Grand-père brûlé vif par sa petite-fille: la famille fait bloc derrière l'accusée

Il y a 5 heures, soan a dit :

Pas tout à fait vrai... Condamné à la prison à vie à 81 ans :

https://share.google/v3HJuwl6xEUcdrJxk

Dans ce cas il s'agit d'un assassinat puisque sa femme lui a clairement dit qu'elle ne voulait pas mourir en lui demandant d'arrêter lorsqu'il lui a passé la corde autour du cou. Elle n'aurait pas demandé l'aide à mourir car elle voulait continuer à vivre. Il l'a tuée contre sa volonté. C'est bien évidemment au principal intéressé de donner son accord. Heureusement qu'il y avait une caméra de surveillance sinon le mari aurait pu dire que c'était en accord avec sa femme. Si seulement dans la chambre du grand père brulé vif il y avait eu également une caméra. On peut noter qu'au Canada la justice n'est pas laxiste.

Il y a 2 heures, Kaliste a dit :

Qu'en est-il de quelqu'un qui ne peut plus s'exprimer (ni oralement ni par écrit)?

C'est bien là le problème!

Quand mon père a commencé à avoir des sérieux ennuis de santé, il n'avait plus 100% de discernement non plus; cette solution n'était donc plus possible. Pourtant ses volontés étaient claires; il était d'ailleurs inscrit depuis des années.

Un autre cas où la personne ne peut plus parler et marcher, et plus 100% de ses capacités non plus; elle a encore peut-être 20 ans à vivre comme ça. Elle aussi s'était inscrite à temps, mais a trop "attendu". Ce qui est un monde quand on y pense!

Mais je peux me tromper sur leurs règles car je n'aime pas parler de ces choses avec des proches; ça me met mal à l'aise et je préfère m'enfouir la tête dans le sable.

Il y a 1 heure, mary.shostakov a dit :

... ... ...

Au Canada, il est possible aussi de décider de faire appel à l'aide à mourir avant toute souffrance (en passant, cette aide est gratuite, comme tous les services de santé), mais la décision elle-même appartient à un conseil de médecins chargés d'évaluer les raisons de passer à l'acte (souffrance intenable liée à l'impossibilité de guérir)

... ... ...

En Suisse, ce n'est pas gratuite. Il faut s'inscrire  quand on est encore bien portant, et payer un du chaque année pour le rester. Je ne connais pas les détails de leur "marche à suivre" comme je l'ai expliqué à @Kaliste; sauf que la police est présente. 

Le conseil des médecins me semble une bonne solution pour éviter les abus quand le patient ne peut plus s'exprimer clairement.

Il y a 17 heures, LAKLAS a dit :

En général Ouest France est bien informé.

Très bon journal.

Le 25/06/2025 à 20:27, Kaliste a dit :

Je voudrais savoir comment ça se passe ailleurs dans le monde. Quels sont les pays qui prennent en compte l'intention "déclarée" ? L'état émotionnel ou psychiatrique ? L'entourage ? X autres paramètres que les faits quoi... Je vais passer pour je ne sais quoi mais tant pis : est-ce que de tels faits divers adviennent en Asie, mettons en Chine ou en Inde, et comment sont ils traités ? Proportionnellement à la forte densité de population, c'est pas ce qui doit manquer les faits divers choquants...

"En burn out, du coup elle prend 1 an pour avoir foutu le feu à son grand père" j'avoue on en arrive à des situations qui me laissent songeuse...

L'excuse...

Il y a 19 heures, Morfou a dit :

L'excuse...

Oui, il a bon dos le burn out quelque fois!

il y a 14 minutes, Atipique a dit :

Oui, il a bon dos le burn out quelque fois!

Je sais pas quand on a perdu pied comment on peut réagir, il peut arriver alors que l’on ne contrôle plus rien : que le cerveau vrille totalement, je suppose.

Ça n’excuse rien évidemment !

Il y a 3 heures, Elisa* a dit :

Je sais pas quand on a perdu pied comment on peut réagir, il peut arriver alors que l’on ne contrôle plus rien : que le cerveau vrille totalement, je suppose (...)

De là à verser de l'essence sur le lit de son grand-père puis y mettre le feu...