Jacques Delors, ancien ministre de François Mitterrand et président de la Commission européenne, est mort à l'âge de 98 ans

Ce qu'il disait en 1970 .....

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/man9317385479/1970-jacques-delors-a-quoi-bon-cette-richesse-cette-opulence

Il y a 1 heure, Gepetto a dit :

On ne sait pas comment il a terminé , bien ou mal .

A 98 ans .... Amen !

Je vois que les oraisons funèbres sont  d'une grande empathie ... en pure perte les tout bons ... il ne vous répondra plus jamais il a tiré définitivement sa révérence !!!

Jacques Delors,

Jacques Delors était un traître à la France. Il a oeuvré à l'appauvrissement du pays.

Les européistes traîtres à la France lui rendent hommage.

Par une étrange coïncidence, deux des têtes pensantes du néo-libéralisme en Europe sont mortes en deux jours : Wolfgang Schäuble, l'ancien ministre allemand des Finances, le 26 décembre, et Jacques Delord le lendemain 27 décembre. Dans un excellent article*, "'Marianne" rappelle cette semaine à quel point l'action de ces deux hommes a été délétère pour l'Europe (et pour la France). Quelques extraits :

"...Quant à Jacques Delors, il s'est fait le défenseur malgré lui d'un certain libéralisme. Lorsqu'on observe les évolutions de l'Union européenne depuis les années 1980, on a peine à croire qu'un homme dit de gauche comme lui a été à la manoeuvre. (...) Comment peut-on qualifier "de gauche" un marché unique qui faisait de la libre circulation des capitaux une liberté fondamentale et de la concurrence l'alpha et l'oméga de l'ordre juridique européen? Comment peut-on parler d'une pensée de gauche lorsqu'on promeut une monnaie unique dont la rigidité des changes oblige à faire porter l'ajustement sur les salaires et l'emploi? Comment pouvoir se dire dans le camp des travailleurs lorsque cette monnaie et ce marché unique entraînent la mise en concurrence des travailleurs et l'érosion de leur capacité de négociation?

[Jacques Delord] a enterré en catimini le socialisme en 1983 et le PS a poursuivi son aventure avec opportunisme pendant plus de trois décennies. La gauche n'a fait qu'accompagner le marché et l'a peu contraint. La justice sociale fut remise à plus tard. ".

Ajoutons :

1) Le peuple allemand n'a pas bénéficié de la politique libérale de Schäuble, approuvée par Merkel, qui n'a profité qu'à une minorité d'oligarques et d'actionnaires : vieillissement des infrastructures, diminution des retraites, baisse de la puissance de l'armée (on l'a bien vu lors de l'éclatement du conflit en Ukraine);

2) La "punition" allemande infligée à la Grèce était en fait un avertissement lancé à la France. François Hollande, en bon traître qu'il était, a suivi docilement les Allemands dans leur politique de rigueur drastique infligée aux pays du Sud;

3) Quand on se penche sur l'histoire de Delord, on comprend mieux par quel dérive un Emmanuel Macron a pu finalement arriver au pouvoir. Insensiblement, on est passé de faux hommes de gauche... à un vrai homme de droite.

* "Wolfgang Schäuble et Jacques Delord, une logique, un couple, des enfants."

il y a une heure, Gouderien a dit :

Comment peut-on qualifier "de gauche"

On peut être de gauche et pro-Union Européenne, et être réaliste, pragmatique et efficace. La preuve...

il y a une heure, Gouderien a dit :

La "punition" allemande infligée à la Grèce

L'Union Européenne et la réussite de la Grèce :
Ce qui suit n'est pas un slogan sans fondement, c'est UN FAIT, UNE REALITE :
« Après une dépression historique au cours de laquelle son produit intérieur brut (PIB) s’est effondrée de 28 %, la Grèce semble avoir enfin ouvert un nouveau chapitre. Il y a eu d’abord la crise (2010-2013), puis la stabilisation (2014-2018), huit années où des plans d’austérité ont été imposés par les créanciers du pays, la BCE, l’Union européenne et le FMI, au chevet d’une économie qui ne pouvait plus se financer, privée d’accès aux marchés obligataires internationaux. »
https://theconversation.com/un-retour-a-la-normale-pour-leconomie-grecque-220399
« Déjà sacrée en 2022, la Grèce termine à nouveau en tête du classement des pays de l'année établi par « The Economist ». Le magazine britannique* salue la renaissance d'une économie « qui, jusqu'à récemment, était synonyme de mauvaise gestion ».26 déc. 2023
La revanche inattendue de l'économie grecque - Les Echos

Et pourtant, combien les mesures imposées par « Bruxelles » ont été critiquées, jugées inutiles et contraire au bon sens.
La Grèce a payé pour ses erreurs, aujourd’hui elle rebondit et peut envisager l’avenir avec plus de sérénité.

*qui ne peut donc être taxé de soumission à « Bruxelles » !

il y a 5 minutes, pluc89 a dit :

On peut être de gauche et pro-Union Européenne, et être réaliste, pragmatique et efficace. La preuve...

L'Union Européenne et la réussite de la Grèce :
Ce qui suit n'est pas un slogan sans fondement, c'est UN FAIT, UNE REALITE :
« Après une dépression historique au cours de laquelle son produit intérieur brut (PIB) s’est effondrée de 28 %, la Grèce semble avoir enfin ouvert un nouveau chapitre. Il y a eu d’abord la crise (2010-2013), puis la stabilisation (2014-2018), huit années où des plans d’austérité ont été imposés par les créanciers du pays, la BCE, l’Union européenne et le FMI, au chevet d’une économie qui ne pouvait plus se financer, privée d’accès aux marchés obligataires internationaux. »
https://theconversation.com/un-retour-a-la-normale-pour-leconomie-grecque-220399
« Déjà sacrée en 2022, la Grèce termine à nouveau en tête du classement des pays de l'année établi par « The Economist ». Le magazine britannique* salue la renaissance d'une économie « qui, jusqu'à récemment, était synonyme de mauvaise gestion ».26 déc. 2023
La revanche inattendue de l'économie grecque - Les Echos

Et pourtant, combien les mesures imposées par « Bruxelles » ont été critiquées, jugées inutiles et contraire au bon sens.
La Grèce a payé pour ses erreurs, aujourd’hui elle rebondit et peut envisager l’avenir avec plus de sérénité.

*qui ne peut donc être taxé de soumission à « Bruxelles » !

Qui profite de ce "rebond" grec? Sûrement pas les salariés, ni les retraités! C'est du foutage de gueule.

il y a 16 minutes, pluc89 a dit :

On peut être de gauche et pro-Union Européenne, et être réaliste, pragmatique et efficace. La preuve...

 

Pour moi Delord est un des fossoyeurs de la gauche, et un des champions du néo-libéralisme en Europe. Macron est donc son héritier direct.

il y a 10 minutes, Gouderien a dit :

Pour moi Delord est un des fossoyeurs de la gauche

Pour moi, Delors est l'un des très rares politiques ayant eu le courage de totalement assumer ses convictions !

Alors qu'absolument tous les sondages le donnaient comme  totalement "grand favori" à la présidentielle française de 1995, il a refusé de s'y présenter puisqu'il était convaincu qu'il ne pourrait factuellement pas mettre en application les réformes qu'il souhaitait !

Ne vous en déplaise, Delors est (quasi ?) le seul politique français ayant privilégié ses convictions à une pseudo carrière politique !

il y a 53 minutes, Gouderien a dit :

Qui profite de ce "rebond" grec? Sûrement pas les salariés, ni les retraités! C'est du foutage de gueule.

C'est votre opinion. Mais ...

ET QU'EN PENSENT LES GRECS ?

« …appelés à prendre position pour ou contre diverses politiques européennes bien établies ou en développement, ils se montrent pour toutes plus disposés que la moyenne des citoyens des États membres à les approuver.

Entre autres, ils se disent favorables à 70% à l'union monétaire avec une seule monnaie, l'euro (moyenne européenne : 62%), à 76% à une politique étrangère commune (moyenne : 68%), à 81% à une politique de sécurité et de défense commune (moyenne : 75%), à 75% à une politique commerciale commune (moyenne :71%), à 87% à la libre circulation (moyenne : 82%), et même à 78% à une politique commune en matière de migration (moyenne : 72%) ; et les 52% qui se disent favorables à un élargissement à de nouveaux pays sont quand même plus nombreux que les Européens moyens (44%) sur ce plan.

Le désir d'Europe, d'une Europe plus amène pour eux bien sûr, n'a pas quitté les Grecs. »

https://institutdelors.eu/wp-content/uploads/2020/10/PB_Opinion-grecque-_Debomy-FR.pdf

Il semblerait que les grecs ne pensent pas comme vous !

Le 27/12/2023 à 19:00, Pierrot89 a dit :

Jacques Delors, décédé le 27.12.2023 à 98 ans a été un ardent partisan de l'Europe :

- "père" de l'euro,

- président de la Commission européen de 1985 à 1995

- Ministre de l'économie, précurseur de l'euro,

- créateur du programme Erasmus

- favori des sondages pour l'élection présidentiel de 1995, il refusera de se présenter pour plusieurs motifs politiques et personnels

- etc.

C'était un grand humaniste progressif.

Un bon représentatif de l'homme de la droite sociale...qui finit à la gauche mitterrandiste....

Il a eu raison de ne pas se présenter il n'aurait pas été élu...je l'aurais pourtant nettement préféré à l'autre zèbre...mais  venant de droite, de la banque et s'affirmant catho de surcroit...

Il y a 2 heures, Gouderien a dit :

Par une étrange coïncidence, deux des têtes pensantes du néo-libéralisme en Europe sont mortes en deux jours : Wolfgang Schäuble, l'ancien ministre allemand des Finances, le 26 décembre, et Jacques Delord le lendemain 27 décembre. Dans un excellent article*, "'Marianne" rappelle cette semaine à quel point l'action de ces deux hommes a été délétère pour l'Europe (et pour la France). Quelques extraits :

"...Quant à Jacques Delors, il s'est fait le défenseur malgré lui d'un certain libéralisme. Lorsqu'on observe les évolutions de l'Union européenne depuis les années 1980, on a peine à croire qu'un homme dit de gauche comme lui a été à la manoeuvre. (...) Comment peut-on qualifier "de gauche" un marché unique qui faisait de la libre circulation des capitaux une liberté fondamentale et de la concurrence l'alpha et l'oméga de l'ordre juridique européen? Comment peut-on parler d'une pensée de gauche lorsqu'on promeut une monnaie unique dont la rigidité des changes oblige à faire porter l'ajustement sur les salaires et l'emploi? Comment pouvoir se dire dans le camp des travailleurs lorsque cette monnaie et ce marché unique entraînent la mise en concurrence des travailleurs et l'érosion de leur capacité de négociation?

[Jacques Delord] a enterré en catimini le socialisme en 1983 et le PS a poursuivi son aventure avec opportunisme pendant plus de trois décennies. La gauche n'a fait qu'accompagner le marché et l'a peu contraint. La justice sociale fut remise à plus tard. ".

Ajoutons :

1) Le peuple allemand n'a pas bénéficié de la politique libérale de Schäuble, approuvée par Merkel, qui n'a profité qu'à une minorité d'oligarques et d'actionnaires : vieillissement des infrastructures, diminution des retraites, baisse de la puissance de l'armée (on l'a bien vu lors de l'éclatement du conflit en Ukraine);

2) La "punition" allemande infligée à la Grèce était en fait un avertissement lancé à la France. François Hollande, en bon traître qu'il était, a suivi docilement les Allemands dans leur politique de rigueur drastique infligée aux pays du Sud;

3) Quand on se penche sur l'histoire de Delord, on comprend mieux par quel dérive un Emmanuel Macron a pu finalement arriver au pouvoir. Insensiblement, on est passé de faux hommes de gauche... à un vrai homme de droite.

* "Wolfgang Schäuble et Jacques Delord, une logique, un couple, des enfants."

J'aimerais le nom de celui qui a écrit l'article...

A vous lire les uns, les unes et les autres, je comprends mon "problème". Je ne juge pas les politiciens en fonction de leur orientation politique. Qu'ils soient de gauche, de droite ou d'ailleurs. Ce qui me soucie c'est ce qu'il font par rapport à ce que JE pense, et non pas à ce que pense le camp que j'ai choisi. Je ne choisi pas de camp, je choisis des personnes qui font ce que j'aime voir être fait.

Merci pour votre aide à mieux me comprendre moi-même.

il y a une heure, Morfou a dit :

J'aimerais le nom de celui qui a écrit l'article...

No problemo. Il s'appelle Frédéric Farah, et il est économiste et professeur.

Il y a 1 heure, pluc89 a dit :

C'est votre opinion. Mais ...

ET QU'EN PENSENT LES GRECS ?

« …appelés à prendre position pour ou contre diverses politiques européennes bien établies ou en développement, ils se montrent pour toutes plus disposés que la moyenne des citoyens des États membres à les approuver.

Entre autres, ils se disent favorables à 70% à l'union monétaire avec une seule monnaie, l'euro (moyenne européenne : 62%), à 76% à une politique étrangère commune (moyenne : 68%), à 81% à une politique de sécurité et de défense commune (moyenne : 75%), à 75% à une politique commerciale commune (moyenne :71%), à 87% à la libre circulation (moyenne : 82%), et même à 78% à une politique commune en matière de migration (moyenne : 72%) ; et les 52% qui se disent favorables à un élargissement à de nouveaux pays sont quand même plus nombreux que les Européens moyens (44%) sur ce plan.

Le désir d'Europe, d'une Europe plus amène pour eux bien sûr, n'a pas quitté les Grecs. »

https://institutdelors.eu/wp-content/uploads/2020/10/PB_Opinion-grecque-_Debomy-FR.pdf

Il semblerait que les grecs ne pensent pas comme vous !

Il y aurait beaucoup à dire sur cette affaire... et d'ailleurs on en avait longuement parlé à l'époque. La Grèce n'avait rien à faire dans la zone euro. Ses dirigeants en ont d'abord largement profité, avant de plonger le pays dans le désastre économique. Les Allemands ont "remis les Grecs dans le droit chemin", si l'on peut dire, à grands coups de rigueur. Notons en passant que l'Allemagne n'a jamais payé à la Grèce les dédommagements que ce pays lui réclamait en compensation de l'invasion d'avril 1941, de l'occupation de 1941 à 1944 et du pillage de l'économie grecque par l'armée allemande. Ce qui m'a le plus dégoûté dans cette histoire est le soutien total de Hollande à la politique sadique de l'Allemagne, de la Commission de Bruxelles et du FMI à l'égard de la Grèce. J'ai toujours pensé que ce pays aurait mieux fait de claquer la porte et de quitter la zone euro.

Quand à la prospérité retrouvée de la Grèce aujourd'hui, ça me paraît une bonne blague. Je ne doute pas que les financiers et les banquiers soient satisfaits de la situation, en ce qui concerne l'homme de la rue, je suis bien plus sceptique. 

Il y a 2 heures, frunobulax a dit :

Pour moi, Delors est l'un des très rares politiques ayant eu le courage de totalement assumer ses convictions !

Alors qu'absolument tous les sondages le donnaient comme  totalement "grand favori" à la présidentielle française de 1995, il a refusé de s'y présenter puisqu'il était convaincu qu'il ne pourrait factuellement pas mettre en application les réformes qu'il souhaitait !

Ne vous en déplaise, Delors est (quasi ?) le seul politique français ayant privilégié ses convictions à une pseudo carrière politique !

C'est sûr, il avait de solides convictions pro-allemandes et libérales...

il y a 23 minutes, Gouderien a dit :

en ce qui concerne l'homme de la rue, je suis bien plus sceptique. 

La réponse est là  :

Il y a 2 heures, pluc89 a dit :

ET QU'EN PENSENT LES GRECS ?

« …appelés à prendre position pour ou contre diverses politiques européennes bien établies ou en développement, ils se montrent pour toutes plus disposés que la moyenne des citoyens des États membres à les approuver.

Entre autres, ils se disent favorables à 70% à l'union monétaire avec une seule monnaie, l'euro (moyenne européenne : 62%), à 76% à une politique étrangère commune (moyenne : 68%), à 81% à une politique de sécurité et de défense commune (moyenne : 75%), à 75% à une politique commerciale commune (moyenne :71%), à 87% à la libre circulation (moyenne : 82%), et même à 78% à une politique commune en matière de migration (moyenne : 72%) ; et les 52% qui se disent favorables à un élargissement à de nouveaux pays sont quand même plus nombreux que les Européens moyens (44%) sur ce plan.

Le désir d'Europe, d'une Europe plus amène pour eux bien sûr, n'a pas quitté les Grecs. »

https://institutdelors.eu/wp-content/uploads/2020/10/PB_Opinion-grecque-_Debomy-FR.pdf

Il semblerait que les grecs ne pensent pas comme vous !

il y a 23 minutes, pluc89 a dit :

La réponse est là  :

 

Comme disait Churchill : "Les seules statistiques auxquelles je crois sont celles que j'ai truquées moi-même!"

Un peu de sérieux : la situation grecque ne semble pas si brillante que ça.

La Grèce reconstruit péniblement son économie, après quinze ans de dépression (lemonde.fr)

il y a 33 minutes, Gouderien a dit :

C'est sûr, il avait de solides convictions pro-allemandes et libérales...

Je préfère ça à des convictions pro-américaines ou pro-russes, voire pro-chinoises, et communistes par dessus le marché. Dans ma famille on trouve des communistes pour les plus anciens aujourd'hui disparus, de la gauche écologiques ou écologiques de gauche, comme vous voudrez pour certains, et de droite, voire plus pour d'autres. Je constate que tous n'ont pas tord sur tout, et pas raison non plus, que les choses sont plus complexes.

J'ai peur que les positions extrêmes de certains, à gauche comme à droite, ne nous conduisent d'une manière ou d'une autre à devenir les vassaux des impérialismes cités ci-dessus.

il y a 17 minutes, pluc89 a dit :

 

J'ai peur que les positions extrêmes de certains, à gauche comme à droite, ne nous conduisent d'une manière ou d'une autre à devenir les vassaux des impérialismes cités ci-dessus.

Membres d'une union largement impuissante, nous sommes condamnés à subir les conséquences de la mauvaise humeur des grands pays comme les USA, la Russie et la Chine. Nous en sommes à faire brûler des cierges pour que Trump ne soit pas réélu en novembre 2024, ce qui constituerait une catastrophe de première grandeur pour l'Europe et pour la France.

Condoléances à sa famille mais 98 ans , on va pas pleurnicher non plus.

Le 08/01/2024 à 18:44, Gouderien a dit :

Membres d'une union largement impuissante, nous sommes condamnés à subir les conséquences de la mauvaise humeur des grands pays comme les USA, la Russie et la Chine. Nous en sommes à faire brûler des cierges pour que Trump ne soit pas réélu en novembre 2024, ce qui constituerait une catastrophe de première grandeur pour l'Europe et pour la France.

Mais qui sait du pire pourrait surgir le meilleur : l'obligation de nous souder, de nous unir plus encore, de faire prendre conscience aux populations de nos pays de la nécessité de créer une Fédération. C'est à nous électeurs de le dire. Les politicards suivront.