Neopilina

Comme dirait Sade, entre adultes consentants (ce qu'il a eu du mal à comprendre mais qu'il a finalement bien compris), " je respecte toutes les fantaisies " ! Sans moi pour certaines, .

La première chose que je remarque chez une femme ? Ses cheveux, O.K., je sors !

Perso ? Je me suis fait bannir d'un autre forum, J'ai cherché une terre d'asile et je suis tombé sur forum.fr. J'ai bien fait ?

Il faut que tu renforces tes connaissances historiques. En Palestine (telle que définie suite au dépeçage de l'empire ottoman en 1919), avant 1939 (que l'Allemagne nazie et les Soviets, on l'oublie trop souvent) n'attaquent la Pologne, on a en vrac, c'est sûr que je vais en oublier : des kibboutz, des pogroms, des juifs du monde entier qui achètent des terres aux arabes du coin très heureux de vendre, etc. Le mandataire anglais garantit l'ordre, le reste il s'en fout (1). Bref, encore une fois, on ne refait pas l'histoire, sinon, demain, je vais voir le cousin Olaf et je lui réclame Aix La Chapelle, et tout le monde fait pareil, et on n'en sort plus. Le sionisme n'est pas né à la libération de Dachau. Mais, oui, le Shoah a joué un rôle déterminant. Extrêmement compliqué tout ça, sinon ça serait trop facile. (1) Mandataire anglais qui s'est fait viré du coin à coups de pieds au cul par les premiers israéliens modernes. Tu vois, on n'en sort plus, à refaire l'histoire. Alors. On a plusieurs millions de palestiniens et d'israéliens qui ne " déménageront " pas, qu'est-ce qu'on fait ?

Bibi, par cynisme politique (no way pour un état palestinien) a joué la carte du Hamas. Malgré les sollicitations de ses services : pas question de toucher à l'argent du Hamas, etc. Cet argent qui a servi à creuser les tunnels, à acheter des armes, à payer les soldes (même un fanatique ne se nourrit pas d'amour et d'eau fraiche) ... et à préparer le 7 octobre. Par sa faute, contrairement au Liban et à l'Iran, la bande de Gaza était un " trou noir " pour Israël. Et c'est le diable qui est sorti. A partir du jour où il ne sera plus premier ministre, ça sera son " tour ".

Hé, j'hésite. Ça doit pouvoir se retrouver, " L'Obs " n'avait pas encore changer de nom. Et puis, je lis tellement. Dans une semaine, je dégraisse le " mammouth ", c'est à dire ma bibliothèque pour la énième fois, je brade à outrance, je me débarrasse. Pas au kilo, mais presque.

Nannnnnnnn, je t'aime bien ! Je suis un garçon très très ouvert. Mais pas " là ", Elle : " Moi aussi je veux bien coucher avec toi, mais je te préviens, tu te feras ... par mon mari ". J'ai fais " courage : fuyons ".

Il y a plus de 20 ans, un écrivain arabe francophone a été invité à faire l'éditorial du " Nouvel Observateur ", j'ai oublié son nom. Il faisait l'état des lieux de la " culture " dans le monde arabo-musulman. Calmement, méthodiquement : littérature, cinéma, musique, dépôts de brevet, sciences, etc. A la fin de cette lecture je suis resté atterré. Guerre en Afghanistan, fin de la guerre froide : la fièvre, le furoncle, islamistes, se répandent comme une trainée de poudre. Je reviens au sujet. Nous avons des millions de palestiniens et d'israéliens qui ne " déménageront " jamais. Que proposez-vous ?

C'était une image, c'est pas tes chaises qui me font peur, .

C'est que les soins palliatifs étaient mauvais. J'ai un oncle qui s'est rasé, avec un Bic, assis sur une chaise, le matin de sa mort. Vers 15 heures, toujours conscient, il a convulsé, il a fallu le plonger dans une inconscience profonde, il est mort à 20 heures. Je n'ai rien contre la mort assistée (façon Suisse, etc.) mais les études montrent que cette demande s'effondre si les soins palliatifs sont de qualité. Un jour, j'ai questionné la victime d'un infarctus. Il était au marché, dans sa tête, il s'est dit : " Qu'est-ce qui ... " puis plus rien, donc, même intérieurement il n'a pas pu terminer la phrase qu'on devine. Il s'est réveillé, d'autres non. Beaucoup sont morts avant même d'avoir touché le sol (le cas de ma grand-mère).

Le mot " théologie " vient du grec ancien, il combine " theo - logos ", est signifie " discours vrai sur le Dieu, le divin ". C'est une spécialité philosophique : constitutivement, fondamentalement, intrinsèquement, elle fonctionne très exactement comme la philosophie. Le philosophe et le théologien travaillent très exactement de la même façon : ils ont une activité négative et une activité positive. Le philosophe examine les philosophies proposées par autrui, il cherche des failles, etc., et quand il en a trouvé, il met à bas telle ou telle philosophie, mais tout cela à des fins positives : chercher une philosophie qui tiennent durablement la route (comme pour la science à partir XVII° siècle). La théologie fait très exactement la même chose, avec d'autres objets. Non seulement elle n'admet aucun a priori posé (Dogmes, etc.), mais elle se fait un devoir de les examiner, de les disséquer, de chercher les failles, les points faibles, etc., comme le philosophe avec les philosophies. Me dira t-on, c'est très théorique, tout à fait : la majeure partie des philosophies (avant Descartes) inclue, souvent de façon absolument essentielle, architectonique, des Dieux, Dieu, etc. Dans ces cas, le philosophe examine une philosophie avec un élément divin. On a assez vu depuis très longtemps que c'était largement possible. L'objectif positif de la théologie, c'est de mettre à jour, parmi tout ce qui est donné, de l'existant, dans ce domaine, ce qui persiste, résiste, reste, etc., après des examens aussi radicaux, rigoureux, que possible. Faire ressortir la " substantifique moelle " : le Dieu. Me dira t-on, il y a une foule de " théologies ", de ce genre : juive, catholique, protestante, hindoues, musulmanes, etc. La définition de la théologie est très claire depuis longtemps (les Grecs) : ce ne sont pas des théologies dignes de ce nom, puisqu'elles admettent des a priori dogmatiques, fondateurs, auto-proclamés, indiscutables, sacrés, intouchables, etc., fondateurs de religions, sectes, etc. Du point de vue de la méthode et de l'attitude épistémologique, ce n'est rien de moins qu'inadmissible. Si la théologie veut être une discipline, elle doit disposer des mêmes moyens, de la même latitude, que les autres et fonctionner comme les autres, épistémologiquement dit.

Solidarité complète d'un ancien psychotique. Quand c'est la " moitié pas-clown " qui sévit pense à moi ! Bien volontiers. Et comme tu es garçon super-compréhensif, ça ne te dérangeras pas que je garde mon short en alu !!

Je n'ai pas dit qu'elle n'avait pas le droit de choisir de se casser. Je dis juste qu'il y a des milliers d'artistes dans le monde, que ça soit dans une discothèque riquiqui du fin fond des Vosges aux mégaconcerts qui décident de poursuivre la prestation, pour le public qui a fait le déplacement. Des incidents dans ce genre de circonstances, ça fait totalement partie du métier. J'en ai fini avec ce fil.

Alors tout va bien. C'est encore vrai. Mais grâce à l'égalité des droits, justement, on voit de façon continue ses différentiels s'estomper. Jamais personne n'a forcé une femme à intégrer tel ou tel corps. Elle en a le droit, si elle le veut. " C'est tout ".

C'est la réaction que je ne comprends pas. J'ose pas imaginer les gros bras présents quand Shakira est dans le coin. On vire et on corrige le malfaisant. Mais le spectacle continue : je l'ai vu plein de fois. Là, elle a fait sa Diva. C'est une pro, elle connait la " musique ".

J'ai été le premier à parler des différences biologiques. Personne ne râle pour les compétitions sportives, etc. Je parle bien sûr de l'égalité de droits. C'est un concours de clichés sexistes ?

C'est une alternative : occuper et vider de ses habitants la zone se trouvant entre la frontière et le Litani. Les israéliens pourront y faire le ménage (tunnels, etc.) et ça fera une zone tampon.

A cette heure : il paraît, à confirmer. C'est bien, son cousin devait tellement lui manquer. Il n'empêche que j'ai vu un dépôt de munitions exploser, et ça, c'est sûr. Tu vieillis amigo (nan, je déconne), mais tu oublies les prodigieux stock du Hezbollah, pas Tsahal.

A la télévision, bombardements sur Beyrouth. A minima, bien manifestement, un dépôt de munitions du Hezbollah.

Le type de la vidéo de Pirène, ce n'est pas le forcené qui a tué deux gendarmes : c'est lamentable. Allez : formation. Je suis d'accord pour l'équipage, le binôme, uniquement féminin, c'est une erreur, le but étant de maitriser, pas de tuer. Avec des menottes dans le dos, ça ira mieux. Mon propos, c'est qu'on peut avoir des défaillances dans les deux sens, ce qu'on voit sur cette vidéo, et, a contrario, un forcené sans arme à feu, farci de plomb. Dans les deux cas, le problème est le même : formation. Les attaques dont les personnels de " Sentinelle " ont fait l'objet ont été analysées. Moins le personnel est adapté, qualifié, plus l'agresseur meurt !!! Des parachutistes ont été attaqués deux fois, les deux types ne sont pas morts. Les autres, si. Ces soldats n'ont pas perdus leur sang froid, ils ont bien compris la situation, et les types sont vivants et à disposition de la justice. Tu dénies aux femmes le droit de faire certains métiers ? Je t'assure qu'elles ne font l'objet d'aucun traitement de faveur ! Je te l'ai dit : pas de quota. Des volontaires, des gens qui ont envie de faire ça, point. P.S. Avant l'apparition du phénomène " Barbu ", islamiste. En France, la mort du forcené était considérée comme un échec par les forces de l'ordre. Dans certains pays, après la mort d'un forcené, un officier va officiellement présenter des condoléances à la famille.

Tu le dis toi-même : c'est une question d'envie, de motivation, et même parfois de vocation. Il n'est pas question de " quota ". Sauf erreur de ma part, il n'y a plus que la Légion qui n'est pas ouverte aux femmes. Et c'est pour des raisons pratiques (promiscuité). Mais si une femme veut en " baver " comme un légionnaire, qu'elle se rassure, y'a largement moyen en France. Je reviens sur la vidéo de titre, on a deux femmes d'une police municipale, mal formées, " municipale " donc, le responsable de ce gâchis c'est l'employeur. C'est pas dur de lui faire une petite " balayette ". L'obstacle majeur pour ce genre de gestes chez les femmes n'est pas physique, mais bien psychologique. Comme c'est des femmes, elles se disent (par éducation, culture, etc.) que c'est pas des trucs pour elles. Une fois qu'elles ont compris qu'il n'en n'est rien, elles ne sont pas plus bêtes qu'un autre. Et toi, qu'est-ce que t'aurais fait au Louvre ? On le sait très bien, on le voit sur des vidéos où des forcenés, sans arme à feu, se font truffer de balles à plusieurs mètres. C'est des métiers, aucune différence avec la plomberie : on apprend. C'est comme confier du maintien de l'ordre à des forces de police dont ce n'est pas la spécialité : c'est ouvrir la porte à toutes les bavures possibles. J'ai un ami C.R.S. qui était à l'Arc de Triomphe, qui s'est coltiné toutes les manifs de Gilets Jaunes. Le maintien de l'ordre est un métier, et les effectifs de C.R.S. et de gendarmes mobiles sont à l'os. Alors ? Bavures.

Je n'ai pas dit qu'elles chercheraient à le maitriser, j'ai dit qu'elles le tueraient. Le dégénéré qui a attaqué des parachutistes de " Sentinelle " au Louvre à la machette n'est pas mort. Il a eu de la chance ? Pas du tout, ou alors il a eu la chance d'attaquer ce genre de personnels. Le soldat a pris soin de tirer dans la cavité abdominale, sous le diaphragme, avec des bons chirurgiens, ça peut le faire, et le type est toujours vivant. Avec un soldat gravement blessé aux avant-bras (blessures défensives), j'en connais pas mal qui aurait fait moins de " détail ". Avec moi, et pas mal d'autres, il n'aurait pris qu'une balle.

La femme, les femmes, dont je te parle n'étaient pas des gendarmes, mais des soldats, sous-officiers et officiers, parachutistes. Formées comme tous leurs camarades. Alors je vais arrêter de faire de l'humour : une seule d'entre elles l'aurait tué, très très vite. C'est un métier. Je ne nie pas les différences physiques. Je parle de formations, de savoir-faire idoines. Des femmes " ordinaires ", et j'entends par là des civiles, prennent l'initiative de ce genre de formation, qui prennent bien évidemment en compte les différences biologiques, physiques, pour contrer une agression physique. Et elles se débrouillent très bien, comme ça : aussi bien qu'un homme.

En français, Vouledar, j'avais vu. C'est une très très mauvaise nouvelle. Les Ukrainiens vont devoir revoir tout leur déploiement dans ce coin, vers l'arrière.

Pour commencer, il y a eu un loupé là : la nature du problème. Même au fin de la brousse, on envoie les " cagoules noires " quand il faut. Et ça arrive plus souvent qu'on ne le pense : toutes les semaines. Généralement les brigades de gendarmerie connaissent bien leur " clientèle ".