-
Compteur de contenus
5 823 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
2
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par existence
-
Pour modéliser la température terrestre, tu veux dire. Bien sûr, je pense qu'on est à peu près tous d'accord là-dessus.
-
Le risque de baisse de consommation à moyen terme est faible. Elle est en hausse depuis longtemps, excepté l'épisode Covid évidemment. L'essentiel de la hausse de la consommation se passe en Asie et il est prévu qu'elle continue. Donc au minimum, on peut s'attendre à ce que la consommation reste la même. https://www.iea.org/data-and-statistics/charts/world-oil-supply-and-demand-1971-2020 L'industrie automobile peut vendre des voitures électriques. Elles se seraient repenties et auraient vu la lumière ?
-
Je ne parlais pas de compagnies pétrolières. Le sujet du consensus est au sujet des scientifiques. Cela dit, les experts du pétrole sont sans doute les meilleurs experts des réserves actuelles et donc peuvent répondre à la question : encore combien de temps peut-on augmenter les émissions de CO2, c'est-à-dire, encore combien de temps peut-on augmenter l'extraction d'hydrocarbures et donc sa consommation. Les climatologues ne nous sont d'aucune utilité pour répondre à cette question. Un sondage parmi les experts du pétrole et du gaz serait intéressant. Sinon, il est assez facile de trouver des informations par exemple sur l'article Wikipédia du pic pétrolier : Quand au discours des compagnies pétrolières, n'oublions pas que ce sont des entreprises. Leur but n'est pas que le profit immédiat mais aussi de pérenniser leurs actifs : arrêter l'augmentation de l'utilisation du pétrole peut aller dans ce sens en allongeant la durée de leurs revenus. Elles n'ont donc pas nécessairement intérêt à nier le réchauffement climatique. En fait, c'est dans leur intérêt sur le long terme de développer des énergies alternatives afin d'avoir des revenus après le pic de pétrole. Et le discours des climatologues est une aide pour eux afin de convaincre les consommateurs d'acheter d'autres énergies même si elles sont plus chères.
-
Au sujet de la surpopulation, j'ai bien aimé la vidéo de Osons Causer, qui explique que la transition démographique a déjà eu lieu partout dans le monde, et donc que l'augmentation de la population va ralentir. Cela dit du fait du retard lié au vieillissement dans les pays pauvres, la population va se stabiliser à environ 10 milliards. En d'autres termes, la population va continuer à augmenter mais ce n'est plus une augmentation exponentielle, c'est une stabilisation (comme une exponentielle négative). Curieuse réaction. Ben, bonne soirée aussi.
-
Qu'y a-t-il de "méchant" sur ce graphique ? Sinon le RCP2.6 semble pas incroyable. Je suis a peu près sûre que ça va pas être l'apocalypse avec 1 ºC de plus. Ben dire que tous les scientifiques sont d'accord pour dire qu'il ne savent pas, ça veut pas dire grand chose. Je parle de sondage parce que c'est basé sur un sondage la question du consensus sur le réchauffement climatique. Et dans ce sondage, on demandait s'il y avait un réchauffement et s'il été causé par l'homme. Quelque chose comme cela.
-
Déjà si c'est super flou, parler de consensus n'a pas de sens. Si on suppose toutes les possibilités ben évidemment qu'on a obtient facilement un oui. Et même, y a-t-il aucun sondage là-dessus ? Déjà on parle de choses futures. Alors que soit disant il y aurait déjà des causes. Et par exemple, concernant les cyclones majeurs, il n'y a pas d'effet constaté pour le moment. Et avec des "il se peut" on ne fait pas un consensus. Ou alors oui, il y a un consensus pour dire que dans le futur il se peut qu'il y ait des problèmes. Cela est complètement creux. On peut aussi dire qu'il se peut qu'il y ait pas de problème climatique. Et alors on est pas beaucoup plus avancé.
-
Je pense encore à un autre argument qui est dans les choux, c'est celui du consensus. Un consensus sur quoi ? sur l'effet anthropique ? On peut dire que la grande majorité, y compris beaucoup de "climatosceptiques", considèrent que les activités humaines réchauffent la planète. Après il y a des scientifiques qui n'y croient pas, alors sans doute le mot "consensus" n'est pas adapté, mais bon il est établi que le CO2 a un effet d'opacité sur certaines longueurs d'ondes. sur le fait que la température va continuer à monter pendant 250 ans pour atteindre +6 ºC ? Là je pense pas qu'il y ait de consensus. La plupart des modèles vont prédire des augmentations parce qu'en entrée ils reçoivent la supposition que les émissions de GES vont continuer à augmenter jusqu'en 2100. Mais si l'on demande aux spécialistes du pétrole, je pense qu'on aura une majorité qui dira que cela n'arrivera pas du fait des prédictions sur la production des hydrocarbures (maximum pétrole+gaz prévu en 2030). sur les effets négatifs de la température ? Je pense pas non plus qu'il y ait de consensus. Si l'on demande à des spécialistes dans les catastrophes naturelles pour leur demander s'il y a une augmentation liée à la température, je suppose que la majorité dira que non, parce que les données ne l'indiquent pas. Ils diront peut-être des phrases du genre qu'il y a un "risque possible" ce qui ne veut pas dire grand chose. Donc si l'on veut, il y a un consensus sur l'effet anthropique par les gaz à effet de serre mais pas sur une augmentation encore pendant longtemps ni sur les effets négatifs.
-
Vous voulez parler de la hauteur d'air, ou bien ?
-
Le site est très complet, félicitations.
-
Tu fais erreur. La pression de Jupiter peut aller jusqu'à 200 000 Pa, ce qui fait seulement 2 bars. Alors que la pression sur Vénus est de 93 bar. Le climat de Vénus est particulier, c'est pas évident pour moi comment il fonctionne. La température entraine de la pression et la pression entraine de la température, alors ça fait un peu comme la poule et l'oeuf. Une atmosphère d'azote, cas de la Terre (1,2 g/L à 15 °C 1,013 bar) est plus légère qu'une atmosphère de CO2, cas de Vénus (1,9 g/L à 15 °C 1,013 bar). Cela entraine par gravité une augmentation de la pression et donc de la température. Voilà un petit facteur parmi d'autres. Mais bon on s'éloigne du sujet, notre planète. La température actuellement augmente linéairement avec la quantité d'émission par an. Donc pour moi, cela amène la question : pendant combien de temps est-on capable d'augmenter la quantité de CO2 qu'on émet chaque année ? Sachant que le maximum de production de pétrole et de gaz est prévu autour de 2030 et que le charbon est moins facile à utiliser.
-
Déséquilibrer non, déplacer les équilibres, oui. Les humains ont un effet avec la température mais en soi, le changement n'est ni bon ni mauvais. Il y a une sorte de moralisme implicite à considérer que par défaut, si cela change, c'est mauvais. Or pour savoir si c'est bon ou mauvais, il y a trois choses à faire : déterminer l'ensemble des phénomènes significatifs que l'on considères liés apporter la preuve qu'ils sont effectivement causés par le changement de température pour chacune conséquence, déterminer si c'est bon ou mauvais Ces trois choses ne sont pas faites en général. Donc c'est de la rhétorique en fait. Ce n'est pas pour les ours, c'est pour convaincre. Ah ben ça vient pas de moi de tout mettre sur le dos de la température. Par exemple : https://www.axa-research.org/fr/projet/rebekka-steffen Comme dit, un point commun, c'est pas suffisant. En fait les trois choses que tu cites sont causées par les humains. Mais il est erroné d'en conclure que le réchauffement climatique serait la cause des autres.
-
La température n'est pas instable, non, elle est en augmentation linéaire. Perso je ne doute pas que le CO2 et peut-être d'autres gaz produits par les humains soient la cause, parce que j'ai fait quelques calculs de simulation et je trouve peu de corrélation avec la cause alternative plausible qui est le soleil. Dans le passé, quand le ppm était élevé, la température était aussi plus élevée. Pas autant que Vénus bien entendu. Sur Vénus, le fait de la pression sous le poids du CO2 me semble la raison de la température, pas l'effet de serre.
-
Plutôt après 1970 mais oui effectivement c'est assez stable depuis. Il me semble qu'on en est pas à une réduction rédhibitoire pour les ours parce qu'ils savent bien nager. Cela dit d'un point de vue moral, il me semble pas qu'on puisse dire ce qui est meilleur, la vie des ours blancs ou la vie des phoques. D'ailleurs en parlant des phoques, ils mangent des poissons qui d'autre part sont convoités par la pêche commerciale. Et les phoques font aussi l'objet de la chasse par les humains. Encore une fois, la chasse faite par les humains me parait un paramètre déterminant. Enfin bref, si la banquise fond trop, on peut se demander ce qu'on pourrait faire pour améliorer la situation pour ces différentes espèces. Je veux dire des actions efficaces. La seule stratégie d'éviter que cela fonde est le contraire d'une action, fondée davantage sur la culpabilité d'avoir un impact sur la Nature que sur une réflexion rationnelle sur les actions concrètes qu'on peut faire. Petit coquinou
-
Autre truc à côté de la plaque, les ours blancs. La banquise fond du fait du réchauffement climatique. Oui mais en fait sa superficie varie au cours de l'année. C'est n'est pas pendant l'été que les ours vont se nourrir sur la banquise, alors peu importe pour eux qu'elle soit rétrécie à ce moment-là. Une des raisons pour lesquelles les ours blancs embêtent les Inuits est que la population des ours blancs a augmenté depuis l'interdiction de le chasser de 1972/1973 (avec des exceptions pour les Inuits notamment). Les quotas ont été un peu augmenté, pour permettre notamment plus de chasse au trophée, ce qui explique le ralentissement de la croissance de la population des ours blancs. La chasse est donc la principale menace qui pèse sur les ours blancs. Cela a du sens si l'on veut préserver l'espèce de limiter les exceptions. Encore un fois, ce n'est pas une histoire de température.
-
Non le sujet c'est le climat et ce à quoi on l'associe. Par exemple en parlant de "chaos climatique", on suscite un imaginaire de catastrophes naturelles, et de fait, quand il y a en a une, on cite systématiquement le réchauffement climatique. Or, si les problèmes en question ne sont pas corrélés à la température, alors on en va pas les empêcher en gardant une température constante. Si les humains ont un effet sur la température, et qu'on attribue la disparition des animaux à la température, alors on passe à côté des causes réelles. Les humains ont un effet sur les animaux, non du fait de la variation de température, mais du fait de la réduction et la fragmentation de l'espace naturel, de la chasse et de la pêche. Les animaux ne vont pas accroitre de nouveau si on émet moins de CO2.
-
Merci. Oui je ne vois pas l'intérêt de viser les gens, c'est une faiblesse argumentative de faire cela.
-
Je ne dis pas que les humains ont une influence sur les séismes.
-
Il me semble que le débat sur le climat est à côté de la plaque, les enjeux réels sont masqués par la question de la température. Quelle est la cause de la disparition des animaux ? Pas la température, mais la réduction de l'espace naturel (par exemple déforestation) et sa segmentation (par exemple une autoroute qui traverse la forêt), la chasse et la pêche. L'élevage, notamment pour produire de la viande, cause indirectement de la déforestation, parce que l'on nourrit les animaux avec du soja OGM qui nécessite de la surface agricole. Quelle est la cause des tremblements de terres, des tsunamis et des éruptions volcaniques ? Pas la température, mais la tectonique des plaques, sur laquelle on ne peut pas faire grand chose. La planète n'est pas "faite pour nous", les catastrophes naturelles ne nous visent pas. Le mieux qu'on puisse faire c'est s'y adapter. Concernant les cyclones, la température a un effet, cependant le nombre de gros cyclones (appelés cyclone / ouragan / typhon) est stable. Il y a une augmentation du nombre de petits cyclones (vitesse maximum inférieure à 118 km/h, de plus faible durée et qui ont peu de conséquences) sans pour autant augmenter l'intensité cyclonique cumulée. Sur les cyclones majeurs, nous n'avons pas d'influence, comme pour les autres catastrophes naturelles. Quelle est la cause des migrations humaines ? Essentiellement pour des raisons économiques et pour fuir les conflits. Les guerres par exemple motivées par l'appropriation des ressources (pétrole, eau, minerais etc.) et les principaux pays exportateurs d'armes sont les USA, la Russie et l'UE. Les raisons économiques sont diverses, mais encore là, l'appropriation des ressources fait que des pays, notamment en Afrique, restent pauvres. Alors, si la température n'est pas la cause de tous nos problèmes, pourquoi est-ce que les énergies fossiles sont un sujet si brûlant ? Parce que c'est la principale source d'énergie, loin devant les autres, et que les ressources sont limitées. Alors que les investissements pour trouver de nouveaux gisements n'ont jamais été aussi haut, les découvertes de nouveaux gisements n'ont jamais été aussi bas. La transition énergétique est donc nécessaire si l'on veut continuer la croissance économique mondiale ou même maintenir l'activité industrielle. Le maximum de production de pétrole et de gaz est estimé autour de 2030, les estimations varient mais le fond de la question reste le même. Les industries pétrolières le savent et si elles ont une stratégie ne serait-ce que sur 10 ans, elles cherchent des alternatives. Ce n'est pas seulement pour leur image, même si c'est devenu un argument de marketing. Autre sujet effectivement éclipsé, mais c'est pas nouveau, c'est les inégalités sociales grandissantes, on le constate dans les pays dits développés. Et cela ne va pas s'arranger avec les limitations des ressources (les hydrocarbures d'abord et ensuite ce sera d'autres matières premières) qui va se traduire par des augmentations de prix. Le climat va se réchauffer et là je parle pas du thermomètre.
-
Pour revenir au sujet de la culture du viol, je pense que tout le monde connait les pensées véhiculées, ce qui est un peu semblable au racisme et à l'homophobie de ce point de vue. Il y a des pensées dans l'inconscient collectif et ensuite à titre individuel on peut être d'accord ou en désaccord. L'impression qu'il y ait un consensus autour de ces idées par contre peut nous influencer et donc il est important de crever l'abcès et d'oser en parler. Il y a une problématique de communication en utilisant le mot féminisme et du discours de certaines femmes qui veulent combattre "ils" c'est-à-dire les hommes. Cela divise le monde en deux, d'un côté les femmes qui seraient victimes et de l'autre les hommes qui seraient coupables. D'une part, cela rend la conversation difficile, et d'autre part, on passe à côté du sujet, qui est la culture du viol. Paradoxalement, on retombe dans la culture du viol en voulant combattre les hommes, puisque par là on valide l'idée que les hommes soient coupables par essence. Les idées qui sont comme ça partagées semblent un peu insaisissables. Mais je pense effectivement que c'est en sortant de la dualité homme-femme (même si bien sûr il y a beaucoup plus de victimes femmes que d'hommes) et en mettant au jour les pensées et expliquant ce qu'elles impliquent, que l'on peut faire avancer les choses.
-
Dissonance entre religion et acceptation des LGBT
existence a répondu à un(e) sujet de existence dans Religion et Culte
Oh la la, on est parti dans des considérations politiques, des batailles idéologiques. On n'a pas un agenda politique par le simple fait d'être LGBT ou bien d'avoir des amis LGBT. De même si on est croyant. Ce que je me demande c'est comment est-ce qu'on gère la dissonance quand d'une part on souhaite accepter les LGBT (y compris soi-même) et de l'autre, on a soit un groupe religieux local anti-LGBT, ou bien des textes avec des passages homophobes, ou bien un leader religieux anti-LGBT. Par exemple une étude sur les chrétiens homosexuels et comment ils gèrent la contradiction éventuelle : https://www.cairn.info/revue-societes-contemporaines-2008-3-page-67.htm La dissonance se pose notamment si on est soi-même homo ou transgenre ou bien qu'on a des amis qui le sont ou bien qu'on aime une célébrité qui l'est. -
Je me demande, quand on est croyant, comme on gère la contradiction qu'il peut y avoir entre les textes religieux, qui contiennent des passages homophobes, et l'acceptation par rapport aux homosexuels, bisexuels et transgenres. Il me semble qu'a minima cela suppose de remettre en question la vérité totale et en tout point des textes religieux. Si vous êtes croyants, je serais intéressé par votre témoignage.
-
L'antifascisme fait-il le jeu de l'extrême droite
existence a répondu à un(e) sujet de existence dans Politique
Je vois alors ce serait une autre division du monde en deux, soit on serait du côté des américains soit on serait du côté des russes. -
L'antifascisme fait-il le jeu de l'extrême droite
existence a répondu à un(e) sujet de existence dans Politique
Le lien me semble assez ténu, si c'était les américains au lieu des russes, on dirait que c'est du conspirationnisme, non ? -
L'antifascisme fait-il le jeu de l'extrême droite
existence a répondu à un(e) sujet de existence dans Politique
As-tu des sources de cela ? Du lien entre le RN et Holcim Ltd ? Et de l'actionnariat de Poutine ? -
L'antifascisme fait-il le jeu de l'extrême droite
existence a répondu à un(e) sujet de existence dans Politique
Précise ta pensée ?