La vie de couple ? Non merci !

Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux. Cette semaine, nous revenons sur une tendance de fond qui traverse nos sociétés : dans de très nombreux pays, le nombre de célibataires augmente, les femmes exprimant une lassitude profonde envers les relations hétérosexuelles. La presse étrangère décrypte les raisons de ce malaise.

Enfin seule ! Et pas forcément mécontente de l’être : voilà comment nous pourrions résumer notre dossier cette semaine. En novembre, The Economist consacrait sa une à la vague de célibat qui déferle sur le monde : “Depuis 2010, estime l’hebdomadaire britannique, la proportion de personnes qui vivent seules a augmenté dans 26 pays riches sur 30. Le monde compte 100 millions de célibataires de plus que si les couples avaient continué de se former au même rythme qu’en 2017.” Dans la foulée, c’est D (La Repubblica delle Donne), en Italie, qui titrait sur le “choix des jeunes femmes”. “Célibataires, libres et heureuses ?” s’interrogeait le supplément hebdomadaire de La Repubblica.

Un sujet largement débattu dans la presse étrangère ces dernières semaines après la parution, fin octobre dans le magazine Vogue, d’un article signé Chanté Joseph qui a largement été commenté depuis sur les réseaux sociaux et dans la presse internationale, donc. N’est-il pas devenu gênant d’avoir un copain quand on est une femme aujourd’hui, osait la journaliste. “À l’heure où nos rôles traditionnels sont en train de s’effondrer, peut-être que le temps est venu de réévaluer notre allégeance aveugle à l’hétérosexualité.” Tollé mais débat.

https://www.courrierinternational.com/article/a-la-une-de-l-hebdo-la-vie-de-couple-non-merci_238320

Quel rapport entre le célibat et la " lassitude des relations hétérosexuelles " ? Être célibataire ne veut pas nécessairement induire n’avoir aucune relation d’aucune sorte. Et quand on choisit de vivre chacun chez soi, c’est considéré comme du célibat ou pas ?

Expliquer la baisse du nombre des couples par une "lassitude des relations hétérosexuelles" est très réducteur, fallacieux, insultant même.

Quid des couples homosexuels ? Ne sont-ils pas des couples comme les autres? 

Quid des couples non mariés ou pacsés? Ne sont-ils pas des couples comme les autres?

Cet article basé sur une vue traditionnelle et rétrograde de la notion de couple ne tenant pas compte de l'évolution des sociétés contemporaines de vaut pas tripette.

Il y a 9 heures, Marcuse a dit :

dans de très nombreux pays, le nombre de célibataires augmente

Ok.

Comme disait mon grand père : -  mieux vaut péter en compagnie que crever tout seul ! 

Ceci dit les même qui revendiquent  leurs célibat en solitaire , quand le grand âge arrivera sans famille et sans personnes ça leur fera tout drôle .

Il y a 7 heures, Mite_Railleuse a dit :

Quel rapport entre le célibat et la " lassitude des relations hétérosexuelles " ? Être célibataire ne veut pas nécessairement induire n’avoir aucune relation d’aucune sorte. Et quand on choisit de vivre chacun chez soi, c’est considéré comme du célibat ou pas ?

Le chacun chez soi est bien pratique , au moment voulu ça permet d'éviter de supporter un malade .

il y a 10 minutes, Elbaid1 a dit :

Comme disait mon grand père : -  mieux vaut péter en compagnie que crever tout seul ! 

Ceci dit les même qui revendiquent  leurs célibat en solitaire , quand le grand âge arrivera sans famille et sans personnes ça leur fera tout drôle .

Pas si sûr .. même en couple il y en a toujours un des deux qui meurt avant l'autre, on meurt rarement en même temps, donc au bout d'un moment, même en couple au départ, il y aura toujours des conjoints qui se retrouverons seuls au grand âge   

Sans personne, pas nécessairement, qu'est ce que tu fais des amis ?   Un club du 3e âge .. il y a des petits vieux, même seuls soit célibataires soit veufs/veuves, très actifs  

Je suis en couple pourtant, mais je sais bien qu'il y a de grandes chances à supposé qu'on sois toujours ensemble dans des années à vieillir ensemble, que je pourrais me retrouver seule quand même au grand âge   

il y a 56 minutes, Elbaid1 a dit :

Le chacun chez soi est bien pratique , au moment voulu ça permet d'éviter de supporter un malade .

bonjour,

surtout quand c'est la personne qui le dit qui l'est ....

en quoi est-ce "pénible" de supporter un malade, surtout si ce malade est votre compagne ?

n'est pas de l'égoïsme porté à son plus haut degré ?

bonne journée .

il y a une heure, Elbaid1 a dit :

Le chacun chez soi est bien pratique , au moment voulu ça permet d'éviter de supporter un malade .

Quelle médiocre vision des choses. Imputer ce genre de calcul induit un bien triste état d’esprit…

il y a 46 minutes, pic et repic a dit :

bonjour,

surtout quand c'est la personne qui le dit qui l'est ....

en quoi est-ce "pénible" de supporter un malade, surtout si ce malade est votre compagne ?

n'est pas de l'égoïsme porté à son plus haut degré ?

bonne journée .

Bah ! Justement , le principe du chacun chez soi est d'éviter le désagrément et des implications  d'une vie à deux en couple sous le même toit . Si d'aventure l'un des deux perd son autonomie totale , l'autre ne pourra envisager de prendre en charge son amant ou amante puisqu'ils ne vivent pas ensemble , le chacun sa merde ou chez soi on l'assume jusqu'au bout dans la logique du chacun chez ou pour soi .

Il y a 11 heures, Marcuse a dit :

Chaque semaine, “Courrier international” explique ses choix éditoriaux. Cette semaine, nous revenons sur une tendance de fond qui traverse nos sociétés : dans de très nombreux pays, le nombre de célibataires augmente, les femmes exprimant une lassitude profonde envers les relations hétérosexuelles. La presse étrangère décrypte les raisons de ce malaise.

Enfin seule ! Et pas forcément mécontente de l’être : voilà comment nous pourrions résumer notre dossier cette semaine. En novembre, The Economist consacrait sa une à la vague de célibat qui déferle sur le monde : “Depuis 2010, estime l’hebdomadaire britannique, la proportion de personnes qui vivent seules a augmenté dans 26 pays riches sur 30. Le monde compte 100 millions de célibataires de plus que si les couples avaient continué de se former au même rythme qu’en 2017.” Dans la foulée, c’est D (La Repubblica delle Donne), en Italie, qui titrait sur le “choix des jeunes femmes”. “Célibataires, libres et heureuses ?” s’interrogeait le supplément hebdomadaire de La Repubblica.

Un sujet largement débattu dans la presse étrangère ces dernières semaines après la parution, fin octobre dans le magazine Vogue, d’un article signé Chanté Joseph qui a largement été commenté depuis sur les réseaux sociaux et dans la presse internationale, donc. N’est-il pas devenu gênant d’avoir un copain quand on est une femme aujourd’hui, osait la journaliste. “À l’heure où nos rôles traditionnels sont en train de s’effondrer, peut-être que le temps est venu de réévaluer notre allégeance aveugle à l’hétérosexualité.” Tollé mais débat.

https://www.courrierinternational.com/article/a-la-une-de-l-hebdo-la-vie-de-couple-non-merci_238320

Je viens de lire cela il y a une petite heure sur CourrierInternational en prenant mon petit déj

A quand un commentaire sur les "bienfaits" de la grande solitude? j'attends...

il y a 5 minutes, Elbaid1 a dit :

Bah ! Justement , le principe du chacun chez soi est d'éviter le désagrément et des implications  d'une vie à deux en couple sous le même toit . Si d'aventure l'un des deux perd son autonomie totale , l'autre ne pourra envisager de prendre en charge son amant ou amante puisqu'ils ne vivent pas ensemble , le chacun sa merde ou chez soi on l'assume jusqu'au bout dans la logique du chacun chez ou pour soi .

C’est ton sentiment perso ou ce que tu penses des motivations de ceux qui préfèrent le chacun chez soi ?

il y a 17 minutes, Elbaid1 a dit :

Bah ! Justement , le principe du chacun chez soi est d'éviter le désagrément et des implications  d'une vie à deux en couple sous le même toit . Si d'aventure l'un des deux perd son autonomie totale , l'autre ne pourra envisager de prendre en charge son amant ou amante puisqu'ils ne vivent pas ensemble , le chacun sa merde ou chez soi on l'assume jusqu'au bout dans la logique du chacun chez ou pour soi .

ce n'est donc que la confirmation d'un certain égoïsme et d'un égoïsme certain .

... dans le bonheur et dans les épreuves, dans la santé et dans la maladie ... 

bonne journée.

il y a 41 minutes, Mite_Railleuse a dit :

C’est ton sentiment perso ou ce que tu penses des motivations de ceux qui préfèrent le chacun chez soi ?

Mon état d'esprit et ou mes sentiments personnel n'ont aucune importance , je traite le sujet selon la logique de ce qui implique un choix de vie qui consiste à vivre seul et refuser la vie à deux . Je veux dire par la qu'il ne s'agit pas par la suite d'appeler son "compagnon ou compagnons" sous prétexte d'une perte d'autonomie du à une longue maladie qui necessite des soins de chaque instant .

J'ai vue mon père être au chevet de ma mère jusqu'au bout , et il faut beaucoup de courage , certes , mais derrière il y avait une vie de couple de 45 ans  sous le même toit pour le meilleur et pour le pire .  

Crois tu que dans le cas d'une de vie avec occasionnellement un chacun chez soi plus ou moins loin , crois tu sincèrement que ton partenaire occasionnel en chacun chez soi  restera à ton chevet H24 ? J'en suis pas certain .

il y a une heure, Elbaid1 a dit :

Bah ! Justement , le principe du chacun chez soi est d'éviter le désagrément et des implications  d'une vie à deux en couple sous le même toit . Si d'aventure l'un des deux perd son autonomie totale , l'autre ne pourra envisager de prendre en charge son amant ou amante puisqu'ils ne vivent pas ensemble , le chacun sa merde ou chez soi on l'assume jusqu'au bout dans la logique du chacun chez ou pour soi .

Ce qui veut dire que tu laisserais crever ta compagne parce que vous ne vivez pas ensemble ? 

il y a 19 minutes, Elbaid1 a dit :

Crois tu que dans le cas d'une de vie avec occasionnellement un chacun chez soi plus ou moins loin , crois tu sincèrement que ton partenaire occasionnel en chacun chez soi  restera à ton chevet H24 ? J'en suis pas certain .

Vivre séparés, n’est pas synonyme de « partenaire occasionnel ». C’est un choix de vie comme un autre, et à ce titre, respectable.

Et imaginer que l’amour, la tendresse, l’attention, la bienveillance sont assujettis à un vivre ensemble ou séparé, est inepte.  

Lorsque deux humains décident de vivre ensemble c'est parce qu'ils s'aiment et veulent partager cet amour.

Imaginons que vous vouliez faire un voyage au loin et que pour se faire, vous deviez prendre un paquebot ou un avions pour la première fois.

Votre envie de voyage est énorme et puis au bout de quelques heures ou jours, une petite musique s'installe dans votre esprit:

Et si le bateau rencontrait un iceberg et s'il il coulait comme le Titanic?
Et si l'avion avait un problème en vol, un terroriste avec une bombe?

En y réfléchissant de plus en plus, vous allez finir par aller nulle part , paralyser par la crainte de ce qui pourrait arriver.

La vie en couple, c'est un voyage qui commence avec de bonnes intentions.Mais si on commence à voir tout ce qui pourrait mal tourner, on ne ferait pas le voyage.

Entre nous, je n'imagine pas deux êtres qui s'aiment penser un seul instant qu'is seront malheureux un jour.

Les personnes qui réfléchissent autant avant la vie de couples, de mon point de vue, sont des personnes qui devraient commencer à apprendre à aimer.

Ainsi soit il.

il y a une heure, Mite_Railleuse a dit :

Vivre séparés, n’est pas synonyme de « partenaire occasionnel ». C’est un choix de vie comme un autre, et à ce titre, respectable.

Et imaginer que l’amour, la tendresse, l’attention, la bienveillance sont assujettis à un vivre ensemble ou séparé, est inepte.  

Vivre séparé va nécessairement impliqué que l'un  sera assujettit à la volonté de l'autre , ça implique forcément que l'amant ou amante devient une sorte de produit de consommation courant selon les moments de bon ou mauvaise humeur de son partenaire ....tu comprend ? Nous ne sommes pas des produits a la carte , un jour oui un jour non , une semaine oui une semaine non selon un emploie du temps et surtout le désir du partenaire .

Toute façon beaucoup en revienne de la formule du " chacun chez soi " au début c rigolo mais a force on s'en lasse et si en plus le partenaire tombe malade  c un peu trop tard pour y être H24. . 

Des personnes seules consomment plus, sont plus dociles politiquement, n'ont plus de rapport de force en leur faveur, plus tendance à consommer alcools et drogues, bref le rêve des politiques   

il y a 15 minutes, Elbaid1 a dit :

Vivre séparé va nécessairement impliqué que l'un  sera assujettit à la volonté de l'autre , ça implique forcément que l'amant ou amante devient une sorte de produit de consommation courant selon les moments de bon ou mauvaise humeur de son partenaire ....tu comprend ? Nous ne sommes pas des produits a la carte , un jour oui un jour non , une semaine oui une semaine non selon un emploie du temps et surtout le désir du partenaire . 

Tu parles d’amants et non de couple. Tout est dit…

Il y a 1 heure, Out of Paprika a dit :

Ce qui veut dire que tu laisserais crever ta compagne parce que vous ne vivez pas ensemble ? 

Ne pas vivre ensemble implique forcément ne pas être présent , et ce d'autant plus si cet volonté émane de la personne malade et ou qui aurait besoin de plus de présence ....

Comme je dis ailleurs , nous ne sommes pas des produits qu'on utilise selon les besoins ... 

Mais bon il est possible que certains accepte ce type de condition , au besoin tu reste chez moi si non tu dégage retourne chez ta mère ....non parce que c'est cela le chacun chez soi . 

à l’instant, Mite_Railleuse a dit :

Tu parles d’amants et non de couple. Tout est dit…

Non . je parle de personnes qui vivent ensemble et les autres qui ne vivent pas ensemble , tu peux les appeler couple ou amant ça change pas la donne 

Tu joues avec les mots lol mais bon pour être en couple je pense qu'il faut forcément partager un nid commun et pas se trouver a temps partiel . lol