"C'est son copain, ça va..." : ce que vos ados comprennent du viol conjugal

[Kira 20 735]

En quarante-huit heures, deux émissions très écoutées par les adolescents ont été accusées de banaliser le viol. Alors on peut se demander : un an après #MeToo, la pédagogie a-t-elle fait son oeuvre auprès de la nouvelle génération ? Réponse en demi-teinte.

Tout commence par un sondage posté sur les réseaux sociaux, mercredi 24 octobre. La station Fun Radio, dans un tweet polémique, demande à ses auditeurs s'ils trouvent normal que "Charlotte ne supporte pas que son mec lui fasse l'amour la nuit quand elle dort". La consultation en ligne provoque un tollé et est finalement retirée par la production. Mais c'était sans compter sur l'émission-star de C8, "Touche pas à mon poste", qui reprend finalement ce débat à son compte, le lendemain soir. "Choqué ou pas choqué ?" "Viol conjugal ou pas viol conjugal ?"

 

Source et suite de l'article

[CM07591 723]

Un viol reste un viol, si l'un des deux partenaire n'est pas consentant peu importe que l'autre soit son conjoint, qu'ils soient mariés ou non.

J'ose espérer que le viol conjugal est aussi réprimandé qu'un viol "normal" parce que ça reste un viol justement.

Putain, ça ne m'est jamais venu à l'esprit de toucher ma copine quand elle dort parce que je suis frustré sexuellement et parfois quand elle ne va pas bien je ne vais pas non plus la pousser à faire ce qu'elle n'est pas disposé à faire.

Aucune excuse pour tout ces sales déchets qui ne sont pas capable de se contrôler, tant bien même leur conjoint connait une perte de libido ça reste un être humain avec une sensibilité et des émotions.

[italove 7 321]

S'il y a bien un crime qui me débecte c'est le viol.

[pila 6 925]

Il faut envoyer ces parasites en camp de rééducation au Viet-Nam !

Je me vois bien dire à ma femme : "Tu dormais bien cette nuit ! Je t"ai baisé et tu n'as rien senti !"

[RabbinRenard 213]

Il n'y a même pas à débattre dessus, on ne baise pas l'autre sans son avis.

[Kira 20 735]

Il y a 1 heure, RabbinRenard a dit :

Il n'y a même pas à débattre dessus, on ne baise pas l'autre sans son avis.

C'est pas évident pour certains de le comprendre. Il suffit de lire le commentaire mis dans le titre du sujet venant d'un ado 

[Naluue 891]

Ce sont simplement des gens qui profitent des questions qui pour toute personne ayant un minimum de bon sens va créer une révolte, et donc un magnifique scandale attirant toujours plus et plus d'internautes.

Ridicule que certains en soient encore à la question de si oui ou non un conjoint(e) peut faire l'amour avec son conjoint(e) sans son accord, ridicule, c'est la définition d'un viol, point barre. 

(Est ce que si je tue ma copine c'est toujours un crime ? Non parce que c'est ma copine...)

Et puis, si je puis me permettre, les adolescents sont très avertis sur ce genre de sujets, mais on est jamais à l'abris d'un adolescent qui ne pense qu'à se regarder le nombril, mais à mon avis... ce n'est pas typique des jeunes.

[jécoute 1 113]

Le 28/10/2018 à 16:04, RabbinRenard a dit :

Il n'y a même pas à débattre dessus, on ne baise pas l'autre sans son avis.

Heuuuuuu tu peut être plus clair  dans le "son avis" ou son consentement 

Le 28/10/2018 à 18:32, Naluue a dit :

Ce sont simplement des gens qui profitent des questions qui pour toute personne ayant un minimum de bon sens va créer une révolte, et donc un magnifique scandale attirant toujours plus et plus d'internautes.

Ridicule que certains en soient encore à la question de si oui ou non un conjoint(e) peut faire l'amour avec son conjoint(e) sans son accord, ridicule, c'est la définition d'un viol, point barre. 

(Est ce que si je tue ma copine c'est toujours un crime ? Non parce que c'est ma copine...)

Et puis, si je puis me permettre, les adolescents sont très avertis sur ce genre de sujets, mais on est jamais à l'abris d'un adolescent qui ne pense qu'à se regarder le nombril, mais à mon avis... ce n'est pas typique des jeunes.

Parfaitement si t'a "trop envie" et ben tu te "casse ailleurs" (en moins de deux heure sur le web t'a une adresse) Respect de son envie (ou non envie) seulement le "conjoint" la ferme et s'assume ses choix...... à ton retour 

[Naluue 891]

Le 29/10/2018 à 20:33, jécoute a dit :

Heuuuuuu tu peut être plus clair  dans le "son avis" ou son consentement 

Oui consentement c'est clairement ce que je voulais dire. 

[Mórrígan 8 110]

S'il ne s'agissait encore que des ados... des adultes pensent de même, et pas seulement les violeurs. 

[Gattaca 1 035]

Bon, je vais certainement m'attirer des foudres, mais je serais curieux de connaitre le nombre de femmes qui laissent leurs bourrins de conjoints les pénétrer sans qu'elles manifestent des signes réels sans équivoques qu'elles s'y refusent . La crainte de faillir aux ancestraux " devoirs conjugaux " qui je crois est toujours d'actu dans la loi , laisse planer une certaine ambiguité sur cette notion de viol au sein du couple.

[Mórrígan 8 110]

il y a 9 minutes, Gattaca a dit :

Bon, je vais certainement m'attirer des foudres, mais je serais curieux de connaitre le nombre de femmes qui laissent leurs bourrins de conjoints les pénétrer sans qu'elles manifestent des signes réels sans équivoques qu'elles s'y refusent . La crainte de faillir aux ancestraux " devoirs conjugaux " qui je crois est toujours d'actu dans la loi , laisse planer une certaine ambiguité sur cette notion de viol au sein du couple.

Et combien sont ceux qui "bourrinent", continuent alors qu'elles ont verbalisé un "non" bien distinct ou auront tenté de les repousser ? Un rapport demande une préparation, si non celui-ci est douloureux pour l'un comme pour l'autre. Quel est l'intérêt de "chevaucher" une femme ensommeillée, sans réaction, sérieusement ? 

Le viol conjugal est sans doute ce qu'il y a de plus difficile à prouver. Il s'agit du compagnon, et non d'un individu connu des services de police, qui aura agi, dans une ruelle, mais malgré tout en présence de témoin. Et quand bien même, les femmes portent encore trop souvent peu plainte, alors quand il s'agit du conjoint... 

[Gattaca 1 035]

il y a 8 minutes, Léna-Postrof a dit :

Et combien sont ceux qui "bourrinent", continuent alors qu'elles ont verbalisé un "non" bien distinct ou auront tenté de les repousser ? Un rapport demande une préparation, si non celui-ci est douloureux pour l'un comme pour l'autre. Quel est l'intérêt de "chevaucher" une femme ensommeillée, sans réaction, sérieusement ? 

Le viol conjugal est sans doute ce qu'il y a de plus difficile à prouver. Il s'agit du compagnon, et non d'un individu connu des services de police, qui aura agi, dans une ruelle, mais malgré tout en présence de témoin. Et quand bien même, les femmes portent encore trop souvent peu plainte, alors quand il s'agit du conjoint... 

Combien je n'en sais rien, vous non plus je pense , personnellement ça ne me viendrait pas à l'esprit mais bon.. Concernant le viol conjugal effectivement ça reste difficiles à prouver s'il n'y a pas violences avérées , même sans être anatomiste on peut supposer que l'acte sexuel imposé par son conjoint est différent de par ses conséquences physiques qu'un viol stricto sensu . A moins que les femmes se mettent à crier à l'aide lorsqu'elles en sont victimes...Cette notion de devoir conjugal est culturellement encore très implantée. Et puis il y a les gosses, faire éclater la cellule familiale même si ça leur coûte à ces femmes , ne doit pas être une mince affaire. Probable que celles qui se décident à faire voler en éclats cette cellule familiale ont atteint les limites de ce que leurs bourrins leur imposent.

[Mórrígan 8 110]

il y a 6 minutes, Gattaca a dit :

Combien je n'en sais rien, vous non plus je pense , personnellement ça ne me viendrait pas à l'esprit mais bon.. Concernant le viol conjugal effectivement ça reste difficiles à prouver s'il n'y a pas violences avérées , même sans être anatomiste on peut supposer que l'acte sexuel imposé par son conjoint est différent de par ses conséquences physiques qu'un viol stricto sensu . A moins que les femmes se mettent à crier à l'aide lorsqu'elles en sont victimes...Cette notion de devoir conjugal est culturellement encore très implantée. Et puis il y a les gosses, faire éclater la cellule familiale même si ça leur coûte à ces femmes , ne doit pas être une mince affaire. Probable que celles qui se décident à faire voler en éclats cette cellule familiale ont atteint les limites de ce que leurs bourrins leur imposent.

Nous n'en saurons rien, étant donné que peu de femmes le verbalisent. 

Pas sûre que la notion de devoir conjugal soit si ancrée, ou que ce soit à cause de cela, en particulier, il s'agit peut-être d'une envie ou d'un simple besoin à combler, pour un homme. Certains sont très actifs de ce côté-là. De vrais animaux. 

[Bayard 199]

Moi ce qui me sidère c'est que l'on débatte sur un sujet qui ne mérite aucun débat...

Une fois qu'on a dit que l'on ne doit pas toucher une femme quand elle dit NON, qu'est-ce qu'on ne comprend pas dans cette négation ?

[Anatole1949 18 535]

Le 28/10/2018 à 13:33, CM07591 a dit :

Un viol reste un viol, si l'un des deux partenaire n'est pas consentant peu importe que l'autre soit son conjoint, qu'ils soient mariés ou non.

J'ose espérer que le viol conjugal est aussi réprimandé qu'un viol "normal" parce que ça reste un viol justement.

Putain, ça ne m'est jamais venu à l'esprit de toucher ma copine quand elle dort parce que je suis frustré sexuellement et parfois quand elle ne va pas bien je ne vais pas non plus la pousser à faire ce qu'elle n'est pas disposé à faire.

Aucune excuse pour tout ces sales déchets qui ne sont pas capable de se contrôler, tant bien même leur conjoint connait une perte de libido ça reste un être humain avec une sensibilité et des émotions.

 

"Putain, ça ne m'est jamais venu à l'esprit de toucher ma copine quand elle dort parce que je suis frustré sexuellement "

Pauvre fille !

Moi j'ai connu des femmes qui aimaient que l'on leur fasse un câlin au milieu de la nuit ce qui ne veut pas dire "escalader" la dame et la pénétrer de force.

Et qu'est-ce-que la "frustration" vient faire dans cela ?

Pour rappel:

Le viol est défini par le Code pénal (article 222-23) comme tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise.

 

[CM07591 723]

Le 05/11/2018 à 17:25, Anatole1949 a dit :

 

"Putain, ça ne m'est jamais venu à l'esprit de toucher ma copine quand elle dort parce que je suis frustré sexuellement "

Pauvre fille !

Moi j'ai connu des femmes qui aimaient que l'on leur fasse un câlin au milieu de la nuit ce qui ne veut pas dire "escalader" la dame et la pénétrer de force.

Et qu'est-ce-que la "frustration" vient faire dans cela ?

Pour rappel:

Le viol est défini par le Code pénal (article 222-23) comme tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise.

 

 

Ma chérie n'est pas à plaindre et elle me fait savoir bien assez souvent combien elle est heureuse avec moi et moi avec elle par ailleurs.

Par "toucher" j'entendais un peu plus que de simples caresses, autrement ça m'est arrivé et elle aussi d'ailleurs de venir se coller l'un à l'autre et d'être réveiller par la chaleur de nos corps et des caresses qui non rien de sexuelles mais plus affectives.

De toute évidence tu as répondu trop vite puisque tu n'as même pas chercher à comprendre le sens de ma phrase.

 

Ce que vient faire la frustration sexuel la dedans ? ...à peu près tout.

 

Parce qu'une personne comblé sexuellement ne va pas chercher à obtenir un rapport tant bien même sa ou son conjoint ne serait pas disposé la le faire.

 

Il y a des étapes dans une vie ou une personne peut perdre sa libido, chez les femmes lors ce qu'elles sont enceintes, ou après la ménopause autrement le stress et la fatigue voir même suite au décès d'un proche.

Et dans ces moments là il faut se montrer compréhensif même si ça nous démange parce que forcément on a des envies, des besoins à assouvir.

Je sais de quoi je parle parce que de base ma copine n'a pas une énorme libido et elle a traversé une période difficile où elle n'avait pas souvent envie de le faire alors que moi c'était tout le contraire.

Je ne te cache pas que ça à bien failli mettre notre couple en péril mais comme on communique beaucoup le problème s'est résolu avec le temps.

J'aurais pu la pousser à faire des choses qu'elle ne souhaitait pas, allez voir ailleurs aussi mais dans ce cas là je n'aurais pas été digne de l'amour qu'elle me porte.

[Anatole1949 18 535]

il y a 1 minute, CM07591 a dit :

 

Ma chérie n'est pas à plaindre et elle me fait savoir bien assez souvent combien elle est heureuse avec moi et moi avec elle par ailleurs.

Heureux homme, je crache une larme...

Par "toucher" j'entendais un peu plus que de simples caresses, autrement ça m'est arrivé et elle aussi d'ailleurs de venir se coller l'un à l'autre et d'être réveiller par la chaleur de nos corps et des caresses qui non rien de sexuelles mais plus affectives.

Wouaaaah, c'est chaud !

De toute évidence tu as répondu trop vite puisque tu n'as même pas chercher à comprendre le sens de ma phrase.

C'est qu'elle était mal conçue..

Ce que vient faire la frustration sexuel la dedans ? ...à peu près tout.

Bien, on sait maintenant que tu n'es pas dans la catégorie des frustrés.

 

Parce qu'une personne comblé sexuellement ne va pas chercher à obtenir un rapport tant bien même sa ou son conjoint ne serait pas disposé la le faire.

 

Il y a des étapes dans une vie ou une personne peut perdre de sa libido, chez les femmes lors ce qu'elles sont enceintes, ou après la ménopause autrement le au stress et la fatigue voir même suite au décès d'un proche.

Et dans ces moments là il faut se montrer compréhensif même si ça nous démange parce que forcément on a des envies, des besoins à assouvir.

Je sais de quoi je parle parce que de base ma copine n'a pas une énorme libido et elle a traversé une période difficile où elle n'avait pas souvent envie de le faire alors que moi c'était tout le contraire.

Peut-être parce que tu étais nul au lit, oups pardon.

Je ne te cache pas que ça à bien failli mettre notre couple en péril mais comme on communique beaucoup le problème s'est résolu avec le temps.

J'aurais pu la pousser à faire des choses qu'elle ne souhaitait pas, allez voir ailleurs aussi mais dans ce cas là je n'aurais pas été digne de l'amour qu'elle me porte.

Suis ému ..., tu as son n° de portable ?

 

[Anatole1949 18 535]

Le 05/11/2018 à 16:51, Bayard a dit :

Moi ce qui me sidère c'est que l'on débatte sur un sujet qui ne mérite aucun débat...

Une fois qu'on a dit que l'on ne doit pas toucher une femme quand elle dit NON, qu'est-ce qu'on ne comprend pas dans cette négation ?

Le problème c'est quand elles disent oui et un peu plus tard prétendent avoir dit non et te voilà avec une accusation de viol.

Aujourd'hui si tu veux éviter un lynchage et la potence, avant de passer à une relation coquine avec une dame, tu as intérêt à lui faire signer une décharge et si possible, devant témoins !

PS: ne pas oublier de préciser sur ce document, ce que tu souhaites faire et attend d'elle...

[coucoucou 4 615]

Le 05/11/2018 à 17:25, Anatole1949 a dit :

 

"Putain, ça ne m'est jamais venu à l'esprit de toucher ma copine quand elle dort parce que je suis frustré sexuellement "

Pauvre fille !

Moi j'ai connu des femmes qui aimaient que l'on leur fasse un câlin au milieu de la nuit ce qui ne veut pas dire "escalader" la dame et la pénétrer de force.

Et qu'est-ce-que la "frustration" vient faire dans cela ?

Pour rappel:

Le viol est défini par le Code pénal (article 222-23) comme tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise.

 

Pauvre fille de quoi?? De ne pas avoir un mec qui vienne l'emmerder au milieu de la nuit?

Si certaines aiment ça, et bien parfait.............mais là on parle de mecs qui sont préts à utiliser le corps endormi de leur conjointe parce que ça les démangent.....sinon ils dormiraient bien tranquilles.....et alors que cette derniére n'est pas d'accord avec ça..........