos j aurais préféré ne pas les voire.

ça confirme ce que je pensais ..ceux qui pensent à un franxit on le cerveau à la place des testicules ....

Peut-être Stvi !!!!

J'avais voté NON à l'Europe et on me la ' mise' de force !... et bien profond !!!

Et ça ...je n'ai pas apprécié !!!

Je suis pour la démocratie !

Mais là ...Stvi ... je suis tellement content .. que je t'embrasse tout plein !!! Et tes testicules aussi !

Paradoxe amusant, en plein webex européen en ce moment : des français, des italiens, des allemands mais nous parlons tous en anglais :smile2: