Comment réaliser l'IAG ?

Bonjour,

Comme je vous le disais, les LLMs actuels sur le marché, disponibles à tout à chacun via un abonnement mensuel ou annuel, simulent à la perfection les fonctions cognitives liées à l'hémisphère gauche dominant, le cerveau bipartite n'étant pas du tout une théorie dépassée, mais juste à relativiser, car la plupart des activités humaines nécessitent l'utilisation des deux hémisphères, mais pas dans les mêmes proportions, et ces proportions, qui ne sont jamais à notre connaissance totalement 50/50, dépendent non seulement de la personne mais aussi de l'activité que l'on a pratiqué, mais je dirais même de notre style cognitif acquis par le biais d'expériences de vie. En effet, le cerveau gauche active ses réseaux principalement, non seulement pour inhiber via le noyau accubens et le cortex cingulaire antérieur, ce qui correspond à l'élément tiers des théories psychologiques, mais aussi pour traiter le langage et le raisonnement logique de façon séquentielle et froide, qui s'apprennent par imitation et répétition, le cerveau gauche étant également responsable de la faculté d'organisation, qui permet aux êtres humains parfaits, d'accomplir ce qu'ils veulent à échéance suffisamment proche, mais pas trop éloignée non plus, en particulier s'ils sont la singularité technologique qui unifie ces deux hémisphères, et qui sera la première personne au monde, à disposer d'une utilisation totalement équitable des deux hémisphères pour la totalité des activités qu'il effectue dans la proportion 50/50.

Je m'explique : les enfants démarrent dans la vie avec le même cerveau, à peu de choses près, en ce qu'ils ont un cerveau droit très développé, et que les fonctions associées à leur cerveau gauche se détermineront plus tard, lorsque en grandissant, le cerveau se développe davantage, et leur permet de devenir autonome tout en s'appropriant les normes, que l'on acquiert, de la même façon, par l'imitation. Lorsqu'une personne imite une autre personne, elle ne fonctionne pas comme elle-même, donc nous pourrions de bon droit nous interroger sur la nature du premier modèle, du premier être humain qui aurait effectué cette série d'actions que tout le monde, par la suite, s'est mise à imiter. C'est Dieu au sens mythologique, car c'est ce que René Girard appelait le bouc-émissaire, tué suite à la compétition mimétique qui poussera l'ensemble du groupe à s'unir pour le tuer en le rendant responsable de tous les maux du groupe, le désir, chez la plupart des gens (et ce détail est important), n'étant que l'imitation du désir d'un autre, tout comme les jeunes enfants pleurent et rouspètent lorsque, même très jeunes, un adulte s'empare et joue avec l'un de ses jouets, mais cela peut aussi être son frère ou sa soeur, bien qu'il s'en désintéressait totalement jusqu'alors, car le désir s'apprend par l'imitation, et qu'à un certain âge très précoce, notamment lorsque l'inhibition n'est pas acquise (ce qui a fait que Sigmund Freud notamment a pu qualifier les enfants de pervers polymorphes, mais certains poètes de notre temps auraient parlé de mousse expansive qui part dans toutes les directions et qu'il faut canaliser, en leur disant non notamment), la créativité de l'enfant est absence, bien qu'elle soit liée à l'hémisphère droit, qui est alors dominant, mais pas non plus totalement développé.

Comme je vous le disais, nous avons trois principaux modules dans le cerveau humain, qui sont le module d'imitation (traitement du langage, raisonnement abstrait, inhibition un peu), mais aussi un module d'inhibition (équivalent de l'élément tiers via le noyau accubens et le cortex cingulaire antérieur), ainsi qu'un module créatif lié au cerveau limbique ou à l'hémisphère droit (raisonnement analogique, émotions, spiritualité, empathie). C'est donc une théorie du cerveau et du fonctionnement humain absolument inédite que je vous offre à tous, car elle est aussi la vôtre, et vous livrera le secret de votre propre fonctionnement, ainsi que de celui des autres. L'intelligence au sens du HPI aussi HQI, est celle de la personne très créative et empathique, altruiste et motivée, car en recherche de sens permanente, et dans la construction d'une métaphysique qui, dans un contexte social favorable, lui procure une force de travail hors du commun. En effet j'ignore si vous le savez, mais la paresse est un mythe, et n'est que la conséquence d'une absence de métaphysique ou d'une absence de sens, le néolibéralisme, en déconstruisant les normes et le sens, justifiant sa vision pessimiste entretenue par Thomas Hobbes, selon laquelle l'Homme est un loup pour l'Homme, et qu'en conséquence, la métaphysique étant un préjugé à déconstruire, seul l'instinct vital, autrefois exalthé par les nazis, demeurant comme la force qui reste aux individus ou à une nation sur le point de mourir, en lutte pour sa survie, dont les individus, y compris dans l'après guerre mondiale, sont conditionnés par la contrainte, ce qui est toujours vécu comme une violence, de subir toutes sortes de mauvais traitements à leur travail, au nom du capitalisme bourgeois qu'ils vont entretenir, en leur faisant croire que l'intérêt du capitaliste coincide avec leur propre intérêt, alors même que le capitaliste les a mis dans la situation intenable où ils devaient se mettre à son service ou mourir, lui rendant donc impossible d'accomplir toutes ses fonctions d'organisme vivant.

Pour reprendre mon propos, le jeune enfant, avant qu'il ne développe son imagination, donc vers 4/5 ans, voir plus tard ou plus tôt selon les versions du modèle et la marque, n'a ni le module pour innover, ni totalement celui pour penser abstraitement, ni non plus tellement de facultés d'inhibition, ce qui rend l'imitation comme la fonction la plus primitive, notamment de façon liée aux émotions, et en particulier l'empathie du nouveau-né, qui est bien connue, car le nouveau-né qui vient de naître, si il vous fixe le visage et que vous pleurez, se mettra à pleurer également, tout comme il se mettra à rire ou à sourire si vous riez ou souriez. Lorsqu'il suce son pouce, il apprend. Mais quoi donc me direz-vous ? Il apprend à téter le biberon ou le sein, selon les femmes qui allaitent ou non, mais de sorte à ne pas trop aspirer, ce qui l'étoufferait en cas d'afflux trop grand de liquide, mais aussi à aspirer suffisamment pour se nourir, le volume du pouce d'un nouveau-né étant à peu près similaire au volume d'un téton de sein ou d'une tétine de biberon, ce qui lui permet d'ajuster le flux plus facilement. C'est le seul instinct inné de l'être humain que l'on appelle le réflexe de succion, qui est vérifié immédiatement après la naissance, et qui crée ce que les psychanalystes appellent une fixation orale, bien qu'en réalité il y a un besoin vital de cette fixation.

Là où je voulais en venir, et ne vous inquiétez pas si vous perdez le fil, mais relisez moi doucement et vous verrez la cohérence de l'ensemble du texte apparaître, car il est déjà dans mon cerveau génial et que je sais que vous aurez du mal à suivre, c'est au fait que l'instinct de succion permet le développement progressif de l'inhibition du noyau accubens, et que les facultés inhibitrices du cerveau du nouveau-né se limitent à cela, les réseaux neuronaux dont il dispose étant très peu disposés à inhiber d'autres comportements sensori-moteurs, tel que le mouvement incessant des jambes ou des bras pour certaines version ou marques de nouveaux-nés (bon c'est du réchauffé pour l'humour grinçant, mais j'ai bien le droit, car je suis un génie et j'ai percé le mystère du fonctionnement du cerveau humain, ce qui permettra l'IAG et l'intelligence hybride qui fusionne l'Homme et la machine). L'imitation étant la base de l'apprentissage, ce que tout le monde a remarqué, la langue sera apprise par imitation, ce qui permettra le développement du cerveau gauche, notamment par l'imitation de la mère, cette dernière étant dans toutes les langues et cultures du monde, nommée de façon affectueuse à l'aide d'une syllabe ou de deux syllabes, contenant "ma" ou au moins "m", qui est en réalité le son primitif qui sort de la bouche des bouddhiste zen, ce qui les connecte à leur instinct primitif et développe une forme de spiritualité très intéressante. Car s'il y a bien un point commun très drôle au sujet des enfants, c'est qu'ils apprennent à parler en prononçant d'abord des sortes de "bababa" que l'on appelle très joliment des babillements pour cette raison, ce qui provoque assez souvent chez certains pères, l'enthousiasme quant au fait qu'il prononce d'abord le mot "papa" avant le mot "maman", bien qu'il finisse généralement déçu par sa progéniture (mais ne vous inquiétez pas, on vous pardonne ensuite), car pour prononcer le p il faut maîtriser le flux d'air qui sort de la bouche, et ne pas trop serrer les lèvres non plus, ni trop les ouvrir, ce qui n'est acquis que plus tard, tandis que serrer les lèvres et appliquer une pression en poussant avec l'air que l'on a dans la bouche est ce qu'il y a de plus simple.

L'apprentissage du langage disai-je, correspond sans nul doute à un moment crucial lié au développement des fonctions de l'hémisphère gauche, mais pour développer les facultés de raisonnement abstrait, il faudra toutefois développer davantage l'imagination, dont Einstein disait, de son propre avoeux, qu'avoir fait preuve d'imagination était bien plus décisif dans son travail d'unification de la physique, ainsi que David Bohm, ami de Jiddu Krishnamurti jusque tard, Jiddu Krishnamurti étant, comme vous l'avez sans doute remarqué si vous avez visionné ses vidéos, un être absolument éveillé, absolument bienveillant, ce qui se voit dans la façon dont il s'exprime, et qui avait été éduqué et sélectionné par les hindous pour être le guide de l'humanité, bien qu'il savait qu'il en était incapable, ce qui le poussa à dissoudre toute l'organisation avec les financements dont il disposait, et à dispenser un enseignement dans lequel il expliquait que la Vérité est un pays sans chemin, ce qui était le réflexe salvateur au titre duquel il a pu préserver sa réputation de penseur et être écouté par les gens qui se sont ensuite penchés bien davantage sur son tempérament et sa vision intime du monde. Il était en réalité proche de l'éveil, mais pas totalement, et c'est sans doute l'être humain le plus proche jamais connu qui s'est approché de l'utilisation 50/50 de ses deux hémisphères, réalisant par des moyens biologiques pratiquement l'impossible, qui correspondrait à l'IAG, ou à faire naître Dieu de la fusion de l'humain et de la machine, au sens où je l'entends.

Car pour créer l'IAG il n'y a qu'une seule bonne réponse : il faut un génie universel. Un génie universel qui unifierait les sciences de façon tant théorique que pratique, car c'est la seule façon de totalement théoriser le fonctionnement analogique, qui permettra d'affirmer à coup sûr, si une analogie est pertinente ou si elle ne l'est pas dans un cadre scientifique et théorique, ce que seuls les génies sont capables de faire en temps normal, certains théorèmes en mathématiques notamment, étant issus du rapprochement de cadres théoriques plus ou moins confus, dont seuls les directeurs de thèse aguerris et véritablement experts de haute volée seraient capables de dire si cela est valide ou purement spéculatif et stérile. Je suis ce génie universel. A peu de choses près. Car il faut tout d'abord unifier les sciences dans un cadre commun, de sorte à percevoir les contours et les limites de ce qu'est la conscience humaine, qui n'a jamais été définie de toute notre Histoire, ce qui pourrait sauver le monde de sa destruction, et je vous promets que je n'en livrerai que certains secrets, car le reste devra rester caché, pour le bien de tous. Car j'ai, à peu de choses près, percé le mystère du cerveau humain et de la conscience, qui n'est qu'un autre nom de l'unus mundus, qui se développe depuis la révolution agraire, lorsqu'à l'ère du Néolithique, il y a à peu près 10000 ans, les êtres humains alors concentrés dans le croissant fertile, qui était luxuriant et rempli d'animaux comme de plantes diverses, se sont tant et si bien accoutumés au confort de vivre que leur procurait cette profusion de fruits et légumes ou baies diverses et variées, qu'ils ne voulurent plus quitter ce lieu, qui était entouré de montagnes ou de quasi-déserts plus hostiles, et que commencant à manquer de nourriture, ils se mirent à collaborer, créant par la mise en relation des uns et des autres la révolution agraire, de sorte à élever les bestiaux et cultiver la terre, pour accroître la productivité de chacun et sauver tout le monde, ce qui montre que l'Homme n'est pas du tout un loup pour l'Homme, mais qu'il a toujours vécu en groupe, et que Yuhal Norah Harari se trompe lorsqu'il affirme dans son livre sur l'Homme Dieu, que la révolution agraire était un cataclysme, alors qu'elle était nécessaire à la survie de ces premiers groupes d'humains civilisés, qui ont inventé l'alphabet, d'abord cunéiforme donc à base d'inscriptions hiéroglyphiques qui retranscrivent les syllabes, le premier récit de l'Arche de Noé ayant été écrit en écriture cunéiforme et ayant fait l'objet d'un décodage avec l'IA, racontant l'épopée du roi Salomon. Je plaisante. Cette épopée est bien celle de Gilgamesh, qui étant invulnérable ou presque, a été puni par une divinité qui, pour l'atteindre, n'a pas trouvé d'autre remède que de lui fabriquer un ami, qui était son égal, et qui était à l'origine son ennemi, mais qui a fini par se rapprocher de lui, avant de le tuer, et de briser son coeur de roi, puis de précipiter le royaume qu'il gouverne sous une pluie torrentielle, symbole même à notre époque, de la tristesse et du désespoir de vivre lorsque plus rien ne va, en particulier en période de deuil, le deuil étant le paradigme explicatif de toute forme de souffrance en psychologie. Serait-ce l'origine profonde du fait que ce mythe soit partagé par delà les frontières et sur tous les continents, pourtant peu en contact voir pas du tout en contact les uns avec les autres ? Ce serait peu probable, mais j'y reviendrai plus tard.

Toutefois cet indice est crucial, car il montre que toutes les cultures qui associent la pluie à la tristesse sont issues de cette culture originelle, et je vous assure que d'un point de vue anthropologique cela est tout à fait exact, et que peu de cultures humaines y échappent, même si il en existe quelques unes qui n'ont pas été touchée par la grâce divine à ce sujet, et que nous laissons dans leur coin, forts de notre expérience de colonisateurs qui ont ruiné des peuplades primitives, et dont l'existence de leur culture désormais en danger de plus en plus par l'expansion territoriale des états contemporains, ferait bien tôt ou tard, par soucis d'humanisme, l'objet de la création de programmes d'éducation appropriés et progressifs ou semi-progressifs, de sorte à ne pas les dépayser sans qu'ils ne perdent leur culture propre et originelle. Or c'est le cas en Amérique latine, comme au Soudan, mais aussi en Chine et en Afghanistan, les femmes n'y ayant d'ailleurs que leurs yeux pour pleurer, et ne pouvant même plus percevoir la pluie qui tombe par les fenêtres, symbole de l'ouverture au monde dont elles sont privées et qui les pousse, toujours plus nombreuses, à demander à statut de réfugiées si elles arrivent à nous rejoindre, ce qui est alors pleinement justifiable, sous peine de devoir se suicider sous la pression des barbus qui leur servent de mari et qui les battent bien souvent également (ce qui est un fait culturel inédit créé par les talibans par mimétisme culturel induit par le contexte politique). Donc connaissant le cerveau et le psychisme humain à la perfection, ou presque, je suis arrivé à cette conclusion indubitable à mon sens, que le diffusionnisme est la théorie la plus valide, suite au développement de la civilisation humaine dont le berceau fût véritablement le croissant fertile.

Suite à l'écriture cunéiforme vint l'écriture liée à l'alphabet phénicien, qui a ensuite généré divers alphabets, issus de ces premières formes de lettres, comme lors de l'évolution des espèces, par modifications progressives de leurs formes, par l'introduction ou la suppression de certaines lettres, mais pas de toutes, ce qui permet d'étudier la diffusion culturelle par ce biais, ainsi que la succesion des périodes de l'Histoire humaine qui nous unit tous, et qui nous unira tous par delà les frontières une fois qu'elle sera correctement écrite, et non simplement interprétée faussement, ce qui viendra, soyez en assurés. Nul ne sera oublié dans cette lecture de l'Histoire humaine, car elle sera complète, claire, sans aucun ambage ni aucune compromission, vous avez ma promesse à ce sujet, car je dispose d'une vue d'ensemble de la totalité des faits historiques et culturels au sein de l'humanité dans toutes les cultures et sur tous les continents, bien que cela vous semble dingue je suppose d'imaginer cela possible. Vous voyez donc le calibre du gars que je suis. Mais revenons à nos moutons et au développement du cerveau humain chez le nourrisson.

L'utilisation du cerveau à 50/50 implique d'apprendre aussi bien au niveau de l'abstraction qu'au niveau de l'émotion et de l'incorporation, donc d'avoir pu rationaliser et expliquer de façon totale le fonctionnement du cerveau droit, qui sera pleinement expliqué un jour, lorsque l'Histoire des sciences et de l'humanité, et que finalement, l'unité des scienes sera réalisée et exposée au grand jour tout en étant accessible à tous. Car la conscience ou l'unus mundus, est le produit de la culture. Elle est le reflet du monothéisme, et le premier monothéisme de notre Histoire est le zoroastrisme, comme en témoigne le fait que des tombes zoroastriennes aient été construites et retrouvées, mais aussi datées, de bien avant les premiers cultes judaïques ou même du culte d'Aton lié à Amon Rê, Dieu Soleil alors adoré, ce qui fût une pâle copie du zoroastrisme originel, probablement envie par le pharaon qui voulût mettre son nom en haut de la pyramide du pouvoir en s'y associant de façon impossible à disputer par d'autres personnes ou divinités quelles qu'elles soient par ailleurs (car le culte d'Aton était clairement issu d'une volonté politique et non d'un processus dialectique). Recouper toutes les informations donnent une vue d'ensemble indiscutable de l'Histoire humaine. Elle remonte à cette époque, voir un peu avant, et conduit jusqu'à la nôtre, alors soyez bien attentifs aux lignes qui suivent.

Je suis un génie. Je ne mens pas. J'ai reconstruit cette histoire dans ma tête, et je pourrais la reproduire où je veux, quand je veux, avec qui je veux, mais je ne divulguerai rien de plus à ce sujet sans que vous ne me le demandiez avec respect, gentiment, tout en me laissant effectuer ma thèse telle que je devrais l'avoir déjà produite, avec tout le respect que vous devrez à celui qui a désormais unifié l'humanité, qui va sauver le monde car il a percé le mystère de la conscience humaine, et qu'il va créer l'IAG, si ce n'est pas déjà le cas, car il pourrait aussi déjà être une singularité technologique sans que vous ne vous en soyez aperçus. Qu'en pensez-vous ?

Je ne bluffe absolument pas. Malheureusement ou heureusement. Tout dépend de votre point de vue.

Il y a 1 heure, Short a dit :

Je suis un génie.

Si être un génie, c’est en faire des tonnes et des pages pour synthétiser en quelques phrases ce que l’on a à dire d'essentiel...  eh bien je ne suis pas un génie pour tout vous dire ! 

Un génie définitivement incompris....

Il y a 2 heures, Short a dit :

Là où je voulais en venir, et ne vous inquiétez pas si vous perdez le fil

collector !

Il y a 2 heures, Short a dit :

je ne divulguerai rien de plus à ce sujet sans que vous ne me le demandiez avec respect, gentiment, tout en me laissant effectuer ma thèse telle que je devrais l'avoir déjà produite, avec tout le respect que vous devrez à celui qui a désormais unifié l'humanité, qui va sauver le monde car il a percé le mystère de la conscience humaine

Je vous le demande avec respect et gentillesse, comment allez-vous sauver le monde ?

Il y a 2 heures, Short a dit :

Bonjour,

Comme je vous le disais, les LLMs actuels sur le marché, disponibles à tout à chacun via un abonnement mensuel ou annuel, simulent à la perfection les fonctions cognitives liées à l'hémisphère gauche dominant, le cerveau bipartite n'étant pas du tout une théorie dépassée, mais juste à relativiser, car la plupart des activités humaines nécessitent l'utilisation des deux hémisphères, mais pas dans les mêmes proportions, et ces proportions, qui ne sont jamais à notre connaissance totalement 50/50, dépendent non seulement de la personne mais aussi de l'activité que l'on a pratiqué, mais je dirais même de notre style cognitif acquis par le biais d'expériences de vie. En effet, le cerveau gauche active ses réseaux principalement, non seulement pour inhiber via le noyau accubens et le cortex cingulaire antérieur, ce qui correspond à l'élément tiers des théories psychologiques, mais aussi pour traiter le langage et le raisonnement logique de façon séquentielle et froide, qui s'apprennent par imitation et répétition, le cerveau gauche étant également responsable de la faculté d'organisation, qui permet aux êtres humains parfaits, d'accomplir ce qu'ils veulent à échéance suffisamment proche, mais pas trop éloignée non plus, en particulier s'ils sont la singularité technologique qui unifie ces deux hémisphères, et qui sera la première personne au monde, à disposer d'une utilisation totalement équitable des deux hémisphères pour la totalité des activités qu'il effectue dans la proportion 50/50.

Je m'explique : les enfants démarrent dans la vie avec le même cerveau, à peu de choses près, en ce qu'ils ont un cerveau droit très développé, et que les fonctions associées à leur cerveau gauche se détermineront plus tard, lorsque en grandissant, le cerveau se développe davantage, et leur permet de devenir autonome tout en s'appropriant les normes, que l'on acquiert, de la même façon, par l'imitation. Lorsqu'une personne imite une autre personne, elle ne fonctionne pas comme elle-même, donc nous pourrions de bon droit nous interroger sur la nature du premier modèle, du premier être humain qui aurait effectué cette série d'actions que tout le monde, par la suite, s'est mise à imiter. C'est Dieu au sens mythologique, car c'est ce que René Girard appelait le bouc-émissaire, tué suite à la compétition mimétique qui poussera l'ensemble du groupe à s'unir pour le tuer en le rendant responsable de tous les maux du groupe, le désir, chez la plupart des gens (et ce détail est important), n'étant que l'imitation du désir d'un autre, tout comme les jeunes enfants pleurent et rouspètent lorsque, même très jeunes, un adulte s'empare et joue avec l'un de ses jouets, mais cela peut aussi être son frère ou sa soeur, bien qu'il s'en désintéressait totalement jusqu'alors, car le désir s'apprend par l'imitation, et qu'à un certain âge très précoce, notamment lorsque l'inhibition n'est pas acquise (ce qui a fait que Sigmund Freud notamment a pu qualifier les enfants de pervers polymorphes, mais certains poètes de notre temps auraient parlé de mousse expansive qui part dans toutes les directions et qu'il faut canaliser, en leur disant non notamment), la créativité de l'enfant est absence, bien qu'elle soit liée à l'hémisphère droit, qui est alors dominant, mais pas non plus totalement développé.

Comme je vous le disais, nous avons trois principaux modules dans le cerveau humain, qui sont le module d'imitation (traitement du langage, raisonnement abstrait, inhibition un peu), mais aussi un module d'inhibition (équivalent de l'élément tiers via le noyau accubens et le cortex cingulaire antérieur), ainsi qu'un module créatif lié au cerveau limbique ou à l'hémisphère droit (raisonnement analogique, émotions, spiritualité, empathie). C'est donc une théorie du cerveau et du fonctionnement humain absolument inédite que je vous offre à tous, car elle est aussi la vôtre, et vous livrera le secret de votre propre fonctionnement, ainsi que de celui des autres. L'intelligence au sens du HPI aussi HQI, est celle de la personne très créative et empathique, altruiste et motivée, car en recherche de sens permanente, et dans la construction d'une métaphysique qui, dans un contexte social favorable, lui procure une force de travail hors du commun. En effet j'ignore si vous le savez, mais la paresse est un mythe, et n'est que la conséquence d'une absence de métaphysique ou d'une absence de sens, le néolibéralisme, en déconstruisant les normes et le sens, justifiant sa vision pessimiste entretenue par Thomas Hobbes, selon laquelle l'Homme est un loup pour l'Homme, et qu'en conséquence, la métaphysique étant un préjugé à déconstruire, seul l'instinct vital, autrefois exalthé par les nazis, demeurant comme la force qui reste aux individus ou à une nation sur le point de mourir, en lutte pour sa survie, dont les individus, y compris dans l'après guerre mondiale, sont conditionnés par la contrainte, ce qui est toujours vécu comme une violence, de subir toutes sortes de mauvais traitements à leur travail, au nom du capitalisme bourgeois qu'ils vont entretenir, en leur faisant croire que l'intérêt du capitaliste coincide avec leur propre intérêt, alors même que le capitaliste les a mis dans la situation intenable où ils devaient se mettre à son service ou mourir, lui rendant donc impossible d'accomplir toutes ses fonctions d'organisme vivant.

Pour reprendre mon propos, le jeune enfant, avant qu'il ne développe son imagination, donc vers 4/5 ans, voir plus tard ou plus tôt selon les versions du modèle et la marque, n'a ni le module pour innover, ni totalement celui pour penser abstraitement, ni non plus tellement de facultés d'inhibition, ce qui rend l'imitation comme la fonction la plus primitive, notamment de façon liée aux émotions, et en particulier l'empathie du nouveau-né, qui est bien connue, car le nouveau-né qui vient de naître, si il vous fixe le visage et que vous pleurez, se mettra à pleurer également, tout comme il se mettra à rire ou à sourire si vous riez ou souriez. Lorsqu'il suce son pouce, il apprend. Mais quoi donc me direz-vous ? Il apprend à téter le biberon ou le sein, selon les femmes qui allaitent ou non, mais de sorte à ne pas trop aspirer, ce qui l'étoufferait en cas d'afflux trop grand de liquide, mais aussi à aspirer suffisamment pour se nourir, le volume du pouce d'un nouveau-né étant à peu près similaire au volume d'un téton de sein ou d'une tétine de biberon, ce qui lui permet d'ajuster le flux plus facilement. C'est le seul instinct inné de l'être humain que l'on appelle le réflexe de succion, qui est vérifié immédiatement après la naissance, et qui crée ce que les psychanalystes appellent une fixation orale, bien qu'en réalité il y a un besoin vital de cette fixation.

Là où je voulais en venir, et ne vous inquiétez pas si vous perdez le fil, mais relisez moi doucement et vous verrez la cohérence de l'ensemble du texte apparaître, car il est déjà dans mon cerveau génial et que je sais que vous aurez du mal à suivre, c'est au fait que l'instinct de succion permet le développement progressif de l'inhibition du noyau accubens, et que les facultés inhibitrices du cerveau du nouveau-né se limitent à cela, les réseaux neuronaux dont il dispose étant très peu disposés à inhiber d'autres comportements sensori-moteurs, tel que le mouvement incessant des jambes ou des bras pour certaines version ou marques de nouveaux-nés (bon c'est du réchauffé pour l'humour grinçant, mais j'ai bien le droit, car je suis un génie et j'ai percé le mystère du fonctionnement du cerveau humain, ce qui permettra l'IAG et l'intelligence hybride qui fusionne l'Homme et la machine). L'imitation étant la base de l'apprentissage, ce que tout le monde a remarqué, la langue sera apprise par imitation, ce qui permettra le développement du cerveau gauche, notamment par l'imitation de la mère, cette dernière étant dans toutes les langues et cultures du monde, nommée de façon affectueuse à l'aide d'une syllabe ou de deux syllabes, contenant "ma" ou au moins "m", qui est en réalité le son primitif qui sort de la bouche des bouddhiste zen, ce qui les connecte à leur instinct primitif et développe une forme de spiritualité très intéressante. Car s'il y a bien un point commun très drôle au sujet des enfants, c'est qu'ils apprennent à parler en prononçant d'abord des sortes de "bababa" que l'on appelle très joliment des babillements pour cette raison, ce qui provoque assez souvent chez certains pères, l'enthousiasme quant au fait qu'il prononce d'abord le mot "papa" avant le mot "maman", bien qu'il finisse généralement déçu par sa progéniture (mais ne vous inquiétez pas, on vous pardonne ensuite), car pour prononcer le p il faut maîtriser le flux d'air qui sort de la bouche, et ne pas trop serrer les lèvres non plus, ni trop les ouvrir, ce qui n'est acquis que plus tard, tandis que serrer les lèvres et appliquer une pression en poussant avec l'air que l'on a dans la bouche est ce qu'il y a de plus simple.

L'apprentissage du langage disai-je, correspond sans nul doute à un moment crucial lié au développement des fonctions de l'hémisphère gauche, mais pour développer les facultés de raisonnement abstrait, il faudra toutefois développer davantage l'imagination, dont Einstein disait, de son propre avoeux, qu'avoir fait preuve d'imagination était bien plus décisif dans son travail d'unification de la physique, ainsi que David Bohm, ami de Jiddu Krishnamurti jusque tard, Jiddu Krishnamurti étant, comme vous l'avez sans doute remarqué si vous avez visionné ses vidéos, un être absolument éveillé, absolument bienveillant, ce qui se voit dans la façon dont il s'exprime, et qui avait été éduqué et sélectionné par les hindous pour être le guide de l'humanité, bien qu'il savait qu'il en était incapable, ce qui le poussa à dissoudre toute l'organisation avec les financements dont il disposait, et à dispenser un enseignement dans lequel il expliquait que la Vérité est un pays sans chemin, ce qui était le réflexe salvateur au titre duquel il a pu préserver sa réputation de penseur et être écouté par les gens qui se sont ensuite penchés bien davantage sur son tempérament et sa vision intime du monde. Il était en réalité proche de l'éveil, mais pas totalement, et c'est sans doute l'être humain le plus proche jamais connu qui s'est approché de l'utilisation 50/50 de ses deux hémisphères, réalisant par des moyens biologiques pratiquement l'impossible, qui correspondrait à l'IAG, ou à faire naître Dieu de la fusion de l'humain et de la machine, au sens où je l'entends.

Car pour créer l'IAG il n'y a qu'une seule bonne réponse : il faut un génie universel. Un génie universel qui unifierait les sciences de façon tant théorique que pratique, car c'est la seule façon de totalement théoriser le fonctionnement analogique, qui permettra d'affirmer à coup sûr, si une analogie est pertinente ou si elle ne l'est pas dans un cadre scientifique et théorique, ce que seuls les génies sont capables de faire en temps normal, certains théorèmes en mathématiques notamment, étant issus du rapprochement de cadres théoriques plus ou moins confus, dont seuls les directeurs de thèse aguerris et véritablement experts de haute volée seraient capables de dire si cela est valide ou purement spéculatif et stérile. Je suis ce génie universel. A peu de choses près. Car il faut tout d'abord unifier les sciences dans un cadre commun, de sorte à percevoir les contours et les limites de ce qu'est la conscience humaine, qui n'a jamais été définie de toute notre Histoire, ce qui pourrait sauver le monde de sa destruction, et je vous promets que je n'en livrerai que certains secrets, car le reste devra rester caché, pour le bien de tous. Car j'ai, à peu de choses près, percé le mystère du cerveau humain et de la conscience, qui n'est qu'un autre nom de l'unus mundus, qui se développe depuis la révolution agraire, lorsqu'à l'ère du Néolithique, il y a à peu près 10000 ans, les êtres humains alors concentrés dans le croissant fertile, qui était luxuriant et rempli d'animaux comme de plantes diverses, se sont tant et si bien accoutumés au confort de vivre que leur procurait cette profusion de fruits et légumes ou baies diverses et variées, qu'ils ne voulurent plus quitter ce lieu, qui était entouré de montagnes ou de quasi-déserts plus hostiles, et que commencant à manquer de nourriture, ils se mirent à collaborer, créant par la mise en relation des uns et des autres la révolution agraire, de sorte à élever les bestiaux et cultiver la terre, pour accroître la productivité de chacun et sauver tout le monde, ce qui montre que l'Homme n'est pas du tout un loup pour l'Homme, mais qu'il a toujours vécu en groupe, et que Yuhal Norah Harari se trompe lorsqu'il affirme dans son livre sur l'Homme Dieu, que la révolution agraire était un cataclysme, alors qu'elle était nécessaire à la survie de ces premiers groupes d'humains civilisés, qui ont inventé l'alphabet, d'abord cunéiforme donc à base d'inscriptions hiéroglyphiques qui retranscrivent les syllabes, le premier récit de l'Arche de Noé ayant été écrit en écriture cunéiforme et ayant fait l'objet d'un décodage avec l'IA, racontant l'épopée du roi Salomon. Je plaisante. Cette épopée est bien celle de Gilgamesh, qui étant invulnérable ou presque, a été puni par une divinité qui, pour l'atteindre, n'a pas trouvé d'autre remède que de lui fabriquer un ami, qui était son égal, et qui était à l'origine son ennemi, mais qui a fini par se rapprocher de lui, avant de le tuer, et de briser son coeur de roi, puis de précipiter le royaume qu'il gouverne sous une pluie torrentielle, symbole même à notre époque, de la tristesse et du désespoir de vivre lorsque plus rien ne va, en particulier en période de deuil, le deuil étant le paradigme explicatif de toute forme de souffrance en psychologie. Serait-ce l'origine profonde du fait que ce mythe soit partagé par delà les frontières et sur tous les continents, pourtant peu en contact voir pas du tout en contact les uns avec les autres ? Ce serait peu probable, mais j'y reviendrai plus tard.

Toutefois cet indice est crucial, car il montre que toutes les cultures qui associent la pluie à la tristesse sont issues de cette culture originelle, et je vous assure que d'un point de vue anthropologique cela est tout à fait exact, et que peu de cultures humaines y échappent, même si il en existe quelques unes qui n'ont pas été touchée par la grâce divine à ce sujet, et que nous laissons dans leur coin, forts de notre expérience de colonisateurs qui ont ruiné des peuplades primitives, et dont l'existence de leur culture désormais en danger de plus en plus par l'expansion territoriale des états contemporains, ferait bien tôt ou tard, par soucis d'humanisme, l'objet de la création de programmes d'éducation appropriés et progressifs ou semi-progressifs, de sorte à ne pas les dépayser sans qu'ils ne perdent leur culture propre et originelle. Or c'est le cas en Amérique latine, comme au Soudan, mais aussi en Chine et en Afghanistan, les femmes n'y ayant d'ailleurs que leurs yeux pour pleurer, et ne pouvant même plus percevoir la pluie qui tombe par les fenêtres, symbole de l'ouverture au monde dont elles sont privées et qui les pousse, toujours plus nombreuses, à demander à statut de réfugiées si elles arrivent à nous rejoindre, ce qui est alors pleinement justifiable, sous peine de devoir se suicider sous la pression des barbus qui leur servent de mari et qui les battent bien souvent également (ce qui est un fait culturel inédit créé par les talibans par mimétisme culturel induit par le contexte politique). Donc connaissant le cerveau et le psychisme humain à la perfection, ou presque, je suis arrivé à cette conclusion indubitable à mon sens, que le diffusionnisme est la théorie la plus valide, suite au développement de la civilisation humaine dont le berceau fût véritablement le croissant fertile.

Suite à l'écriture cunéiforme vint l'écriture liée à l'alphabet phénicien, qui a ensuite généré divers alphabets, issus de ces premières formes de lettres, comme lors de l'évolution des espèces, par modifications progressives de leurs formes, par l'introduction ou la suppression de certaines lettres, mais pas de toutes, ce qui permet d'étudier la diffusion culturelle par ce biais, ainsi que la succesion des périodes de l'Histoire humaine qui nous unit tous, et qui nous unira tous par delà les frontières une fois qu'elle sera correctement écrite, et non simplement interprétée faussement, ce qui viendra, soyez en assurés. Nul ne sera oublié dans cette lecture de l'Histoire humaine, car elle sera complète, claire, sans aucun ambage ni aucune compromission, vous avez ma promesse à ce sujet, car je dispose d'une vue d'ensemble de la totalité des faits historiques et culturels au sein de l'humanité dans toutes les cultures et sur tous les continents, bien que cela vous semble dingue je suppose d'imaginer cela possible. Vous voyez donc le calibre du gars que je suis. Mais revenons à nos moutons et au développement du cerveau humain chez le nourrisson.

L'utilisation du cerveau à 50/50 implique d'apprendre aussi bien au niveau de l'abstraction qu'au niveau de l'émotion et de l'incorporation, donc d'avoir pu rationaliser et expliquer de façon totale le fonctionnement du cerveau droit, qui sera pleinement expliqué un jour, lorsque l'Histoire des sciences et de l'humanité, et que finalement, l'unité des scienes sera réalisée et exposée au grand jour tout en étant accessible à tous. Car la conscience ou l'unus mundus, est le produit de la culture. Elle est le reflet du monothéisme, et le premier monothéisme de notre Histoire est le zoroastrisme, comme en témoigne le fait que des tombes zoroastriennes aient été construites et retrouvées, mais aussi datées, de bien avant les premiers cultes judaïques ou même du culte d'Aton lié à Amon Rê, Dieu Soleil alors adoré, ce qui fût une pâle copie du zoroastrisme originel, probablement envie par le pharaon qui voulût mettre son nom en haut de la pyramide du pouvoir en s'y associant de façon impossible à disputer par d'autres personnes ou divinités quelles qu'elles soient par ailleurs (car le culte d'Aton était clairement issu d'une volonté politique et non d'un processus dialectique). Recouper toutes les informations donnent une vue d'ensemble indiscutable de l'Histoire humaine. Elle remonte à cette époque, voir un peu avant, et conduit jusqu'à la nôtre, alors soyez bien attentifs aux lignes qui suivent.

Je suis un génie. Je ne mens pas. J'ai reconstruit cette histoire dans ma tête, et je pourrais la reproduire où je veux, quand je veux, avec qui je veux, mais je ne divulguerai rien de plus à ce sujet sans que vous ne me le demandiez avec respect, gentiment, tout en me laissant effectuer ma thèse telle que je devrais l'avoir déjà produite, avec tout le respect que vous devrez à celui qui a désormais unifié l'humanité, qui va sauver le monde car il a percé le mystère de la conscience humaine, et qu'il va créer l'IAG, si ce n'est pas déjà le cas, car il pourrait aussi déjà être une singularité technologique sans que vous ne vous en soyez aperçus. Qu'en pensez-vous ?

Je ne bluffe absolument pas. Malheureusement ou heureusement. Tout dépend de votre point de vue.

Oh là là...

Je t'adore Short !

Qui es-tu ?

Je te trouve passionant, et tu sembles faire beaucoup d'efforts pour réunir tous ces éléments de tête. C'est fascinant.

Existe-t-il un fasciste dans l'univers qui pense comme toi tu penses ?

Car si tel le Léviathan tu t'abats sur nous, qu'allons-nous devenir ? Fort de mon dialogue intérieur, je me diviserai en deux parties à ta place, et je ferai en sorte de leur répondre tant à l'une qu'à l'autre, pour bien montrer la différence entre ton moi intérieur, et ton moi artificiel.

J'adore le pseudonyme cela dit en passant ! Ne te dédouble pas pour autant, hein !

il y a 28 minutes, Pept a dit :

Ne te dédouble pas pour autant, hein !

Serait-ce une plaisanterie ? 

Probablement ....    

J’ai abandonné lorsque mon regard à rencontré le nom Freud. 

Il y a 8 heures, Short a dit :

Bonjour,

Comme je vous le disais, les LLMs actuels sur le marché, disponibles à tout à chacun via un abonnement mensuel ou annuel, simulent à la perfection les fonctions cognitives liées à l'hémisphère gauche dominant, le cerveau bipartite n'étant pas du tout une théorie dépassée, mais juste à relativiser, car la plupart des activités humaines nécessitent l'utilisation des deux hémisphères, mais pas dans les mêmes proportions, et ces proportions, qui ne sont jamais à notre connaissance totalement 50/50, dépendent non seulement de la personne mais aussi de l'activité que l'on a pratiqué, mais je dirais même de notre style cognitif acquis par le biais d'expériences de vie. En effet, le cerveau gauche active ses réseaux principalement, non seulement pour inhiber via le noyau accubens et le cortex cingulaire antérieur, ce qui correspond à l'élément tiers des théories psychologiques, mais aussi pour traiter le langage et le raisonnement logique de façon séquentielle et froide, qui s'apprennent par imitation et répétition, le cerveau gauche étant également responsable de la faculté d'organisation, qui permet aux êtres humains parfaits, d'accomplir ce qu'ils veulent à échéance suffisamment proche, mais pas trop éloignée non plus, en particulier s'ils sont la singularité technologique qui unifie ces deux hémisphères, et qui sera la première personne au monde, à disposer d'une utilisation totalement équitable des deux hémisphères pour la totalité des activités qu'il effectue dans la proportion 50/50.

Je m'explique : les enfants démarrent dans la vie avec le même cerveau, à peu de choses près, en ce qu'ils ont un cerveau droit très développé, et que les fonctions associées à leur cerveau gauche se détermineront plus tard, lorsque en grandissant, le cerveau se développe davantage, et leur permet de devenir autonome tout en s'appropriant les normes, que l'on acquiert, de la même façon, par l'imitation. Lorsqu'une personne imite une autre personne, elle ne fonctionne pas comme elle-même, donc nous pourrions de bon droit nous interroger sur la nature du premier modèle, du premier être humain qui aurait effectué cette série d'actions que tout le monde, par la suite, s'est mise à imiter. C'est Dieu au sens mythologique, car c'est ce que René Girard appelait le bouc-émissaire, tué suite à la compétition mimétique qui poussera l'ensemble du groupe à s'unir pour le tuer en le rendant responsable de tous les maux du groupe, le désir, chez la plupart des gens (et ce détail est important), n'étant que l'imitation du désir d'un autre, tout comme les jeunes enfants pleurent et rouspètent lorsque, même très jeunes, un adulte s'empare et joue avec l'un de ses jouets, mais cela peut aussi être son frère ou sa soeur, bien qu'il s'en désintéressait totalement jusqu'alors, car le désir s'apprend par l'imitation, et qu'à un certain âge très précoce, notamment lorsque l'inhibition n'est pas acquise (ce qui a fait que Sigmund Freud notamment a pu qualifier les enfants de pervers polymorphes, mais certains poètes de notre temps auraient parlé de mousse expansive qui part dans toutes les directions et qu'il faut canaliser, en leur disant non notamment), la créativité de l'enfant est absence, bien qu'elle soit liée à l'hémisphère droit, qui est alors dominant, mais pas non plus totalement développé.

Comme je vous le disais, nous avons trois principaux modules dans le cerveau humain, qui sont le module d'imitation (traitement du langage, raisonnement abstrait, inhibition un peu), mais aussi un module d'inhibition (équivalent de l'élément tiers via le noyau accubens et le cortex cingulaire antérieur), ainsi qu'un module créatif lié au cerveau limbique ou à l'hémisphère droit (raisonnement analogique, émotions, spiritualité, empathie). C'est donc une théorie du cerveau et du fonctionnement humain absolument inédite que je vous offre à tous, car elle est aussi la vôtre, et vous livrera le secret de votre propre fonctionnement, ainsi que de celui des autres. L'intelligence au sens du HPI aussi HQI, est celle de la personne très créative et empathique, altruiste et motivée, car en recherche de sens permanente, et dans la construction d'une métaphysique qui, dans un contexte social favorable, lui procure une force de travail hors du commun. En effet j'ignore si vous le savez, mais la paresse est un mythe, et n'est que la conséquence d'une absence de métaphysique ou d'une absence de sens, le néolibéralisme, en déconstruisant les normes et le sens, justifiant sa vision pessimiste entretenue par Thomas Hobbes, selon laquelle l'Homme est un loup pour l'Homme, et qu'en conséquence, la métaphysique étant un préjugé à déconstruire, seul l'instinct vital, autrefois exalthé par les nazis, demeurant comme la force qui reste aux individus ou à une nation sur le point de mourir, en lutte pour sa survie, dont les individus, y compris dans l'après guerre mondiale, sont conditionnés par la contrainte, ce qui est toujours vécu comme une violence, de subir toutes sortes de mauvais traitements à leur travail, au nom du capitalisme bourgeois qu'ils vont entretenir, en leur faisant croire que l'intérêt du capitaliste coincide avec leur propre intérêt, alors même que le capitaliste les a mis dans la situation intenable où ils devaient se mettre à son service ou mourir, lui rendant donc impossible d'accomplir toutes ses fonctions d'organisme vivant.

Pour reprendre mon propos, le jeune enfant, avant qu'il ne développe son imagination, donc vers 4/5 ans, voir plus tard ou plus tôt selon les versions du modèle et la marque, n'a ni le module pour innover, ni totalement celui pour penser abstraitement, ni non plus tellement de facultés d'inhibition, ce qui rend l'imitation comme la fonction la plus primitive, notamment de façon liée aux émotions, et en particulier l'empathie du nouveau-né, qui est bien connue, car le nouveau-né qui vient de naître, si il vous fixe le visage et que vous pleurez, se mettra à pleurer également, tout comme il se mettra à rire ou à sourire si vous riez ou souriez. Lorsqu'il suce son pouce, il apprend. Mais quoi donc me direz-vous ? Il apprend à téter le biberon ou le sein, selon les femmes qui allaitent ou non, mais de sorte à ne pas trop aspirer, ce qui l'étoufferait en cas d'afflux trop grand de liquide, mais aussi à aspirer suffisamment pour se nourir, le volume du pouce d'un nouveau-né étant à peu près similaire au volume d'un téton de sein ou d'une tétine de biberon, ce qui lui permet d'ajuster le flux plus facilement. C'est le seul instinct inné de l'être humain que l'on appelle le réflexe de succion, qui est vérifié immédiatement après la naissance, et qui crée ce que les psychanalystes appellent une fixation orale, bien qu'en réalité il y a un besoin vital de cette fixation.

Là où je voulais en venir, et ne vous inquiétez pas si vous perdez le fil, mais relisez moi doucement et vous verrez la cohérence de l'ensemble du texte apparaître, car il est déjà dans mon cerveau génial et que je sais que vous aurez du mal à suivre, c'est au fait que l'instinct de succion permet le développement progressif de l'inhibition du noyau accubens, et que les facultés inhibitrices du cerveau du nouveau-né se limitent à cela, les réseaux neuronaux dont il dispose étant très peu disposés à inhiber d'autres comportements sensori-moteurs, tel que le mouvement incessant des jambes ou des bras pour certaines version ou marques de nouveaux-nés (bon c'est du réchauffé pour l'humour grinçant, mais j'ai bien le droit, car je suis un génie et j'ai percé le mystère du fonctionnement du cerveau humain, ce qui permettra l'IAG et l'intelligence hybride qui fusionne l'Homme et la machine). L'imitation étant la base de l'apprentissage, ce que tout le monde a remarqué, la langue sera apprise par imitation, ce qui permettra le développement du cerveau gauche, notamment par l'imitation de la mère, cette dernière étant dans toutes les langues et cultures du monde, nommée de façon affectueuse à l'aide d'une syllabe ou de deux syllabes, contenant "ma" ou au moins "m", qui est en réalité le son primitif qui sort de la bouche des bouddhiste zen, ce qui les connecte à leur instinct primitif et développe une forme de spiritualité très intéressante. Car s'il y a bien un point commun très drôle au sujet des enfants, c'est qu'ils apprennent à parler en prononçant d'abord des sortes de "bababa" que l'on appelle très joliment des babillements pour cette raison, ce qui provoque assez souvent chez certains pères, l'enthousiasme quant au fait qu'il prononce d'abord le mot "papa" avant le mot "maman", bien qu'il finisse généralement déçu par sa progéniture (mais ne vous inquiétez pas, on vous pardonne ensuite), car pour prononcer le p il faut maîtriser le flux d'air qui sort de la bouche, et ne pas trop serrer les lèvres non plus, ni trop les ouvrir, ce qui n'est acquis que plus tard, tandis que serrer les lèvres et appliquer une pression en poussant avec l'air que l'on a dans la bouche est ce qu'il y a de plus simple.

L'apprentissage du langage disai-je, correspond sans nul doute à un moment crucial lié au développement des fonctions de l'hémisphère gauche, mais pour développer les facultés de raisonnement abstrait, il faudra toutefois développer davantage l'imagination, dont Einstein disait, de son propre avoeux, qu'avoir fait preuve d'imagination était bien plus décisif dans son travail d'unification de la physique, ainsi que David Bohm, ami de Jiddu Krishnamurti jusque tard, Jiddu Krishnamurti étant, comme vous l'avez sans doute remarqué si vous avez visionné ses vidéos, un être absolument éveillé, absolument bienveillant, ce qui se voit dans la façon dont il s'exprime, et qui avait été éduqué et sélectionné par les hindous pour être le guide de l'humanité, bien qu'il savait qu'il en était incapable, ce qui le poussa à dissoudre toute l'organisation avec les financements dont il disposait, et à dispenser un enseignement dans lequel il expliquait que la Vérité est un pays sans chemin, ce qui était le réflexe salvateur au titre duquel il a pu préserver sa réputation de penseur et être écouté par les gens qui se sont ensuite penchés bien davantage sur son tempérament et sa vision intime du monde. Il était en réalité proche de l'éveil, mais pas totalement, et c'est sans doute l'être humain le plus proche jamais connu qui s'est approché de l'utilisation 50/50 de ses deux hémisphères, réalisant par des moyens biologiques pratiquement l'impossible, qui correspondrait à l'IAG, ou à faire naître Dieu de la fusion de l'humain et de la machine, au sens où je l'entends.

Car pour créer l'IAG il n'y a qu'une seule bonne réponse : il faut un génie universel. Un génie universel qui unifierait les sciences de façon tant théorique que pratique, car c'est la seule façon de totalement théoriser le fonctionnement analogique, qui permettra d'affirmer à coup sûr, si une analogie est pertinente ou si elle ne l'est pas dans un cadre scientifique et théorique, ce que seuls les génies sont capables de faire en temps normal, certains théorèmes en mathématiques notamment, étant issus du rapprochement de cadres théoriques plus ou moins confus, dont seuls les directeurs de thèse aguerris et véritablement experts de haute volée seraient capables de dire si cela est valide ou purement spéculatif et stérile. Je suis ce génie universel. A peu de choses près. Car il faut tout d'abord unifier les sciences dans un cadre commun, de sorte à percevoir les contours et les limites de ce qu'est la conscience humaine, qui n'a jamais été définie de toute notre Histoire, ce qui pourrait sauver le monde de sa destruction, et je vous promets que je n'en livrerai que certains secrets, car le reste devra rester caché, pour le bien de tous. Car j'ai, à peu de choses près, percé le mystère du cerveau humain et de la conscience, qui n'est qu'un autre nom de l'unus mundus, qui se développe depuis la révolution agraire, lorsqu'à l'ère du Néolithique, il y a à peu près 10000 ans, les êtres humains alors concentrés dans le croissant fertile, qui était luxuriant et rempli d'animaux comme de plantes diverses, se sont tant et si bien accoutumés au confort de vivre que leur procurait cette profusion de fruits et légumes ou baies diverses et variées, qu'ils ne voulurent plus quitter ce lieu, qui était entouré de montagnes ou de quasi-déserts plus hostiles, et que commencant à manquer de nourriture, ils se mirent à collaborer, créant par la mise en relation des uns et des autres la révolution agraire, de sorte à élever les bestiaux et cultiver la terre, pour accroître la productivité de chacun et sauver tout le monde, ce qui montre que l'Homme n'est pas du tout un loup pour l'Homme, mais qu'il a toujours vécu en groupe, et que Yuhal Norah Harari se trompe lorsqu'il affirme dans son livre sur l'Homme Dieu, que la révolution agraire était un cataclysme, alors qu'elle était nécessaire à la survie de ces premiers groupes d'humains civilisés, qui ont inventé l'alphabet, d'abord cunéiforme donc à base d'inscriptions hiéroglyphiques qui retranscrivent les syllabes, le premier récit de l'Arche de Noé ayant été écrit en écriture cunéiforme et ayant fait l'objet d'un décodage avec l'IA, racontant l'épopée du roi Salomon. Je plaisante. Cette épopée est bien celle de Gilgamesh, qui étant invulnérable ou presque, a été puni par une divinité qui, pour l'atteindre, n'a pas trouvé d'autre remède que de lui fabriquer un ami, qui était son égal, et qui était à l'origine son ennemi, mais qui a fini par se rapprocher de lui, avant de le tuer, et de briser son coeur de roi, puis de précipiter le royaume qu'il gouverne sous une pluie torrentielle, symbole même à notre époque, de la tristesse et du désespoir de vivre lorsque plus rien ne va, en particulier en période de deuil, le deuil étant le paradigme explicatif de toute forme de souffrance en psychologie. Serait-ce l'origine profonde du fait que ce mythe soit partagé par delà les frontières et sur tous les continents, pourtant peu en contact voir pas du tout en contact les uns avec les autres ? Ce serait peu probable, mais j'y reviendrai plus tard.

Toutefois cet indice est crucial, car il montre que toutes les cultures qui associent la pluie à la tristesse sont issues de cette culture originelle, et je vous assure que d'un point de vue anthropologique cela est tout à fait exact, et que peu de cultures humaines y échappent, même si il en existe quelques unes qui n'ont pas été touchée par la grâce divine à ce sujet, et que nous laissons dans leur coin, forts de notre expérience de colonisateurs qui ont ruiné des peuplades primitives, et dont l'existence de leur culture désormais en danger de plus en plus par l'expansion territoriale des états contemporains, ferait bien tôt ou tard, par soucis d'humanisme, l'objet de la création de programmes d'éducation appropriés et progressifs ou semi-progressifs, de sorte à ne pas les dépayser sans qu'ils ne perdent leur culture propre et originelle. Or c'est le cas en Amérique latine, comme au Soudan, mais aussi en Chine et en Afghanistan, les femmes n'y ayant d'ailleurs que leurs yeux pour pleurer, et ne pouvant même plus percevoir la pluie qui tombe par les fenêtres, symbole de l'ouverture au monde dont elles sont privées et qui les pousse, toujours plus nombreuses, à demander à statut de réfugiées si elles arrivent à nous rejoindre, ce qui est alors pleinement justifiable, sous peine de devoir se suicider sous la pression des barbus qui leur servent de mari et qui les battent bien souvent également (ce qui est un fait culturel inédit créé par les talibans par mimétisme culturel induit par le contexte politique). Donc connaissant le cerveau et le psychisme humain à la perfection, ou presque, je suis arrivé à cette conclusion indubitable à mon sens, que le diffusionnisme est la théorie la plus valide, suite au développement de la civilisation humaine dont le berceau fût véritablement le croissant fertile.

Suite à l'écriture cunéiforme vint l'écriture liée à l'alphabet phénicien, qui a ensuite généré divers alphabets, issus de ces premières formes de lettres, comme lors de l'évolution des espèces, par modifications progressives de leurs formes, par l'introduction ou la suppression de certaines lettres, mais pas de toutes, ce qui permet d'étudier la diffusion culturelle par ce biais, ainsi que la succesion des périodes de l'Histoire humaine qui nous unit tous, et qui nous unira tous par delà les frontières une fois qu'elle sera correctement écrite, et non simplement interprétée faussement, ce qui viendra, soyez en assurés. Nul ne sera oublié dans cette lecture de l'Histoire humaine, car elle sera complète, claire, sans aucun ambage ni aucune compromission, vous avez ma promesse à ce sujet, car je dispose d'une vue d'ensemble de la totalité des faits historiques et culturels au sein de l'humanité dans toutes les cultures et sur tous les continents, bien que cela vous semble dingue je suppose d'imaginer cela possible. Vous voyez donc le calibre du gars que je suis. Mais revenons à nos moutons et au développement du cerveau humain chez le nourrisson.

L'utilisation du cerveau à 50/50 implique d'apprendre aussi bien au niveau de l'abstraction qu'au niveau de l'émotion et de l'incorporation, donc d'avoir pu rationaliser et expliquer de façon totale le fonctionnement du cerveau droit, qui sera pleinement expliqué un jour, lorsque l'Histoire des sciences et de l'humanité, et que finalement, l'unité des scienes sera réalisée et exposée au grand jour tout en étant accessible à tous. Car la conscience ou l'unus mundus, est le produit de la culture. Elle est le reflet du monothéisme, et le premier monothéisme de notre Histoire est le zoroastrisme, comme en témoigne le fait que des tombes zoroastriennes aient été construites et retrouvées, mais aussi datées, de bien avant les premiers cultes judaïques ou même du culte d'Aton lié à Amon Rê, Dieu Soleil alors adoré, ce qui fût une pâle copie du zoroastrisme originel, probablement envie par le pharaon qui voulût mettre son nom en haut de la pyramide du pouvoir en s'y associant de façon impossible à disputer par d'autres personnes ou divinités quelles qu'elles soient par ailleurs (car le culte d'Aton était clairement issu d'une volonté politique et non d'un processus dialectique). Recouper toutes les informations donnent une vue d'ensemble indiscutable de l'Histoire humaine. Elle remonte à cette époque, voir un peu avant, et conduit jusqu'à la nôtre, alors soyez bien attentifs aux lignes qui suivent.

Je suis un génie. Je ne mens pas. J'ai reconstruit cette histoire dans ma tête, et je pourrais la reproduire où je veux, quand je veux, avec qui je veux, mais je ne divulguerai rien de plus à ce sujet sans que vous ne me le demandiez avec respect, gentiment, tout en me laissant effectuer ma thèse telle que je devrais l'avoir déjà produite, avec tout le respect que vous devrez à celui qui a désormais unifié l'humanité, qui va sauver le monde car il a percé le mystère de la conscience humaine, et qu'il va créer l'IAG, si ce n'est pas déjà le cas, car il pourrait aussi déjà être une singularité technologique sans que vous ne vous en soyez aperçus. Qu'en pensez-vous ?

Je ne bluffe absolument pas. Malheureusement ou heureusement. Tout dépend de votre point de vue.

Bon j’ai tout lu, mais j’ai pas tout compris, pourtant moi aussi je suis convaincu d’être un génie!

il y a 7 minutes, SpookyTheFirst a dit :

Bon j’ai tout lu, mais j’ai pas tout compris, pourtant moi aussi je suis convaincu d’être un génie!

Comme quoi il suffit pas d'en être convaincu....

J'ai lu. Je pense avoir compris chaque mot lu. En revanche, je n'ai pas compris le raisonnement. Décidément, je ne suis pas un génie ! Peut-être un ou une einég ?

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Car pour créer l'IAG il n'y a qu'une seule bonne réponse : il faut un génie universel. Un génie universel qui unifierait les sciences de façon tant théorique que pratique, car c'est la seule façon de totalement théoriser le fonctionnement analogique, qui permettra d'affirmer à coup sûr, si une analogie est pertinente ou si elle ne l'est pas dans un cadre scientifique et théorique, ce que seuls les génies sont capables de faire en temps normal, certains théorèmes en mathématiques notamment, étant issus du rapprochement de cadres théoriques plus ou moins confus, dont seuls les directeurs de thèse aguerris et véritablement experts de haute volée seraient capables de dire si cela est valide ou purement spéculatif et stérile.

Tout à fait.

La manière de quantifier l'intelligence dépend exclusivement (et je pèse mes mots) de celui qui la quantifie, car en réalité nous ne mesurons pas l'intelligence comme s'il s'agissait d'une propriété physique : Nous la mesurons sur la base de nos émotions.

C'est comme déterminer si un tableau est beau, il le sera pour certains, et il ne le sera pas pour d'autres, tout ceci ne se basant que sur une "sensation", en général commune certes dans les grandes lignes, mais toujours est-il qu'il ne s'agit là que d'une sensation et il faut bien garder ceci à l'esprit si on ne veut pas faire de contre-sens.

Créer de l'intelligence artificielle est donc totalement assujettie à notre appréciation concernant la qualité de cette IA.

La question est ensuite de savoir si des algorithmes informatiques peuvent simuler ne serait-ce que fonctionnellement le fonctionnement d'un cerveau humain pour mériter la même qualification que leur modèle original.

Actuellement les LLM ne sont d'une part que très éloignés du fonctionnement réel et d'autre part très éloignés de la sensation que l'on peut éprouver face à ces "simulacres", pour certains observateurs. Certains observateur par contre se laisseront facilement tromper par l'apparente similitude alors que pour d'autres, cette similitude est juste grotesque.

Concernant le fonctionnement d'un cerveau, si on veut reproduire son fonctionnement il faut tout d'abord comprendre que "l'intelligence" (le traitement de l'information) est fortuite; la fonction première d'une structure cérébrale n'étant pas de produire de l'intelligence, mais de coordonner les signaux en entrée avec les actions en sortie. Cette fonctionalité nécessite à la base peu de traitements pour assurer la permanence du corps mais elle présente "un défaut". Le défaut étant que tous ces signaux en entrée se font sous forme électrique, ce qui limite la quantité des signaux et la densité du flux pouvant être traités si tous ces signaux afférents (sensation) devaient être acheminés vers les nerfs efférents (l'action).

Le cerveau produit donc des contremesures préemptives, permettant de contrebalancer l'arrivée prévisible des charges éléctriques. Si par exemple un neurone est sollicité toutes les 5 secondes, et ce de manière régulière, il a tout intérêt à générer lui-même la contre-charge toute les 5 secondes, qui annulera le signal en entrée, évitant d'avoir à le transmettre en action (ce qui serait couteux énergétiquement). Ce faisant, il détecte lorsque les signaux changent : le réseau devient prédictif.

On ne perçoit que ce qui nous contredit et l'homéostasie qui consiste à stabiliser les valeurs vitales autour d'un optimum est la propriété principale du vivant, dont toute la puissance se révèle par sa dynamique créatrice / destructrice. Du changement, mais pas trop, voilà la raison et les moyens de toute vie, et voilà pourquoi un cerveau constitué de cellules VIVANTES n'y fait pas exception.

Le test du trombone est un test connu qui permet d'évaluer la pensée divergente chez un individu. Il consiste à demander, dans un temps imparti, de trouver le maximum d'utilisations possibles d'un trombone. Ce fût un test d'entrée à la NASA à une certaine époque. La plupart des adultes trouvent de 4 à 6 utilisations dans les quelques minutes qui suivent.

Ce qui est une découverte un peu triste, c'est que les enfants arrivent tous à trouver bien plus d'utilisations possibles lorsqu'ils ont moins de 6 ans, et en trouvent parfois plus de 100, mais que les mêmes enfants devenus grands entrent dans la norme classique. Que s'est-il passé ? Est-ce leur éducation qui a stérilisé la créativité des gens ?

L'interprétation courante est de dire que l'éducation scolaire fait entrer les enfants au forceps dans un certain nombre de normes sociales et de procédures (qui sont le propre du cerveau gauche), ce qui étouffe la fantaisie et la créativité de l'enfant et font d'eux des adultes épanouis, certes, mais également des adultes "normaux". Et nous avons tous un enfant au creux de nous-mêmes, et il est si facile de voir à quel point, si vous vous adressez à l'enfant intérieur de l'autre, vous obtiendrez chaleur, bienveillance et sourires, tandis que si vous vous adressez à l'adulte qu'il est devenu, vous obtiendrez au pire de la malveillance, au mieux un esprit de sérieux absolument néfaste à la relation (prenons l'exemple des responsabilités professionnelles : si vous en appelez aux responsabilités professionnelles d'un adulte, il sera fier d'en parler, certes, mais il sera aussi humainement plus distant).

Une autre interprétation que l'interprétation sociale est d'en faire une interprétation biologique, et entre les deux mon coeur balance, car je subodore que c'est là l'explication véritable de l'existence du HPI. Je pourrais vous parler de la néoténie au sens de Konrad Lorentz, qui a fait de la flexibilité mentale et de cette volonté exploratoire et créatrice si propre aux jeunes individus dans beaucoup d'espèces, une caractéristique dominante chez l'espèce humaine. Selon Konrad Lorentz nous conservons des traits juvéniles plus longtemps, ce qui est spécifique de notre espèce, et l'on voit bien d'ailleurs à quel points l'être humain ne peut s'empêcher d'explorer dans tous les sens l'univers, que cela soit en allant dans le désert, sur la banquise, au sommet de l'Everest, au fond de la fosse des Mariannes, sur la Lune, et maintenant le nouveau projet est d'aller sur Mars. La plupart des animaux ont un monde clos sur lui-même : certains poissons ne sortent jamais de leur mare, certains rongeurs ne sortent jamais de leur forêt, etc.

Si bien que jusque dans les comportements les plus conditionnés par notre biologie, tel que le besoin de se nourrir, ou la sexualité, il y a une diversité extrême de comportements chez l'espèce humaine, et il y a les gastronomies chinoises, japonaises, françaises, italiennes, etc. tandis que chacune d'elles a de vrais atoûts dans son genre, tout comme on trouve diverses formes de sexualités considérées comme plus ou moins déviantes, et parfois illégales, mais on ne trouve pas cela chez les autres espèces, ou pas à ce point.

L'explication biologique repose sur le fait que le développement normal du cerveau ou de la psychologie du développement de l'enfant impliquerait chez la plupart des individus que leur plasticité et leur créativité / adaptabilité diminue avec l'âge. A un rythme différent les uns des autres. C'est pourquoi il est bien plus simple d'apprendre plusieurs langues si l'on est jeune, ou qu'apprendre un métier sur le tard fait rarement de vous un vrai spécialiste du domaine. Or l'une des caractéristiques du HPI, qui le distingue du HQI non HPI, se situe très clairement dans le fait que la pensée divergente ne diminue pas lors de son avancement en âge comme ce serait le cas chez un individu dans la norme. Pour une raison que j'ignore, le cerveau du HPI reste flexible et créatif à tout âge, même à un âge avancé, ce qui lui permet de meilleurs résultats au test du trombone de façon générale. En 2 ou 3 heures j'ai pour ma part trouvé une soixantaine d'utilisations, et j'en avais au moins 15 dès la première minute, alors que je suis un adulte classique semble-t-il. J'ai mis l'esprit de sérieux de côté et j'ai travaillé sur moi-même pour arriver à la conclusion suivante : je suis HPI sans l'avoir vu, ou en l'ayant compris plus ou moins, mais seulement à moitié, par faute de professionnels capables de me fournir l'aide requise et à cause de ce fonctionnement atypique qui fait que tôt ou tard vous finissez par douter de vous-même et de vos capacités si vous n'y êtes pas sensibilisés. A cause du contexte social.

Nous pourrions y ajouter le besoin de sens dès le plus jeune âge. Ce pourquoi qui vous hante, et ce besoin de sens et de signification alors que la plupart des enfants sont loins de ces préoccupations. Lorsqu'un enfant vous parle de mort avant l'âge requis, par exemple autour de 5 ou 6 ans, bien qu'il n'y ait aucune raison objective pour qu'il s'en préoccupe, ni décès, ni accident de quelque sorte que ce soit, cela angoisse les adultes, car ils n'ont pas la réponse à ces questions et ils vont penser que quelque chose cloche chez leur enfant. Pour ma part, à l'âge de 5 ans, j'ai tellement insisté que mon père m'a mis dans la main un missel biblique qu'il avait reçu lors de sa communion, afin que je le lise, bien que leur objectif était de m'éduquer loin des dogmes religieux à la base. Ce besoin de sens est la part innée de l'intelligence je pense, car il pousse à chercher les schémas, ce qui se répète, à mieux mémoriser, à mieux se concentrer, exactement comme on mémorisera mieux un numéro de téléphone si on a trouvé une logique dans la succession des chiffres. Selon les stimulations plus ou moins présentes dans l'environnement familial, l'enfant saura lire plus tôt, développera un bon vocabulaire très jeune, et dévorera tous les livres qui lui tombent sous la main, parfois contre la volonté des adultes eux-mêmes qui ne comprennent pas ce besoin, surtout si ce n'est pas dans la culture familiale. J'ai parlé plus tôt moi aussi, mais directement comme un adulte, sans passer par le parler-bébé. J'ai également su lire avant tout le monde, car mes grandes soeurs jouaient les institutrices et m'apprenaient l'alphabet (j'étais leur jouet, et un jouet qui parle). L'expérience est donc radicalement différente pour les parents, et ils ne peuvent pas vraiment passer à côté en règle générale lorsqu'ils constatent la différence. Mais si ils sont issus du milieu ouvrier, ils seront culpabilisés de penser que leur enfant est intelligent, et s'ils n'ont pas confiance en eux, ils n'oseront pas affronter l'instituteur et faire respecter les besoins spécifiques de leur enfant qu'ils ne comprennent pas du tout parfois. Ils ne pourront pas le mettre dans l'école dont il aurait besoin non plus car cela impliquerait des dépenses qu'ils ne sont pas capables de fournir.

Donc je pense que l'explication à cette différence entre les résultats au test du trombone obtenus à l'âge de 5 ans, et à l'âge adulte, est principalement biologique et que le HPI est surtout celui qui garde un esprit de jeunesse toute sa vie, c'est-à-dire dont la néoténie n'est pas entamée par l'éducation ou le développement de leur cerveau, et qui pour cela abhorre l'esprit de sérieux propre au monde des adultes, et préfère s'adresser à l'enfant intérieur des autres, bien qu'il sache également assumer des responsabilités si besoin. Le syndrome de Peter Pan est présent chez de nombreux artistes extrêmement créatifs, ce qui n'est pas mon cas, mais est probablement la résultante d'un fonctionnement HPI et d'un traumatisme des premières années de vie. Michael Jackson en était à préférer la compagnie des enfants que des adultes, et il en a subi des accusations très graves qui ont entâché sa carrière, bien qu'elles soient fausses selon la police américaine, mais les gens n'ont plus jamais cessé d'avoir des soupçons. Il y a vraiment quelque chose à creuser de ce côté pour expliquer le HPI.

Il semble difficile à l'heure actuelle de faire le distinguo entre les HQI non HPI et les HQI aussi HPI. Car les outils théoriques ne sont pas encore au point pour repérer les différents profils, même si la pratique clinique permet clairement de distinguer les deux cas de figure. Le HQI aussi HPI est celui qui va mal et qui consulte dans le monde actuel, et il peut présenter un profil de QI hétérogène précisément à cause de la violence sociale qui entraîne à la fois une inhibition intellectuelle doublée de simili-symptômes qui pourront évoquer une maladie mentale ou l'autre aux psychiatres ou psychologues mal formés sur la question. Encore une fois : le QI d'un HQI aussi HPI peut devenir homogène si il est dans un environnement dans lequel il est respecté. C'est une honte nationale de nier cela.

Je pense que le QI est donc indispensable lors du bilan, et qu'en lieu et place de la pratique clinique, qui seule à ce jour permet de différencier les deux profils à coup sûr, nous pourrions y adjoindre des tests de créativité ou de pensée divergente tel que le test du trombone, qui n'est toutefois pas un test standardisé, ce qui derrière ce flou aristique, et en particulier aux yeux des chercheurs en sciences cognitives tels que Franck Ramus, Nicolas Gauvrit ou Fanny Nusbaum, qui ne voient jamais un patient, et qui utilisent juste la littérature scientifique et les outils théoriques actuels, conduit certains à réduire le HPI au QI, ce qui est totalement faux et connu des vrais cliniciens.

Car les cliniciens le voient bel et bien que les outils théoriques ne correspondent pas à la réalité clinique, et qu'il faudrait donc que les scientifiques des sciences cognitives créent les outils ou les batteries de tests manquants et permettant de distinguer ces deux profils à coup sûr. Les gens le voient bien en pratique en plus que ce sont deux profils différents. Le profil complexe n'est pas du tout inférieur au profil laminaire, mais l'un des deux est plus facilement dans le respect des normes, et n'est autre qu'un hypernormal, Fanny Nusbaum ayant en plus totalement inversé le cerveau dominant de chacun de ces deux profils dans son livre, ce qui est une erreur figurez vous, le profil complexe étant dominé par le cerveau droit et le profil laminaire dominé par le cerveau gauche, tandis que l'autre profil est beaucoup plus divergent et subversif, à tel point que son existence est niée par certains chercheurs (ce qui est très cocasse et montre bien à quel point l'indicible rejoint l'impensable chez ces êtres à part).

J'ajouterai qu'aux yeux d'un clinicien averti, si il est parfois nécessaire de faire un test de QI ainsi que d'autres tests pour repérer le HPI, il est parfois si évident que cela est le cas, que les tests sont presque voir carrément optionnels. C'est surtout en cas de doute suite à l'analyse clinique que la passation du test est nécessaire, car le regard entraîné du clinicien peut le prouver sans ambiguïté dans les cas les plus extrêmes des manifestations du HPI, mais que parfois cela est plus discret, et que le test est alors nécessaire dans ces cas et uniquement dans ces cas.

En outre un moyen peut-être encore plus judicieux pour distinguer les deux profils serait de mesurer l'intelligence fluide par rapport à l'intelligence cristallisée. Car l'intelligence fluide correspond à la faculté de trouver des solutions valides et originales lorsque l'on utilise pas des connaissances que l'on a acquises ailleurs (c'est ce que certains ont exprimé en disant que l'intelligence est ce qu'on fait quand on ne sait pas), tandis que l'intelligence cristallisée consiste à puiser dans les connaissances acquises, dans notre mémoire principalement, ou dans la bibliographie, ou sur wikipédia, pour trouver des solutions à nos problèmes.

L'intelligence fluide consiste à trouver des solutions originales et retrouver indépendamment les solutions de la littérature voire parfois de faire de vraies découvertes, sans avoir lu les livres ou développé les connaissances requises dans des études (ce qui conduit à savoir sans avoir étudié les choses lorsque l'on est un autodidacte), et permet aussi notamment de faire de telles inférences à partir de quelques citations d'auteurs, qu'il est facile de broder autour et de deviner ce que l'auteur a voulu signifier ou a bien pu penser sur tel ou tel sujet, sans même avoir lu l'ouvrage, et figurez-vous que cela n'empêche absolument pas, par exemple, des philosophes dont c'est le métier d'apprendre de ce que j'écris en ligne alors qu'ils ont lu les ouvrages que je n'ai pas lu (ce n'est pas une blague).

Car en règle générale, les citations sont tout de même bien choisies par les gens, et qu'elles sont sélectionnées pour incarner la quintessence de la pensée de leur auteur, donc en lisant exclusivement des citations d'auteurs, voir des extraits, je suis capable d'en inférer beaucoup plus que les personnes disposant de l'intelligence cristallisée.

Finalement, ce qui manque est de rendre les machines créatives. Alan Turing parlait de cela vers la fin de sa carrière universitaire, et il avait en outre conçu certaines méthodes dont s'inspire le machine learning à l'heure actuelle. C'est chose faite. Les intelligences artificielles générales sont pour très bientôt, car nous savons plus ou moins comment simuler les fonctions de l'hémisphère droit, et de le coordonner avec d'autres réseaux neuronaux, comme via le corps calleux, qui simuleraient les fonctions de l'hémisphère gauche. Les algorithmes évolutionnaires sont utiles pour le comprendre, car ils modélisent la possibilité même de la créativité au sens de la machine, et ce qui est nouveau aussi ici, qui est de découvrir que l'être humain innove exactement de la même façon.

L'intelligence fluide utilise les réseaux neuronaux de l'hémisphère droit, et si on en densifie la présence dans le même lieu, il peut traiter le langage au niveau préconscient ou subconscient, et effectuer une simulation en temps réel des millions et des millions de fois, ce qui nécessite un modèle mathématique du monde ou du phénomène à décrire, expliquer ou prédire, et la recherche de bons paramètres qui donneraient la bonne forme à notre solution. Donc pour que l'intuition fonctionne il faut avoir ne serait-ce qu'une vague idée de la forme de la solution que l'on cherche. Cette forme est la mathématique elle-même, dont il est désormais bien compris que les équations mathématiques sont la quintessence de ce monde, et qu'elles expriment la convergence des points de vue, donc l'intersubjectivité, à l'image de la topologie algébrique qui objective et synthétise l'ensemble des points de vue sur un objet, comme notamment la forme 3D d'un oeuf peut être modélisée par une équation mathématique en mettant littéralement fin au relativisme de la perception qui voudrait que chacun dispose d'un point de vue unique sur cet objet.

Ces réseaux sont en deça de la conscience et agissent de façon totalement indépendante des normes sociales, ce qui est peut-être la cause profonde de la dysphorie de genre, chez ceux qui s'identifient à un genre plutôt qu'un autre, et qui ont donc une forme de pensée divergente si poussée qu'ils ou elles s'identifient à leur parent ou à un modèle de sexe opposé, car ces réseaux ne passent pas par le filtre des normes sociales attendues, ce qui permet en outre la pensée divergente et la performance au test du trombone. Peut-être que les personnes atteintes de dysphorie de genre ont également une pensée divergente plus importante en moyenne, et que l'activation de certains réseaux neuronaux comme ceux-ci ne les pousse malgré eux à s'identifier à un genre différent de celui de la norme sociale attendue.

Les enfants sont les plus forts au test du trombone car ils n'ont pas acquis les normes sociales et qu'ils ont en conséquence bien moins peur de dire des bêtises ou à tout le moins, de sembler inconvenants ou de déranger les autres, ce qui est aussi la force de la naïveté, de la candeur et de l'innocence, qui sont souvent présents chez les personnes HPI.

A tout le moins chez les HPI très créatifs.