Rachida Dati avait jusqu’à huit liaisons en même temps

Au moins elle s'interresse aussi aux prolos!!

Imaginez Hollande avec huit maîtresses, déjà une et on le brocarde.

Mais quelle importance ce que font les gens de et dans leur vie privée ?

Quand la vie politique a un sens, on veut un peu de probité, voilà le sens. Ces gens sont élus, ils doivent être vertueux dans leur vie publique et privée.

Vertueux dans leur vie privée ?

S'ils sont compétents et honnêtes, qu'est-ce que la vertu vient faire là-dedans ?

parce que c'est plus facile de pisser sur une statue que de l'entretenir

Que des SMICARD, la Rachida elle sélectionne le gratin.

Quand la vie politique a un sens, on veut un peu de probité, voilà le sens. Ces gens sont élus, ils doivent être vertueux dans leur vie publique et privée.

Le plus important c'est qu'ils soient compétents et honnêtes dans la mission qui leur est confiée.

Ce qu'ils font dans leur vie privée ne regarde personne.

Quant à Hollande, s'il n'avait pas donné des leçons de morale "moi je"...il aurait subi moins de sarcasmes !

De plus, c'est sa malhonnêteté envers sa compagne qui a été critiquée et non pas le fait qu'il change de partenaire.

Huit liaisons en même temps, une petite joueuse quoi.

A part les ragots, rumeurs, vous avez des preuves ?

il n'en demeure pas moins que tu ne retiens que ce qui t'arrange..

si une phrase avec un point d'interrogation a la fin n'est pour toi pas une question..il n'y a donc plus rien a faire contre ta mauvaise foi!

bref..tout ça pour dire que chez toi l'homme est responsable..et qu'il ne peut en être autrement!MDR

Il est où le point d'interrogation ?

"ils t'ont fait quoi les hommes (ou pas fait) pour que tu sois toujours a leur reprocher ce qu'une femme a plus de moyen pour le maitriser que l'homme..la contraception.."

Chez moi, 2 adultes discutent, communiquent et s'ils n'arrivent pas à s'entendre, prennent des chemins différents.

Il va falloir perdre cette sale manie d'interpréter à sa manière les écrits des autres...

Un facteur???:D

A Neuilly c'est lui :

Il est où le point d'interrogation ?

"ils t'ont fait quoi les hommes (ou pas fait) pour que tu sois toujours a leur reprocher ce qu'une femme a plus de moyen pour le maitriser que l'homme..la contraception.."

Chez moi, 2 adultes discutent, communiquent et s'ils n'arrivent pas à s'entendre, prennent des chemins différents.

Il va falloir perdre cette sale manie d'interpréter à sa manière les écrits des autres...

a quoi bon te répondre si après tu effaces ce qui pourrait être mal interprété..

toutefois a la lecture du message que tu cites..la formulation est telle qu'il n'y a aucun doute possible sur le fait que ça ne puisse pas être une question..

mais pourquoi as tu cité ce message plus que l'autre ou il y avait ce point d'interrogation..es ce juste pour avoir raison? MDR

Parce que je ne retrouve pas l'autre.

De toute façon, personne n'est dupe sur le sens de tes "questions".

Et je n'ai rien effacé.

Pour en revenir au sujet, je disais simplement que les responsabilités contraceptives devraient être partagées. Si tu n'es pas d'accord avec ça, c'est ton droit...

Parce que je ne retrouve pas l'autre.

De toute façon, personne n'est dupe sur le sens de tes "questions".

Et je n'ai rien effacé.

Pour en revenir au sujet, je disais simplement que les responsabilités contraceptives devraient être partagées. Si tu n'es pas d'accord avec ça, c'est ton droit...

mais que la plus grande part de responsabilité contraceptive..c'est a la femme que cela incombe..car se proteger avec un moyen de contraception masculine est moins efficace..

et c'est pas en voulant piéger l'homme que la femme va lui être supérieure..

et dans le cas de ce sujet..c'est être irresponsable que d'avoir des relations avec differents homme sans se proteger..

là,c'est pas la faute de l'homme qui si il sait qu'elle a plusieurs amant doit penser qu'elle a un contraceptif..ce qui serait logique!

Vous avez aussi oublié Sarkozy Nicolas à mon avis ils étaient très proche au début... Bon après elle fait bien ce qu'elle veut sexuellement, je remarque juste qu'elle aime les mecs riches uniquement et ce qu'elle a fait était très bête, jouer la femme sans père et la femme forte qui élève un enfant seul pour ensuite harcelé son géniteur qu'il lui donne unepension alimentaire c'est très petit.

remarque que si ça marche..elle pourra continuer avec d'autres hommes pour arrondir ses fins de mois!MDR

Ah bon, c'est ce que vous faites vous ?

:smile2:

M'est avis que R Dati gagne bien sa vie elle-même et que vous êtes juste de sacrés misogynes à court d'arguments.

La calomnie ne fait nullement avancer un débat, mais bon, c'est l'arme préférée des faibles et des lâches.

c'est qui cette calomnie..elle est ici,elle est belle gosse? MDR

Mefiez-vous des feministes malhonnetes, elles font semblant de vouloir l'egalité homme-femme devant la loi, mais dès qu'elles ont l'occasion elles veulent des lois pour leurs strictes interets au dessus des ceux des hommes :

Totalement faux, Mary Plard féministe et avocate prend la défense des hommes à qui on veut imposer une paternité non désirée.

Alors au lieu de vouloir calomnier les féministes et vouloir les mettre toutes dans le même sac, renseignez vous un peu mieux ! Vous aurez l'air moins bêta.

Paroles de juges

Paternité imposée : un « enfant dans le dos » ou le droit de ne pas être père

"Mary Plard, avocate, qui se présente comme féministe engagée, raconte quel a été son trouble quand un homme, puis plusieurs hommes, sont venus la consulter dans un état de grande détresse.

A chaque fois, le scénario était à peu près le même : un homme, marié ou non, rencontre une femme brièvement, a avec une relation sexuelle en ayant en tête que c’est évidemment sans lendemain, et apprend quelques temps plus tard que cette femme est enceinte et qu’il est désigné comme le père biologique de l’enfant."

Suite

http://rue89.nouvelo...tre-pere-239240

En droit français actuel, le géniteur d’un enfant qui ne fait pas la démarche de le reconnaître ne peut rien faire pour empêcher que sa filiation soit juridiquement établie. Du fait des progrès de la science et notamment à travers l’examen comparé des ADN, un homme contre lequel est engagée une action en recherche de paternité ne peut pas faire grand-chose pour y échapper. Même contre son gré, et quelles que soient les circonstances de la conception, il sera désigné juridiquement père et devra en supporter toutes les conséquences, notamment financières.Certains répondront qu’il n’y a là rien d’anormal et que tout homme qui a engendré un enfant doit assumer pleinement. Sauf que, comme le souligne à juste titre Mary Plard, la femme enceinte dispose d’une assez grande liberté personnelle : elle décide, seule, de garder l’enfant à naître ou de procéder à une IVG, elle peut décider de ne pas informer de sa grossesse, et donc de sa paternité, l’homme qui a seulement traversé son existence et avec lequel elle ne veut plus conserver de lien, et elle peut même, à la naissance, décider d’accoucher « sous x », privant ainsi son propre enfant de la connaissance de l’identité de sa mère, et a fortiori de son père.

Une paternité sous X ?

D’où cette question déroutante posée par maître Plard : si l’on accepte que les femmes disposent de tous ces choix et, notamment, qu’elles aient la possibilité de ne pas s’occuper de l’enfant né ou à naître, donc de faire obstacle à l’établissement de la filiation maternelle, pourquoi l’homme n’aurait-il aucun choix, aucun droit ?

Plus précisément encore, puisque l’on permet à une femme de ne pas être mère, pourquoi ne permet-on pas à un homme de ne pas être père ? En ce sens, écrit-elle, pourquoi ne pas envisager une « paternité sous x » ? Ne serait-ce pas une « équité digne de ce nom » ?

Au final, Mary Plard, qui explique à quel point elle s’est interrogée sur le sens et la justesse d’un « combat pour la paternité librement consentie », nous propose un livre troublant, mais tout aussi intéressant.

Point très intéressant soulevé par Eklipse, il faudrait ouvrir un sujet concernant cet aspect des choses, il y a la en effet une grosse inégalité de droits entre les hommes et les femmes sur la parentalité