L'école d'aujourd'hui

Les gouvernements passent et essayent de trouver des solutions pour améliorer le niveau scolaire de nos enfants.

Avec le gouvernement actuel, nous avons touché le fond du fond.

Vouloir mixer les enfants, pour qu'ils aient tous la même chance. C'est bien en le disant mais impossible à réaliser, ou alors à petite échelle.

Je sors de l'échec scolaire tous les ans des jeunes (une dizaine) des citer nord de Marseille.

Nous arrivons à les canaliser et leur faire comprendre que la réussite est là, grâce à leur travail, au respect des autres, et ça marche.

Mais lorsque vous voulez avoir plus de mixité vous entrainer tous les élèves vers le bas, vers l'échec scolaire.

Effectivement, si l'école "mixe" les enfants maintenant, il y a du souci à se faire...

La mixité sociale n'a rien à voir avec l'échec scolaire , combien de fois il faudra expliquer que c'est le nombre d'élèves par classes qui fout la merde ou pas (Allez si vous ne me croyez pas , essayez un amphi. en primaire ou collège )

avec le bruit et les perturbations inhérentes au nombre du groupe lorsque l'on a affaire à ces classes d'âges .

C'est l'âge "con" par excellence , le plus dur à gérer , même pour les parents , eux mêmes le disent, alors qu'eux n'ont qu'à gérer leur deux ou trois bambins;

je t'explique même pas si tu leur met dans les pattes des gonzs , multiplié par dix, soit une trentaine de gamins, qui se montent les uns les autres ,où son pauvre "petit bichounet" se montre vouloir être l'un des p'tits "caid" de la classe, pour impressionner les autres alors même que la morve coule de son nez, et que les parents se montre tout benets d'apprendre que leur enfant peut faire ça .

Et oh , réveil ! il faut faire le tour de sa poubelle de temps en temps

Les enfants , non seulement sont influençables mais en plus ils n'appartiennent pas aux parents

effet du groupe inévitable mais que peu d'entre nous comprenne ou ne veulent entendre , vu qu'ils n'ont jamais eu à gérer ce genre de groupe , et ce serait les premiers à gémir, à s'offusquer , à hurler, voir à baffer etc etc ...

s'ils devaient le faire ...

Pffff

Alors sinon, quels niveaux ? Collège ? Primaire ?

Combien par classe ? 30 ? 60 ? 90 ? 120 ? 150 ?

Moi ce que je propose , c'est que l'on inverse et que l'on foute les parents, politiques, et autres décideurs

gérer leur bambins pendants environ trois mois déjà quand on voit comment ils s'énervent quand ils gèrent deux gonzs :D

Allez , Allez , Allez ! HOPHOPHOP ! On se bouge

Que du bonheur

Je sors de l'échec scolaire tous les ans des jeunes (une dizaine) des citer nord de Marseille.

Nous arrivons à les canaliser et leur faire comprendre que la réussite est là, grâce à leur travail, au respect des autres, et ça marche.

Mais lorsque vous voulez avoir plus de mixité vous entrainer tous les élèves vers le bas, vers l'échec scolaire.

Salut, le problème est le système oeilleton...

Prendre une masse et vouloir imposer "une éducation" !

C'est bien pour les "DRH" ( directeur de ressources humaines),

<< tu as des baskets, tu ne rentres pô!>>

Traducteur: Tu as pas de Bac, passe ton chemin.

Le problème est l'instrumentalisation, c'est quoi un diplôme?

Des connaissances acquises sur un moment de sa vie, non?

Faire de l'éducation un filtre à la population (avec les diplômes) est une conduite abjecte.

Tu sais laurent, libre à toi de vider la méditerranée avec un seau.

Le savoir n'est pas assujetti aux diplômes...

Que les instances bloquent les gens sans diplômes, c'est un autre problème et une discrimination.

Encore une fois, tous les pitchons (pitchounes) ont des compétences.

Votre approbation n'est qu'une virgule dans un cadre.

Je pense que tu ne vas pas apprécier, mais l'objectif est pas là.

@ plush

Putain de boulot que tu fait!!!!

Mais il faut voir en face.....

C'est mort perdu d'avance

Rentre chez toi occupes toi de ton mari et tes enfants...

Je vis dans l'aube....

On a la même chose.......

Biker...

Je propose quoi??

Impossible de dire ici^^

La mixité sociale n'a rien à voir avec l'échec scolaire , combien de fois il faudra expliquer que c'est le nombre d'élèves par classes qui fout la merde ou pas (Allez si vous ne me croyez pas , essayez un amphi. en primaire ou collège )

Je ne pense pas. Il y a longtemps, au début de ma carrière, j'ai enseigné dans des classes de plus de 50 élèves. Pas une mouche ne volait dès que la cloche sonnait. Chacun se mettait rapidement en rang et entrait calmement dans la classe, rangeait ses affaires et commençait à travailler. C'était juste une question de discipline, de respect et de coopération de la part des parents.

Maintenant, le petit chéri a le droit de tout faire, encouragé par ses parents.

Encourager plus de mixité ? Nombre de bons élèves n'oseront plus travailler en essayant de se surpasser car on aura laissé entrer des petits caïds qui les terroriseront. Nivellement par le bas.

Depuis leurs créations en 1981 les zones prioritaires ont coûté 160 milliards au pays ....avec quels résultats ?

entre Hollande qui va encore aller à la Courneuve dépenser quelques milliards dans une pépinière d'entreprise ,et les gesticulations de Belkacem qui ne feront qu'aggraver la situation de bons élèves qui se retrouveront dans un univers de branleurs ,on n'a pas encore compris que ce n'est pas l'argent ou des solutions miracles qui vont solutionner le problème de ces zones blanches ( sans jeux de mots) du territoire ...

Avec 160 milliards ,il y a longtemps que ces zones auraient du être rayées physiquement de la carte ....on éradique bien un cancer ....

    L'école française, l'une des meilleures du monde, n'est pas la solution miracle à tous les maux sociaux qu'il me paraît primordial d'aborder de manière systémique. Ainsi, elle ne peut rien contre la ségrégation urbaine. Plus particulièrement dans ces données, les ZEP n'ont été qu'un empilement de mesurettes, jusqu'aux réseaux ambitions réussites, qui se sont réduites finalement quasiment qu'à moins deux élèves par classe (1,7 en fait), tandis que par soucis d'économie (sic) les gouvernements ont sabré dans les effectifs et la formation, ni pris la mesure de l'ampleur du suivi nécessaire des citoyens pauvres tout au long de leur vie.

    Nous en sommes toujours au mythe de l'égalité des chances à l'école où l'Etat s'échine à garantir la même ligne de départ dans la vie pour le lièvre comme pour la tortue. Les inégalités sociales ne sont donc naturellement nullement gommées par l'école.

    Sous condition d'un véritable retour à la souveraineté du citoyen français, l'urgence me paraît la fin de notre système scolaire pyramidal, la formation citoyenne tout au long de la vie, la valorisation pécuniaire des réseaux sociaux destinés aux plus modestes, dont certains comme Jeune France devraient être réincarnés à grands moyens et grande échelle... entre autres pistes.

Salut, le problème est le système oeilleton...

Prendre une masse et vouloir imposer "une éducation" !

C'est bien pour les "DRH" ( directeur de ressources humaines),

<< tu as des baskets, tu ne rentres pô!>>

Traducteur: Tu as pas de Bac, passe ton chemin.

Le problème est l'instrumentalisation, c'est quoi un diplôme?

Des connaissances acquises sur un moment de sa vie, non?

Faire de l'éducation un filtre à la population (avec les diplômes) est une conduite abjecte.

Tu sais laurent, libre à toi de vider la méditerranée avec un seau.

Le savoir n'est pas assujetti aux diplômes...

Que les instances bloquent les gens sans diplômes, c'est un autre problème et une discrimination.

Encore une fois, tous les pitchons (pitchounes) ont des compétences.

Votre approbation n'est qu'une virgule dans un cadre.

Je pense que tu ne vas pas apprécier, mais l'objectif est pas là.

@ plush

Si j'arrive à en sortir rien qu'un de sa cité, de lui donner un diplôme j'aurai gagné.

C'est ce que je fais, j’emmène toujours avec moi une élève qui vient de ces lycées difficiles du nord de Marseille, et elle explique son parcours. C'est pour leur montrer qu'ils peuvent s'en sortir.

Je ne pense pas. Il y a longtemps, au début de ma carrière, j'ai enseigné dans des classes de plus de 50 élèves. Pas une mouche ne volait dès que la cloche sonnait. Chacun se mettait rapidement en rang et entrait calmement dans la classe, rangeait ses affaires et commençait à travailler. C'était juste une question de discipline, de respect et de coopération de la part des parents.

Maintenant, le petit chéri a le droit de tout faire, encouragé par ses parents.

Encourager plus de mixité ? Nombre de bons élèves n'oseront plus travailler en essayant de se surpasser car on aura laissé entrer des petits caïds qui les terroriseront. Nivellement par le bas.

Malheureusement tu as raison, je le vois dans le collège de ma fille ou elle subit les tracasseries des élèves qui ne veulent pas travailler et font chier les bons élèves.

Retour à 1970.

combien de fois il faudra expliquer que c'est le nombre d'élèves par classes qui fout la merde

Euh , non , j'ai des photos de classe de mes freres et soeurs datant de 1955 à 1970 ,

ils sont bien une quarantaine par classe à chaque fois.

L'auteur de ce topic omet de vous dire que la ville de Marseille est depuis fort longtemps coupée en deux : il y a une ville pauvre, dont font partie les quartiers nord, et une ville riche qui n'a de cesse de reléguer et stigmatiser la ville pauvre avec un mépris inimaginable pour quelqu'un qui n'a jamais vécu là-bas. Aussi, Laurent13 devrait peut-être étendre ses leçons de respect de l'autre aux bonnes gens des quartiers riches dans leur ensemble. Leur apprendre que le fait d'avoir un parent bien placé à la mairie, à la préfecture ou au conseil général, ou encore d'être cadre ou patron ne les met pas au-dessus des autres.

Laurent13 ne nous parle pas non plus de cette bourgeoisie marseillaise et de tous ses notables -des riches donc, demeurant dans les beaux quartiers- qui ne donnent pas toujours l'exemple : ils ont des accointances avec le milieu, ferment les yeux sur des pratiques mafieuses en échange de bons services des mafieux, font obtenir les meilleurs logements en HLM à des personnes de leur famille, de leurs amis ou de leurs partisans politique au détriment de ceux qui en ont réellement besoin, maintenant ainsi les plus démunis dans des zones mal desservies par les transports en commun...

Il serait bon également d'observer de plus près les rechutes de ces inégalités encouragées par ceux de la Marseille riche qui ont le bras long et peuvent influer sur les décisions émanant de la mairie, de la préfecture, du conseil régional et du conseil général. En effet, la population des quartiers pauvres est majoritairement jeune et issue de familles qui ont souffert du rejet et ont été exploitées au maximum par des patrons pas toujours scrupuleux, lesquels leur ont témoigné plus ou moins de mépris... Il faut dire que beaucoup de patrons marseillais abusent volontiers des employés qu'ils sentent pris à la gorge par la peur du chômage, d'où un sentiment d'iniquité.

En sachant tout cela, interrogeons-nous donc : comment naissent les mafias ? Et pourquoi ? Qu'est-ce qui peut pousser un jeune à choisir un réseau mafieux plutôt que de se couler dans le moule ?

Vous savez, monsieur Laurent13, moi aussi j'ai été jeune et chômeuse à Marseille (ville dont je n'étais pas originaire et où j'ai été franchement très mal reçue par les Marseillais au chauvinisme borné et à la cervelle asphyxiée de clichés sur les gens venant d'ailleurs). Je peux vous dire que, bien qu'honnête et pleine de bonne volonté, les patrons qui m'ont reçue aux entretiens d'embauche ont été très irrespectueux avec moi, pour ne pas dire grossiers, que mon sens de l'honneur m'a neuf fois sur dix interdit d'accepter un emploi, et que j'ai eu bien du mal à obtenir un logement en HLM puisqu'il n'y a pratiquement que le piston qui fonctionne pour ce faire (comme pour avoir du boulot décent, du reste). J'en ai conservé un goût amer d'injustice, j'en suis partie écoeurée au possible et j'ai été soulagée de me barrer de cette ville !

Euh , non , j'ai des photos de classe de mes freres et soeurs datant de 1955 à 1970 ,

ils sont bien une quarantaine par classe à chaque fois.

Les sociétés ne sont peut-être pas les mêmes que dans les années 70... La seule comparaison utile doit être actuelle. Or le nombre d'élèves est l'une des données qui comptent, encore plus quand il y a présence d'élèves au du bord du handicap mais pas reconnus.

http://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-3/soir-3/jt-grand-soir-3-jeudi-22-octobre-2015_1129789.html

"Profs en territoires perdus de la république " (à partir de la 21è minute )

témoignages , paroles de prof ....

http://www.programme-tv.net/programme/culture-infos/r300173-profs-en-territoires-perdus-de-la-republique/6804050-profs-en-territoires-perdus-de-la-republique/

Synopsis

Profs en territoires perdus de la République ?

En 2002, paraissait dans l'indifférence l'ouvrage « Les Territoires perdus de la République ».

Dans ce livre collectif, des professeurs de collèges et lycées de quartiers dits « sensibles » alertaient sur le climat de violence et d’intolérance qui s’installait dans des établissements fortement fréquentés par des jeunes issus de l’immigration. Qu'en est-il aujourd'hui, suite aux attentats de janvier 2015 ? Plusieurs professeurs d’histoire-géographie et de lettres exerçant dans des collèges et lycées de la région parisienne ont accepté de témoigner.

Animatrice merci,

Que dire alors de l'accueil des Pieds noirs à Marseille durant la première moitié de 1962 ?

:p

Info :

La ministre française de l’Education nationale, Najat Valaud-Belkacem, effectuera, à partir d’aujourd’hui, une visite de travail de deux jours en Algérie.

http://www.elwatan.com/une/najat-vallaud-belkacem-nous-avons-engage-une-dynamique-de-cooperation-portant-sur-plusieurs-volets-24-10-2015-306058_108.php

Les sociétés ne sont peut-être pas les mêmes que dans les années 70... La seule comparaison utile doit être actuelle. Or le nombre d'élèves est l'une des données qui comptent, encore plus quand il y a présence d'élèves au du bord du handicap mais pas reconnus.

Aujourdhui, en Chine, les eleves sont a plus de 50 par classes. La taille des classes n'a jamais ete le probleme.

L'auteur de ce topic omet de vous dire que la ville de Marseille est depuis fort longtemps coupée en deux : il y a une ville pauvre, dont font partie les quartiers nord, et une ville riche qui n'a de cesse de reléguer et stigmatiser la ville pauvre avec un mépris inimaginable pour quelqu'un qui n'a jamais vécu là-bas. Aussi, Laurent13 devrait peut-être étendre ses leçons de respect de l'autre aux bonnes gens des quartiers riches dans leur ensemble. Leur apprendre que le fait d'avoir un parent bien placé à la mairie, à la préfecture ou au conseil général, ou encore d'être cadre ou patron ne les met pas au-dessus des autres.

Laurent13 ne nous parle pas non plus de cette bourgeoisie marseillaise et de tous ses notables -des riches donc, demeurant dans les beaux quartiers- qui ne donnent pas toujours l'exemple : ils ont des accointances avec le milieu, ferment les yeux sur des pratiques mafieuses en échange de bons services des mafieux, font obtenir les meilleurs logements en HLM à des personnes de leur famille, de leurs amis ou de leurs partisans politique au détriment de ceux qui en ont réellement besoin, maintenant ainsi les plus démunis dans des zones mal desservies par les transports en commun...

Il serait bon également d'observer de plus près les rechutes de ces inégalités encouragées par ceux de la Marseille riche qui ont le bras long et peuvent influer sur les décisions émanant de la mairie, de la préfecture, du conseil régional et du conseil général. En effet, la population des quartiers pauvres est majoritairement jeune et issue de familles qui ont souffert du rejet et ont été exploitées au maximum par des patrons pas toujours scrupuleux, lesquels leur ont témoigné plus ou moins de mépris... Il faut dire que beaucoup de patrons marseillais abusent volontiers des employés qu'ils sentent pris à la gorge par la peur du chômage, d'où un sentiment d'iniquité.

En sachant tout cela, interrogeons-nous donc : comment naissent les mafias ? Et pourquoi ? Qu'est-ce qui peut pousser un jeune à choisir un réseau mafieux plutôt que de se couler dans le moule ?

Vous savez, monsieur Laurent13, moi aussi j'ai été jeune et chômeuse à Marseille (ville dont je n'étais pas originaire et où j'ai été franchement très mal reçue par les Marseillais au chauvinisme borné et à la cervelle asphyxiée de clichés sur les gens venant d'ailleurs). Je peux vous dire que, bien qu'honnête et pleine de bonne volonté, les patrons qui m'ont reçue aux entretiens d'embauche ont été très irrespectueux avec moi, pour ne pas dire grossiers, que mon sens de l'honneur m'a neuf fois sur dix interdit d'accepter un emploi, et que j'ai eu bien du mal à obtenir un logement en HLM puisqu'il n'y a pratiquement que le piston qui fonctionne pour ce faire (comme pour avoir du boulot décent, du reste). J'en ai conservé un goût amer d'injustice, j'en suis partie écoeurée au possible et j'ai été soulagée de me barrer de cette ville !

Et oui bien sur, sauf que moi j'essaye de sortir ces gamins délaissés par la société et leur famille.

Aujourdhui, en Chine, les eleves sont a plus de 50 par classes. La taille des classes n'a jamais ete le probleme.

Tu m'étonnes , la bonne blague, le premier qui moufte il se prends une bastos ou des grosses torgnoles dans sa tronche !

C'est clair , d'ailleurs ils devraient faire que des amphis pour le primaire et le collège et pas s'embêter à faire de petites ridicules classes .

Nan mais franchement , c'est quoi ces argument de prendre la chine comme modèle ou les années 50 ? c'est une blague ?

Animatrice merci,

Que dire alors de l'accueil des Pieds noirs à Marseille durant la première moitié de 1962 ?

:p

Info :

La ministre française de l’Education nationale, Najat Valaud-Belkacem, effectuera, à partir d’aujourd’hui, une visite de travail de deux jours en Algérie.

http://www.elwatan.com/une/najat-vallaud-belkacem-nous-avons-engage-une-dynamique-de-cooperation-portant-sur-plusieurs-volets-24-10-2015-306058_108.php

Va-t-elle mettre sa burqa ?

Tu m'étonnes , la bonne blague, le premier qui moufte il se prends une bastos ou des grosses torgnoles dans sa tronche !

Après une ou deux torgnoles ils ont compris la limite à ne pas dépasser.

Après, seulement, on peut pratiquer la pédagogie qu'adorent les bisounours.

Tu m'étonnes , la bonne blague, le premier qui moufte il se prends une bastos ou des grosses torgnoles dans sa tronche !

C'est clair , d'ailleurs ils devraient faire que des amphis pour le primaire et le collège et pas s'embêter à faire de petites ridicules classes .

Nan mais franchement , c'est quoi ces argument de prendre la chine comme modèle ou les années 50 ? c'est une blague ?

Sauf qu'il ne s'agit pas seulement de la Chine. Il s'agit aussi de la Coree du Sud, du Japon, etc.. en bref des nations qui sont au top du classement. Et la France, dans les annees 50 avait effectivement un meilleur niveau scolaire, qui fut d'ailleur copiee, devine ou? En Chine, en Coree du Sud, au Japon etc, bref les nations qui sont aujourdhui au top du classement.

Quant aux "torgnoles", ce sont les parents qui les donnes. Les profs ne sont pas la pour faire du social.