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  1. Pour modéliser la température terrestre, tu veux dire. Bien sûr, je pense qu'on est à peu près tous d'accord là-dessus.
  2. Le risque de baisse de consommation à moyen terme est faible. Elle est en hausse depuis longtemps, excepté l'épisode Covid évidemment. L'essentiel de la hausse de la consommation se passe en Asie et il est prévu qu'elle continue. Donc au minimum, on peut s'attendre à ce que la consommation reste la même. https://www.iea.org/data-and-statistics/charts/world-oil-supply-and-demand-1971-2020 L'industrie automobile peut vendre des voitures électriques. Elles se seraient repenties et auraient vu la lumière ?
  3. Je ne parlais pas de compagnies pétrolières. Le sujet du consensus est au sujet des scientifiques. Cela dit, les experts du pétrole sont sans doute les meilleurs experts des réserves actuelles et donc peuvent répondre à la question : encore combien de temps peut-on augmenter les émissions de CO2, c'est-à-dire, encore combien de temps peut-on augmenter l'extraction d'hydrocarbures et donc sa consommation. Les climatologues ne nous sont d'aucune utilité pour répondre à cette question. Un sondage parmi les experts du pétrole et du gaz serait intéressant. Sinon, il est assez facile de trouver des informations par exemple sur l'article Wikipédia du pic pétrolier : Quand au discours des compagnies pétrolières, n'oublions pas que ce sont des entreprises. Leur but n'est pas que le profit immédiat mais aussi de pérenniser leurs actifs : arrêter l'augmentation de l'utilisation du pétrole peut aller dans ce sens en allongeant la durée de leurs revenus. Elles n'ont donc pas nécessairement intérêt à nier le réchauffement climatique. En fait, c'est dans leur intérêt sur le long terme de développer des énergies alternatives afin d'avoir des revenus après le pic de pétrole. Et le discours des climatologues est une aide pour eux afin de convaincre les consommateurs d'acheter d'autres énergies même si elles sont plus chères.
  4. Au sujet de la surpopulation, j'ai bien aimé la vidéo de Osons Causer, qui explique que la transition démographique a déjà eu lieu partout dans le monde, et donc que l'augmentation de la population va ralentir. Cela dit du fait du retard lié au vieillissement dans les pays pauvres, la population va se stabiliser à environ 10 milliards. En d'autres termes, la population va continuer à augmenter mais ce n'est plus une augmentation exponentielle, c'est une stabilisation (comme une exponentielle négative). Curieuse réaction. Ben, bonne soirée aussi.
  5. Qu'y a-t-il de "méchant" sur ce graphique ? Sinon le RCP2.6 semble pas incroyable. Je suis a peu près sûre que ça va pas être l'apocalypse avec 1 ºC de plus. Ben dire que tous les scientifiques sont d'accord pour dire qu'il ne savent pas, ça veut pas dire grand chose. Je parle de sondage parce que c'est basé sur un sondage la question du consensus sur le réchauffement climatique. Et dans ce sondage, on demandait s'il y avait un réchauffement et s'il été causé par l'homme. Quelque chose comme cela.
  6. Déjà si c'est super flou, parler de consensus n'a pas de sens. Si on suppose toutes les possibilités ben évidemment qu'on a obtient facilement un oui. Et même, y a-t-il aucun sondage là-dessus ? Déjà on parle de choses futures. Alors que soit disant il y aurait déjà des causes. Et par exemple, concernant les cyclones majeurs, il n'y a pas d'effet constaté pour le moment. Et avec des "il se peut" on ne fait pas un consensus. Ou alors oui, il y a un consensus pour dire que dans le futur il se peut qu'il y ait des problèmes. Cela est complètement creux. On peut aussi dire qu'il se peut qu'il y ait pas de problème climatique. Et alors on est pas beaucoup plus avancé.
  7. Je pense encore à un autre argument qui est dans les choux, c'est celui du consensus. Un consensus sur quoi ? sur l'effet anthropique ? On peut dire que la grande majorité, y compris beaucoup de "climatosceptiques", considèrent que les activités humaines réchauffent la planète. Après il y a des scientifiques qui n'y croient pas, alors sans doute le mot "consensus" n'est pas adapté, mais bon il est établi que le CO2 a un effet d'opacité sur certaines longueurs d'ondes. sur le fait que la température va continuer à monter pendant 250 ans pour atteindre +6 ºC ? Là je pense pas qu'il y ait de consensus. La plupart des modèles vont prédire des augmentations parce qu'en entrée ils reçoivent la supposition que les émissions de GES vont continuer à augmenter jusqu'en 2100. Mais si l'on demande aux spécialistes du pétrole, je pense qu'on aura une majorité qui dira que cela n'arrivera pas du fait des prédictions sur la production des hydrocarbures (maximum pétrole+gaz prévu en 2030). sur les effets négatifs de la température ? Je pense pas non plus qu'il y ait de consensus. Si l'on demande à des spécialistes dans les catastrophes naturelles pour leur demander s'il y a une augmentation liée à la température, je suppose que la majorité dira que non, parce que les données ne l'indiquent pas. Ils diront peut-être des phrases du genre qu'il y a un "risque possible" ce qui ne veut pas dire grand chose. Donc si l'on veut, il y a un consensus sur l'effet anthropique par les gaz à effet de serre mais pas sur une augmentation encore pendant longtemps ni sur les effets négatifs.
  8. Vous voulez parler de la hauteur d'air, ou bien ?
  9. Le site est très complet, félicitations.
  10. Tu fais erreur. La pression de Jupiter peut aller jusqu'à 200 000 Pa, ce qui fait seulement 2 bars. Alors que la pression sur Vénus est de 93 bar. Le climat de Vénus est particulier, c'est pas évident pour moi comment il fonctionne. La température entraine de la pression et la pression entraine de la température, alors ça fait un peu comme la poule et l'oeuf. Une atmosphère d'azote, cas de la Terre (1,2 g/L à 15 °C 1,013 bar) est plus légère qu'une atmosphère de CO2, cas de Vénus (1,9 g/L à 15 °C 1,013 bar). Cela entraine par gravité une augmentation de la pression et donc de la température. Voilà un petit facteur parmi d'autres. Mais bon on s'éloigne du sujet, notre planète. La température actuellement augmente linéairement avec la quantité d'émission par an. Donc pour moi, cela amène la question : pendant combien de temps est-on capable d'augmenter la quantité de CO2 qu'on émet chaque année ? Sachant que le maximum de production de pétrole et de gaz est prévu autour de 2030 et que le charbon est moins facile à utiliser.
  11. Déséquilibrer non, déplacer les équilibres, oui. Les humains ont un effet avec la température mais en soi, le changement n'est ni bon ni mauvais. Il y a une sorte de moralisme implicite à considérer que par défaut, si cela change, c'est mauvais. Or pour savoir si c'est bon ou mauvais, il y a trois choses à faire : déterminer l'ensemble des phénomènes significatifs que l'on considères liés apporter la preuve qu'ils sont effectivement causés par le changement de température pour chacune conséquence, déterminer si c'est bon ou mauvais Ces trois choses ne sont pas faites en général. Donc c'est de la rhétorique en fait. Ce n'est pas pour les ours, c'est pour convaincre. Ah ben ça vient pas de moi de tout mettre sur le dos de la température. Par exemple : https://www.axa-research.org/fr/projet/rebekka-steffen Comme dit, un point commun, c'est pas suffisant. En fait les trois choses que tu cites sont causées par les humains. Mais il est erroné d'en conclure que le réchauffement climatique serait la cause des autres.
  12. La température n'est pas instable, non, elle est en augmentation linéaire. Perso je ne doute pas que le CO2 et peut-être d'autres gaz produits par les humains soient la cause, parce que j'ai fait quelques calculs de simulation et je trouve peu de corrélation avec la cause alternative plausible qui est le soleil. Dans le passé, quand le ppm était élevé, la température était aussi plus élevée. Pas autant que Vénus bien entendu. Sur Vénus, le fait de la pression sous le poids du CO2 me semble la raison de la température, pas l'effet de serre.
  13. Plutôt après 1970 mais oui effectivement c'est assez stable depuis. Il me semble qu'on en est pas à une réduction rédhibitoire pour les ours parce qu'ils savent bien nager. Cela dit d'un point de vue moral, il me semble pas qu'on puisse dire ce qui est meilleur, la vie des ours blancs ou la vie des phoques. D'ailleurs en parlant des phoques, ils mangent des poissons qui d'autre part sont convoités par la pêche commerciale. Et les phoques font aussi l'objet de la chasse par les humains. Encore une fois, la chasse faite par les humains me parait un paramètre déterminant. Enfin bref, si la banquise fond trop, on peut se demander ce qu'on pourrait faire pour améliorer la situation pour ces différentes espèces. Je veux dire des actions efficaces. La seule stratégie d'éviter que cela fonde est le contraire d'une action, fondée davantage sur la culpabilité d'avoir un impact sur la Nature que sur une réflexion rationnelle sur les actions concrètes qu'on peut faire. Petit coquinou
  14. Autre truc à côté de la plaque, les ours blancs. La banquise fond du fait du réchauffement climatique. Oui mais en fait sa superficie varie au cours de l'année. C'est n'est pas pendant l'été que les ours vont se nourrir sur la banquise, alors peu importe pour eux qu'elle soit rétrécie à ce moment-là. Une des raisons pour lesquelles les ours blancs embêtent les Inuits est que la population des ours blancs a augmenté depuis l'interdiction de le chasser de 1972/1973 (avec des exceptions pour les Inuits notamment). Les quotas ont été un peu augmenté, pour permettre notamment plus de chasse au trophée, ce qui explique le ralentissement de la croissance de la population des ours blancs. La chasse est donc la principale menace qui pèse sur les ours blancs. Cela a du sens si l'on veut préserver l'espèce de limiter les exceptions. Encore un fois, ce n'est pas une histoire de température.
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