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Tout ce qui a été posté par Jedino
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Oui, j'entendais faire cohabiter les deux. Laisser le choix de la gestion, même s'il faut amener les conséquences, comme le risque de la révolte, donc la répression,etc. Une tyrannie logique fonctionne sur l'autorité, non? x) Le joueur veut jouer avec les autres, avant tout. Commercer, faire de la diplomatie, voire faire la guerre. Il cherche le contact, quoi. Pourquoi pas pouvoir créer des unions économiques, politiques, militaires... Ca marche, mais pour ça, je ne saurais pas t'aider. Bonne idée, la météo! Et, pourquoi pas, oui.
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Intéressant. Mais tu vois, ce qui pourrait plaire, c'est aussi la gestion inverse : non pas satisfaire le peuple, mais le tyranniser.
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N'est-ce pas? ce qui est intéressant, c'est que le texte le plus bref est celui qui fait le plus parler de lui :smile2:
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Quelle est l'histoire? :)
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Premier pas sur la Lune
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Le mystère d'un poème est tellement mieux! Rassure-toi x) -
Premier pas sur la Lune
Jedino a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
J'dois manquer d'caféine, sûrement, mais j'crois que j'vais devoir le relire pour comprendre tout à fait. Il se tape la lune? WTF! -
Il me regarde si durement. Qu'ai-je bien pu faire? Le trahir? Le blesser? Pourquoi ne me répond-il pas? J'aimerais comprendre, j'aimerais apprendre, mais je me heurte au trouble et à la méconnaissance. Qu'aurais-je dû changer pour qu'il m'estime enfin, me regarde avec un peu moins de mépris et plus d'entrain? Je ne pensais pas, pourtant, que mon erreur était si grande. Ma vie est globalement banale, sentimentale, et bien vide de tout intérêt. Peut-être est-ce mon chemin qui lui déplaît? J'attends, en sachant très bien que jamais il ne me révèlera ce qui l'a mis dans cet état-là. Il est probablement jaloux. Jaloux de ma réussite, jaloux de ma situation, jaloux de ce qui m'arrivera ensuite quand je garderai ma raison. Mais cet air sournois, cet air étrange, ce mélange de je-ne-sais-trop-quoi, me pousse dans le doute. Je ne supporte pas l'incertitude, l'incompréhension. Il m'irrite, me provoque. Vais-je frapper de mon poing dans ce miroir? Oserais-je être violent avec celui qui me ressemble tant? Ce soir, elle est partie. Pour de bon. Pour toujours. Merde. Quel con. Je l'aimais sincèrement, malheureusement. Je n'ai rien pigé. Ce jeu me dépasse. Il m'enlace de toute son hypocrisie. J'aurais sûrement dû faire quelques efforts, m'attarder sur elle plutôt que sur moi. Ou l'inverse. Je ne sais plus. Les choses de la vie sont si complexes que je m'y perds bêtement. Tu sais, tu étais tout pour moi. Mon coeur, mon pouls, ma foi. En la vie. En l'amour. En moi. Maintenant, dis-moi, qui suis-je? Que deviendrai-je? Un mort vivant? Un vivant mort? Je t'ai offert mon amour, tu as arraché mon âme. Je me sens comme l'ombre de ce que nous étions : une joie fausse et parfaite. Je me retrouve là, face à moi-même, face à la vérité, ma vérité. Je suis là, à devoir affronter la mort qui tente de me convoiter. Mon visage me semble si pâle. Je me sens saigner. Mes lèvres grimacent. Je crois que je souffre, que je m'évanouis. Nous étions si haut ensemble. Je dois être en train de chuter. Le sol me rattrapera forcément. Tôt ou tard. Pourquoi la réalité est-elle de marbre? Pourquoi dois-je mourir après avoir été?
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La croyance n'est pas un problème
Jedino a commenté un(e) billet du blog de existence dans Athéisme constructif
Il faut être tolérant, oui, avec tout le monde. Chacun pense avoir plus raison qu'un autre. Chacun a ses arguments pour le justifier. Mais, finalement, il est difficile de savoir qui a raison, ou non. Si quelqu'un a réellement raison. J'en suis pas forcément convaincu. -
L'animal le plus intelligent? Haha. Il n'a rien du "plus" intelligent des animaux. Et c'est pas le fait de pouvoir penser qui y changera.
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Voilà. Ecrire pour soi, c'est le départ de tout
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La suite du programme
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Docteur CAC dans L'Economie Sans Frontières
Oh, c'est une présentation des différents courants historiques en économie. -
Ah non, je ne parlais pas tant de ça. Même un conseil positif, ça me semble une mauvaise idée. Pourquoi? Parce qu'il faut que TOI tu trouves TON style. Et, les autres ne peuvent pas t'aider pour ça, mis à part en glissant ce qui leur plait ou ce qui les intéresse.
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La suite du programme
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Docteur CAC dans L'Economie Sans Frontières
La pensée économique (c'est l'cours que j'ai, actuellement, donc). Puis, l'homo economicus, je préfère me le garder en lecture, ayant un livre qui le traite. Mais après, tu fais comme tu veux :D -
Les commentaires ne pleuvent pas par ici, en général, désolé^^ Par contre, ne cherche pas de conseils : tu fais comme tu veux. Personne ne peut vraiment te dire comment toi tu écriras. L'expérience fera cela.
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L'homme n'est pas mauvais et n'a pas mal fini. Il est ce qu'il est : un mélange de bonnes et de mauvaises choses, toutes corruptibles, toutes corrigibles. D'ailleurs, les sociologues t'expliqueront mieux que moi que ce n'est pas l'homme qui est mauvais, mais l'endroit dans lequel il vit. Tout comme le fait que le "sexe faible" qu'est la femme dans nos esprits pervertis n'est pas une vérité universelle. Oh, tu sais, l'âge ne fait pas l'expérience. Je ne prétends pas avoir tout vu et tout connu, loin de là. Et, donner sa vie, à quoi bon? Personne ne veut d'un sacrifice. Une épaule, une aide, suffit. Par contre, faut pas s'attendre forcément à un retour. D'ailleurs, ça n'aurait aucun sens. L'arme nucléaire est une question épineuse, mais c'est l'aboutissement (pour l'instant) de ce que nous sommes : des prédateurs. Maintenant, ça n'a rien d'une évidence. Il existe des gens pas trop bêtes qui ont cru que l'homme était naturellement bon, mais corrompu par la société. Ce qui est étonnant, c'est que les deux semblent vrais. Comme dirait saez : "un million de pauvres ça vaut pas un dollar" Prends parti si tu veux. Mais, je n'ai pas l'impression de dire "c'est bien" et "pas bien" en même temps. J'essaie simplement, oui, d'être le plus neutre possible. Après, je ne te le reproche pas : je n'étais pas si différent à ton âge. Tu as encore à apprendre. Moi aussi. Comme dirait l'autre : "laissons du temps au temps". Le problème, c'est de ne pas lui en laisser de trop. Mais, heureusement, il y a demain.
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Bonsoir, Et, je ne crois nullement en l'intelligence au sens humain du terme, d'où le fait que je pense ce débat non fondé, et d'où le fait que je pense qu'il est préférable que je m'en retire. Mais, vous remarquerez que je n'ai pas totalement fait preuve de mauvaise volonté en exposant tout de même les "cas" les plus généraux dès le départ. Si vous cherchez une définition humaine de l'intelligence, vous faîtes erreur dans ma vision des choses. Mais, si vraiment vous cherchez une définition pour tout organisme, votre discours peut y correspondre s'il est moins imprégné par un fond de "conscience", et qu'il me semble avoir déjà décrite dès le départ. Mais vous êtes libres, oui, de tenter de le définir négativement. Seulement, dire ce que ce n'est pas, ce n'est pas dire ce que c'est. Enfin bref, on va tourner en rond, sachant que l'unique définition cohérente de la dite "intelligence" que je conçois est celle qui est la capacité à s'adapter, oui, et qui est donc une façon de parler. Quoi que si je vous comprends bien, c'est avant tout, et surtout, la comprendre pour mieux réagir ensuite dans un cas similaire. Seulement, autant parler alors d'une capacité d'adaptation ou d'apprentissage. Le débat sur l'intelligence n'a de sens que s'il porte sur l'homme, clairement. Et, c'est bien pour cette raison qu'il n'en a aucun. Après, j'ai une conception tout à fait particulière des choses, sûrement. Ce n'est pas le sujet. Enfin bref, je m'éternise, mais voilà. Je préfère vous laisser débattre tranquillement. Ca me semble plus raisonnable. Bonne soirée!
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On a des affinités? :blush: Tu parles de défaut! Je me demande, finalement, si c'en est un, ou si nous ne sommes pas simplement ainsi. Puis, le monde beau, qu'est-ce qu'il serait chiant pour des êtres qui ne conçoivent le bonheur que par substitution contre toutes les formes imaginables ou non de malheurs. Plaider le respect justifie-t-il la censure? C'est tout un débat à part entière. Et, je ne suis pas d'accord, même si je ne suis pas l'avocat des idées qui n'auraient pas lieu d'être. Je dirais même que la censure est contre-productive : comment arriver à une union quand on use de moyens qui divisent? Mais oui, le mot haine n'est peut être pas adéquat ici. Les "j'aime"? Sans doute. Pas nécessairement, cela dit. L'intention d'une personne n'est pas toujours facile à comprendre. Les groupes/entreprises faisant leurs promotions veulent des "j'aime", mais pas pour les amasser en soi. Il y a bien un but derrière cela. Ce n'est pas comme raconter qu'on a une x-ième fois pas été en cours tout fièrement. Et, là encore, il y a une intention : le besoin d'exister, même seul dans sa chambre. Tu as tort de croire les personnes si bien informées. Entre ceux qui lisent/regardent d'un oeil, ceux qui se contrefoutent de ce qu'ils lisent/entendent parce qu'une bombe à l'autre bout du monde a encore explosé. Ici, j'ai l'impression que tu grandis un peu l'intérêt porté sur ces questions. A moins d'un massacre "exceptionnel", d'une insistance, tout ça est très secondaire, insignifiant, dans l'esprit des gens. Et, c'est compréhensible : nous avons nos propres problèmes. Tu ajoutes à ça l'idée que l'ouvrier du coin sait pertinemment qu'il n'y changera rien, et tu as déjà deux raisons qui font que ces informations sont bien des "faits divers". Maintenant, toi, oui, peut-être réagirais-tu ici s'il y avait un sujet posté. Mais tu admets toi-même que l'idée ne te viendrait pas de le mettre toi-même. Après, bien sûr que c'est horrible, au moins autant que le cheval dans les lasagnes. Tu remarqueras à quel point ça a passionné les journaux et les populations. C'est pourtant un véritable détail. Seulement, ça nous concerne directement, là, et en plus, on prend conscience que les entreprises nous les mettent bien profondes. En réalité, c'est pitoyable. Mais bref. Tu ne fais plus confiance à nos ancêtres? Mais l'histoire n'est pas si simple, tu sais. L'arme nucléaire est paradoxalement un gage de paix (pour l'instant) pour son effet destructeur et sa démonstration par les Etats-Unis pour mettre un terme à une guerre qui risquait de durer et de leur coûter de nombreux soldats, encore. Puis, rassure-toi, les bombes de Hiroshima et Nagazaki, ce sont des "jouets", maintenant. La bombe H, c'est quelque chose de bien plus puissant. Cent soixante fois, paraît-il. Et, nous avons obtenus la paix en Europe. Ensuite, les deux blocs sous la guerre froide n'ont pas amené à la "paix". Le Vietnam est l'exemple type de ce conflit après les bombes. Le problème de Cuba, aussi. Etc. L'afrique est dans la misère de manière générale, l'Asie ne sait pas trop où elle est, voulant prendre une place au plus haut du podium sans savoir y faire avec ses problèmes. L'Histoire est vraiment quelque chose de complexe, et moi-même, je n'oserais pas trop en parler, n'en connaissant qu'une mince, très mince, partie. Tu peux reprocher bien des choses à nos ancêtres. Ils ont massacré des malgaches, des algériens, et tout ce que tu veux. Mais, tu oublies non seulement ce qu'ils ont pu faire de positif à côté, mais aussi que sans eux, nous ne serions pas là à parler d'eux. Le problème des représentants est un autre problème, oui. Et, c'est d'autant plus problématique qu'en général, ça ouvre les portes à ces extrêmes que tu sembles avoir en horreur. Et je ne parle pas des partis politiques.
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Autant pour moi, alors :D
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J'voudrais pas être médisant, mais je le serai quand même : les gens qui commentent sur facebook, en général, sur des choses assez "fréquentées" ne sont pas toujours très futées. Faut vraiment pas que tu fasses attention à ça. Puis, la haine et la moquerie ne sont que des composantes presque normales dans notre monde. La différence, c'est que là-bas, ou ici, si tu veux, tu peux l'exprimer plus librement. Ca vient de la différence entre le droit d'avoir une opinion et le droit d'être respecté : tu peux être raciste/homophobe/xénophobe/haineux/moqueur, et tout ce que tu veux, tant que tu ne menaces pas et n'incites pas à la violence, tu es en droit de le dire, même si en réalité, c'est plutôt toléré qu'autorisé, voire interdit pour ce qui est de la presse, il me semble. Pour nous, je ne saurais pas dire, et la question ne m'est jamais venue à l'esprit, n'étant pas concerné. C'est un peu aussi l'affaire concernant DSK et le livre de l'autre je-ne-sais-plus-qui. Tu peux parler de choses impersonnelles, indirectes, mais tu n'es pas en droit de salir quelqu'un ou d'inciter à salir quelqu'un. Je peux comprendre que tu sois choqué. Mais, l'interdire reviendrait à prendre position toi-même dans une forme de "haine" à l'égard de quelqu'un. Comme je te l'ai dit dans le premier message, à la fin, la seule révolte qui vaille la peine est celle de l'éducation. Toi, tu me sembles bien parti pour être quelqu'un de bien, sur ce que je sais de toi. Rien n'est jamais sûr, m'enfin on se comprend. Ah, et, pour le coup du "on ne me répond jamais" que missmacaronsratés01 semble avoir mal pris, sauf si elle fait de l'humour que je ne comprends pas depuis deux messages en réaction à mes pseudos-reproches à son égard, eh bien, je plaisantais, hein. Je m'en fous pas mal qu'on me réponde ou pas. Je suis comme toi : je m'exprime, quand j'en ai envie. Et tu remarqueras, je pense, que nous avons le même avis sur le fond que sont les problèmes, mais pas sur la forme, qui te choque toi, mais pas moi. Mais, tu es plus jeune, malgré ce qu'on me répondra et, tu as le temps de t'y faire encore. Les adultes sont en général bien plus sarcastiques que les enfants/adolescents. Modif (suite à la tienne) : quand je dis qu'il est impersonnel, je ne dis pas qu'il est insignifiant ou non cruel. Je dis simplement que s'identifier à cela revient à impliquer ta subjectivité. Il y a une certaine prise de distance à faire, je pense, pour le comprendre. Après, libre à toi ou non d'y adhérer. Je t'expose simplement comme je le conçois. Seulement, il faut bien faire la différence entre l'antisémitisme et une blague sur la question. L'auteur ne l'est pas nécessairement, et peut être tout à fait le contraire, tout comme il peut l'être ou l'instrumentaliser dans un but quelconque. Le problème me semble plus complexe. Puis, comme l'a expliqué quelqu'un déjà, son but est justement de ne pas laisser indifférent, ce qui peut paraître paradoxal. Déranger. Le fait que tu y réagisses montre qu'il a été utile, en quelque sorte : l'aurais-tu relaté si tu avais lu sur un site quelconque où l'information disant qu'une bombe quelconque a explosé je ne sais trop où sur le forum? Peu probable parce que la chose est devenue si "banale" que c'est un fait divers. A tort, et comme le rappelait mon professeur d'Histoire ce matin. D'où l'intérêt de l'humour noir qui est une vrai piqûre de rappel à qui aime les piqûres.
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Oh, je ne dis pas qu'il ne faut pas y réfléchir ni en débattre. Je dis que si tout le monde y va de sa petite sauce, ça ne sera qu'un semblant de débat. Et c'est là tout le problème en général des débats sur la question de l'intelligence. Après, je ne critique pas vraiment le fait d'y participer, l'ayant fait dès le début moi-même pour montrer qu'il y a vraiment une trop grande palette de ce qu'on peut entendre par là, et qui n'était pas du tout exhaustive. Bref, je disais simplement sûrement en provoquant légèrement que si une définition claire n'est pas définie par l'auteur du sujet en question, il sera difficile d'aboutir à des réponses ou des idées claires. Quoi que je dis un peu n'importe quoi puisqu'il cherche à définir l'intelligence-même. Mais, je vais m'abstenir, n'étant pas assez convaincu par cette notion pour réellement apporter quelque chose. J'aurai au moins l'intelligence de quitter le débat après l'avoir dérangé bêtement! :)
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Oui, je suis un idiot fini Disons qu'il y a une différence pour moi entre l'humour sur une "masse" de personne et "l'humour" sur une situation plus personnelle et individuelle. Cela me fait penser à du Staline, bizarrement, mais bon. Le "la mort d'un homme est une tragédie, la mort d'un million est une statistique." La phrase résume complètement l'attitude que l'on a vis-à-vis de ces choses-là. Et la différence est le fait qu'on puisse se reconnaitre, disons, dans le premier cas, alors que le second nous dépasse au point de nous surpasser. L'humour noir est plaisant quand il est impersonnel. Sinon, il peut être pris pour une attaque. A tort ou à raison. Maintenant, la question est : peut-on se le permettre avec une personne ne le comprenant pas? A mon avis, l'essentiel réside dans une chose : la compréhension. Un humour incompris n'a aucun intérêt, sauf si on cherche à se dire comme incompris par la suite. Voilà tout. Ah non, pas tout : une blague sur la religion est aussi dramatique qu'une blague sur les enfants soldats. Je te le répète : la différence, c'est la façon dont toi tu perçois les choses. D'où le fait que tout le monde n'arrive pas à comprendre cet humour qui paraît méchant et cruel en apparence mais met clairement le doigt sur ces problèmes. Ca me fait penser au fait que les gens sont bien plus sensibles à ce qu'ils voient que ce qu'ils lisent : un article sur la question, c'est triste, mais bon, voilà. Un film sur la question, ça touche plus que la raison du type : ses émotions sont frappées, et là, ça te prend aux tripes. D'où les images. Et, d'où le fait que j'me souvienne d'un film sans en connaitre encore le nom, aujourd'hui, dans le genre.
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Bref, en conclusion, c'est tout, mais aussi, n'importe quoi. La solution est donc : c'est du vent tant que ce n'est pas clairement défini.
