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sphynxxxix

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    tout ce que je sais,c'est que je ne sais rien,tandis que les autres croient savoir ce qu'ils ne savent pas ( Socrate)
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  1. Alors que le premier volet de la saga culte de Rocky Balboa, signé John Guilbert Avildsen, joue des poings sur Arte ce mardi 2 janvier, retour en dix séquences sur cet épisode fondateur. Sorti en 1976, Rocky a marqué de son empreinte le film sportif. Mieux, dans son rôle de boxeur qu’il a lui même imaginé, Stallone va donner un sacré coup de poing au cinéma américain. Retour en dix points sur le premier épisode de la saga qui lança la carrière de la future star américaine. Le combat d’une vie Le 24 mars 1975 est la date qui a changé la vie de Sylvester Stallone. Devant son écran de télévision, il regarde le combat entre Mohamed Ali et Chuck Wepner. Ce dernier devait se retrouver face contre sol en l’espace de quelques secondes, du moins si la logique sportive avait été respectée, mais il a créé la sensation résistant face colosse Ali jusqu’au dernier round, le mettant même KO à une reprise. Ce combat héroique de l’outsider a inspiré Stallone dans l’écriture de Rocky. La scène imposée par Stallone À la veille de son championnat du monde face à Apollo Creed, Rocky Balboa confesse ses peurs et ses doutes à Adrian, sa compagne interprétée par l’actrice Talia Shire. Cette scène a failli ne pas voir le jour. Malgré la volonté des producteurs de supprimer cette séquence émotion, par manque de temps et de buget, Stallone insiste pour tourner. L’acteur bodybuildé considère qu’il s’agit d’une scène clé et obtient gain de cause. Dans la boîte en une seule prise ! Premier baiser Le premier rendez-vous entre Rocky et Adrian se poursuit par la scène intimiste du baiser dans la cuisine. Ce temps fort du premier opus n’était pas censé se dérouler de cette manière… Le script ne prévoyait pas qu’Adrian soit hésitante lorsque le boxeur tente de l’embrasser. La raison de ce changement de scénario est simple : Talia Shire avait la grippe et craignait de contaminer son partenaire. Aujourd’hui, l’acteur de Rambo estime que cette scène est la naissance du personnage d’Adrian, sa préférée de toute la saga. Adriaannn ! « Adrian, Adrian, Adrian… » (prononcé huit fois, après recomptage). Comment oublier le final de Rocky, lorsqu’Adrian court vers le ring pour rejoindre « l’étalon italien » tandis que celui-ci crie son nom sans s’arrêter. La scène sera d’ailleurs souvent parodiée. Difficile en effet, et pourtant elle aurait bien pu ne jamais exister dans la mémoire collective sans l’aide du public des projections tests. Dans le scénario original, Rocky devait retrouver Adrian dans le tunnel du stade et le couple de marcher main dans la main. La scène, jugée trop déprimante, fut rejouée. Low budget Rocky a été réalisé en mode « guerilla style ». C’est-à-dire sans autorisation de tournage et avec très peu d’équipement. Il en découle alors des scènes complètement improvisées à l’instar de la course de Rocky en plein cœur d’un supermarché, où l’un des marchands lui jette une orange. L’authenticité de la scène est visible à l’écran avec les passants qui scrutent cet homme en jogging courant sans but précis. Les personnes sur place n’avaient aucune idée que s’écrivait sous leurs yeux la naissance d’un film culte du XXe siècle. Première fois Le réalisateur John Guilbert Avildsen n’avait jamais visionné le moindre film ou assisté à un match de boxe professionnel avant de réaliser Rocky. L’accident bête Il n’y a pas que les uppercuts reçus sur le ring qui ont mis Stallone au tapis. L’acteur a été transporté à l’hôpital après s’être blessé à la jambe lors de sa fameuse scène du jogging dans les rues de Philadelphie. Casting James Caan, Roberd Redford et Burt Reynolds avaient été envisagés pour jouer le rôle de Rocky Balboa. Les producteurs voulaient en effet une tête d’affiche pour tenir le premier rôle, mais Stallone refusa de vendre son scénario pour garder la mainmise. Un film de famille Le père de Stallone, Frank, sonne la cloche qui lance son combat contre Apollo Creed. Son jeune frère, Frank junior, interprète un chanteur du quartier ou réside Rocky. Butkus, le chien de Stallone est même présent à l’écran ! Rocky en chiffres Le film a été nommé dix fois dans la course aux Oscars en 1977, pour trois récompenses, dont meilleur film et meilleur réalisateur. C’est la première fiction sportive à recevoir ce type de distinction. En carrière, Rocky totalise 27 victoires pour 3 défaites et un match nul (source : IMDB). Enfin, le film a été tourné en seulement 28 jours avec un budget d’un million de dollars. Incroyablement rentable, le long métrage rapportera 225 millions de billets verts dans le monde. AUTEUR : Par Hugo Saadi // Télérama
  2. PRIX DE BOURGOGNE - AMÉRIQUE RACES PMU Q5 GU D'HÉRIPRÉ SORT LE TRÈS GRAND JEU 31/12/2023 - GRAND FORMAT - 24H au Trot Déjà excellent dans le Prix du Bourbonnais il y a trois semaines, Gu d'Héripré (Coktail Jet) frappe un grand coup en remportant avec brio le Prix de Bourgogne - Amérique Races PMU Q5. Celui qui fut 3ème du Prix d'Amérique de Face Time Bourbon en 2021 semble comme renaître de ses cendres, tel le phénix pour reprendre les mots de sa propriétaire Eugénie Quintin. Fabrice Souloy voit son autre pensionnaire Ampia Mede Sm (Ganymede) prendre la 3ème place derrière Émeraude de Bais (Repeat Love), très bonne 2ème et qualifiée pour l'Amérique aussi. Gu d'Héripré - ©Scoopdyga À l'issue d'une course parfaitement fluide, à l'unisson de son action et de sa souplesse retrouvées, GU D'HERIPRE (COKTAIL JET) signe une performance exceptionnelle. Car au-delà de la victoire malgré le numéro 16 en seconde ligne derrière l'autostart (les huit derniers gagnants de la course partaient en première ligne), le protégé de Fabrice Souloy a réalisé dans des conditions particulièrement venteuses le chrono de 1'10'', soit tout simplement le deuxième meilleur de l'histoire de la course. Et pour couronner le tout en étant ferré ! Dans ce registre, il devient le premier à gagner le Prix de Bourgogne dans l'ère moderne depuis Jag de Bellouet en 2005 avec ses quatre fers, dont deux, ceux des antérieurs, particulièrement lourds, des combipads. Alors oui, on peut clairement parler d'une victoire exceptionnelle. Son entraîneur nous a dit après course : "Je m'attendais à une performance comme celle-ci car le cheval travaillait très bien dernièrement. Il faut qu'il ait son confort aux pieds et notamment aux antérieurs. Ça a toujours été un crack. Il a eu des problèmes de santé mais quand il est bien, voilà de quoi il est capable." La course Avec vent dans le dos, les bolides sont partis très vite, surtout ceux de la corde quand, au contraire, HOOKER BERRY (BOOSTER WINNER) a été repris dès le signal. HOHNECK (ROYAL DREAM) est pointé en tête à 1.500 mètres du poteau, flanqué de GO ON BOY (PASSWORD) qui a fait un effort pour venir avant de laisser passer HAIL MARY (Googoo Gaagaa) qui lui sera fatal, comme ceux qui le suivent quelques mètres plus tard. Les chevaux venus en troisième épaisseur progressent d'autant plus naturellement que HORSY DREAM (SCIPION DU GOUTIER) réalise un bout de classe et que Hohneck cède tôt. L'effet visuel est alors signé Gu d'Héripré (Coktail Jet), aérien comme à ses plus beaux jours et mis hors de portée par François Lagadeuc qui ne fait que l'accompagner. EMERAUDE DE BAIS (REPEAT LOVE) a suivi le mouvement en épaisseur quand AMPIA MEDE SM (GANYMEDE) s'est elle sortie de la corde. Au contraire, HOKKAIDO JIEL (BRILLANTISSIME) touche son sulky et se montre fautif après avoir été sur la main gauche de David Thomain. L'impression du driver vainqueur François Lagadeuc a confirmé l'excellent déroulement de course qu'il a connu au sulky de Gu d'Héripré : "On a un parcours favorable dans le dos d'Éric Raffin (Horsy Dream) jusque dans la montée mais au moment de prendre l'avantage j'étais clairement au-dessus du lot. Il réalise une grande valeur. C'est un crack, il a une facilité terrible. Sur 2100m, c'est certainement moins désavantageux d'être ferré que sur plus long mais il est tellement bien comme ça dans son confort qu'il ne vaudrait mieux toucher à rien."
  3. en avant première hier soir , moment très agréable .j'ai aimé .
  4. sphynxxxix

    un jour... un poème

    j'ai souvent aimé , j'aimerais toujours , mon esprit animé, n'a pas fait le tour , je croque la vie , je croque le jour , et laisse mes envies , tel un troubadour , lester ma muse , d'un bonheur insensé , je l'avoue ,j'en abuse , j'inonde ses pensées , et hante ses nuits , de caresses assassines , et son cœur se réjouit , de cette liaison clandestine.
  5. personne ne remet en cause l avancée technologique , ce qui laisse dubitatif,et le mot est faible, c est la différence de performance entre vingegaard et les autres, il fait figure d'extraterrestre , les performances de Bolt et de ses congénères en athlé ne sont meme pas comparables . enfin pour revenir à la technologie , pas la peine d aller si loin, Armstrong et meme Froome plus récemment auraient pris une valise aussi !
  6. Voeckler pas dupe dans ses commentaires : "avec 15Kg de moins Vingegaard pousse plus que Kung dans les descentes" "Là ou Cavagna roulait à 27Km/h, Vingegaard roule à 33Km/h, on dirait qu'ils ne font pas le même parcours"
  7. En 2020 ,premier grand tour de Vingegaard sur la Vuelta ,sur le Contre Lla montre il finit à 6minutes 35 de Roglic Avril 2021 au Pays Basque, 3ème du CLM sur 13kms à 18" de Roglic. Et la suite, on la connaît.
  8. 17 juil. Comment un gars de 60 kilos peut pousser 450 watts Etalon en moyenne dans nos watts des cols radars du #TDF2023 ? En faisant comme Pantani . https://pic.twitter.com/UlDC2tG0oB Pogacar et Vingegaard grimpent plus vite que Armstrong et Pantani . Amélioration des performances physiques naturelle ou artificielle ? y avait il trop de jus d'orange dans la gourde ?
  9. sphynxxxix

    La citation du jour

    aucunement , en tous cas , rien que de lire ça j ai mal
  10. sphynxxxix

    La boule au ventre

    mais qu 'est ce qu ils ont tous à stresser ? faites de la méditation ché pas moi , pétez un coup mais pas un boulon !
  11. Oui c'est un drame, oui c'est intolérable ,aucune mort ne peut être justifiable , on peut avoir l'empathie, toute la compassion nécessaire à de tels drames, mais on ne doit pas occulter le fait que l'autorité est de moins en moins respectée , que ce soit à l'école , les forces de l 'ordre , les pouvoirs publics et j 'en passe . Les issues tragiques de se type ,les réactions disproportionnées, accidentelles ou non, risquent de se répéter malheureusement ,c'est une escalade de violence logique ,quand on ne respecte plus les règles, ou quand on défie l 'autorité .
  12. c'est un fait , et je sais que c'est dramatique .
  13. j' en conviens , mais je te parle de chronologie , c'est l'incivilité du jeune qui est la toute première origine du drame .
  14. non cela ,ne mérite pas, mais si ce jeune homme avait été respectueux de l'ordre, ça ne serait pas arrivé, c est tout ce que je dis .
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