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Jedino

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Tout ce qui a été posté par Jedino

  1. Jedino

    Crève-moi les yeux

    J'ai lu. Si si. Et ça m'a fait penser à Jésus.
  2. Jedino

    Crève-moi les yeux

    Ouai, j'espère pour toi que tu sais gérer les situations problématiques! Que tu es bon! Mais c'est exactement ça! En plus, c'est une gonzesse qui me devance! La honte, quoi!!
  3. Jedino

    Crève-moi les yeux

    C'est que j'avais pas tort, en fait. Désolé, mais là j'ai trop la flemme de lire. A un autre soir.
  4. Mais je t'en prie, jeune homme!

  5. Oh non, trop jeune pour ça!

  6. Cette vision du social me paraît plutôt in fine : au départ, il me semble que le véritable intérêt est d'être une sorte de "force" en étant un bloc plus vaste et cohérent, donc plus dur. Maintenant, oui, il y a une espèce de besoin d'être rassuré et de rassurer. Pas facile, d'ailleurs, de sortir de ce cercle sans paraitre, quelque part, à côté de la plaque, en un sens.
  7. Jedino

    zwijgen 9

    La phrase de conclusion est... Pessimiste à souhait. J'espère que ce n'est pas la réalité
  8. Jedino

    Equipe de France de football

    2-0 pour la France. Les espagnols vont en prendre pour leur grade, et c'est tant mieux :D
  9. C'est mignon, tu veux pécho Zala?

  10. Eh oui, mon cher ami! J'ai des maths! Je sais, je sais, je suis épatant! En fait, je suis dans une filière hermaphrodite à tendance littéraire!
  11. Jedino

    Chapitre 10

    Marrant parce qu'à côté je lis un Camus qui parle ici et là de ça, et je lis un autre bouquin dans un même contexte. Enfin bref.
  12. C'est l'nom de ma prof' de maths.
  13. Leblanc... J'y crois pas :smile2:
  14. Mais tout à fait!

  15. C'est exactement la question qui se posait dans un autre sujet, effectivement.
  16. Mouhahaha, j'avais à me venger Cela va de soi!
  17. Jedino

    un jour = une histoire

    Sur le pas de la porte, je tremble. Je doute, aussi. Il est difficile de décider de son sort. Il est encore plus dur de le faire pour les autres. Cela paraît pourtant si simple quand on se le fait raconter! Mais, une fois en face de la réalité, tout devient très différent. Les certitudes s'effacent pour l'angoisse. La confiance s'en va avec les questions. Suis-je à ma place? Dois-je le faire? Le puis-je seulement? Le couteau me pèse tant. C'est sûrement là le poids de la crainte. Mes bras sont si fébriles lorsque le problème se pose! Celui-là même qui dissuade les bonnes gens de sombrer dans la bêtise. Nous avons tous cette peur profonde de quelque chose. Certains l'appellent Dieu. D'autres l'appellent l'éthique. D'autres, les cyniques, la combattent. Le genre de combat qu'on entreprend pour mieux oublier que nous sommes menacés. Souvent, d'ailleurs, nous l'ignorons. Jusqu'au moment. Le dernier. Voilà. Il est maintenant trop tard. Le passé reste passé. Rien ne change. Et je me dis, en cet instant, qu'au-delà de cette peur, il y en a une autre, plus terrible encore, plus intérieure. Ce besoin de me dépasser, de me prouver ma puissance, ma capacité. J'ai peur, peur de moi-même, peur de ce que je pourrais faire ou dire, entreprendre ou malmener. Pourquoi alors l'avoir égorgé? Pourquoi, en plus, l'étriper? N'ai-je pas accompli ce que je souhaitais éviter? Faut-il que je me donne raison, quitte à détruire ce que j'ai vu naître à mes côtés? Non, bien sûr que non. J'ai offert cette chance. Connaître quand nous allons mourir n'est pas donné à tout le monde. Nous fuyons la mort, mais nous ne pouvons nous empêcher de nous demander en quelle seconde, exactement, nous respirerons pour la dernière fois. J'extrapole. Je ne suis pas vous, vous n'êtes pas moi. Je délire. Le sang sur ces mains. Le sang sur mes mains. Qui suis-je pour être ainsi? Qui serai-je après être comme cela? La vérité est que jamais, oh non, jamais, nous ne cessons de nous combattre. Nulle guerre ne vaut celle que nous menons contre notre propre personne. Derrière chaque volonté se cache ce désir suicidaire, ce désir de mort, cette libération qui doit devenir liberté. Quand je lui arrache le coeur, j'espère qu'un autre me retirera le mien. Quand je saisis cette chair dans ma paume souillée, je ne peux m'empêcher de songer à qui j'étais. Puis-je vivre, à présent? Ai-je vécu, finalement?
  18. Moi ça m'fait penser à ces adolescents prépubertaires qui crachent sur tout le monde sauf sur eux Cela dit, j'admire ta capacité à imaginer les choses.
  19. Jedino

    Adulescence

    Okok! Tu casses le mythe!
  20. Jedino

    Adulescence

    J'sais pas si le néologisme (?) est de toi, mais il est intéressant. Et, orelsan te fait un drôle d'effet, dis-moi.
  21. Jedino

    Putain mais quel con...

    Les histoires, c'est bon pour les philosophes, les poètes et les idiots! Moi j'suis un abruti, désolé! Puis, j'aime les excuses qui ne sont pas dépendantes de moi (a)
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