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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Pourquoi? L'impression d'avoir un public plus "universel"? :D
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Ouai, j'avoue, je suis le seul. A mon avis, je dois avoir un problème du côté de ma virilité. Faut que j'y réfléchisse. Cela dit, je témoignerais bien, vraiment, mais j'ai pas l'habitude de me maquiller, si tu vois ce que je veux dire. Je ne suis pas féminisé complètement encore, faut croire :D
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Merci :D :smile2:
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Mais quel est donc le dénouement? Parce que c'est simplement magique : http://www.youtube.c...h?v=l4_UUS6cvBM Sommes-nous les danaïdes? Sommes-nous à la recherche continuelle d'un vide qui serait plein? Parle. Ne t'arrête pas. Je suis là. Tu en as besoin. Goethe avait bien raison. Les jeunes sont cons, les vieux sont cons. Au fond, l'égalité est parfaite. Où est le problème, du coup? Le propre de l'écriture, c'est la cohérence, et l'accessibilité. Le partage d'une âme à l'autre, comme si elles pouvaient communiquer. Il faut en tenir une couche pour croire à l'existence d'un moi intérieur et indépendant. Il faut l'être encore davantage pour penser qu'il parle comme nous parlons. Mais bon. Au moins, ça règle quelques questions. Je vais finir par me persuader un jour qu'une question est faite pour avoir une réponse. Quoi qu'en réalité, on s'en tape pas mal, du pourquoi qui explique ceci ou cela. L'essentiel, ce n'est pas d'avoir trouvé, mais d'être celui qui l'a trouvé, et celui qui a fait l'effort de le trouver. Pessimiste vision. Un jour, je verrai les choses comme elles sont : sans réflexion, futiles à souhait, et belles à en tomber. La vie n'a pas le moindre sens. Néanmoins, si je devais songer à quelques nécessités dans la mienne, je serais curieux de les connaitre. Je n'ai pas la beauté d'être un enfoiré. Encore moins le génie d'être un dératé. Je dois donc être un ridicule rien entre les extrêmes que je ne peux qu'effleurer et admirer. Trop peu réactionnaire pour me révolter, trop lâche pour exister. Il me semble que cela s'appelle le doute. Une sorte de tension existentielle entre deux tendances. S'en aller, c'est quitter. Seulement, l'ailleurs ne tue ni la peur, ni la vie. Voilà pourquoi il n'y a que la mort. Le nulle part. Je trouve très curieux de devoir se battre pour mériter de vivre. Si la vie va réellement de soi, personne n'a à la légitimer. Il tient à chacun de décider. Non pas entre la misère et la perfidie, mais entre une vie dans les règles, et celle dont on rêverait avoir déjà tout petit, à savoir, une autre. L'envol. Un état intéressant. Jusqu'à la fatigue. Tout oiseau doit se poser un jour. Certains même ne décollent jamais. Si on décide de la direction, on ne décide pas de son plumage. Gardez-le à l'esprit. Un moche ou un con n'a jamais décidé de l'être, parce qu'il souhaitait se faire lyncher. Ce qui ne veut pas dire qu'il ne faut pas le faire. Il est normal de se moquer d'un moche ou d'un con. Cela lui offre autre chose de bien plus précieux, c'est-à-dire l'envie de vous trucider, ou simplement, de vous humilier. Autrement. Plus tard. La vie est une éternelle revanche avec le passé.
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Plus ou moins, oui, Houston!
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Si ce n'est que je voulais dire qu'il ne fallait pas avoir d'optique pour l'être, ou ne pas l'être, ce qui revient au même. Mais, merci x)
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Le bonheur est un vieux problème. Depuis tout petit, il y a cet apprentissage des choses les plus simples, des goûts les plus précieux. Pas directement, crûment, mais progressivement. C'est là le but de l'éducation que de préparer au reste d'une vie en l'endroit où nous sommes. Mais, rien n'indique comment parvenir à ce mot, à cet état, qui devrait, à l'entendre, nous mener à un petit monde qui serait idéal pour nous. Est-il plaisir? Possible. C'est souvent ce que nous entendons. Une accumulation longue et importante de plaisirs qui permettent d'embellir notre existence. En cela, il n'est qu'un synonyme de plaisir. Il n'a pas lieu d'être. Est-il une forme de plénitude, d'état de satisfaction supérieur, presque divin, qui amortirait infiniment notre faim? L'idée n'est pas idiote, mais l'idée est irréalisable, impossible. Le bonheur ne serait que spéculation. Et que nous apporte la spéculation? Rien, sinon de nous tromper. Est-il absence de désir? Désirer, c'est amener à prendre plaisir. Et un bonheur sans plaisir me semble difficile à concevoir. D'autant plus qu'arrêter cette machine qui fait, quelque part, notre essence, ce n'est pas comme arrêter le moteur d'une machine. Il nous manque le bouton off. Non, je crois qu'à lui courir ainsi derrière, nous ne pouvons que sombrer dans l'erreur. Le bonheur, ce n'est pas ce truc un peu imprécis et tellement désirable qu'il faut attraper à n'importe quel prix. Ce n'est pas non plus celui qu'il faut mépriser. Au fond, il représente tout et rien, à la fois. Il est un vide tellement plein. D'où la bêtise de vouloir s'en abreuvoir, puisqu'il n'y a pas matière à nous satisfaire. Oui, je crois bien que la leçon que ce farceur aimerait nous apprendre, c'est qu'il ne sert à rien de désirer à en souffrir ce dont nous n'avons nullement besoin. Parce que, en quoi consiste-t-il? N'est-il pas une simple idée, un de nos délires abrutis voulant nous faire passer pour des êtres ayant un besoin autre que ceux des animaux? Peut-être en doutez-vous, mais moi, je n'y vois qu'une velléité pour prendre distance avec ce que nous n'assumons pas. Nous avons besoin de manger, boire, et dormir. Soit. Pourquoi faudrait-il davantage, pour être heureux? Evidemment, cela n'est pas plus, cela n'est pas mieux. Mais, partir à la quête de ce qui n'existe pas, cela ne peut résulter que deux choses : la peur d'être ce que nous sommes, à savoir des animaux, ce qui n'a rien de péjoratif, même si nous en doutons parfois, ou la volonté de se détruire, donc de connaître la douleur, et de pouvoir s'en plaindre. Quoi qu'après, je peux comprendre qu'on craigne cela. Il n'est pas facile pour tout le monde de redescendre au niveau où il devrait être. Quand on est au-dessus, quand on a le pouvoir, redevenir commun peut être difficilement supportable. Bref, si vous souhaitez être heureux, le mieux à faire, c'est encore de ne pas y penser. Vous verrez, on s'y laisse prendre avec faiblesse et facilité.
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Comment tu sais que j'ai une coupe comme ça?
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Vraiment bon! Puis j'adore l'organisation du poème. Et, le rythme est entraînant. Au plaisir!
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C'était logique!
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Universe Chapitre 70 : La nuit tombe enfin
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Je passe de temps en temps, et, globalement, ton style est meilleur, je trouve. Et, à ce titre-là, tu fais, du coup aussi, moins de fautes. Ce qui est plus agréable, on va dire -
Participation forumienne : La recherche scientifique, par Mad_World (5 et 6e partie)
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Elsa dans FFr Mag'
Dis comme ça, c'est assez strict comme truc. Quoi qu'à mon avis, c'est la rigueur scientifique qui veut ça. En tout cas, oui, c'est intéressant. -
Oh oui! Un duo Mathieu/Gaga! J'en rêve déjà!
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Je n'connaissais pas, à vrai dire. Et là, j'ai de nouveau faim. C'est problématiquement problématique
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En effet, c'est sympathique. Dommage pour le "T" de violet qui n'est pas en violet :D
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T'aurais pu parler de nanomètres et de longueur d'onde si déjà tu te lances dans l'explication physique des couleurs et de la lumière blanche! Puis, moi j'aime beaucoup le rose. Tant qu'il n'est pas sur moi. Sinon, j'aime la non couleur.
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Effectivement, c'est assez long, et j'ai un devoir demain, donc je repasserai plus tard aussi, désolé
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J'aime bien l'idée de l'assemblée cherchant les alliances... :D
