« J’étais au mauvais endroit à la mauvaise heure »

J'ai beaucoup aimé la vidéo. Elle m'a appris qu'il ne fallait pas toujours craché sur l'association SOS Racisme.

nos fachos oublient que le premier racisme est blanc, auréolé de sa mission civilisatrice.

Quand la gauche était aux grandes manœuvres de la "mission civilisatrice", le racisme et les races n'avaient pas la définition scientifique que l'on connaitra par le nazisme. Quand le père fondateur de la gauche républicaine et laïque, Jules Ferry, dit que les races supérieures ont le devoir de civiliser les races inférieures, ce sont les cultures qu'il juge de façon normative dans le mot race et non les gènes. Attention donc aux anachronismes.

Ceci dit, en prétendant que "le premier racisme est blanc", ce qui ne veut pas dire grand chose au vu de l'évolution du mot race, vous faites là une espèce de hiérarchie victimaire qui contredit vos propos précédents, et renoue avec votre habituelle culture de l'excuse.

Oui, on sait Hussard, tu sais tout tellement mieux que tout le monde, on a compris que tu es invincible et que tu as décrété que la gauche c'est le grand satan reptilien illuminati franc maçon du complot mondial du super sionnisme de la mort qui tue bla bla bla...

Franchement tes arguments sont pauvres et creux, tu reproches sans cesse aux autres de fuir alors que toi même tu joues sans vergogne de la langue de bois et de l'enfumage.

Le "complot mondial" c'est davantage votre rayon que le mien. Du reste je ne m'attarderai pas sur vos attaques personnelles puériles que vous distillez ici et là sur ce forum. Décréter que des arguments sont "pauvres et creux" n'a aucun intérêt, il faut le démontrer en contre-argumentant : chose dont vous êtes incapable.

Aussi longtemps que les cons feront de la concurrence victimaire et prétendront être d'innocentes victimes face à d'odieux bourreaux, on devra se regrouper par origine et se mettre sur la gueule.

Aussi le premier pas vers la paix est de reconnaitre que l'autre est différent et égal en droit et devoir.

C'est l'unité républicaine face à l'arriération des associations anti-racistes qui ne sont qu'une hérésie tribaliste profondément anti-sociale.

Le jour ou les cons arrêteront de se battre pour leur clocher, on n'aura plus ces problèmes. Mais il y en a de plus obstinés qui sont incapables de ce compromis.

Aussi longtemps que les cons feront de la concurrence victimaire et prétendront être d'innocentes victimes face à d'odieux bourreaux, on devra se regrouper par origine et se mettre sur la gueule.

Aussi le premier pas vers la paix est de reconnaitre que l'autre est différent et égal en droit et devoir.

Tu ne tiens étrangement pas ce discours sur le mariage homo mais je suis d'accord ! Le racisme suit le même schéma peu importe qui en est coupable, il n'y a donc pas besoin d'ethniciser le racisme et de diviser sur la question. Jeu auquel joue pourtant l'extrême-droite et des mouvements ethniques comme le PIR, qui créent des clans, et envoie des messages disant "chacun ses victimes" ! Du pur racisme par voie inversée.

C'est assez fou que même dans la défense de victime, les réflexes soient de recréer des castes, des divisions. On le voit avec la tentative d'instrumentalisation de ce sujet par Hussard noir, qui essaye d'imposer sa propagande et fait aussi un chantage à tout ceux qui refuse ce jeu, en prétextant que les gens se foutent de la victime. C'est le premier à s'en foutre en l'instrumentalisant.

Comme ce fait divers n'est pas probant, il ne peut pas servir de démonstration. Ou alors on écoute tous les gens qui crient au racisme pour les croire sur parole, notamment tous les petits branleurs de cité qui crient au racisme dès qu'ils se font gauler.

C'est l'unité républicaine face à l'arriération des associations anti-racistes qui ne sont qu'une hérésie tribaliste profondément anti-sociale.

Le jour ou les cons arrêteront de se battre pour leur clocher, on n'aura plus ces problèmes. Mais il y en a de plus obstinés qui sont incapables de ce compromis.

Là moins, il s'agit d'errances nuisibles de l'anti-racisme et même de courants ethnicisés assez radicaux ainsi que des caricatures nuisibles que propose l'extrême-droite ainsi que les mouvement white power (eux aussi ethniques). Ils prennent en otage la question et il devient impossible d'avoir des débats sereins sans être exhorté à choisir un camp, ou être accusé de minimiser tel truc au profit de l'autre.

Les lois mémorielles et antiracistes mènent inévitablement à une concurrence victimaire dans une société ethnicisée par le multiculturalisme.

Non non, c'est la bêtise de masse. Rien n'empêche de commémorer sans tomber dans ça. On reste dans la concurrence ethnique parce qu'on s'y complaît. Beaucoup de gens savent aussi rester en dehors de ces âneries mais ils ne sont pas à brailler à la télé ou dans les journaux. On devrait peut-être le faire.

Quand la gauche était aux grandes manœuvres de la "mission civilisatrice", le racisme et les races n'avaient pas la définition scientifique que l'on connaitra par le nazisme. Quand le père fondateur de la gauche républicaine et laïque, Jules Ferry, dit que les races supérieures ont le devoir de civiliser les races inférieures, ce sont les cultures qu'il juge de façon normative dans le mot race et non les gènes. Attention donc aux anachronismes.

Ceci dit, en prétendant que "le premier racisme est blanc", ce qui ne veut pas dire grand chose au vu de l'évolution du mot race, vous faites là une espèce de hiérarchie victimaire qui contredit vos propos précédents, et renoue avec votre habituelle culture de l'excuse.

J'adore.

Que la gauche à papy se soit planté allègrement ne fait aucun doute. Dire ensuite que le racisme était d'ordre normatif et non génétique est une belle preuve d'hypocrisie. Que je sache, les zoos humains de cette époque ne contenaient pas de blancs. On devait pourtant avoir sous la main quelques spécimens de ploucs à exhiber aux Parisiens...

Selon Charles Mauras, nationaliste jusqu'au bout des ongles pour qui l'acceptation du mot race est éminemment génétique, le mot racisme fût utilisé pour la première fois en 1894 par Édouard Drumont. Je peux donc affirmer que le concept est blanc, et français, monsieur. On peut être fier !

Hussard Noir une fois de plus se perd en contorsion pour éviter le fond du problème. ***

Le "complot mondial" c'est davantage votre rayon que le mien. Du reste je ne m'attarderai pas sur vos attaques personnelles puériles que vous distillez ici et là sur ce forum. Décréter que des arguments sont "pauvres et creux" n'a aucun intérêt, il faut le démontrer en contre-argumentant : chose dont vous êtes incapable.

j'en suis capable, quand l'opposant mérite cet effort, ce qui est loin d'être ton cas car tu reste dans ton délire néo bobo dandy de supermarché, quand on te fait remarquer que ton raisonnement est tronqué, arbitraire, infondé ou que sais je encore, tu ignores tout simplement, comme un gosse qui se cache les yeux.

Tu crois vraiment que j'ai envie de consacrer une parcelle d'énergie a un petit garçon qui cache sa peur derrière une suffisance poisseuse ?

Tu ne tiens étrangement pas ce discours sur le mariage homo mais je suis d'accord ! Le racisme suit le même schéma peu importe qui en est coupable, il n'y a donc pas besoin d'ethniciser le racisme et de diviser sur la question. Jeu auquel joue pourtant l'extrême-droite et des mouvements ethniques comme le PIR, qui créent des clans, et envoie des messages disant "chacun ses victimes" ! Du pur racisme par voie inversée.

C'est assez fou que même dans la défense de victime, les réflexes soient de recréer des castes, des divisions. On le voit avec la tentative d'instrumentalisation de ce sujet par Hussard noir, qui essaye d'imposer sa propagande et fait aussi un chantage à tout ceux qui refuse ce jeu, en prétextant que les gens se foutent de la victime. C'est le premier à s'en foutre en l'instrumentalisant.

Comme ce fait divers n'est pas probant, il ne peut pas servir de démonstration. Ou alors on écoute tous les gens qui crient au racisme pour les croire sur parole, notamment tous les petits branleurs de cité qui crient au racisme dès qu'ils se font gauler.

Là moins, il s'agit d'errances nuisibles de l'anti-racisme et même de courants ethnicisés assez radicaux ainsi que des caricatures nuisibles que propose l'extrême-droite ainsi que les mouvement white power (eux aussi ethniques). Ils prennent en otage la question et il devient impossible d'avoir des débats sereins sans être exhorté à choisir un camp, ou être accusé de minimiser tel truc au profit de l'autre.

Le racisme est une problématique mineure, voila pourquoi je rejette ces idioties.

Tous ceux qui font de la lutte anti-raciste doivent afin d'exister prétendre que le racisme est une problématique forte, ce qui est à la base un mensonge, et ils doivent cliver : minorité contre blanc. Leur fond de commerce est donc le racisme qu'ils doivent encourager pour qu'il existe pour pouvoir le combattre. Et s'ils n'en trouvent pas, ce qui est presque toujours le cas, ils formulent l'accusation contre n'importe qui sans début de commencement de motif. De manière hystérique. Ils pourchassent une haine irrationnelle cachée chez tout le monde.

Il n'y a rien que je méprise autant qu'un anti-raciste car son mode opératoire est par nature la division anti-républicaine. C'est dans le titre : anti-racisme. Sans racisme ces gens là ne sont rien. Et moi je suis contre la division, je suis contre le combat, je ne tiens pas à désigner l'ennemi en mon propre sein, parce que ce qui utilise ce fonctionnement à l'intérieur d'un organisme c'est le cancer. Une société forte n'est pas une société rongée par le cancer.

L'égalité est garantie par l'état, pas par des officines partisanes qui cherchent le conflit.

Quand un basané se déclare discriminé à l'embauche en raison de son origine, c'est lui qui s'estime discriminé pour cette raison, et on en fait une statistique officielle. Quand un homme de 71 ans se fait tabasser par trois jeunes dans la rue, et que cet homme s'estime victime d'une agression raciste, là ce n'est qu'un vieux gâteux qui se fait des films.

Et les lobbys "antiracistes" pourtant si prompts, ne s'y penchent même pas.

Est-il besoin de commenter ce comparatif ?

Nous voyons ici que l'auteur dans sa sémantique particulière oppose le terme "basané", qui lui permet de qualifier dans son langage les personnes d'origine nord-africaine, au terme "homme".

Cet auteur visiblement dénie aux personnes d'origine nord-africaine le droit d'être reconnues comme appartenant à la race humaine.

Mais connaissant ses interventions, cela vous étonne-t-il ? :D

oui je me faisais la même réflexion : certains ont le droit au qualificatif d'homme et d'autres sont dépeints par leur couleur...mais ne sont pas des hommes...cela veut tout dire sous le clavier

Le racisme est une problématique mineure, voila pourquoi je rejette ces idioties.

Pour ceux qui en sont victimes, et au vu de l'impact du racisme dans les esprit, je ne trouve pas ce problème mineur. Instrumentalisé et grossi, certainement, mais pas mineur.

La victime qui prétend avoir été agressé pour des motifs racistes, réels ou pas, montre que ce n'est pas qu'un fait matériel : il hante nos conceptions populaires et ternit le rapport à l'autre, le vivre-ensemble.

Tous ceux qui font de la lutte anti-raciste doivent afin d'exister prétendre que le racisme est une problématique forte, ce qui est à la base un mensonge, et ils doivent cliver : minorité contre blanc.

C'était pourtant la réalité du racisme à une époque pas si lointaine : ce sont les minorités fraîchement arrivées (y compris des blanches) qui ont été victime du rejet raciste. Les chose ont changé : le racisme peut maintenant s'exprimer un peu partout, sous différente forme, y compris au détriment de la majorité blanche.

Si le fait divers rapporté ici ne nous donne pas d'éléments concret, il y a assez de victimes réelles pour escompter un impact propagandiste (n'est-ce pas Hussard Noir ?). Mais je suis d'accord avec toi sur ce point : l'instrumentalisation du racisme contribue à le nourrir plus qu'à le combattre et, à ce titre, est tout aussi nocive. On en arrive à un climat ou toute dénonciation devient suspecte d'être aux ordres de l'idéologie ethnico-clanique. C'est loin d'être un évènement mineur.

L'égalité est garantie par l'état, pas par des officines partisanes qui cherchent le conflit.

En théorie. Mais comme la pratique peut différer, il est prévisible de voir des associations se former pour lutter collectivement contre ces préjudices. Les dérives n'enlèvent pas la légitimité même si on ne peut que regretter que cette légitimité sert trop souvent de masque à certains.

Dans la vie tu as le choix de te comporter en victime ou de te comporter en homme.

Et les immigrés se sont toujours comportées comme des hommes jusqu'à ce qu'on les convainque de se comporter comme des victimes à la place.

La France n'a jamais été un état de ségrégation comme les USA et l'Afrique du Sud, on n'a retiré sa dignité à personne. Ceux qui ont perdu leur dignité l'ont perdu eux-même.

les races c'est la couleur de la peau et la morphologie de la tête c'est comme les animaux .

non a race c'est une invention des esclavagiste

car les blanc voulait se différencier des autres

mais en réalité il y a une seule race la race humaine

non a race c'est une invention des esclavagiste

car les blanc voulait se différencier des autres

mais en réalité il y a une seule race la race humaine

Encore un qui fait remonter l'esclavage au commerce triangulaire, et ou les sales blancs racistes homophobes doivent se battre la coulpe.

L'esclavage remonte aussi loin que l'histoire de l'humanité.

Dans la vie tu as le choix de te comporter en victime ou de te comporter en homme.

Et les immigrés se sont toujours comportées comme des hommes jusqu'à ce qu'on les convainque de se comporter comme des victimes à la place.

La France n'a jamais été un état de ségrégation comme les USA et l'Afrique du Sud, on n'a retiré sa dignité à personne. Ceux qui ont perdu leur dignité l'ont perdu eux-même.

Il y a un peu de ça mais pas uniquement.

Si certains enfants d'immigrés sont nés dans ce discours victimaire au point de l'intégrer et de se dire galérien dès 13 ans (entendu de mes oreilles), ça n'explique pas tout.

Si la France est un état généreux et accueillant, il y a la vie au quotidien qui rappelle certaines choses aux immigrés. Certaines bassesses cumulées qui ont fait que certains "hommes" se sont rebellés, non pas en victime mais en "hommes qui en ont eu marre de faire des efforts et de subir une relégation perpétuelle".

Certains ont comme font de commerce la victimisation mais dans un pays où on reçoit encore un bras d'honneur quand on demande une reconnaissance des errances de la colonisation, on est en droit de se sentir souillé et méprisé. Sans même tomber dans la paranoïa, puisque la France prouve aussi tous les jours sa grandeur d'âme.

Mais on s'éloigne un peu du sujet, là.

Que la gauche à papy se soit planté allègrement ne fait aucun doute. Dire ensuite que le racisme était d'ordre normatif et non génétique est une belle preuve d'hypocrisie.

Vous ne comprenez rien aux mots que j'utilise. J'ai dit "ce sont les cultures qu'il juge de façon normative dans le mot race et non les gènes", juger de façon normative dans cette phrase veut dire parler en terme de supériorité et d'infériorité, et quand Jules Ferry parle de races inférieures et supérieures il parle de civilisations, ça n'a pas le sens scientifique que les nazis auront dans leur thèse. Je vais simplifier à l'extrême : les nazis pensaient que le basané était génétiquement inférieur, irrécupérable, qu'il fallait donc l'éliminer ; les progressistes comme Jules Ferry pensaient que le basané vivait dans une culture inférieure, qu'il fallait donc le coloniser pour le civiliser.

Que la gauche à papy se soit planté allègrement ne fait aucun doute.

Les jugements de valeurs sur l'histoire à l'aube de la morale contemporaine n'ont aucun intérêt.

le mot racisme fût utilisé pour la première fois en 1894 par Édouard Drumont.

Le mot racisme a beaucoup évolué. Aujourd'hui on l'amalgame complétement à la xénophobie, alors que le racisme est une idéologie pseudo scientifique sur la hiérarchisation des races. Dans la plupart des cas qui nous concernent, on devrait parler de xénophobie pour être exact et non de racisme.

j'en suis capable, quand l'opposant mérite cet effort

C'est que personne ne mérite donc les lumières de The_Dalek ici bas, puisque jamais il ne prend la peine de redescendre de sa suffisance pour construire un raisonnement. En même temps je crois que ça n’intéresse personne.

Rien n'empêche de commémorer sans tomber dans ça.

Les lois mémorielles ne visent pas simplement à commémorer, c'est une législation de l'histoire, une pratique de la vérité légale d'ordinaire propre aux régimes totalitaires. Les lois mémorielles font comme l'explique Pierre Nora "obstacle à la liberté de recherche historique. La complexité du travail intellectuel et celle du métier d'historien sont incompatibles avec la simplicité brutale de ces vérités d'Etat." Aussi, les lois mémorielles sont une dérive clientéliste et communautaire auprès des minorités qui réclament chacune leur loi victimaire du passé.

Il y a un peu de ça mais pas uniquement.

Si certains enfants d'immigrés sont nés dans ce discours victimaire au point de l'intégrer et de se dire galérien dès 13 ans (entendu de mes oreilles), ça n'explique pas tout.

Si la France est un état généreux et accueillant, il y a la vie au quotidien qui rappelle certaines choses aux immigrés. Certaines bassesses cumulées qui ont fait que certains "hommes" se sont rebellés, non pas en victime mais en "hommes qui en ont eu marre de faire des efforts et de subir une relégation perpétuelle".

Et ils sont plus respectés maintenant ? Mieux intégrés ? Ils ont obtenu une meilleure vie pour eux et leur famille ?

Je lisais un intervenant d'un autre topic qui parlait de son enfance dans un quartier avec des garçons de différentes provenance qui s'habillaient comme lui, allaient à l'école avec lui, jouaient au foot ensemble. Et ces garçons s'habillent maintenant en djellaba et portent la barbe. Ils se sont battus pour échapper au bizutage d'entrée, celui qui fait qu'on est tous les mêmes, et ils ont gagné. La ségrégation qu'on ne leur a pas donnée, ils l'ont prise au nom de la liberté.

Leurs enfants peuvent leur dire merci.

Certains ont comme font de commerce la victimisation mais dans un pays où on reçoit encore un bras d'honneur quand on demande une reconnaissance des errances de la colonisation, on est en droit de se sentir souillé et méprisé. Sans même tomber dans la paranoïa, puisque la France prouve aussi tous les jours sa grandeur d'âme.

Mais on s'éloigne un peu du sujet, là.

Je te rappelle que moins de 20 ans après l'invasion de la France par l'Allemagne on avait un traité d'amitié avec eux, donc les revendications sur la colonisation .... il ne peut pas y avoir d'égalité lorsqu'un des partenaires demande à l'autre de s’agenouiller en contrition devant lui.

Les immigrés peuvent soit être traité comme tout le monde, soit comme des victimes. Pas les deux.