Le rejet de la gauche dans l'histoire contemporaine en France

Depuis que ces notions existent en France soit environ 2 siècles, la gauche a très peu gouverné. De rares périodes qui se sont régulièrement soldées par d'immenses déceptions, parfois le contraire de ce qui était promis.

- Période révolutionnaire, 1793... la gauche robespierriste gouverne seule... par la Terreur!

-1848, Seconde République ... ça commençait bien avec l'abolition de l'esclavage, le suffrage universel masculin puis ça enchaine avec les journées de juin, 5000 manifestants ouvriers tués à Paris ... et l'élection in fine d'un bonapartiste qui pulvérise électoralement ses concurrents de gauche.

- 1870-71 "Commune de Paris"... au delà des pros et des antis, peu de consistance politique réelle. Episode critiqué et rejeté y compris sur sa gauche.

- Période Clémenceau... grand admirateur de Blanqui "l'enfermé", anticlérical forcené, classé même à l'extrême-gauche selon les curseurs de son époque. Il aura été le dirigeant républicain ayant à son compteur le plus de morts ouvriers et paysans sur la conscience. Ses répressions féroces ne souffraient d'aucune contestation , ni pitié

- 1936 Front Populaire ... du social... à l'effondrement de tout un pays qu'il n'a pas su préparer face au péril militariste nazi voisin.

- 1945... le PCF partage avec les gaullistes le pouvoir, héritant de pans entiers comme l'Education Nationale, la culture ... mais ce parti n'est qu'une filiale d'une vaste entreprise totalitaire moscovite.

- Période mitterandienne ... commencé sous les effluves du Programme Commun de la gauche, des slogans prometteurs :"on va changer la vie!"... la période  s'achèvera  par la francisque, la révélation du passé vichyste du Président, l'austérité en passant par la conversion au libéralisme de la France sous Fabius.

- Période jospinienne ... incapable de se qualifier pour le second tour de la présidentielle battu par son propre : "sentiment d'insécurité".

- Période hollandiste ... incapable de se présenter à sa propre réélection, crédité d'à peine 5% des intentions de vote.

On peut être honnêtement de gauche ce n'est pas la question. Sur le papier elle a tout pour séduire puisqu'elle se présente toujours du coté du "bien", de "humain", dans les faits elle déçoit comme un métronome jusqu'au rejet. Encore aujourd'hui elle n'intéresse plus que moins d'1 électeur sur 3... et son prolétariat s'est barré chez les "fachos"!

A quoi selon vous est du ce cycle d'espérance/faillite permanente ?

il y a 12 minutes, Garlaban a dit :

Période révolutionnaire, 1993

1793 peut-être ?

il y a 23 minutes, Garlaban a dit :

A quoi selon vous est du ce cycle d'espérance/faillite permanente ?

Le manque de sagacité et le tempérament tiédasse, voire pleutre.

Il est évident que la gauche de pouvoir s'est toujours heurté aux marchés. Aujourd'hui elle se confronte à l'extrémismisation de la droite qui met fin au front républicain.

Le sujet étant l'expression d'un parti pris de son auteur d'extrême droite, il convient de le prendre avec des pincettes.

A l'heure actuelle les espoirs que suscite la gauche concerne son unité qui a manqué jusqu'à lors. Une unité qui se fait avec les insoumis qui représentent la nouvelle gauche de combat.

il y a une heure, Garlaban a dit :

Depuis que ces notions existent en France soit environ 2 siècles, la gauche a très peu gouverné. De rares périodes qui se sont régulièrement soldées par d'immenses déceptions, parfois le contraire de ce qui était promis.

- Période révolutionnaire, 1793... la gauche robespierriste gouverne seule... par la Terreur!

-1848, Seconde République ... ça commençait bien avec l'abolition de l'esclavage, le suffrage universel masculin puis ça enchaine avec les journées de juin, 5000 manifestants ouvriers tués à Paris ... et l'élection in fine d'un bonapartiste qui pulvérise électoralement ses concurrents de gauche.

- 1870-71 "Commune de Paris"... au delà des pros et des antis, peu de consistance politique réelle. Episode critiqué et rejeté y compris sur sa gauche.

- Période Clémenceau... grand admirateur de Blanqui "l'enfermé", anticlérical forcené, classé même à l'extrême-gauche selon les curseurs de son époque. Il aura été le dirigeant républicain ayant à son compteur le plus de morts ouvriers et paysans sur la conscience. Ses répressions féroces ne souffraient d'aucune contestation , ni pitié

- 1936 Front Populaire ... du social... à l'effondrement de tout un pays qu'il n'a pas su préparer face au péril militariste nazi voisin.

- 1945... le PCF partage avec les gaullistes le pouvoir, héritant de pans entiers comme l'Education Nationale, la culture ... mais ce parti n'est qu'une filiale d'une vaste entreprise totalitaire moscovite.

- Période mitterandienne ... commencé sous les effluves du Programme Commun de la gauche, des slogans prometteurs :"on va changer la vie!"... la période  s'achèvera  par la francisque, la révélation du passé vichyste du Président, l'austérité en passant par la conversion au libéralisme de la France sous Fabius.

- Période jospinienne ... incapable de se qualifier pour le second tour de la présidentielle battu par son propre : "sentiment d'insécurité".

- Période hollandiste ... incapable de se présenter à sa propre réélection, crédité d'à peine 5% des intentions de vote.

On peut être honnêtement de gauche ce n'est pas la question. Sur le papier elle a tout pour séduire puisqu'elle se présente toujours du coté du "bien", de "humain", dans les faits elle déçoit comme un métronome jusqu'au rejet. Encore aujourd'hui elle n'intéresse plus que moins d'1 électeur sur 3... et son prolétariat s'est barré chez les "fachos"!

A quoi selon vous est du ce cycle d'espérance/faillite permanente ?

 

J'ai voté une fois pour réélire un maire communiste qui avait fait de bonnes choses pour la commune qu'il dirigeait. Une fois pas deux car ce maire a fini par donner à ses administrés une image de lui-même qu'il fustigeait chez les autres. Ceux qui étaient à droite.

La gauche n'est pas plus propre politiquement parlant que la droite et inversement, pas plus humaniste. Et ce qui m'a toujours agacée c'est cette volonté de laisser croire qu'il y avait plus d'honnêteté, d'intégrité, d'humanité à gauche.

J'ai croisé autant de c..s, d'égoïstes, d'individualistes, d'hypocrites à gauche qu'à droite.

Mais au moins à droite je sais où j'en suis de l'humain.

il y a 5 minutes, Globure a dit :

Il est évident que la gauche de pouvoir s'est toujours heurté aux marchés. Aujourd'hui elle se confronte à l'extrémismisation de la droite qui met fin au front républicain.

Le sujet étant l'expression d'un parti pris de son auteur d'extrême droite, il convient de le prendre avec des pincettes.

A l'heure actuelle les espoirs que suscite la gauche concerne son unité qui a manqué jusqu'à lors. Une unité qui se fait avec les insoumis qui représentent la nouvelle gauche de combat.

 

Ok mais alors qu'ils fassent le ménage dans leurs rangs...

il y a 46 minutes, Garlaban a dit :

Depuis que ces notions existent en France soit environ 2 siècles, la gauche a très peu gouverné. De rares périodes qui se sont régulièrement soldées par d'immenses déceptions, parfois le contraire de ce qui était promis.

- Période révolutionnaire, 1793... la gauche robespierriste gouverne seule... par la Terreur!

-1848, Seconde République ... ça commençait bien avec l'abolition de l'esclavage, le suffrage universel masculin puis ça enchaine avec les journées de juin, 5000 manifestants ouvriers tués à Paris ... et l'élection in fine d'un bonapartiste qui pulvérise électoralement ses concurrents de gauche.

- 1870-71 "Commune de Paris"... au delà des pros et des antis, peu de consistance politique réelle. Episode critiqué et rejeté y compris sur sa gauche.

- Période Clémenceau... grand admirateur de Blanqui "l'enfermé", anticlérical forcené, classé même à l'extrême-gauche selon les curseurs de son époque. Il aura été le dirigeant républicain ayant à son compteur le plus de morts ouvriers et paysans sur la conscience. Ses répressions féroces ne souffraient d'aucune contestation , ni pitié

- 1936 Front Populaire ... du social... à l'effondrement de tout un pays qu'il n'a pas su préparer face au péril militariste nazi voisin.

- 1945... le PCF partage avec les gaullistes le pouvoir, héritant de pans entiers comme l'Education Nationale, la culture ... mais ce parti n'est qu'une filiale d'une vaste entreprise totalitaire moscovite.

- Période mitterandienne ... commencé sous les effluves du Programme Commun de la gauche, des slogans prometteurs :"on va changer la vie!"... la période  s'achèvera  par la francisque, la révélation du passé vichyste du Président, l'austérité en passant par la conversion au libéralisme de la France sous Fabius.

- Période jospinienne ... incapable de se qualifier pour le second tour de la présidentielle battu par son propre : "sentiment d'insécurité".

- Période hollandiste ... incapable de se présenter à sa propre réélection, crédité d'à peine 5% des intentions de vote.

On peut être honnêtement de gauche ce n'est pas la question. Sur le papier elle a tout pour séduire puisqu'elle se présente toujours du coté du "bien", de "humain", dans les faits elle déçoit comme un métronome jusqu'au rejet. Encore aujourd'hui elle n'intéresse plus que moins d'1 électeur sur 3... et son prolétariat s'est barré chez les "fachos"!

A quoi selon vous est du ce cycle d'espérance/faillite permanente ?

 

Je vous incite à retourner à l'école u en faculté pour apprendre l'histoire de notre pays et non vos stupidités d'ignorant crasse.

il y a 53 minutes, Garlaban a dit :

Depuis que ces notions existent en France soit environ 2 siècles, la gauche a très peu gouverné. De rares périodes qui se sont régulièrement soldées par d'immenses déceptions, parfois le contraire de ce qui était promis.

- Période révolutionnaire, 1793... la gauche robespierriste gouverne seule... par la Terreur!

-1848, Seconde République ... ça commençait bien avec l'abolition de l'esclavage, le suffrage universel masculin puis ça enchaine avec les journées de juin, 5000 manifestants ouvriers tués à Paris ... et l'élection in fine d'un bonapartiste qui pulvérise électoralement ses concurrents de gauche.

- 1870-71 "Commune de Paris"... au delà des pros et des antis, peu de consistance politique réelle. Episode critiqué et rejeté y compris sur sa gauche.

- Période Clémenceau... grand admirateur de Blanqui "l'enfermé", anticlérical forcené, classé même à l'extrême-gauche selon les curseurs de son époque. Il aura été le dirigeant républicain ayant à son compteur le plus de morts ouvriers et paysans sur la conscience. Ses répressions féroces ne souffraient d'aucune contestation , ni pitié

- 1936 Front Populaire ... du social... à l'effondrement de tout un pays qu'il n'a pas su préparer face au péril militariste nazi voisin.

- 1945... le PCF partage avec les gaullistes le pouvoir, héritant de pans entiers comme l'Education Nationale, la culture ... mais ce parti n'est qu'une filiale d'une vaste entreprise totalitaire moscovite.

- Période mitterandienne ... commencé sous les effluves du Programme Commun de la gauche, des slogans prometteurs :"on va changer la vie!"... la période  s'achèvera  par la francisque, la révélation du passé vichyste du Président, l'austérité en passant par la conversion au libéralisme de la France sous Fabius.

- Période jospinienne ... incapable de se qualifier pour le second tour de la présidentielle battu par son propre : "sentiment d'insécurité".

- Période hollandiste ... incapable de se présenter à sa propre réélection, crédité d'à peine 5% des intentions de vote.

On peut être honnêtement de gauche ce n'est pas la question. Sur le papier elle a tout pour séduire puisqu'elle se présente toujours du coté du "bien", de "humain", dans les faits elle déçoit comme un métronome jusqu'au rejet. Encore aujourd'hui elle n'intéresse plus que moins d'1 électeur sur 3... et son prolétariat s'est barré chez les "fachos"!

A quoi selon vous est du ce cycle d'espérance/faillite permanente ?

 

Pfff, comparer les courants politiques de différentes époques et donc la gauche actuelle au robespierrisme, fallait oser ! Selon tes curseurs, même Louis XVI devrait être considéré comme un chef d’État de gauche.

Mais enfin, ça change de toutes ces comparaisons douteuses entre le stalinisme en URSS et la gauche d'aujourd'hui en France.

On pourrait pondre un texte similaire mais contre la droite : le rejet de la droite dans l'histoire contemporaine en France.

On commencerait par l'ultra-conservateur César pire ennemi des hippies gaulois avec leurs cheveux longs, ensuite Attila, ce salaud de capitaliste mettant l'Europe à feu et à sang pour faire toujours plus de super-profits... et  bien entendu on oublierait pas dans la liste de citer Pétain, Laval, Bousquet et Maurice Papon.

il y a 12 minutes, Pierrot89 a dit :

Je vous incite à retourner à l'école u en faculté pour apprendre l'histoire de notre pays et non vos stupidités d'ignorant crasse.

 

 

Oh, pardonnez-moi mais, malgré tout le respect que je vous dois, je suis sûre que Garlaban est l'un des doyens de son quartier qui a une chaire au bar-pmu d'en face de chez lui.

il y a 17 minutes, chanou 34 a dit :

Ok mais alors qu'ils fassent le ménage dans leurs rangs...

La colère est banalisée à droite et cristallisée à gauche, pourquoi ?

il y a 18 minutes, Globure a dit :

La colère est banalisée à droite et cristallisée à gauche, pourquoi ?

De quoi vous parlez?

Moi je dis juste que Melenchon...c'est plus possible! Qu'il dégage bon dieu!!

Ce mec est  juste un autocrate colérique!

il y a 9 minutes, chanou 34 a dit :

De quoi vous parlez?

Moi je dis juste que Melenchon...c'est plus possible! Qu'il dégage bon dieu!!

Ce mec est  juste un autocrate colérique!

Il y e a trois en ce moment qui devraient fermer leur claque merde :

          Mélenchon,Macron et Hollande.

             Ainsi que tout leurs soutiens ( de plus en plus rares heureusement).

il y a 6 minutes, chanou 34 a dit :

De quoi vous parlez?

Moi je dis juste que Melenchon...c'est plus possible! Qu'il dégage bon dieu!!

Ce mec est  juste un autocrate colérique!

Ce mec a le mérite d'avoir ramené des voix dispersées vers un vote de gauche. J'en conviens, un peu de retenue ne lui ferait pas de mal.

Mais tu ne réponds pas à ma question.

il y a 3 minutes, Globure a dit :

 

Mais tu ne réponds pas à ma question.

je ne l'ai pas comprise.

En ce qui me concerne, je ne voterai JAMAIS RN.

Et à cause de LFI je ne voterai pas non plus le NFP.

- Période révolutionnaire, 1968 surement 

à l’instant, chanou 34 a dit :

je ne l'ai pas comprise.

En ce qui me concerne, je ne voterai JAMAIS RN.

Et à cause de LFI je ne voterai pas non plus le NFP.

Les bourgeois sont en effet bien embêtés.

il y a 1 minute, Globure a dit :

Les bourgeois sont en effet bien embêtés.

c'est quoi les bourgeois?

Il y a 1 heure, Garlaban a dit :

Depuis que ces notions existent en France soit environ 2 siècles, la gauche a très peu gouverné. De rares périodes qui se sont régulièrement soldées par d'immenses déceptions, parfois le contraire de ce qui était promis.

- Période révolutionnaire, 1793... la gauche robespierriste gouverne seule... par la Terreur!

-1848, Seconde République ... ça commençait bien avec l'abolition de l'esclavage, le suffrage universel masculin puis ça enchaine avec les journées de juin, 5000 manifestants ouvriers tués à Paris ... et l'élection in fine d'un bonapartiste qui pulvérise électoralement ses concurrents de gauche.

- 1870-71 "Commune de Paris"... au delà des pros et des antis, peu de consistance politique réelle. Episode critiqué et rejeté y compris sur sa gauche.

- Période Clémenceau... grand admirateur de Blanqui "l'enfermé", anticlérical forcené, classé même à l'extrême-gauche selon les curseurs de son époque. Il aura été le dirigeant républicain ayant à son compteur le plus de morts ouvriers et paysans sur la conscience. Ses répressions féroces ne souffraient d'aucune contestation , ni pitié

- 1936 Front Populaire ... du social... à l'effondrement de tout un pays qu'il n'a pas su préparer face au péril militariste nazi voisin.

- 1945... le PCF partage avec les gaullistes le pouvoir, héritant de pans entiers comme l'Education Nationale, la culture ... mais ce parti n'est qu'une filiale d'une vaste entreprise totalitaire moscovite.

- Période mitterandienne ... commencé sous les effluves du Programme Commun de la gauche, des slogans prometteurs :"on va changer la vie!"... la période  s'achèvera  par la francisque, la révélation du passé vichyste du Président, l'austérité en passant par la conversion au libéralisme de la France sous Fabius.

- Période jospinienne ... incapable de se qualifier pour le second tour de la présidentielle battu par son propre : "sentiment d'insécurité".

- Période hollandiste ... incapable de se présenter à sa propre réélection, crédité d'à peine 5% des intentions de vote.

On peut être honnêtement de gauche ce n'est pas la question. Sur le papier elle a tout pour séduire puisqu'elle se présente toujours du coté du "bien", de "humain", dans les faits elle déçoit comme un métronome jusqu'au rejet. Encore aujourd'hui elle n'intéresse plus que moins d'1 électeur sur 3... et son prolétariat s'est barré chez les "fachos"!

A quoi selon vous est du ce cycle d'espérance/faillite permanente ?

 

La gauche a su amorcé des transformations radicales en France. Abolition de la monarchie absolue, de la monarchie de Juillet. Influence du clergé réduite à peau de chagrin. Création d'un État social, amélioration progressive de la situation des travailleurs. Socialisation progressive de la valeur. Droits des femmes. Droits des minorités. 

Mais c'est une lutte acharnée. Les puissants s'accrochent à tout ce qu'ils peuvent pour maintenir ou récupérer leur domination. 

Depuis 2 siècles, la gauche est le moteur de l'histoire, ça rend malade les fachos. 

il y a 2 minutes, chanou 34 a dit :

c'est quoi les bourgeois?

Je ne comprends pas la question moi non plus.

à l’instant, Globure a dit :

Je ne comprends pas la question moi non plus.

ben vous dites que les bourgeois sont embêtés ; je vous demande ce que sont les bourgeois. Vous donnez quelle définition à ce mot?

il y a 1 minute, chanou 34 a dit :

ben vous dites que les bourgeois sont embêtés ; je vous demande ce que sont les bourgeois. Vous donnez quelle définition à ce mot?

La définition communément admise. Moi je t'ai demandé pourquoi la colère de droite était banalisée tandis que de gauche provoquait l'indignation.