Les vrais taux de réussite au brevet, ou le grand bidouillage des rectorats

Il y a 3 heures, jacky29 a dit :

si tu as le bonheur d'avoir en main des copies du bac, du brevet et même des mémoires autres que ceux de tes petits enfants, tu m'en diras des nouvelles pour le Français... il y a toujours des illettrés, ouest, mais le terrible est que maintenant, plus personne ne s'y intéresse. 

 

On peut faire des fautes de syntaxe ou d'orthographe sans être illettré, ça n'a rien à voir.

Et il y avait au moins autant d'illettrés dans les années 60 ou 70 (et avant ces années là également) mais ils quittaient l'école plus tôt et commençaient leur vie active sans que ça gêne autant qu'aujourd'hui où l'écrit n'a jamais eu autant d'importance au quotidien.

J'ai déjà publié à plusieurs reprises sur le forum le compte rendu d'un travail récent qui montre que les élèves du primaire et du secondaire ont un niveau scolaire supérieur à celui des élèves des années 60/70. Mais les préjugés ont la vie dure.

il y a 28 minutes, CAL26 a dit :

On peut faire des fautes de syntaxe ou d'orthographe sans être illettré, ça n'a rien à voir.

Et il y avait au moins autant d'illettrés dans les années 60 ou 70 (et avant ces années là également) mais ils quittaient l'école plus tôt et commençaient leur vie active sans que ça gêne autant qu'aujourd'hui où l'écrit n'a jamais eu autant d'importance au quotidien.

J'ai déjà publié à plusieurs reprises sur le forum le compte rendu d'un travail récent qui montre que les élèves du primaire et du secondaire ont un niveau scolaire supérieur à celui des élèves des années 60/70. Mais les préjugés ont la vie dure.

voilà..... Et en même temps, on ne peut pas dire que le brevet serve à grand chose actuellement, peut être pour les concours administratifs où il faut prouver qu'on sait lire et écrire

mais il y a effectivement plein de diplômés qui font des fautes, ça dépend du BAC qu'ils ont passé et de la suite de leurs études.

Il y a 13 heures, Plouj a dit :

Après les corrections, dans chaque centre d’examen, un jury (composé d’enseignants correcteurs et d’inspecteurs académiques) sélectionne un panel de copies et regarde la moyenne des résultats obtenus. Si certaines copies ne se retrouvent pas dans cette moyenne, les notes sont harmonisées.

Mais pourquoi faire ?

Normalisée serait peut-être un meilleur terme ?

Il y a 6 heures, CAL26 a dit :

On peut faire des fautes de syntaxe ou d'orthographe sans être illettré, ça n'a rien à voir.

Et il y avait au moins autant d'illettrés dans les années 60 ou 70 (et avant ces années là également) mais ils quittaient l'école plus tôt et commençaient leur vie active sans que ça gêne autant qu'aujourd'hui où l'écrit n'a jamais eu autant d'importance au quotidien.

J'ai déjà publié à plusieurs reprises sur le forum le compte rendu d'un travail récent qui montre que les élèves du primaire et du secondaire ont un niveau scolaire supérieur à celui des élèves des années 60/70. Mais les préjugés ont la vie dure.

Mais le niveau global a augmenté. Et le niveau de la France a dégringolé relativement aux autres pays, comme le montrent les classements PISA successifs. Les pays asiatiques de de l’est se donnent à fond dans les études, et leurs élèves sont beaucoup moins encouragés à se droguer ou à boire que les élèves occidentaux. En Asie, le message des parents à leurs enfants c’est de travailler dur à l’école  parce que le reste de leur vie depend de leurs résultats scolaires, et de l’université dans laquelle ils vont.

il y a une heure, zebusoif a dit :

Mais le niveau global a augmenté. Et le niveau de la France a dégringolé relativement aux autres pays, comme le montrent les classements PISA successifs. Les pays asiatiques de de l’est se donnent à fond dans les études, et leurs élèves sont beaucoup moins encouragés à se droguer ou à boire que les élèves occidentaux. En Asie, le message des parents à leurs enfants c’est de travailler dur à l’école  parce que le reste de leur vie depend de leurs résultats scolaires, et de l’université dans laquelle ils vont.

En France, c'est la même rengaine, ce n'est pas uniquement en Asie, c'est juste que la pression n'est pas la même. Et en France, le problème ne vient pas principalement des écoles, même si certains professeurs pourraient décoincer les craies qu'ils ont dans le cul pour rendre les cours plus captivants.

Le problème est extérieur, et je suppose que dans l'analyse que tu fais, il y a aussi des étrangers, et la langue française est certes moins complexe que certaines langues d'Asie, mais très difficile à apprendre, surtout pour échanger avec des locaux dans un langage qui n'est pas académique... Donc effectivement, l'école pour eux est encore plus compliquée.

Mais, il y a les réseaux sociaux, les séries, et beaucoup d'autres stratégies marketing qui les détruisent avant même que leur construction cérébrale ne soit en état de faire un tri. Beaucoup de ces produits sont américains et tellement bien faits pour que le cerveau des enfants soit complètement accro.

En ajustant le gamma et le gamut, par exemple, il est possible d'avoir des images avec des profondeurs spécifiques parfois en dehors des standards mais tous aussi voir plus addictif visuellement, encore plus avec les jeux vidéo, alors inutile de préciser ce qui est possible de faire à d'autres niveaux. Après, les résultats scolaires ne définissent pas vraiment le potentiel d'une personne... parfois même, elles le brident. 

il y a 37 minutes, Crème French a dit :

Après, les résultats scolaires ne définissent pas vraiment le potentiel d'une personne... parfois même, elles le brident. 

Ils déterminent tout de même grandement le niveau économique et social, la façon dont on est traité au travail.

De manière pragmatique, je pense que quand on a pas de mal à payer son loyer, ou à s’acheter une baraque, on est moins bridé que lorsqu’on a pas de source de revenu stable, ce qui arrive souvent avec moins d’années detude.

Il y a 1 heure, zebusoif a dit :

Ils déterminent tout de même grandement le niveau économique et social, la façon dont on est traité au travail.

De manière pragmatique, je pense que quand on a pas de mal à payer son loyer, ou à s’acheter une baraque, on est moins bridé que lorsqu’on a pas de source de revenu stable, ce qui arrive souvent avec moins d’années detude.

Contrat intérimaire transformé en CDI à 2200 euros par mois, pour une personne sans diplôme sur une chaîne de montage, c'est un bon salaire je trouve. Même si le boulot n'est pas forcément transcendant. Du travail bien payé, ce n'est pas ça qui manque, c'est juste le taf qui est chiant. Donc l'intelligence ne fait pas le salaire et le salaire ne fait pas l'intelligence. Même si l'argent peut servir à booster certaines compétences, tout dépend du système... et de la personne. Si les patrons en sont encore à parler comme de la merde à leurs employés, alors ils vont vite se casser les dents sur les générations à venir. Il est temps qu'ils partent à la retraite ou qu'ils fassent un stage dans le social. C'est encore plus vrai actuellement avec les programmes d'intelligence artificielle.

Mais je suis d'accord avec toi, il vaut mieux avoir un diplôme ou une spécialisation, surtout si l'on souhaite voyager.

Il y a 10 heures, CAL26 a dit :

On peut faire des fautes de syntaxe ou d'orthographe sans être illettré, ça n'a rien à voir.

Et il y avait au moins autant d'illettrés dans les années 60 ou 70 (et avant ces années là également) mais ils quittaient l'école plus tôt et commençaient leur vie active sans que ça gêne autant qu'aujourd'hui où l'écrit n'a jamais eu autant d'importance au quotidien.

J'ai déjà publié à plusieurs reprises sur le forum le compte rendu d'un travail récent qui montre que les élèves du primaire et du secondaire ont un niveau scolaire supérieur à celui des élèves des années 60/70. Mais les préjugés ont la vie dure.

bonjour cal26, il a fallu que ce soit mes parents qui m'apprennent à lire, cela a pris du temps... nous étions en pleine "révolution" de la méthode dite globale... il y a eu un déchet incroyable auprès de nous tous, dyslexiques, dysgraphiques, bègues, atteints de surdités, mal latéralisés... et j'en passe... à 6 ans, je le savais pas écrire mon nom... la scolarité me fut une épreuve sportive de haut vol, je pense que c'est toujours le cas pour nous, les "handicapés" de l'apprentissage... je ne sais si j'ai des préjugés, Cal, mais j'ai eu un mémoire d'une amie qui s'était présentée au capes, il y avait des fautes de français quasiment toutes les deux lignes... 

Il y a 1 heure, Crème French a dit :

Contrat intérimaire transformé en CDI à 2200 euros par mois, pour une personne sans diplôme sur une chaîne de montage, c'est un bon salaire je trouve. Même si le boulot n'est pas forcément transcendant. Du travail bien payé, ce n'est pas ça qui manque, c'est juste le taf qui est chiant. Donc l'intelligence ne fait pas le salaire et le salaire ne fait pas l'intelligence. Même si l'argent peut servir à booster certaines compétences, tout dépend du système... et de la personne. Si les patrons en sont encore à parler comme de la merde à leurs employés, alors ils vont vite se casser les dents sur les générations à venir. Il est temps qu'ils partent à la retraite ou qu'ils fassent un stage dans le social. C'est encore plus vrai actuellement avec les programmes d'intelligence artificielle.

Mais je suis d'accord avec toi, il vaut mieux avoir un diplôme ou une spécialisation, surtout si l'on souhaite voyager.

Oui, les diplômes aident, et c’est juste un constat, pas quelque chose avec lequel je suis vraiment d’accord.

Pourquoi ceux qui font des études dites supérieures devraient être mieux payés, après tout ?

Il y a 6 heures, zebusoif a dit :

Normalisée serait peut-être un meilleur terme ?

L'un ou l'autre ne représenterant donc pas la vérité dans les notations..

Il y a 17 heures, jacky29 a dit :

si tu as le bonheur d'avoir en main des copies du bac, du brevet et même des mémoires autres que ceux de tes petits enfants, tu m'en diras des nouvelles pour le Français... il y a toujours des illettrés, ouest, mais le terrible est que maintenant, plus personne ne s'y intéresse. 

c'est un exercice intéressant vis à vis de l'aisance qu'ont les élèves à plancher... je l'ai passé en 69 avec une épreuve orale en science nat sur le sang... un pur délice... je m'en souviens encore, Phylou! c'est la prof qui m'a mise dehors pour prendre le suivant... rires! 

aucune idée, Plouj!

Ma pauvre Jacky vous devez être malheureuse ... rien ne marche dans cette vie .... Avant c'était le bonheur parfait !

la première injustice c'est que tout le monde ne nait pas avec le même potentiel de chances ..... il ne reste qu'à faire au mieux !!!

il y a 11 minutes, ouest35 a dit :

Ma pauvre Jacky vous devez être malheureuse ... rien ne marche dans cette vie .... Avant c'était le bonheur parfait !

la première injustice c'est que tout le monde ne nait pas avec le même potentiel de chances ..... il ne reste qu'à faire au mieux !!!

Ni avec les mêmes possibilités, moyens etc.. donc pour jouer à la jolie société, on nivelle, on rabaisse le haut et on fait monter le bas.. tout le monde au même niveau, même si c'est artificiel.

il y a une heure, ouest35 a dit :

Ma pauvre Jacky vous devez être malheureuse ... rien ne marche dans cette vie .... Avant c'était le bonheur parfait !

la première injustice c'est que tout le monde ne nait pas avec le même potentiel de chances ..... il ne reste qu'à faire au mieux !!!

avant c'était une merde sans nom avec la méthode globale qui m'a fait perdre deux ans de ma vie scolaire en communale. il est heureux que j'ai eu des parents intelligents. 

Les statistiques de l’Éducation Nationale elles-mêmes établissent qu’à l’entrée en 6°, un enfant sur cinq, soit 20 % des enfants, ne maitrisent pas la lecture et la compréhension de textes élémentaires. Ils sont illettrés, stricto sensu.

Ils entrent quand même en 6° et la doctrine en vigueur voulant que l’on ne redouble plus, ces enfants arriveront en terminale et passeront leur Bac. Auquel ils seront incapables de répondre convenablement dans quelque matière que ce soit.

Ce qui est normal, il n’y a pratiquement pas d’exemple d’enfants illettrés à l’entrée en 6° qui aient, sans redoublements, récupéré durant leurs années de collège et de lycée.  

Ce qui veut dire que 20 % de élèves qui passent le Bac sont illettrés. En 2022, sur 733 000 candidats, 666 800 ont obtenus le Bac. 91 % des candidats en moyenne, mais 96 % pour la voie générale.

Ce qui signifie que, toutes filières confondues, globalement, 11 % des nouveaux bacheliers de 2022 sont illettrés.  Chiffre qui pour cette année-là, atteint 16% des nouveaux bacheliers de la filière générale, qui sont de fait illettrés. Mais bacheliers.

Depuis 15 ans, le QI moyen en France a perdu 10 points. N’y aurait-il pas un rapport possible entre les deux ? Au moins au niveau des causes ?

Et si cette tendance continue, et elle en prend le chemin, à quel niveau arriveront-nous ? Nous n’avons pas encore rejoint le niveau du Bengladesh, mais nous sommes sur la bonne voie.  

il y a 39 minutes, jacky29 a dit :

avant c'était une merde sans nom avec la méthode globale qui m'a fait perdre deux ans de ma vie scolaire en communale. il est heureux que j'ai eu des parents intelligents. 

cette même méthode a permis - utilisée par ses parents qui avaient été eux aussi enseignés avec cette méthode - de lire couramment à 3 ans !

il y a 35 minutes, Témoudjine a dit :

Ils entrent quand même en 6° et la doctrine en vigueur voulant que l’on ne redouble plus, ces enfants arriveront en terminale et passeront leur Bac. Auquel ils seront incapables de répondre convenablement dans quelque matière que ce soit.

Sans les bases principales.

Ne parlons de l'écriture, ni des liaisons, ni des chiffres, ni ...

Mais c'est normal, parait-il que c'était pire avant.

Que cela ne sert plus à rien car on ne s'écrit plus, savoir calculer n'a plus d'importance, écrire non plus, plus besoin de tout cela.

La vie est beaucoup plus simplifiée qu'avant, les temps changent, le loisir est roi.

Plus plus, pour arriver à moins moins.

Il y a 8 heures, zebusoif a dit :

Mais le niveau global a augmenté. Et le niveau de la France a dégringolé relativement aux autres pays, comme le montrent les classements PISA successifs. Les pays asiatiques de de l’est se donnent à fond dans les études, et leurs élèves sont beaucoup moins encouragés à se droguer ou à boire que les élèves occidentaux. En Asie, le message des parents à leurs enfants c’est de travailler dur à l’école  parce que le reste de leur vie depend de leurs résultats scolaires, et de l’université dans laquelle ils vont.

Il n'a pas dégringolé parce que les résultats de la France restent dans la moyenne des pays de l'OCDE. Mais ont peut dire effectivement  qu'elle est descendue dans le classement.

il y a 4 minutes, Plouj a dit :

Sans les bases principales.

Ne parlons de l'écriture, ni des liaisons, ni des chiffres, ni ...

Mais c'est normal, parait-il que c'était pire avant.

Que cela ne sert plus à rien car on ne s'écrit plus, savoir calculer n'a plus d'importance, écrire non plus, plus besoin de tout cela.

La vie est beaucoup plus simplifiée qu'avant, les temps changent, le loisir est roi.

Plus plus, pour arriver à moins moins.

Tu dis n'importe quoi. Comparer l'ensemble des élèves avec ceux du passé permet de ne pas rester focalisé sur une minorité qui n'a pas acquis les bases et pour qui l'insertion sociale et professionnelle sera difficile. 

Avant, cette minorité passait plus inaperçu parce qu'elle quittait l'école tôt et pour qui l'insertion était moins difficile parce que notamment la lecture et l'écriture prenaient moins de place au quotidien.

Il ne s'agit pas de se réjouir béatement mais de sortir du blabla habituel sur le "c'était mieux avant" qui n'est pas fondé et qui est inutile. Les élèves actuels doivent être préparés pour se confronter à l'avenir et pas au monde d'hier donc il s'agit de voir ce qui est essentiel pour ça.

il y a une heure, Témoudjine a dit :

Les statistiques de l’Éducation Nationale elles-mêmes établissent qu’à l’entrée en 6°, un enfant sur cinq, soit 20 % des enfants, ne maitrisent pas la lecture et la compréhension de textes élémentaires. Ils sont illettrés, stricto sensu.

 

Ils entrent quand même en 6° et la doctrine en vigueur voulant que l’on ne redouble plus, ces enfants arriveront en terminale et passeront leur Bac. Auquel ils seront incapables de répondre convenablement dans quelque matière que ce soit.

 

Ce qui est normal, il n’y a pratiquement pas d’exemple d’enfants illettrés à l’entrée en 6° qui aient, sans redoublements, récupéré durant leurs années de collège et de lycée.  

 

Ce qui veut dire que 20 % de élèves qui passent le Bac sont illettrés. En 2022, sur 733 000 candidats, 666 800 ont obtenus le Bac. 91 % des candidats en moyenne, mais 96 % pour la voie générale.

 

Ce qui signifie que, toutes filières confondues, globalement, 11 % des nouveaux bacheliers de 2022 sont illettrés.  Chiffre qui pour cette année-là, atteint 16% des nouveaux bacheliers de la filière générale, qui sont de fait illettrés. Mais bacheliers.

 

Depuis 15 ans, le QI moyen en France a perdu 10 points. N’y aurait-il pas un rapport possible entre les deux ? Au moins au niveau des causes ?

 

Et si cette tendance continue, et elle en prend le chemin, à quel niveau arriveront-nous ? Nous n’avons pas encore rejoint le niveau du Bengladesh, mais nous sommes sur la bonne voie.  

 

Ce serait bien que tu mettes un lien vers des sources qui te permettent de donner ces chiffres. Par ailleurs, tous les élèves qui entrent en 6e ne vont pas jusqu'au bac donc ta conclusion sur la proportion de bacheliers illettrés serait fausse même si les chiffres que tu donnes étaient exacts.

C'est la même chose concernant la baisse du QI en France depuis 15 ans. Ce serait bien de donner tes sources (je l'ai vu pour certains pays mais pas pour la France).

Il y a 5 heures, jacky29 a dit :

bonjour cal26, il a fallu que ce soit mes parents qui m'apprennent à lire, cela a pris du temps... nous étions en pleine "révolution" de la méthode dite globale... il y a eu un déchet incroyable auprès de nous tous, dyslexiques, dysgraphiques, bègues, atteints de surdités, mal latéralisés... et j'en passe... à 6 ans, je le savais pas écrire mon nom... la scolarité me fut une épreuve sportive de haut vol, je pense que c'est toujours le cas pour nous, les "handicapés" de l'apprentissage... je ne sais si j'ai des préjugés, Cal, mais j'ai eu un mémoire d'une amie qui s'était présentée au capes, il y avait des fautes de français quasiment toutes les deux lignes... 

Je parle notamment du préjugé "c'était mieux avant".  Là tu me décris plutôt les problèmes des années 60/70 qui montrent que justement c'était pas mieux avant, c'était même pire.