-
Compteur de contenus
48 051 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Jedino
-
J'viens d'apprendre que je suis droitier! :cool:
-
Amnesia, the dark descent
Jedino a commenté un(e) billet du blog de emasik dans L'oeil du requin inversé
Ouai, j'dois en avoir une quelque part :smile2: -
Univers Chapitre 08 : Barta la force bleu contre Jeece le rouge
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Une égalité, c'est possible? :D -
Amnesia, the dark descent
Jedino a commenté un(e) billet du blog de emasik dans L'oeil du requin inversé
Quand j'parle de CSS, j'suis déjà vieux, alors Robocop... :D (je rigole hein! :smile2:) -
Amnesia, the dark descent
Jedino a commenté un(e) billet du blog de emasik dans L'oeil du requin inversé
J'ai le démineur fight. Tu connais pas? -
Amnesia, the dark descent
Jedino a commenté un(e) billet du blog de emasik dans L'oeil du requin inversé
Nan mais si tu peux même pas te défendre, c'est déjà chiant.. :D Remarque, j'ai plus la patience pour ce genre de jeux. Mis à part le démineur, je ne joue plus vraiment -
Ou qu'ils ont le pognon pour qu'on ferme l'oeil sur la question? :D
-
Une proposition pour le mois de Juillet : Conclusion !.
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
J'ai la majorité absolue :D -
Nan je déconne, je comprends un peu, mais je pourrais pas te le traduire :D (paradoxal, n'est-ce pas? :smile2:)
-
Parfois, t'es emballé, comme ça, sans trop savoir pourquoi. La mélodie, sûrement. Les paroles, peut-être. La musique est une émotion. Elle est devenue business. Elle n'est pas seule : tout est marchandise. On en vient à douter de la direction vers laquelle se tourner. Aucune n'arrive vraiment à séduire. La conséquence de cette époque de l'éphémère et du mensonge? Vous savez, je m'y perds, dans ses codes, ses règles, ses obligations. Non qu'elles soient forcément excessivement nombreuses. Je pourrais m'écrouler sou leur poids, mais non : j'ai appris à les porter dès mes premières années. Là où je rame plutôt, c'est dans la compréhension de ces principes : ne pas tuer, ne pas être méchant, respecter, etc... Bien sûr que c'est "immoral" pour un homme que de massacrer son semblable. Pourtant, ça ne me choque pas. L'acte en lui-même est à proscrire, puisque je suis malgré tout porteur d'une certaine "morale" où le Bien n'est pas une obligation, mais une évidence, le résultat de la connaissance. Seulement, c'est humain. Pas d'exécuter un autre homme, non. Mais de faire le contraire de ce qui nous est dit. Si demain, la loi passait de l'interdiction à la nécessité, que ferions-nous? Il y aurait trois types de réactions, selon moi : ceux qui y verront un moyen d'en profiter, et donc qui empêche toute confiance mutuelle, puisqu'il faut des lois pour les "forcer" à être ce qu'il serait "logique" qu'il soit (quoi que la chose est ici discutable). Ensuite, il y aura la catégorie inverse, convaincu à la simple lecture ou écoute de cette loi qu'il ne faut pas la suivre. Et, enfin, les derniers, qui douteront, trop inquiet de désobéir, et trop inquiet d'agir comme il ne voudrait pas, au fond, agir. Autrement dit, fonder une quelconque éthique sur la raison humaine est un pari risqué, pour ne pas dire absurde : jamais un être à ce point imparfait ne saura être raisonnable. Ainsi, nous ne sommes pas libres, loin de ce que nous pouvons penser. Il y a néanmoins pire, puisque, finalement, au-delà de cette non réalité, nous sommes incapables de la supporter, cette liberté. Ce n'est pas pour rien qu'il y a toujours eu un chef, un roi, ou un groupe quelconque de personnes à la tête. Il faut qu'une minorité, bonne ou mauvaise, modère le reste. Qu'importe, cependant! Le sentiment de pouvoir décider pour soi-même suffit pour que chacun le confonde avec ce qu'est la liberté. Et, désolé, quelqu'un a qui l'on doit dicter des règles pour conduire, ou se comporter, n'a rien de quelqu'un prenant ses propres décisions. Malheureusement, nous sommes, globalement, dans l'incapacité de considérer, oui, ces choses pourtant simples comme des choses qui vont de soi. La faute au besoin paradoxal de vouloir se sentir libre, sans l'être réellement. Je n'y peux rien. Nous n'y pouvons rien. Notre essence de prédateur s'oppose à cette violence innée qui habite chaque chasseur. Imaginez un hyène, un requin, un lion, sans cette agressivité qui accompagne son régime alimentaire. Comment ferait-il pour se nourrir? Alors oui, nous avons, disons, cette "chance" de choisir, quelque part, entre nos instincts, et notre humanité. Si ce n'est que malgré ça, nous sommes sous le coup de notre nature même. Pour moi, la liberté ne consiste pas en cette possibilité de choisir, mais plutôt, et surtout, en ce détachement de ce qui nous détermine au plus profond de notre être. Tu veux être libre? Soit. Dénature-toi. Et excusez cette prose désordonnée et délirante.
-
Comment? En faisant sans!!
-
Joli poème. Cela me fait penser au fait que le drapeau de la démocratie est noir... Enfin, pas de rapport avec ton texte, si ce n'est la couleur. Et, au plaisir de te lire plus souvent
-
que faire pour devenir intéressant aux yeux des autres?
Jedino a commenté un(e) billet du blog de mitch621 dans mitch621 Blog
Je suis plutôt d'accord avec voilacté : quand on est nouveau, il faut se faire sa place, petit à petit -
Univers Chapitre 07 : Freeza débarque sur Plant Red
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Pas mal, si ce n'est qu'à 25 000 kilomètres du centre de la galaxie, c'est pas viable, mon cher ami! -
Faudra m'excuser, mais je ne suis pas trop à l'aise avec l'anglais, et d'autant plus en poésie :gurp:
-
Ode à la vie, ode à la mélancolie. Si j'avais su m'élever à la hauteur de la poésie, probable que je me serais pris de plaisir à écrire quelques vers biens gentils. Seulement, en plus d'être irréfléchi, je suis... Oui. Les mots manquent. Ou sont trop nombreux, à en étouffer ceux qui jouent avec? Ils rassurent et ils blessent. Pas ces auteurs déjà finis, abattus par la folie qui les animent. Les autres, ce peuple qui évolue sans jamais songer à se mettre au défi d'aligner les phrases à propos d'idées, et de philosophie. Quand un homme manque d'amour, il n'oublie cependant pas de s'exprimer ainsi : "chienne de vie, je n'y puis rien". Mais que peut l'écrivain qui, fort de sa plume, souffre de ne pouvoir se réinventer à l'écrit? La douleur, qu'importe sa nature ou sa provenance, ne mène qu'à la mort de l'individu si celui-ci, malgré sa volonté, accumule sans une once de répit. Que dis-je? Moi-même je ne sais plus où je souhaite parvenir ici. J'en suis fautif, étant indécis. Ne vous étonnez pas de cette incohérence inhérente, j'ai mal à la tête, suis fatigué, et cherche simplement à toucher du bout du clavier les pensées qui s'affichent dans mon esprit.
-
La puissance du croyant
Jedino a commenté un(e) billet du blog de existence dans Athéisme constructif
C'est une vision possible des choses, oui! -
Univers Chapitre 06 : Le combat de glace
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Carrément il veut le tuer Oo Et ouai, on l'apprendra par la suite, alors x) -
Pas du metal, mais bon :D Oups, toujours pas Bon d'accord, j'vous présente ma femme (du moment, bien évidemment!) :
-
Il ne sait clairement pas ce qu'il veut?
-
Le ciel s'assombrit. C'est, finalement, son vrai visage : la couleur de l'absence de toutes couleurs. Un vide dont le paysage ne nous est pas inconnu, comme si notre nature tenait plus du rien que de son contraire. Certes, la lumière nous fait grand bien, et nous nous tournons volontiers vers elle dès lors que nous l'apercevons. Mais, sincèrement, avez-vous l'impression de vivre en un monde où tout est naturellement plaisant et beau? Si tel est le cas, ce n'est effectivement qu'une de vos croyances, car vos yeux, vos oreilles, vos mains, ne sont que des moyens de transformer ce qui nous entoure. La mesure que nous côtoyons n'est que le mensonge d'un chaos que nous nous cachons par nécessité. Autrement dit, les plaisirs liés à nos sens sont insignifiants, car faux. Ou plutôt, ils sont vrais si nous considérons notre point de vue comme la réalité. Ce qui n'est pas ma position, bien que cela reste tout à fait envisageable. Je peux en effet comprendre ce besoin de se rassurer, parce que c'est de ça que cela tient, la maîtrise et la compréhension des événements qui animent notre environnement, et qui nous animent. C'était, à vrai dire, l'idée de Descartes, que celle de ne pas faire confiance à ceux qui nous ont déjà une fois trompés, c'est-à-dire nos sens. Donc, ce texte n'a pas la moindre utilité, mis à part, peut-être, de montrer, maladroitement, que le ciel, ou disons plutôt, l'espace, est possiblement un néant. Un véritable néant, la matière noire n'ayant pas une existence prouvée empiriquement jusqu'ici. Quoi que l'absence peut n'être qu'une méconnaissance de la présence. Quoi qu'un autre univers ne pourrait être que lumière. L'imagination ne l'est-elle pas quelque part?
-
Chapitre 23 : Le but de l'entrainement. Apprendre de nouvelles techniques
Jedino a commenté un(e) billet du blog de Haku dans Haku Blog
Vous le saurez après la pub'! (pardon :D) -
Il y a des choses qui m'énervent intérieurement, m'obligeant à me maîtriser. Et être comparé à quelqu'un est sûrement l'une des pires, d'autant plus quand on ne me le dit pas, et qu'on ne se contente de le faire qu'au constat du "mieux" que l'autre fait. Comme s'il fallait être aussi bon que les autres. Comme s'il fallait être tout le temps excellent. Je le pourrais. Je le sais. Mais pourtant, il y aura toujours quelque chose m'empêchant d'y parvenir : ce dégoût de l'élitisme, de la concurrence, et du marchandage de notre avenir. Sans parler de cet objectif consistant à vouloir étudier pour avoir un boulot. Conséquence logique de la connerie humaine. On rit bien de moi quand j'annonce que non, je ne sais pas quoi faire plus tard, et que oui, la seule chose qui m'intéresse, en allant en cours, c'est apprendre des trucs. Cependant, peu importe, ici. Ce qui m'horripile, et au fond, me chagrine, ce sont ces paroles si indirectes et si tues. Lâche et hypocrite. Voilà notre nature. Je vais m'arrêter là. L'envie d'écrire me perd à mesure que ma rancœur grandit. L'envie d'entendre aussi. Finalement, je comprends pourquoi les livres sont un univers où certains finissent par se perdre.
