Zaz provoque l'indignation en parlant de «légèreté» sous l'Occupation

Oui, mais Sartre ne compte pas ! Il ne pouvait pas voir la situation de face !

Même s'il y a du vrai dans ce que dit Zaz, c'est très maladroit de le dire ainsi !

C'est surtout les réactions de libé et des autres qui sont disproportionnés,ils auraient fait quoi eux à Paris entre 1940 et 1944 ???.

http://www.ina.fr/video/1025747006

Documentaire: chantons sous l'occupation!

C'ètait pas le bagne à paris !!

Quelle idée aussi de lire des journaux gauchistes !

Qu'elle dise des conneries, j'ai envie de dire OSEF! On en dit tous, les siennes sont plus médiatisées, c'est tout.

Par contre si elle pouvait s'arrêter de chanter ou tout au moins d'envahir les médias avec ces bouses ça, ça serait bien aimable!

J'en peux juste plus de l'entendre

Elle a une voix unique, j'adore.

bon

«À Paris, sous l'Occupation, il y avait une forme de légèreté. On chantait la liberté alors qu'on ne l'était pas totalement.»

Je ne trouve rien de choquant, malgré l'occupation il fallait continuer à vivre, ceux qui galéraient et qui crevaient de faim, ceux qui se battaient contre l'occupant, ceux qui collaboraient (et oui il y en avait), ceux qui trafiquaient au marché noir, mais tous pouvaient tenir parce qu'ils arrivaient quand même à s'amuser (chants, guinguette, cabarets...). Qui y a t'il de choquant à dire ça ?

C'est malheureux, mais certaines personnes s'amusaient effectivement durant cette période, elles ont d'ailleurs eu à en répondre à la libération!!

Nous n'aurions pas eu ces scénes de vengeance si tout le monde avait vécu les choses de la méme façon tragique.

Son erreur est sans doute de ne pas avoir fait remarquer que ce comportement n'était pas adéquate ni digne d'un citoyen français.

Mais bon....on ne va pas la tondre non plus!!!!!!!!!!!!!

Un peu de calme!!

Mais de quoi parles-tu ?

Je dois aussi être indigne parce qu'il me semble que c'est justement en temps de guerre que la légèreté permet de supporter le pire et que c'est une façon de lutter contre le désespoir et l'horreur...

Mais de quoi parles-tu ?

Je dois aussi être indigne parce qu'il me semble que c'est justement en temps de guerre que la légèreté permet de supporter le pire et que c'est une façon de lutter contre le désespoir et l'horreur...

on peut etre léger à partir du moment ou on a le ventre rempli....

Et ?

point.

C'est dommage, c'est un point de vue qui se respecte et qui mériterait une discussion...

pas trop le temps de discuter ...

je répond brièvement.

j'ai le témoigne de mon grand père aujourd'hui décédé,certe il n'habitait pas Paris mais une ville de province occupée,

la vie était très difficile,la priorité était de manger,pas de légèreté mais surtout une pression et une tension constante avec les soldats allemands.

Il y a effectivement des priorités, c'est une évidence ! Manger, survivre...

Ce que je voulais dire, c'est que la "légèreté" permet parfois de mieux supporter toutes ces horreurs.

La formule de Zaz est certes maladroite, mais je pense que c'est cela qu'elle voulait dire, et pas autre chose.

Le problème, c'est peut être le terme de "légèreté". Comme si se divertir c'était être léger. Je pense que c'est même le contraire, s'il nous faut faire diversion, c'est bien que la légèreté n'est pas au rendez vous.

Mon grand pere m'a raconté beaucoup de séquence durant cette période d'occupation,

il allait quelque fois à des bals,mais quand tu as des hommes armées à chaque coin,

tu n'as pas forcément envie de t'amuser .....après peut etre que" certaines personnes " arrivaient a s'amuser sous cette occupation mais pas lui loin de là....

L'occupation allemande, c'est léger comme une saucisse volante.