L'impopularité du libéralisme, pourquoi?

Et une école privée, c'est cher La privatisation de l'enseignement est de ce fait un défi à l'idée d'égalité face à l'enseignement et à l'éducation pour tous !

Une éducation privé coute moins cher qu'une éducation publique:

http://www.ifrap.org/Education-l-enseignement-public-beaucoup-plus-cher-que-le-prive,12169.html

En privatisant les écoles, cela nous couterai moins cher et ce serai plus efficace. Ou est le problème ? Sachant que cela ne voudrait pas dire que l’état se désengage du financement de l’éducation: on pourrait mettre en place une aide fixe par élève, et si les parents veulent payer plus pour une meilleur éducation, ils rajoutent au bout.

si les parents veulent payer plus pour une meilleur éducation, ils rajoutent au bout.

Tout est dit.

Une éducation privé coute moins cher qu'une éducation publique:

Je parlais pour les familles pas pour l'Etat...

si les parents veulent payer plus pour une meilleur éducation, ils rajoutent au bout.

Tu confirmes donc ce que j'ai dit : bye bye l'égalité devant l'éducation Merci !

Le libéralisme fonctionne sur un principe simple. S'il a un défaut, c'est que ce n'est pas assez libéral, et il faut y aller encore plus. Un peu mignon, mais terrifiant.

Le problème du libéralisme, ce sont ses dérives. Car le libéralisme, c'est le système monétaire. L'humain n'existe pas, l'argent existe.

Le libéralisme n'est humain que par coïncidence. Le libéralisme est soutenu parce qu'il fonctionne. C'est l'utilité qui prime, et non l'humanité. Le principe libéral est notamment de considérer qu'une personne a le droit de laisser crever une autre. Et quand bien même en pratique cela eusse été rare, c'est suffisant pour montrer que c'est un système profondément pervers.

Par moment le libéralisme peut paraître intéressant. Il a une bonne façade. Mais derrière, ça sent mauvais.

sauf qu'au jour d'aujourd'hui, les parents qui paient une éducation privé a leurs enfants, paient aussi l’éducation public auxquelles ils ont droits par les taxes et les impôts...

Au moins avec ce système on laissent le choix au parents et cela fait marché la concurrence entre les écoles tirant les prix vers le bas et la qualité vers le haut.

Même ci une famille ne peut pas ajouter d'argent a l'aide de l’état, c'est elle qui décidera a quelle école cette aide ira.

Ça coute moins cher a l’état ( privé plus efficace pour un prix moindre) et les gens décide ou va l'argent de leurs impôts.

Au moins avec ce système on laissent le choix au parents et cela fait marché la concurrence entre les écoles tirant les prix vers le bas et la qualité vers le haut.

Que c'est beau...

Sauf que dans n'importe quel pays (je connais très bien le système éducatif asiatique dans ce domaine), dans les faits les écoles offrants une éducation de grande qualités sont également les écoles les plus chères, les plus inabordables pour les quidams moyens

Cela vaut autant pour le secondaire que pour le supérieur.

si les parents veulent payer plus pour une meilleur éducation, ils rajoutent au bout.

Tout est dit.

Et actuellement, comment ça se passe? L'égalité dans la médiocrité, superbe !

Voici encore un très bon article sur le libéralisme et Ron Paul: Ron Paul, la revanche du libéralisme classique

A tout ceux qui n'arrêtent pas de dire que le libéralisme n'est qu'économique et serait utilitariste, lisez cet article.

si les parents veulent payer plus pour une meilleur éducation, ils rajoutent au bout.

Tout est dit.

Et actuellement, comment ça se passe? L'égalité dans la médiocrité, superbe !

Actuellement on essaye d'atteindre l'égalité. On n'y arrive pas encore, mais on essaye. Le fait de ne pas y arriver ne signifie pas qu'il faille abandonner pour un système inégalitaire.

(et quand à ton article, il confirme le côté "c'est efficace, donc c'est bien")

Hélas! Je fais partie des imbéciles qui constatent dans quel bourbier sont maintenant les pays dont les dirigeants adopté cette idéologie, USA et Grande Bretagne, leaders du libéralisme neolibéralisme, compris.

Le socialisme n'est pas du communsime.

Le libéralisme n'est pas du neolibéralisme.

Ce serait bien d'appeler un chat un chat pour une fois...

La définition que j'ai donné est bien celle du libéralisme. J’appelle un chat un chat!

Le libéralisme est un courant de pensée et une philosophie politique qui affirme la primauté des principes de liberté et de responsabilité individuelle sur l'autorité du souverain, fut-il le peuple.

Les USA et la Grande Bretagne assument ouvertement être les champions du libéralisme, ils n'ont jamais utilisé le terme néolibéral.

La commission européenne prône le libéralisme pas le néolibéralisme

Le néolibéralisme n'est que du libéralisme dont la logique a été développée. Le terme de néolibéralisme n'est employé généralement que par ceux qui dénoncent cette extension de l'idéologie libérale. Je l'emploi moi-même.

De toute façon le ver était dans le fruit dès le départ : primauté de l'individu sur le peuple.

Et actuellement, comment ça se passe? L'égalité dans la médiocrité, superbe !

Les causes de la médiocrités n'ont pas à être recherché dans le statut public ou privé du système éducatif. Les pays dont les systèmes ont bonne réputation n'ont pas privatisé leur éducation (Japon, Chine, Allemagne...).

Les causes sont bel et bien ailleurs.

si les parents veulent payer plus pour une meilleur éducation, ils rajoutent au bout.

Tout est dit.

Et actuellement, comment ça se passe? L'égalité dans la médiocrité, superbe !

Actuellement on essaye d'atteindre l'égalité. On n'y arrive pas encore, mais on essaye. Le fait de ne pas y arriver ne signifie pas qu'il faille abandonner pour un système inégalitaire.

Pour arriver à l'égalité, qu'est-ce qu'on fait, on diminue le niveau à chaque fois, il suffit de voir par exemple que l'histoire ne sera plus qu'optionnelle en S. La filière S étant la filière d'excellence où ceux qui en sorte excellent dans toutes les filières alors pour laisser de la place aux autres on diminue leur niveau. Mais qu'est-ce que c'est que cette idéologie socialiste de l'égalité dans la médiocrité?

Dans un système d'éducation en concurrence, la concurrence pousse sans cesse à l'élévation du niveau pour tout le monde, les établissements les moins bons recopiant les méthodes des meilleurs pour ne pas perdre leurs élèves. Avec la concurrence, on arrive à l'égalité par le haut !

Et une école privée, c'est cher La privatisation de l'enseignement est de ce fait un défi à l'idée d'égalité face à l'enseignement et à l'éducation pour tous !

Une éducation privé coute moins cher qu'une éducation publique:

http://www.ifrap.org...rive,12169.html

En privatisant les écoles, cela nous couterai moins cher et ce serai plus efficace. Ou est le problème ? Sachant que cela ne voudrait pas dire que l’état se désengage du financement de l’éducation: on pourrait mettre en place une aide fixe par élève, et si les parents veulent payer plus pour une meilleur éducation, ils rajoutent au bout.

C'est ça votre idée pour payer la dette?

Meme en privatisant tout, on ne pourra payer la dette, retenez-le!

Bon repenses une fois à ta scolarité. Est-ce que tes parents auraient pu te payer une école de bon niveau si l'éducation était privée? Ou est-ce que tu aurais été dans une école ghetto où le niveau est faible? T'es pas obligé de répondre hein.

Ah oui, j'allais oublier de le dire: regarde comme les Chiliens aiment bien l'éducation privée:

T'as pas remarqué que les étudiants chiliens ont manifesté pendant des mois?

"

Entretien : "L’éducation, c’est un privilège au Chili"

Publié le : 6 octobre 2011 Au Chili, depuis la rentrée universitaire en mars, le pays connaît des mouvements de protestation étudiante intense. Les contestataires réclament un enseignement supérieur gratuit et de qualité. En effet, depuis la dictature de Pinochet en 1973 et la Constitution de 1980 (toujours en vigueur), l’université est entièrement privée. Un système extrêmement coûteux, inaccessible pour beaucoup. Pedro Luderitz Fernandez, franco-chilien de 19 ans, étudiant en AES à l’UT1 est en France depuis le 1er août. Entretien.

"Univers-cités" : Comment est né le mouvement de protestation au Chili ?

Pedro : Sous Allende l’enseignement supérieur était gratuit mais il n’y avait que deux grandes universités, à Santiago. Sous Pinochet le système a été privatisé et des universités ont été crées dans tout le pays. Aujourd’hui il faut payer de l’ordre de 450 euros par mois pour suivre des cours, qui en plus sont de mauvaise qualité. Les plus pauvres ne peuvent pas y accéder. Pour les autres, il faut faire un crédit, à moins d’être très aisé. L’éducation, c’est un privilège au Chili. Après le lycée, il y a beaucoup de jeunes avec des capacités qui doivent travailler par manque de moyens. Le mouvement a commencé à Santiago, puis s’est diffusé à travers tout le pays. Aujourd’hui c’est toute la population qui se sent concernée : les étudiants, mais aussi les ouvriers, toutes générations confondues.

Comment le vis-tu depuis Toulouse ?

Je lis la presse chilienne, mais je me renseigne surtout auprès de ma famille et de mes amis là-bas. Je suis surpris de l’ampleur du mouvement : les manifestations sont de plus en plus fortes, du coup la répression va avec. C’est la folie ! Il y a même des policiers en civil qui s’infiltrent dans les manifestations et qui crient des slogans extrémistes pour exciter les gens et justifier la violence policière. Avec Pineda, on est sous un régime de droite dure, c’est pas facile ...

N’est-il pas difficile de ne pas être sur place ?

Parfois je regrette de ne pas y être : c’est fou d’être ici et de voir mes amis qui luttent ... Mais c’est un choix, je n’ai pas le droit de me plaindre. Ici je suis boursier, je ne paye que 14 euros l’année, j’ai beaucoup de chance.

Comment vois-tu la suite du mouvement ?

C’est très sérieux, il y a une forte chance de réussite grâce à un niveau de conscience établie. Le système doit changer : il doit devenir gratuit, c’est incroyable que l’éducation soit aussi élitiste. On ne veut pas révolutionner la pensée, on a des idées très concrètes à réaliser. Selon moi, un système comme le système français, c’est l’objectif à atteindre. La Constitution est restée la même depuis le régime militaire et fait du Chili un pays trop capitaliste : notre système de santé est également privé. Les revendications sont de plus en plus étendues : c’est un combat à mort jusqu’au renversement du système."

Dans un système d'éducation en concurrence, la concurrence pousse sans cesse à l'élévation du niveau pour tout le monde, les établissements les moins bons recopiant les méthodes des meilleurs pour ne pas perdre leurs élèves. Avec la concurrence, on arrive à l'égalité par le haut !

L'égalité pour le haut en fait : le bas étant incapable de recourir aux meilleures écoles pour leurs enfants, et parce que les écoles les moins bien côtées (ou les moins chers si tu préfères) sont incapables d'attirer les meilleurs ressources d'enseignements, voire les meilleurs profs (concernant les universités)

Dans un système d'éducation en concurrence, la concurrence pousse sans cesse à l'élévation du niveau pour tout le monde, les établissements les moins bons recopiant les méthodes des meilleurs pour ne pas perdre leurs élèves. Avec la concurrence, on arrive à l'égalité par le haut !

Le rêve naïf des libéraux.

non. Dans un système de concurrence, on arrive à ce que ceux qui ont de l'argent ont une bonne éducation et les autres n'en ont que peu ou prou. Dans ce système, peut-être que les écoles seront égalitaires, mais alors tout le monde ne pourra pas aller à l'école. Et si tout le monde peut y aller, alors elles ne seront pas égalitaires.

Ça se voit déjà à l'université avec les taux d'échecs des populations pauvres (= devant bosser à côté) et des autres. C'est pas la même.

Ah oui, j'allais oublier de le dire: regarde comme les Chiliens aiment bien l'éducation privée:

T'as pas remarqué que les étudiants chiliens ont manifesté pendant des mois?

Au Chili les études universitaire ne sont pas gratuite, mais en Angleterre non plus et pourtant elles sont public. Privé ne veut pas forcement dire payant, on peut très bien imaginer que l’état paye la majorité des frais de scolarité. Comme aujourd'hui en France. Les écoles serait gérer par des personnes privé plutôt que des fonctionnaires, c'est tout.

Au Chili les études universitaire ne sont pas gratuite, mais en Angleterre non plus et pourtant elles sont public.

Les Anglais... les Anglais...

Ah oui ! Je me souviens ! Ce sont les étudiants anglais qui avaient protesté en masse l'année dernière contre les frais d'inscriptions élevés

Eh, j'ai pas dit que c’était l'exemple a suivre ^^ Juste que école privé, ne veut pas forcement dire école payante et école public, école gratuite.

Alors j'attends avce impatience un exemple d'école privée gratuite...

Bah pour l'instant il n'y en a pas à ma connaissance ^^ Et au final comme je le voit elle ne serait pas "gratuite" mais financer par l’état. Comme maintenant, mais le but des ecoles, en plus d’éduquer des élèves, serait de faire de l'argent.( concurrence tout ça....)

Il y a "comme tu le vois", et il y a la réalité sur le terrain : je viens de vérifier pour tout Taiwan, il n'y a aucune école privée qui soit gratuite ! J'ai la flegme de faire la même recherche pour le Japon, mais je ne m'attend pas à trouver ce genre d'école.