« Nous devons disposer d'un cadre juridique et fiscal facilitant la finance islamique qui soit à la hauteur de nos ambitions et des espérances des investisseurs », déclarait fermement Christine Lagarde, en 2009.

Le ministère français de commence fort la rentrée 2010. Après l'aménagement, en février 2009, du cadre fiscal français pour la murabaha et le sukuk, deux instruments financiers conforme à la charia, de nouvelles avancées ont été enregistrées mardi 24 août avec la publication d'instructions fiscales portant sur quatre produits de la finance islamique.

Sont concernés le sukuk, un titre d'investissement, dont le capital et la rémunération sont indexés sur la performance d'actifs réels détenus par un émetteur ; la murabaha, une opération d'achat-revente par un financier islamique avec marge bénéficiaire et sans intention de spéculation ; l'ijara, un contrat de location-vente par lequel l'investisseur achète un équipement et le loue à une entreprise ou à un particulier ; et l'istisna, un contrat selon lequel une partie demande à une autre de lui construire un ouvrage contre rémunération payable d'avance, de manière fractionnée ou à terme.

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Cool des banques halal !!

de l'argent hallal....ça manquait....

DES SOUS.... des sous ..( pour les francais.....?)

Au moins ils pratiqueront des taux honnêtes, à part qu'on nous demandera sûrement un pédigrée ...

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essayeur

à part qu'on nous demandera sûrement un pédigrée ...

Pourquoi ? Dans les autres pays ils n'en demande pas.

En Angleterre, ils ont plus de 20% de leur clientèle qui est non-musulmane.

Madame, Monsieur,

Le capital islamique ne diffère aucunement des capitaux des banques dites à intérêts. La seule différence, c'est l'hypocrisie des termes utilisés. La banque islamique dit ne pas faire d'intérêt. Mais elle remplace cet intérêt par un prélèvement qui aura un autre terme, tel rémunération de capital ou frais de gestion.

Maintenant revenons au monde réel des affaires et nous verrons qu'il n'y a aucune différence entre les capitaux dits juifs ou chrétiens ou islamiques ou bouddhistes ou hindouistes ou trotskystes ou maoïstes ... etc... quand il s'agit d'argent.

On vous prête de l'argent. Certains réclament un intérêt, d'autres des frais d'utilisation de l'argent, d'autres un coût d'utilisation etc.

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J'ai contacté des banques dites islamiques. Elles n'ont rien à envier aux autres banques, même aux cartes de crédit. Alors arrêtons de faire croire et de croire que la banque islamique serait une sorte de paradis sur terre.

Allons visiter les pays islamiques et les banques islamiques, et on parlera ensuite. Il est facile de faire les louanges des banques islamiques quand on est bien installé en Europe de l'ouest et en Amérique du nord.

Madame, Monsieur,

Le capital islamique ne diffère aucunement des capitaux des banques dites à intérêts.

Si c'était vrai, il n'y aurait pas besoin d'une évolution du droit pour autoriser les banques islamiques en France.

Et quand ont parle d'islamisation de l'Europe,ont nous rit au nez lol quoi ..pas besoin de la finance islamique pour mettre de l'ordre,ils suffit de faire respecter les lois et de changer quelque truc..

Le principe est pas mal,la base oui: le religieux... et sa seras encore pire tant que l'ont laisse entrer chez nous des musulmans qui devienne français en allant au premier chiotte publique..

Grenouille Verte,

Les formules que l'on qualifie d'islamiques sont déjà pratiquées depuis longtemps par des banques et des institutions financières diverses.

La formule de crédit-bail est déjà pratiquée partout. La banque finance les équipements que vous remboursez sur une période donnée. Ces équipements demeurent la propriété de la banque jusqu'au moment où vous les payez entièrement. Si vous faites faillite, ils sont récupérés par la banque. Il en est de même dans le domaine de la vente-location automobile. Il n'y a là rien de nouveau, et surtout rien d'islamique.

La formule de Moudaraba est pratiquée depuis les années 70 par le FTQ (fonds des travailleurs du Québec) et par Solidarité dans des entreprises québécoises. Il s'agit en fait d'une prise de participation au capital de la société.

Par ailleurs, pour en revenir à l'essentiel, une banque, aussi bien traditionnelle que islamique, fructifie son capital en le prêtant:

- dans la banque traditionnelle, l'emprunt est payé sous le nom d'intérêt

- dans la banque islamique, l'emprunt est payé sous divers noms tels les frais de gestion ou les frais administratifs.

Substantiellement, il n'y a de différence que l'appellation de la façon dont le prêt est rémunéré.

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PS: évitons de verser dans la démagogie populiste islamique.

En tout cas, ça ne devais pas être utilisé en France, puisque ce n'était pas légal.

Une banque islamique ou autre reste une banque d'affaires, de busnes$$$$$$ et pas autre chose que çà !

Elle investit dans la formule hallal au même titre que la boucherie et autres trouvailles pour ramasser du pognon !

La législation française n'est interessée que par l'apport massif des capitaux islamiques (hallal ou non) et renflouer le trésor public. L'argent na ni odeur ,ni religion et les banques ne s'interessent qu'aux riches ;prétendre le contraire n'est que simple naiveté de citoyen lambda.

L'économie dite islamique a financé majoritairement le programme de Bush de sauvetage des institutions financières, tout comme elle a financé l'occupation de l'Irak, la guerre du Golfe et la colonisation des territoires palestiniens.

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Quand un ministre français fait appel aux capitaux dits islamiques, c'est que la finance française se prépare tout simplement à fourrer les gestionnaires stupides, ou voleurs complices, de l'argent de peuples arabes et musulmans.

Cet argent provient du pétrole qui, logiquement, appartient au peuple du territoire sur lequel ce pétrole se trouve. Seulement, dans ces pays dirigés par des fantoches placés par les USA et les Occidentaux, des roitelets, des émirs enturbannés et des dictateurs dilapident le patrimoine de la nation et des générations futures.

Alors évitons de faire semblant de paniquer car le régime de Sarkozy s'apprête à avaler les capitaux de ces vrais perdants, les voleurs des capitaux dits islamiques, en fait, de l'argent lui-même volé aux peuples des régions pétrolifères qui vivent dans la pauvreté, la misère et la dictature au nom de la religion, pour que la démocratie de la France survive.

L'économie dite islamique a financé majoritairement le programme de Bush de sauvetage des institutions financières, tout comme elle a financé l'occupation de l'Irak, la guerre du Golfe et la colonisation des territoires palestiniens.

Sources ?