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Tout ce qui a été posté par Totof44
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Finalement je suis resté et j'ai retrouvé mon roulement. Je partirai quand j'aurai assez vu les lignes.
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Ah non... Traumatismes de chez ma grand-mère. Macron jacobin Celle là, il fallait la faire ! T'inquiètes pas, il restera toujours bien plus banquier que patriote.
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Il me faut déjà répondre à ton ajout. Je ne fais pas de généralités sur la FI, je reproche notamment au clan Mélenchon (ce n'est pas la même chose) d'adopter une posture bonapartiste. Sur la critique des sondages, elle mérite d'être faite pour un certain nombre de raisons, mais qui ne s'appliquent pas à une convention tirée au sort. Toutefois, il serait absurde de disqualifier les sondages dans leur ensemble (je rappelle que c'est dans les régimes autoritaires qu'ils n'existent pas) et que le principal problème avec eux, c'est l'utilisation qui en est faite par des journalistes incompétents ou des politiciens malhonnêtes qui les utilisent sans prudence ni critique. Il n'y a qu'une critique valable pour les sondages et la représentation par tirage au sort (et tu l'as formulée) : un échantillon ne sera jamais l'ensemble. Après, libre à chacun d'en tirer ses conclusions. En l'occurrence, je propose une méthode conforme à la Constitution puisqu'il s'agirait là d'une instance consultative. Si on prend du recul, je pense qu'une autre partie de tes critiques ne seraient fondées que s'il s'agissait de remplacer purement et simplement les élections par du tirage au sort, ce que je n'ai jamais défendu. Par contre, je ne vois absolument pas sur quoi tu t'appuies pour déclarer qu'une représentation par tirage au sort ne donnerait pas de représentation politique fidèle. Maintenant c'est quoi ton alternative ? Quand j'évoque le Parlement (qui une fois de plus est le seul que la Constitution dote du pouvoir constituant dérivé), tu me réponds que je veux laisser des barons s'en charger en tenant soigneusement le Peuple à l'écart. Mais une constituante élue aura exactement les mêmes effets. Rassure moi, tu n'envisages tout de même pas une délibération à 50 millions ? Non. Je dis qu'elle s'exerce à l'intérieur d'un cadre, constitutionnel et législatif. Toutefois, je n'ignore pas le principe démocratique qui figurait dans la DDHC de 1793 : un peuple a toujours le droit de changer sa constitution ; une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures. Donc il te faut d'abord des arguments imbattables, irréfutables pour montrer que la constitution est bridée, qu'elle est conçue pour empêcher l'exercice de la Souveraineté et non la permettre. Dès lors, elle deviendra nulle. En attendant, ton seul argument, c'est de nous dire que l'article 3 arrive avant l'article 89, ce qui est, pardonne moi, quelque peu léger. Nous ne sommes pas dans une situation comparable à 1789, 1792, 1848, 1871 ou 1946. Donc venir nous expliquer que "nommer" signifie "entériner", comme si un président, élu au suffrage universel, aussi mauvais et arrogant soit il devait se brider mais qu'un autre président, lui, pourrait interpréter l'article 11 de la constitution pour y voir la possibilité de mettre à la poubelle la norme suprême, ça ne tient pas debout. À ce jour, la légalité l'emporte sur la légitimité. Maintenant s'il apparaissait (par exemple) que le nouveau président du conseil constitutionnel a pactisé avec le Pen ou autorise désormais des lois liberticides que l'institution avait censuré jusque là, la situation devient différente. De même si dans une procédure de révision le sénat se met à troller de façon grossière. Ou qu'une crise gravissime devenait insoluble dans le cadre de la Vème. En attendant, c'est l'article 89 qui s'applique. Alors là je m'inquiète encore davantage de voir qu'on pourrait non seulement jetter au feu la norme suprême au motif qu'elle ne convient pas à un nouveau chef d'État, mais qu'en plus la constituante serait optionnelle ?
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J'en pense que seuls les illiberaux, les autocrates et les despotes ont des interprétations aussi personnelles du droit.
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Il y en a, mais pas de cet article effectivement.
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Je me permets de te rappeler la raison première de ma position : une constituante serait illégale. Toujours le même problème avec les insoumis : si on n'est pas d'accord avec vous on est forcément contre le peuple. De quelle façon ? Parce que là, quand on a dit cela, on n'a rien dit.
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1) analyser un choix de 2017 avec nos yeux de 2025 paraît un brin malhonnête 2) surtout en nous ramenant le nom d'un connard d'extrême droite qui s'était vautré devant l'autocrate poutine, prêt à réécrire l'Histoire uniquement pour faire de l'argent avec un Puy du fou russe. Pauvre petit chou. La femme trans qui prend des hormones au troisième étage nous cause tellement de mal On ne peut pas lui reprocher d'avoir essayé la diplomatie.
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C'est faux, mais à force de voir que ce qui faisait consensus il y a encore quelques années est remis en cause de plus en plus souvent, je vois des fascistes de plus en plus nombreux. Oppose moi à un macroniste, je ne pense pas recourir à ce terme. Là tu délires complètement. Et là, c'est ton commentaire et pas le mien qui risque d'être sanctionné par la modération. Ça c'est à toi de me dire. Regarde : C'est donc toi qui sous entends, toi sembles espérer qu'un référendum sur certains sujets ait lieu. Je me trompe ? Maintenant oui, par définition, un référendum c'est une majorité qui écrase une minorité. Non, pas nécessairement. La foule étant le pire ennemi du peuple. Le référendum peut donc être plus populiste que populaire. Moi je suis pour que ça se limite au domaine législatif. Les coups de pouce au SMIC, c'est du réglementaire. Raté. Et je suis pour que ce soit systématiquement précédé d'une délibération, sinon ça reste plus populiste que populaire. Et dans une délibération équitable, les chefs d'entreprises ont aussi le droit de faire valoir leurs arguments. Doublement raté. Après, peut-être que je n'ai jamais cliqué sur les sujets où tu défendais des positions progressistes. Pas de chance. Ben pardon, mais quand on supporte difficilement d'entendre parler de droits sans devoirs, c'est quand même qu'on se positionne assez clairement à droite. Parce que les souffrances vécues par des minorités ont bien plus de chances de trouver une réponse satisfaisante quand il y a délibération. Le référendum divise.
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Mélenchon n'avait pas de sympathie pour Poutine, mais a toujours été animé par un anti atlantisme qui le poussait à se montrer excessivement indulgent envers Poutine. Contrairement à le Pen qui est fascinée par le nationalisme et son régime autocratique. Mélenchon aurait pu, aurait dû voir Trump comme une raison de plus de se montrer anti atlantisme, il aurait pu ainsi tenter de faire oublier son indulgence pour Poutine,.il aurait pu voir dans l'Europe la position "non alignée" pour reprendre ses termes, ni sur l'impérialisme russe, ni sur celui de l'OTAN... Mais je commence à me demander s'il ne devient pas gâteux.
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Le fascisme de gauche n'a jamais existé et ne peut par essence pas exister. Mais tes lacunes sont trop béantes pour être comblées par un simple message. Le fascisme transpire de tes propos. Un vote serait forcement l'expression du peuple donc incontestable... Ben non, ce n'est pas si simpliste que ce que tu racontes. Et on voit que toi tout ce que tu attends c'est de pouvoir rogner sur des droits et libertés, en ciblant des minorités. Il est là ton fascisme. Lacunes béantes. Ce qu'on appelait le côté droit à la révolution c'était la réaction royaliste absolutiste. Tu as le droit d'écrire tout le mal que tu veux sur le stalinisme et autres régimes comparables, ce sont certes des régimes totalitaires, mais certainement pas fascistes. Et si défendre les droits humains était partagé par tout le spectre politique, tu ne serais pas venu faire un caca nerveux pour t'opposer à l'idée qu'un référendum ne devrait pas avoir pour objet d'interdire. Car au fond tout le monde comprend parfaitement ce que tu as dans le collimateur.
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Il la permet beaucoup mieux que le vote. Il y aurait, en plus de la diversité sociologique, la diversité d'opinion. Ça n'est pas du tout incompatible. Les parlementaires ne sont pas une entité unie dans un même combat au cas où cela t'aurais échappé. Tu imagines quoi ? Tu trouves que les précédentes révisions qui ont amené la QPC, l'inscription dans la norme fondamentale de l'abolition de la peine de mort ou la liberté d'avorter, les niches parlementaires, une limite au 49.3 etc. nous ont amenés vers le despotisme ? Je te rappelle qu'une révision doit être votée par les 2 assemblées, sans recours à la commission mixte paritaire. Il sera très compliqué de faire évoluer la norme sans consensus. Et encore plus si on fait précéder leurs travaux par les réflexions d'une convention citoyenne et d'un comité d'experts. On a voté il y a moins d'un an sur une ligne idéologique. C'est dans ces moments là que le melenchonisme pue le bonapartisme. C'est déjà fait.
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Évidemment, ça tomberait sous le coup des cgu. Alors on fait dans l'implicite. Et je traduis. On te dit 22% d'écart, tu imposes 4 en disant qu'il n'y a pas de problème dans l'explication des 22%. Donc tu justifies cet état de fait. Si ce n'est pas de la misogynie qu'il y a derrière, je ne vois pas ce que ça peut être. Ben ton commentaire ressemble beaucoup à celui de Darmanin à Appoline de Malherbe. "Calmez vous, ça va bien se passer".
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Je viens de répondre à ça. Du coup, les femmes n'ont pas de responsabilités parce qu'elles refusent de travailler le samedi ? Ou parce que c'est systématiquement sur elles qu'on compte pour prendre le congé enfant malade ? Ce qui est aberrant, c'est de vouloir à ce point faire l'impasse sur l'élément essentiel du débat.
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Je viens de répondre à ça. Du coup, les femmes n'ont pas de responsabilités parce qu'elles refusent de travailler le samedi ? Ou parce que c'est systématiquement sur elles qu'on compte pour prendre le congé enfant malade ?
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Bref il y a un film à voir : Les témoignages sont vraiment touchants.
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Oui, moi la femme de ménage de l'immeuble je ne me dis pas qu'elle est juste moins méritante. Au contraire, je suis admiratif du courage qu'elle a. J'ai passé deux heures ce matin à récurer mon autocar, à décoller des chewing-gums, à mettre le nez dans la poussière, à désinfecter les barres de maintien, à me baisser pour aller chercher mouchoirs sales et canettes sous les sièges... Ben je me trouve déjà bien assez méritant pour reporter le reste à la semaine prochaine et passer à des tâches plus fun. Alors m'imaginer faire ça tous les jours de l'année du matin au soir, ça m'angoisse. Les premières de corvée ne sont pas moins méritantes que les cadres. Leur travail n'est pas une dette qu'elles doivent aux hommes. Ce n'était pas pour toi. C'est pour les recruteurs qui sont tout de suite plus rapias face à une femme qui tente de négocier son salaire. Pas pour toi non plus, pour d'anciens et actuels collègues. Je traduis le discours de ceux qui ici nous expliquent que seul le chiffre de 4% devrait être retenu et pas celui de 22. Ben ça a quand même l'air de beaucoup de travailler puisque ton obsession contre les neofeministes qui veulent déconstruire l'homme (en fait le masculinisme) revient dans un commentaire sur deux.
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En gros, ok, l'écologie est quand même plus de gauche que de droite... Donc le problème c'est cette hystérique de Rousseau quelque soit son prénom qui veut obliger les hommes à s'approcher des 50% tâches ménagères à la maison et qui ne se dit pas "houlala quel homme !" quand elle voit un kéké qui fait du bruit avec sa moto...
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Discours d'assisté. Dans certaines boîtes avec un certain niveau de qualification, tu négocies ton salaire. De là à payer à la tête du client, il n'y a qu'un pas. Donc les femmes, ces êtres inférieurs dans l'ensemble sont payées au SMIC plus souvent que nous parce qu'elles sont naturellement moins méritantes et travailleuses ? C'est marrant, partout où je suis passé, plus t'es conciliant, plus tu te fais marcher sur les pieds par le patron. Plus t'es grande gueule, plus t'as les avantages qque tu veux. C'est ton analyse qui est superficielle, puisque tu veux réduire un problème sociétal réel à des cas isolés de violation du droit. Encore une fois, pour quelle raison ce sont rarement les hommes qui nettoient les traces de freinage dans les chiottes des immeubles de bureaux de 5h à7h pour un SMIC et pourquoi ce sont rarement des femmes qui laissent ces traces de 9h à 17h pour six fois plus ? Pauvre petit mâle blanc martyrisé qui n'a pas passé le cap du complexe de castration Fais gaffe, tu es sur la pente qui mène au wokisme en disant ça. On voit ça. Ouf, tu as bifurqué. Que c'est un conditionnement, oui. Que poupées et game boy constituent un exemple sur une infinité de petits éléments. Et qu'inversement, des garçons ont eu trop de game boy et pas assez de poupées.
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Ouai c'est parce que c'est des branleuses, elles bossent pas assez. Rien que pour ça il faudrait les mettre à la retraite 3 ans plus tard ça compenserait le temps de glandouille à se prélasser tranquillement pendant la grossesse. Elles devraient déjà nous remercier de ramener les tunes à la maison. Pour le reste, il serait bon de s'interroger et de comprendre pourquoi les auxiliaires de vie, les aides soignantes, les personnels d'entretien, les atsem, bref, les premiers de corvées, sont presque que des femmes. Darmanin, sors de ce corps ! T'aurais même pu employer le mot "hystérique" et on était parfait. Ça a à voir que dès l'adolescence on est conditionnés et que les filles ne sont pas plus nulles en maths que les garçons. Seulement, on les valorise plus dans le littéraire et nous dans le scientifique. Ça aboutit à des choix de carrière différents. Et pour la boîte en question, si tu ne vois pas le lien entre sexe et misogynie, je ne suis pas sûr qu'on puisse y faire beaucoup.
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C'est à dire qu'une politique écologiste part du postulat qu'il y a un intérêt général qui dépasse les intérêts particuliers, voire, qui s'oppose à ceux là. L'écologie est peut-être difficilement compatible avec la collectivisation de l'ensemble des moyens de production puisqu'elle a besoin d'innovations. Mais elle est davantage encore avec la recherche de profits individuels court-termistes qui engendre le saccage environnemental. Elle implique régulation du marché, partage équitable de la richesse, investissements collectifs. Elle donc assez logiquement proche des idées keynesiennes, sociales démocrates et radicales. Ça te gêne tant que ça de tenir un balais et de changer une couche... L'écologie, c'est d'abord un mode de vie fondé sur la bienveillance et l'harmonie entre êtres vivants et donc un refus de la domination.
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Borne, Philippe, Ayrault, Rafarin ou bien d'autres, là n'est pas le sujet.
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Au regard du système politique, c'est à dire de la pratique, tu as raison : la seule légitimité du premier ministre est d'avoir été choisi par le président, il semblerait déplacé qu'il n'obéisse pas. Parce que ce sont nos habitudes, et tout le monde a admis l'idée qu'un président pouvait révoquer le premier ministre. Mais ça, ça n'est pas le droit. Ça n'est qu'une interprétation très présidentialiste de la constitution qui ne vaut pas mieux que ceux qui crient au coup d'État parce que Macron a choisi un premier ministre en faisant fi du résultat des élections. La constitution ne prévoit pas et n'a jamais prévu que le président puisse révoquer le premier ministre. En tant qu'arbitre, il peut suggérer au premier ministre de passer la main, mais celui-ci peut tout à fait lui répondre que d'après la constitution c'est devant le parlement, et seulement devant le parlement, qu'il engage sa responsabilité politique. Madame Borne n'est pas partie parce que Macron a exigé qu'elle parte. Elle est partie, parce que d'une certaine façon elle l'a bien voulu.
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Et libre à nous d'en user. Et à eux de refuser. Des élections libres ne suffisent pas à faire une démocratie. Ce qui n'est qu'une pratique. Le premier ministre a toujours le droit de lever son majeur et de suggérer au président un endroit où le loger.
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Oui, ça fait un homme respectable de moins à droite. Ça, pour le coup, ça n'est pas vrai. "Il met fin à ses fonctions sur la présentation par celui-ci de la démission du Gouvernement." Je reconnais que le verbe est mettre fin, le sujet le président de la république et l'objet du verbe les fonctions du premier ministre, et que cela porte à confusion. Néanmoins, il ne peut mettre fin à ses fonctions que lorsque celui-ci lui remet sa démission. Soit de son propre chef, soit après avoir été mis dehors par l'Assemblée. Le président de la république n'a pas le droit de virer un premier ministre. TOUS les présidents se sont servis des premiers ministres comme bouclier humain bon à encaisser les quolibets de l'opposition, comme des kleenex qu'on prend, qu'on use et qu'on jette. Un a parlé de "collaborateur". Un autre ne s'est jamais remis de la concurrence de son premier ministre et s'est choisi par la suite des gens qui n'ont plus vraiment d'ambition ou qui lui doivent tout. Mais tout cela relève de la pratique du pouvoir et certainement pas de la lettre constitutionnelle. Le sens des législatives, c'est de donner une direction au pays pour les cinq années suivantes. Là on donne une direction, mais la coalition qui a la majorité dans les urnes se retrouve empêchée par la moitie moitié de l'ancienne majorité désavouée. Autant pour le sénat je le renouvellement partiel me semble préférable (et revenir à un renouvellement par tiers comme avant plutôt que par moitié serait sûrement gage de plus de stabilité), autant à l'Assemblée je pense que c'est un non sens. Contre. Le vote n'est pas indispensable en démocratie et par conséquent je conçois que certains de mes concitoyens ne souhaitent pas participer à ce qu'ils considèrent comme une pantalonnade, une obligations de légitimer ceux qu'ils percevront comme des oppresseurs à qui ils ne doivent rien. Je ne partage pas tout à fait, mais je conçois. Surtout quand j'ai un macron comme seule alternative à le pen.
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C'est précisément l'esprit du scrutin majoritaire que de considérer cela. J'en tire les conclusions. Ses avantages ne sont pas garantis, ses inconvénients le sont. J'aurais un jugement moins sévère que toi sur le personnel politique, mais en effet, le droit ne peut pas tout. Je ne sais pas si c'était de lui mais Guy Carcassonne disait qu'une bonne constitution ne fait pas le bonheur d'un peuple, mais une mauvaise peut suffire à faire son malheur. Elle n'a pourtant pas prévu que le Président de la république soit chef de gouvernement. Il faudrait que je retrouve cet exposé de je ne sais plus quel constitutionnaliste qui s'intitulait "laissons sa chance à la Vème République" et dont l'idée phare est que l'élection du chef de l'État au suffrage universel a créé un déséquilibre, mais qui ne proposait que des ajustements à la marge autrement. Ou celui de Marie-Anne Cohendet qui expliquait que le déséquilibre venait du droit de dissolution. Peut-être te laisserais tu convaincre par l'un ou l'autre. Ben on n'a pas la même lecture.