Aller au contenu

Ed.

Membre
  • Compteur de contenus

    1 322
  • Inscription

Tout ce qui a été posté par Ed.

  1. Ed.

    De l'importance du prénom

    Pour moi, cela indique une plus grande considération (réelle ou feinte) pour la personne à qui on s'adresse ; que ce soit un « bonjour untel ou bonjour monsieur, madame ». Pour autant, je ne tiens pas rigueur aux autres de ne pas utiliser mon prénom lorsqu'ils s'adressent à moi car, moi-même, je n'ai pas été habitué à le faire lorsque j'étais plus jeune. J'ai même souvenir que ma mère détestait que la boulangère lui dise : « Bonjour Madame Untel ! – (en pensée ) Oui, merci, je sais comment je m'appelle ! ». Je me rappelle même que tout petit, je m'abstenais carrément de dire « bonjour » car je n'en comprenais pas l'utilité. Fait amusant : dans mon petit village sud-isérois, gamins, nous nous appelions plutôt par nos noms de famille. Je n'ai commencé à citer le prénom de la personne à qui je m'adresse qu'aux alentours de 25 ans, lorsque j'ai constaté qu'une personne que je côtoyais au travail s'était offusquée du fait qu'une collègue ait omis de le faire au moment de la saluer. Cette habitude est désormais tellement ancrée en moi, que je me sens mal de ne pas pouvoir l'appliquer lorsque je ne me rappelle pas du nom de mon interlocuteur.
  2. Pour moi, ça serait plutôt : p*! déjà 18 h... pffffffff Je n'ai encore rien fait de la journée et il est trop tard pour commencer quoi que ce soit... Bon, pas grave on verra demain... Tiens, là, déjà ça va mieux...
  3. « L’indice des villes mondiales d’Oxford Economics classe les villes les plus grandes du monde sur la base de cinq catégories : économie, capital humain, qualité de vie, environnement et gouvernance. Selon cette étude, "La qualité de la vie englobe le bien-être et la satisfaction des habitants d'une ville, reflétant l'intersection de divers facteurs socio-économiques. Cette catégorie donne un aperçu de la vivabilité et de l'attrait d'une ville, qui peut jouer un rôle dans les modèles de migration, la rétention des talents et le bonheur global des résidents." Dans la catégorie Qualité de vie, l'agence évalue les avantages de la vie dans chaque ville et le bien-être des résidents, en couvrant les résultats financiers et de santé, ainsi que l'accès aux équipements. Les indicateurs utilisés sont les suivants : Espérance de vie / Revenu par personne / Égalité des revenus / Dépenses de logement / Loisirs et sites culturels / Vitesse de l'Internet. » https://www.gremag.fr/article/978/28-qualite-de-vie-grenoble-classee-premiere-au-monde.htm Espérance de vie à Chicagre ? Oui, bon, d'accord, les accidents de la route tuent davantage que les balles perdues lors des fusillades... Et puis, si on ne traîne pas trop tard le soir et qu'on ne s'aventure pas trop en dehors du centre ville, on peut survivre jusqu'à un âge avancé.
  4. Après avoir éliminé toutes les listes qui sont juste là pour promouvoir une seule idée fixe, je n'ai plus qu'à choisir celle qui me paraît tenir le discours le plus raisonnable.
  5. Je me dirais qu'il s'agit juste d'un mauvais rêve.
  6. Il y en a deux qui sont cher à mon cœur mais c'est surtout par nostalgie : Goldorak et Capitaine Flam. Sinon, concernant des séries plus ou moins récentes, sans vraiment pouvoir les classer, j'ai bien aimé : Oshi no Ko (Pour une fois que le protagoniste ne se réincarne pas en un truc improbable) : enquête dans le monde du showbiz. Chainsaw Man : du gore rigolo, de la chasse aux démons. Summertime Rendering (Time Shadows) : des « ombres » prennent la place des habitants d'une île ; un jeune homme tente de sauver le monde ; lorsqu'il meure, il fait un retour dans le temps et peut alors changer de stratégie. Spy×Family : la saison 1 était tordante. Kuzu no Honkai (Scum's Wish) : dépressifs, s'abstenir ; j'ai mis une semaine à m'en remettre. Domestic na Kanojo (Domestic Girlfriend / Love x Dilemma) : une romance avec un triangle amoureux. Boku dake ga Inai Machi (Erased) : le héros a le don de faire des petits sauts dans le passé, jusqu'au jour... Shigatsu wa Kimi no Uso (Your Lie in April) : sortez les mouchoirs... Steins;Gate : Voyage temporel, modification du passé, etc. Angel Beats Nazo no Kanojo X (Mysterious Girlfriend X) : un bon délire. Des trucs un peu plus vieux : Saishuu Heiki Kanojo (Saikano / Larme ultime) : la tristesse de la guerre / romance / SF Blood+ : combat contre des créatures malfaisantes (fun fact : à un moment, on voit une 4L) Video Girl Ai : Tiens, la fille de la K7 vidéo vient de sortir de la TV...
  7. Jamais entendu parlé d'un quelconque effet néfaste. Chaque jour, je passe entre 20 et 30 minutes à me réveiller et à me rendormir. Ma seule crainte, c'est d'arrêter la sonnerie au lieu de la faire répéter. Pour parer à cela, j'ai six alarmes différentes à cinq minutes d'intervalle ainsi qu'une alarme qui ne s'arrête qu'avec le badge NFC qui est accroché à mon trousseau de clé qui est lui-même posé sur la table de la cuisine. J'ai également un second téléphone que je pose sur l'étagère de mon armoire, il y a deux alarmes sur celui là. Pour appuyer sur « répéter », je suis obligé de faire deux pas hors du lit mais, en général, je replonge dedans aussitôt.
  8. Reste à évaluer le sérieux de la World Genius Convention. Son site web Sa home page n'est même pas accessible en https... Quant à son président, recordman du nombre de brevets déposés, je vous laisse vous faire votre propre opinion.
  9. Allez, hop, un petit cadeau ! Il ne s'agit pas de musique classique mais c'est joué par un orchestre symphonique. Concert dirigé par Joe Hisaishi pour les 25 ans du Studio Ghibli.
  10. Ça ne me rappelle que des mauvais souvenirs... Ces histoires d'un autre temps étaient si chiantes que, bien qu'en voyant les mots défiler sous mon regard, je ne pouvais m'empêcher de penser à autre chose. Même lorsque j'ai été interrogé à l'oral, pour l'épreuve de français de fin de première, je n'avais qu'une vague idée de l'histoire ; je savais juste que ça parlait de banque et d'actions (L'argent d'Émile Zola). J'ai eu 4/20 .
  11. Lorsqu'un idiot me colle alors qu'au compteur je suis déjà à 10 km/h au dessus de la limite, j'en profite pour nettoyer mon pare-brise, longuement et à plusieurs reprises. Comme ce genre d'individu est généralement très mal comprenant, j'ai toujours d'avance deux ou trois bidons de lave-glace.
  12. Vulnérabilité ne veut pas forcément dire code malveillant. Il suffit qu'une condition particulière et imprévue se présente lors du fonctionnement d'un programme pour permettre l'exécution d'instructions extérieures. Un exemple bidon : si le cas n'a pas été prévu par les développeurs, un navigateur pourrait mal réagir si on lui demande d'afficher une image de 100 000 x 100 000 pixels et, pourquoi pas, se mettre à exécuter un bout de programme contenu dans le fichier JPG ou PNG. C'est sur ce genre de principe que fonctionnent bon nombre d'exploits.
  13. Je n'ai jamais cherché à savoir dans le détail mais probablement pour simplifier les mises à jour. Les navigateurs internet sont particulièrement exposés lorsqu'on leur découvre une vulnérabilité ; dans le cas d'un paquet snap, la responsabilité de fournir très rapidement une version corrigée revient à l'éditeur du logiciel et non à celui de la distribution.
  14. Le vrai bonheur aujourd'hui, c'est que l'on peut télécharger une image ISO en quelques minutes, l'installer sur une machine virtuelle et l'essayer. Oui, parce qu'il faut parfois en essayer un bon nombre avant de trouver celle qui nous convient. Cela fait plus de 20 ans que j'utilise Linux à la maison. J'ai commencé à utiliser Debian, que j'avais découvert au boulot, puis Ubuntu, Kubuntu et Manjaro en passant rapidement par Mint. J'avais même configuré un Linux multiposte pour mes belles-filles (une UC, deux écrans, deux claviers, deux souris) avec contrôle parental, gestion du temps d'utilisation et contrôle à distance. J'ai opté pour Manjaro il y a environ cinq ans, lorsque sur Ubuntu et ses dérivées, les packages traditionnels des navigateurs internet ont été remplacés par des paquets snap, me causant plein de problèmes d'interopérabilité avec d'autres appareils. Il m'a bien fallu tester une dizaine de distros avant de trouver la bonne. L'avantage de Manjaro, c'est qu'il s'agit d'une rolling release. Elle est mise à jour en continu au lieu de subir une grosse mise à jour tous les six mois ou, pire de nécessiter la réinstallation complète de la nouvelle version du système (Mint, du moins à cette époque). Mais bon, parfois il faut faire face à des conflits dans les versions de paquets, surtout si on ne fait pas régulièrement les mises à jour. On peut également vite se retrouver avec 2 ou 3 Go de données à télécharger sans forcément avoir la place nécessaire sur le disque. Elle ne convient pas vraiment aux débutants. Ce qu'il faut savoir, avant de rester sur une mauvaise première impression, c'est qu'il existe différents environnements de bureau avec un look et une ergonomie qui leurs sont propres (KDE, Gnome, Budgie, Cinnamon, Mate, etc.). J'ai moi-même tout d'abord choisi l'environnement qui me convenait (KDE) car c'est à lui que l'on est confronté tous les jours. Puis j'ai sélectionné la distribution qui fournissait cet environnement et correspondait le mieux à mes attentes en matière de maintenance.
  15. Ed.

    Aujourd’hui...

    Vraiment ? Je n'étais même pas au courant... Je doute également que l'information soit parvenue jusqu'à mes voisins, jusqu'aux habitants de mon village ainsi que jusqu'aux gendarmes de la plus proche brigade...
  16. À Rome, vis comme un Romain ; au Japon, traverse sur les passages pour piétons et garde dans ta poche le papier de ton bonbon. La méthode est un peu radicale mais j'adore ! Moi même, face aux déjections canines qui envahissent les trottoirs, j'aimerais que la promenade d'animaux domestiques soit interdite ; achetez des poissons rouges !
  17. Ed.

    Le meilleur Walt Disney

    Je me rends compte que je n'ai jamais vu un seul film d'animation de Walt Disney. Comme nous n'allions jamais au cinéma et comme à cette époque ces films étaient exploités en salle durant des décennies, je n'en ai vu que des extraits dans une émission pour la jeunesse qui, si je me souviens bien, était diffusée le dimanche après midi. C'est sans doute parce que je n'ai pas été habitué tout petit que je n'aime pas ce style gnangnan et surjoué.
  18. Cela ressemble à de la tachypsychie, un emballement des pensées, une idée qui en entraîne une autre à toute vitesse. Pour certains des troubles qui peuvent en être à l'origine, il existe des traitements. Il faut juste se forcer à consulter. Pour ceux qui ont des problèmes pour s'endormir à cause de ça, vous pouvez essayer de mettre un fond sonore (bruit d'eau, bruit blanc, bruit brun) et vous concentrer dessus. Pour ma part, je me concentre sur mes acouphènes, ça me vide la tête.
  19. Ed.

    Comment mangez-vous ?

    Quand je suis tout seul, c'est expédié en deux deux, dans un tupperware, devant le PC. Contrairement à certains, j'ai tendance à tout couper avec la tranche de ma fourchette ; il faut vraiment que l'opération soit impossible pour que je me serve de mon couteau. J'ai moi aussi des problèmes à me tenir assis correctement en mangeant : je m'assoie fréquemment sur mon pied qui, pour une raison que j'ignore, se retrouve très souvent sur l'assise de ma chaise ; en famille, c'est parfois difficile mais en public, j'arrive à me contrôler.
  20. Dans un village d'une demie-douzaine de hameaux. Il y a 30 ans, toutes les voies ont été nommées puis numérotées dix ans plus tard. Ça a changé la vie des facteurs remplaçants. Malgré cela, il y a dix ans je devais encore donner des indications topographiques à certains livreurs afin qu'il puissent me trouver. Aujourd'hui, il suffit de taper mon adresse sur Maps pour être conduit jusque devant mon entrée. Il est fini le temps où les paquets étaient distribués par le même facteur durant 30 ans et où la caserne des pompiers était remplie d'enfants du pays qui connaissaient le moindre chemin de terre à des kilomètres à la ronde pour y avoir jadis chassé les sauterelles. Il faut vivre avec son temps et éviter de faire perdre le leur à ceux qui nous servent.
  21. Sur un chemin de 4 habitations, ils ont vite fait de trouver... Ils n'ont pas que ça à faire de descendre de leur camion à chaque pas de porte pour regarder les boîtes aux lettres ou pour demander si c'est bien ici qu'il y a une personne qui fait un arrêt cardiaque. Idem pour les livreurs.
  22. Ed.

    nouveau membre.

    Bienvenue @Michael 38 ! Isérois ?
  23. Ed.

    Le phénomène "auto-diag"

    Dès lors qu'une chose n'est plus considérée comme tabou, ici la santé mentale, tous ceux qui se retenaient d'en parler se libèrent et n'hésitent pas à en faire étalage ; une manière, peut-être, de se déculpabiliser de leurs faiblesses dans certains domaines et de revendiquer leur droit d'exister tels qu'ils sont. Alors devant une telle déferlante, il est bien normal que chacun se pose des questions sur lui même, à tort ou à raison. Certains seraient-ils tentés de feindre l'affection dans le but d'attirer l'attention ? Bien possible mais cela ressemblerait au syndrome de Münchhausen et mériterait tout autant une consultation. On diffuse bien sur internet la liste des symptômes pouvant apparaître en cas d'AVC ou d'infarctus, pourquoi pas ceux qui pourraient révéler un autisme ou un TDAH ? Comment reconnaître ce dont on a jamais entendu parler ? Alors oui, les cas les plus visibles, les plus impactants au niveau des interactions sociales se repèrent assez facilement mais qu'en est-il des autres, de ceux ne sont pas flagrants ? Comme fonctionne l'esprit de l'individu moyen ? Comment savoir si notre manière de penser et d'agir est semblable à celle du commun des mortels ? Pour ma part, faute de savoir ce qui se passe dans la tête des gens qui m'entourent, j'ai attendu 50 ans avant de découvrir que j'avais une synesthésie. Si je n'étais pas tombé par hasard sur une description claire du phénomène, j'aurais ignoré toute ma vie que j'avais cette particularité. Alors oui, il est utile d'informer les gens sur les comportements qui, une fois rassemblés, peuvent suggérer la présence d'un trouble pouvant avoir des conséquences sur leurs études, leur carrière, leur vie quotidienne. Des vidéos dans lesquelles on peut se reconnaître, dans différentes situations, interpellent davantage que la lecture des symptômes décrits dans le DSM-V. Ensuite, à chacun d'évaluer la nécessité d'aller faire poser un diagnostic par un professionnel en vue d'un éventuel traitement. Qu'importe si on a suffisamment de symptômes pour être véritablement considéré comme étant atteint d'un trouble quelconque, de nombreuses vidéos Youtube, bien souvent publiées par (ou sous la supervision d') un professionnel de santé fournissent des solutions pratiques bien utiles pour faire face à certaines difficultés de la vie quotidienne.
×