Cruauté envers les sans emploi

je suis désolé ,je n'argumente dans a des conversations de comptoir que je ne fréquente d'ailleurs pas ,j’espère juste que le mec en face va s’apercevoir de sa bêtise ou j'oublie et le laisse croupir !!

ça c,est de largumentation de fuyant, de politicien, jamais de réponse a ce qui touche juste.allez adios

On attend toujours une démonstration claire sur comment caser 5 millions de personnes dans un espace qui ne peut en accueillir que 400 000 selon l'estimation la plus large.

Et d'expliquer en quoi, tant qu'à faire, que "renforcer les contrôles" et "contracter les allocations" permettra de tous les caser.

Au fait, vous êtes au courant qu'il y a des chômeurs non indemnisés ? En quoi renforcer les contrôles et "contracter ses allocations" serait-il efficace pour ces personnes là ?

Nous avons deux millions de personnes qui ne sont pas indemnisés:

http://www.dossierfamilial.com/actualites/combien-y-a-t-il-de-chomeurs-non-indemnises-18688.html

Toujours cette propagande sur le "chômage volontaire"... Si il y a bien un secteur d'activité en pleine forme, c'est bien le PMU... Et ça a l'air d'embaucher grave

Un document intéressant, sur le soit-disant modèle social français "trop généreux" (sic):

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/10/09/la-france-indemnise-t-elle-mieux-les-chomeurs-que-ses-voisins_4502589_4355770.html

ça c,est de largumentation de fuyant, de politicien, jamais de réponse a ce qui touche juste.allez adios

TU ânonnes des "arguments" qui ont pour but de culpabiliser les perdants de ce loto machiavélique qu'est la grande finance a toi d'étayer ta "pensée"

Française des jeux 80 millions € de chiffre d'affaire/jour ...............

TU ânonnes des "arguments" qui ont pour but de culpabiliser les perdants de ce loto machiavélique qu'est la grande finance a toi d'étayer ta "pensée"

Française des jeux 80 millions € de chiffre d'affaire/jour ...............

la preuve que les pauvre sont riches ,ils gaspillent encore leur fric en jouant, et çà tu crois que les dirigeants ne le savent pas,j,habite prés d,un PMU , je suis sidéré quand je vois le nombre de sans emplois qui jouent du fric, je ne dis pas que c,est tous mais comme image on fait mieux,

je suis Bac + 4 ,bientôt a l'age de la retraite et, je bosse a 2000 kms de chez moi parce qu'a mon age, c'est râpé pour le taf ,et parce qu'il est impossible de remonter une boite quand on en a queuté une en France ,mais.................. je mesure la chance que j'ai a avoir une âme de voyageur et a être adaptable partout dans ce monde ,et ,je sais bien que tt le monde n'est pas comme moi et pour bcp ,les faire quitter même leur région est un crève cœur qui les rend inefficace en tt .Voila bien le souci principal de ce monde ,l'individualiste forcené érigé comme un totem vital ...

et bien bravo pour votre parcours.

Ce n'est pas facile ce genre de parcours.

perso, avec mon mari, nous avons quitté la région où j'avais toute ma famille pour son boulot et je ne l'ai pas regretté et lui non plus.

Si mes enfants doivent faire de méme et bien ils le feront.Et avec ma bénédiction, le roti-frite du dimanche en famille, c'est bien mignon, mais parfois, il faut savoir couper le cordon!

Le souci, c'est quand l'un a encore son boulot dans une zone sinistrée niveau emploi mais que l'autre le perd....ils ne vont pas partir...........alors il faut former les gens aux boulots dispos: auprés des personnes agées, des petits (assistante maternelle)....au lieu de faire des "formations massage" dans les hopitaux qui ne servent qu'à se papouiller les uns les autres pendant 4 jours sans réelle mise en oeuvre ensuite sur le patient...par exemple!!

L'art de jeter un morceau de barbaque pour occuper les foules et faire diversion.

Merci de nous prendre pour des couillons....

Oui, mais c'est très efficace, au vu du nombre de couillons réceptifs à ce genre d'infamie, pour preuve, certaines réactions à ce post écoeurant...

J'ai liké le premier post parce que j'ai vu ce gros 8 en haut à droite et j'ai été saisi d'une envie de le transformer en 9, comme quand on est face à une gros bouton qu'on a envie de percer