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Tout ce qui a été posté par sirielle
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La sexualité féminine est davantage objetisée que celle des hommes, et sert davantage d'argument commercial, bien que ça ne signifie pas non plus que les hommes ne le sont aucunement. La séduction masculine passe davantage par d'autres atouts que la seule apparence physique, en partie parce que les femmes furent longtemps davantage à l'écart de l'organisation sociale, et davantage cantonnées au service de la sphère familiale et du couple (voire de la sexualité pure), avec la séduction physique qu'il suppose, voire aussi au choix de consommation du foyer au quotidien (la ménagère de moins de cinquante ans par exemple avec le principe du modèle consommateur, la femme à imiter par ses semblables dans ses choix à travers aussi son apparence et sa désirabilité (rf mimétisme ou biais de mimétisme), voire son statut d'objet de faire-valoir pour l'homme.). Les hommes ont dû subvenir principalement pendant longtemps aux besoins financiers du foyer, et le travail social que cela suppose (quitte à prendre un certain nombre de risques pour eux-mêmes et leur intégrité physique), ce qui constituait un critère de charisme social important. D'autre part culturellement (et en partie naturellement) les hommes prennent davantage les devants pour les relations de couple, et le critère de premier abord est souvent visuel, alors que les femmes sont davantage dans un choix de comparaison d'ensemble entre les divers prétendants (il s'agit seulement d'une tendance de départ, pas d'une vérité absolue, d'autant qu'elle tend depuis pas mal de temps déjà à décliner partiellement). La mise en avant du corps féminin conforme aux normes esthétiques, fut longtemps (et constitue encore souvent) un argument publicitaire biaisant, mais au fil du temps, et avec l'"explosion" de la télécommunication, elle devient de plus en plus, après une utilisation extrême au départ par les divers médias et domaines artistiques, considérée comme "ringarde", "vulgaire", mal perçue car peu subtile, sur-usitée, et avérément peu garante de la qualité du produit/service vanté, ainsi que du charisme de l'éventuel homme à faire-valoir. Et le culte du corps et de l'apparence (et ses éventuelles dérives) au fil du temps touche davantage progressivement à part égale les deux sexes (au travers aussi (mais pas uniquement et avec une certaine réserve de bienséance) de la valorisation du sex-appeal), avec les critères de séduction physique à la mode qui vont avec, principalement dans l'optique du bien-être, du succès et de l'épanouissement personnel.
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Promotion de la maigreur: sur Tiktok, la tendance "Skinnytok" !
sirielle a répondu à un(e) sujet de Kid_Ordinn dans France
C'est une tendance qui date d'il y a longtemps. L'adolescence est particulièrement une période d'appropriation de son propre corps, du début de l'auto-contrôle de l'alimentation, avec parfois les régimes de toute sorte, voire parfois le début des troubles alimentaires, mais aussi les dépenses énergétiques peuvent être importantes à cet âge (Le peu de moyens des étudiants entre autres peut aussi jouer un rôle, etc...). La peur du surpoids, voire la grossophobie, la peur d'être moqué ou d'être considéré comme peu séduisant, gros, en cas de kilo superflu, entre autres, contribuent aussi parfois à conduire à l'extrême inverse, d'autant que la mode valorise souvent l'extrême minceur surtout pour les femmes, or la mode peut avoir beaucoup d'influence sur les repères esthétiques des adolescents. Mais contrairement à ce que certains clichés pourraient parfois laisser penser une femme ou jeune femme d'une minceur extrême ou excessive n'est pas forcément une personne plus dans la maîtrise, dans la volonté, qu'une femme en surpoids, en d'autres mots une personne maigre ne l'est pas forcément tellement plus par choix, mais parce que son mode alimentaire (entre autres) pose possiblement problème dans les deux cas (sachant quand-même que certains s'improvisent abusivement médecins, il existe une marge de poids correcte d'un point de vue strictement médical). Pourtant si une personne est en surpoids, on dira moins systématiquement qu'elle est trop influencée par une mode esthétique néfaste, et qu'elle veut être dans l'état dans lequel elle est, même si le problème peut être un peu équivalent donc (pas totalement), un problème d'inadaptation alimentaire (entre autres, et relativement à la dépense énergétique et à la morphologie propre) pouvant avoir diverses causes psychologiques ou d'influences environnementales (voire économiques parfois...), associé à une affirmation sociale de soi, voire à la séduction sociale que démultiplient les réseaux sociaux. Et lorsqu'on entend une personne en surpoids dire "Si je mets en valeur mon corps sur les réseaux ce n'est pas dans l'intention de promouvoir le surpoids, mais seulement parce que j'aime me valoriser physiquement, ou faire de belles photos.", ça peut être parfois pareil pour une personne maigre par rapport à la maigreur. -
Je surveille un peu les prix, que le prix corresponde assez bien à mes yeux à l'utilité de l'achat, et je consulte mes comptes bancaires régulièrement. Mais par contre je ne calcule pas le montant total de mes achats divers avant de les payer en général, sauf si j'ai un objectif de dépense, comme par exemple quand il faut dépenser minimum 50 euros pour avoir 5 ou dix euros de remise... Pour les vacances, je ne compte pas précisément non plus d'habitude, car je n'ai pas besoin de compter pour savoir à peu près ce que je dépense.
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A une époque lointaine j'habitais un petit appartement dans un grand immeuble peuplé surtout d'étudiants, de jeunes adultes. Une journée, alors que j'étais restée au lit, quelqu'un frappe à ma porte. Je décide de ne pas répondre car j'étais couchée et je n'attendais personne. Soudain, après avoir frappé plusieurs fois, la personne se met alors à donner de grands coups dans la porte qui finit par céder rapidement. De la porte ouverte de ma chambre je vois apparaître dans mon salon l'un de mes voisins (que je ne connaissais que de vue) en train d'enfiler des gants. Puis il tourne la tête et me voit qui le regarde effrayée. Il part de chez moi aussitôt...
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J'en viens à la conclusion que l'amour...
sirielle a répondu à un(e) sujet de Mak Marceau dans Amour et Séduction
Pas de souci, c'est ton point de vue... -
J'en viens à la conclusion que l'amour...
sirielle a répondu à un(e) sujet de Mak Marceau dans Amour et Séduction
Pour ma part je crois que la valeur de la vie prime sur la valeur de l'amour. Se comporter dignement favorise une belle vie mais ne suffit pas à une réussite parfaite. Les vies des uns et des autres se croisent et quoi que Dieu veuille parfois c'est une chance de se rencontrer et parfois non au contraire. Parfois on peut tout perdre, ou perdre beaucoup, même si aucun Dieu ne l'a voulu, seulement à cause d'un malheureux accident, un mauvais concours de circonstances, ou d'un mauvais choix dans son entourage par exemple... Si Dieu était le responsable de tout et n'importe quoi, le libre-arbitre n'existerait pas, la responsabilisation individuelle n'existerait pas, le jugement des comportements respectifs n'existerait pas, la notion de démon même n'existerait pas, etc... -
Le mot "tromperie" parle de lui-même, il y est question de tromper, de berner donc. Il est surtout question de simple infidélité dans votre histoire si on s'attache au sens des mots, voire de libertinage. Aller voir à droite à gauche est toujours un bouleversement relationnel mais c'est quand-même quelque chose de courant pendant un temps ou plus régulièrement, voire de naturel parfois si on n'en abuse pas. D'autant que d'après votre récit vous ne désirez plus votre mari (peut-être que votre relation n'est donc plus que platonique), or on reste une femme ou un homme toute sa vie, avec les crushs qui vont avec, et qui comptent plus ou moins selon les cas...
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"Le renard et les raisins." Dans cette fable le renard n'a pas signé quelconque contrat, quelconque engagement auquels il tiendrait pour son avenir. Simplement le raisin ne lui était pas accessible. Or avoir des amants ou des maîtresses, si on le veut, est relativement facilement accessible à beaucoup de gens. Tous les couples ne tiennent pas sur la durée du point de vue passion amoureuse, c'est bien connu, et à notre époque le mariage est moins prisé qu'autrefois, d'autant que le contexte social a grandement évolué, les femmes sont plus indépendantes socialement par exemple. Mais une infidélité sexuelle n'est pas forcément une tromperie par contre, lorsque les choses sont assez dites et consenties de part et d'autre notamment. Question de choix personnel donc, tant que le respect est assez présent à l'égard de chacun, et que les potentielles conséquences diverses sont assez bien mesurées...
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Draguer quand on est une femme
sirielle a répondu à un(e) sujet de Marine1965 dans Amour et Séduction
Oui, c'est ce que je pense, ça fonctionne bien. Personnellement en tout cas ça me convient comme ça. Et pour moi, en couple, l'attirance physique réciproque est primordiale. -
Draguer quand on est une femme
sirielle a répondu à un(e) sujet de Marine1965 dans Amour et Séduction
Pour ma part je mise sur le physique, je me mets en valeur physiquement avec des tenues féminines, je danse à l'occasion si le contexte s'y prête dans la soirée en question, c'est tout. -
Tu as oublié ce que l'on a fait pour toi
sirielle a répondu à un(e) sujet de crockettpolice dans Quotidien
On ne m'a jamais fait cette réflexion mais il m'est arrivé pour ma part de la dire (Par exemple: "Après tout ce que j'ai fait pour toi contrairement à toi sur ce point, tu as le culot d'estimer que ce n'est pas encore assez et que je te dois plus, or je ne te dois strictement rien et je ne peux pas accepter ta demande.") Et en ce qui me concerne je suis en général quelqu'un de très régulièrement reconnaissante avec les gens, je remercie extrêmement souvent les personnes de mon entourage, pour de nombreuses raisons, et ça m'a même été un peu reproché parfois. (Tu n'as pas à me dire merci, c'est normal, c'est sincère, etc...). Par contre je ne veux pas être "une bonne poire" pour autant, donc je fais attention à poser des limites raisonnables à ce que je concède. D'autre part j'essaie de ne pas trop demander de services autour de moi. -
Effectivement, on peut émettre beaucoup d'hypothèses, nombre d'hypothèses qui font qu'il faut à mon avis rester prudent dans le jugement car nombre d'explications sont plausibles. Et il y a peu par exemple, j'entendais un enfant d'environ 8 ans dire avec beaucoup de chagrin dans la voix "C'est toujours lui (son frère) qui est servi en premier, ce n'est pas juste, c'est ton chouchou.", ce qui était très faux, il était au contraire souvent servi en premier pour certaines raisons... Or les mères sont parfois les cibles privilégiées des critiques et commérages, à tort ou à raison, parfois sur-culpabilisées pour un oui ou pour un non, et donc je crois qu'il faut rester prudent sur ce point, scrupuleusement mesuré. Pour ma part mon téléphone m'est très utile quotidiennement, y compris parfois dans les lieux publics, et je n'en ai pas honte, j'estime que c'est à moi de juger si une discussion en vaut la peine ou non tant que je veille à ne pas trop importuner mon entourage. C'est vrai, certains abusent, sont très sans-gêne ou prennent des risques inconsidérés, mais il y a aussi une part de tolérance à prendre en compte vis-à-vis des autres en groupe. Il m'arrive à moi aussi de temps en temps d'être peu attentive à ce que l'on (enfant ou adulte) me dit pendant un instant, parce que je suis parfois aussi préoccupée par autre chose en même temps, mais à mes yeux c'est quelque chose de normal, ça peut arriver parfois...
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A-t-on le beau rôle à être un donneur de leçon?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
Votre réponse pourrait laisser insinuer que je chercherais par ce sujet à diaboliser le profil "donneur de leçon", or ce n'est pas mon intention. A mes yeux il y a simplement une juste mesure (développable) pour se permettre ou pas de chercher à transmettre sa propre moralité. Ce n'est donc pas forcément un mal d'après moi, mais en abuser (ou en manquer d'audace) si, en résumé. -
A-t-on le beau rôle à être un donneur de leçon?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
La société impose des limites et culpabilise ceux qui les dépassent, ce n'est pas forcément agressif en soi, selon le bien-fondé de la loi. Et pour faire évoluer les lois, il a fallu parfois aller au-delà de ce qu'elles étaient déjà... Les principes moraux diffèrent selon les personnes. Ce que l'une pensera être la bonne ou tolérable conduite peut être jugé par une autre comme étant une mauvaise ou intolérable conduite par exemple. Choisir de lutter (ne serait-ce qu'idéologiquement) pour des principes moraux donc discutables revient à chercher à imposer sa propre éthique, contrairement à mettre soi-même en oeuvre ses propres principes sans chercher à les transmettre, à les faire adopter par d'autres. -
A-t-on le beau rôle à être un donneur de leçon?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
A partir du moment où le conseil n'est pas exprimé comme une simple proposition mais davantage comme une directive de Bien "Tu devrais arrêter de fumer parce que...", à mon avis on rentre dans le cadre du "donneur de leçon". Extrait d'un article sur le sujet (Cependant, s'agissant d'une approche psychologique/thérapeutique, une approche philosophique, si elle peut bien sûr s'en inspirer, peut aussi différer en partie.): -
A-t-on le beau rôle à être un donneur de leçon?
sirielle a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
Pourtant, c'est une attitude courante relationnellement, jugée parfois intrusive, envahissante voire déplacée, ou parfois assez appropriée. En couple par exemple, on s'exprime quelquefois plus ouvertement et on peut dire à son conjoint "A mon avis, tu devrais arrêter de fumer, sinon tu risques d'avoir des problèmes de santé." Ceci dit "le beau rôle" est une expression qui fait référence au rôle populaire, "le beau rôle" est parfois une position bienpensante par exemple, celle dont on sait en tout cas qu'elle sera "bien vue" par un certain groupe, à tort ou à raison. Or on peut constater que l'expression "donneur de leçon" est couramment connotée péjorativement mais dans les faits la conscience d'en être un en ces termes n'est pas toujours présente, et celui qui milite en quelque sorte, au-delà de ce que la loi exige réellement, est parfois admiré pour son courage, voire pour ce qui laisse paraître une supériorité morale, faire justice ou défendre "le Bien", encore une fois à tort ou à raison. -
A-t-on le beau rôle à être un donneur de leçon? Au-delà du strict respect des lois sociales, qu'est-ce qui justifie ou ne justifie pas pour un individu d'en moraliser un autre, de lui imposer, ne serait-ce que verbalement, sa propre éthique? Doit-on pouvoir se permettre parfois de blâmer ouvertement quelqu'un qui n'est pas vraiment hors la loi, ou hors règlement socialement admis? Si oui, sous quelles conditions?
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Et considérer qu'un parent ne répond à aucune sollicitation de son enfant parce qu'on l'a croisé dans un bref instant d'inattention, comme ça peut arriver couramment dans la vie à la plupart des gens, parce qu'on est sujet à de nombreuses sollicitations diverses, serait une conclusion téméraire. Ceci dit oui, être parent est à la fois une chance et une responsabilité à ne pas négliger. Personnellement dans mon entourage, il arrive qu'un enfant n'ait pas forcément une réponse tout de suite lorsqu'il est en demande, selon la situation, parce qu'un adulte peut être très occupé, mais normalement il a une réponse en peu de temps quand-même...
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Rien ne dit dans cette histoire que ce que faisait la mère sur son téléphone était optionnel ou totalement dénué d'importance. Certains échanges téléphoniques ou équivalent sont relativement importants. Et rien ne dit non plus dans quelle mesure cette mère est présente ou non pour son enfant en général, d'autant qu'une critique d'enfant de 6 ans n'est pas forcément très objective, peut-être que oui ou peut-être que non (mais qu'il ose la blâmer est plutôt bon signe sur le fait qu'il ose s'exprimer ouvertement à sa mère). Donc personnellement, je ne jugerai pas la mère qui avait peut-être de bonnes raisons d'être sur son téléphone, même si l'enfant en a éprouvé une légère frustration sur le moment. (Et puis, peut-être a-t-elle tenu compte ensuite de la réflexion son enfant et a-t-elle tenté d'être plus disponible.) Mais au-delà de cette anecdote, les téléphones portables pour les relations parents-enfants, leur permettent aussi d'être plus facilement en contact lorsqu'ils sont loin les uns des autres, ce qui apporte même parfois une certaine sécurité, d'être plus facilement joignables en cas de problème, etc....
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Que faut-il faire en religion?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Mak Marceau dans Religion et Culte
En religion déiste le Vivant est la création de Dieu, et la Religion en général implique grandement des préceptes moraux (et donc de Justice), en principe elle prône la droiture comportementale. Elle peut représenter également un savoir existentiel censé apporter une compréhension de la vie et de l'existence, et donc de bon conseil vers un Idéal de bien-être et de savoir-être (dans le collectif). Or il est essentiel en spiritualité de savoir se détacher suffisamment de l'égo (pas totalement mais suffisamment), ainsi que, pour aller plus loin, de toute partialité avilissante, dont par exemple un anthropocentrisme outrancier. Le bien-vivre ensemble donc dans un sens large en hommage et en respect à la beauté de la Vie dans son ensemble. Or lorsqu'on s'applique à être quelqu'un "de bien", à faire honneur à sa profession, à sa famille, à se montrer digne de ses amis, de ses voisins, de son couple, droit, juste, etc... en Religion cette quête de droiture, d'honneur, ne se limite en principe pas à un seul domaine de la vie, mais à l'ensemble des domaines existentiels, pour être à la hauteur de la beauté de la Vie qui nous anime, lui faire honneur en s'appliquant à se comporter du mieux qu'on peut, dans un souci de pouvoir être objectivement et à juste titre fier de soi et de ce que l'on renvoie aux yeux du monde et de soi-même, y compris au-delà du regard de ses pairs et de la société. -
Je suis particulièrement intolérante à la douleur donc je fais très attention à ma santé (mais je ne prends éventuellement d'anti-douleur type doliprane qu'en dernier recours pour m'épargner les effets secondaires, c'est donc très rare), et j'évite au maximum les prises de risques superflues. Je prends beaucoup soin de moi, je fais attention à mon alimentation, je tente de limiter les activités à risque au strict nécessaire, etc... Par contre effectivement je suis un peu rodée par exemple par rapport à une part des souffrances psychologiques inévitables (certains aléas courants de la vie), par rapport au stress aussi, que j'ai appris à mieux gérer au fil du temps. J'ai acquis une expérience, et une confiance en moi relativement forte, me permettant d'affronter plus facilement certaines situations difficiles (un peu comme on s'immunise physiquement, mais psychologiquement aussi). Cependant, le sport est évoqué dans l'article, je fais pas mal de sport, environ 1h30 par jour, mais pour moi ça ne représente pas une souffrance, juste un effort soutenu, ce qui est différent, d'autant que depuis mon enfance mes professeurs de sport m'ont appris qu'il ne fallait pas trop forcer pour que ça reste vraiment bénéfique du point de vue physique à long terme.
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Si je veux sourire je souris, je n'ai pas besoin d'une application pour ça. Je suis juste quelqu'un qui ne sourit pas forcément beaucoup sur les photos (quelquefois si quand-même), mais ça reste un choix, je ne suis pas quelqu'un d'extrêmement chaleureux en société, question de caractère tout simplement... Et je ne veux pas trop me forcer, un peu comme quand on me dit "Mais rigole, c'est une blague, faut rigoler.", si je ne trouve pas la blague drôle au mieux je souris par politesse, mais je ne me force pas à rire en général, ou alors ironiquement.
